Tome,  Chap.

  1    I,   IntII|                   De ce moment vous êtes affranchi du prétendu serment
  2    I,   IntII|             veux vous dire qui vous êtes vous-mêmes.~ ~ ~ ~Les fantômes
  3    I,   IntII|           de l’étranger.~ ~ ~– Vous êtes tous irrésolus, dit-il,
  4    I,   IntII|          pouvez agir sur moi ; vous êtes tous ignorants, puisque
  5    I,   IntII|    contraire je sais, moi, qui vous êtes : donc je réussirais près
  6    I,   IntII|            les cinq chefs, que vous êtes venus, vous de Suède, vous
  7    I,  IntIII|          est un siècle !~ ~ ~« Vous êtes épars, tremblants, ignorés
  8    I,  IntIII|        Fairfax, continua-t-il, vous êtes le digne fils de votre aïeul.
  9    I,       1|           de six livres.~ ~ ~– Vous êtes bien bon, dit le postillon
 10    I,       2|             cependant, puisque vous êtes jeune. Qu’arrive-t-il, grâce
 11    I,       2|           le diamant…~ ~ ~– Vous en êtes donc bien réellement sûr,
 12    I,       2|            verre, justement, vous y êtes.~ ~ ~ ~Le voyageur saisit
 13    I,       3|                    Rien.~ ~ ~– Vous êtes sûr ?~ ~ ~– Il a du moins
 14    I,       3|            rêve.~ ~ ~– Alors vous n’êtes pas sûr que celui qui conduisait
 15    I,       3|            ou plutôt parce que vous êtes jeune, vous devez avoir
 16    I,       4|            reprit le voyageur, vous êtes quelque chose.~ ~ ~– Je
 17    I,       4|                 Je comprends : vous êtes dans la maison à titre de
 18    I,       5|          sont fort bornées. Si vous êtes Français, monsieur le baron,
 19    I,       5|             m’indique que vous ne l’êtes pas, quoique votre nom italien 20    I,       5|           rien à la chose ; si vous êtes Français, disais-je, ce
 21    I,       6|        philosophes, est-ce que vous êtes de leurs amis, par hasard ?
 22    I,       6|           Andrée.~ ~ ~– Alors, vous êtes philosophe aussi, vous !…
 23    I,       6|       amitié, à vous, car vous ne l’êtes pas.~ ~ ~– Philosophe ?
 24    I,       7|         Lequel ?~ ~ ~– Puisque vous êtes si bien avec le diable,
 25    I,       7|             monsieur, que vous vous êtes sans doute trompé ce soir,
 26    I,       9|              alors regardez où vous êtes.~ ~ ~ ~Les yeux d’Andrée
 27    I,       9|            pas, continua-t-il, vous êtes aimée, sans doute ?~ ~ ~–
 28    I,      10|         alors dans vos bras. « Vous êtes orpheline Nicole, me dîtes-vous ;
 29    I,      10|         pense autrement.~ ~ ~– Vous êtes donc faux, menteur, hypocrite ?
 30    I,      10|               Je comprends que vous êtes un malhonnête homme.~ ~ ~–
 31    I,      10|           Gilbert, dit Nicole, vous êtes un misérable, et je crois
 32    I,      10|        tordre sous mon regard. Vous êtes mon premier amant, c’est
 33    I,      10|            c’est vrai ; mais vous n’êtes pas le premier homme avec
 34    I,      11|         songer à l’avenir. Vous qui êtes une demoiselle, vous aurez
 35    I,      11|              il est orphelin ; vous êtes chacun maîtres de votre
 36    I,      11|            à fait ; seulement, vous êtes bien jeunes tous deux.~ ~ ~–
 37    I,      11|             longtemps.~ ~ ~– Vous n’êtes riches ni l’un ni l’autre.~ ~ ~–
 38    I,      11|            paix, mademoiselle, vous êtes folle.~ ~ ~– Si mademoiselle
 39    I,      12|         continua le baron, vous qui êtes sorcier ou peu s’en faut,
 40    I,      12|      Balsamo.~ ~ ~– Décidément vous êtes donc sorcier ? demanda le
 41    I,      12|          longtemps que vous ne vous êtes vus et vous devez avoir
 42    I,      13|        trouvèrent seuls.~ ~ ~– Vous êtes incrédule, mon père ; tu
 43    I,      13|           grande princesse que vous êtes.~ ~ – Pourquoi cela ? demanda
 44    I,      14|             accompagner.~ ~ ~– Vous êtes donc un Taverney-Maison-Rouge ?
 45    I,      14|         Dans ce cas, monsieur, vous êtes plus sorcier que votre sorcier.~ ~ ~–
 46    I,      15|          dauphine piquée, plus vous êtes savant, plus je tiens à
 47    I,      17|             Nicole.~ ~ ~– Ah ! vous êtes riche ? demanda Gilbert
 48    I,      17|               Tenez, dit-elle, vous êtes un mauvais cœur ou tout
 49    I,      20|           Il y a longtemps que vous êtes en route ?~ ~ ~– Depuis
 50    I,      20|        Jacques Rousseau.~ ~ ~– Vous êtes bien jeune, mon ami, pour
 51    I,      20|                  Et là-dessus, vous êtes parti, pauvre fou ?~ ~ ~–
 52    I,      20|          dépasse.~ ~ ~– Mais vous n’êtes donc pas de l’escorte ?
 53    I,      20|            louis pour vous, si vous êtes à La Chaussée avant la dauphine.~ ~ ~–
 54    I,      21|               Savez-vous que vous n’êtes point poli, mon cher, dit-il,
 55    I,      21|     appartient-il donc ?~ ~ ~– Vous êtes bien curieux.~ ~ ~– Et toi,
 56    I,      21|                 Allons donc, vous n’êtes pas le roi, peut-être ?~ ~ ~–
 57    I,      21|            vainement d’ouvrir, vous êtes fou ! vous allez nous faire
 58    I,      22|         plaisir de me dire qui vous êtes, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Vous
 59    I,      22|         Barry.~ ~ ~– Comment ! vous êtes le frère de celle… ?~ ~–
 60    I,      22|          son adversaire.~ ~ ~– Vous êtes blessé, monsieur, dit-il.~ ~ ~–
 61    I,      22|          gendarme, cria Jean ; vous êtes bien fier à cette heure ;
 62    I,      22|           dans la situation où vous êtes.~ ~ ~– Ah ! vraiment ?~ ~ ~ ~
 63    I,      23|           Si fait, monsieur, vous l’êtes, car vous savez quel est
 64    I,      23|       madame ?~ ~ ~– C’est que vous êtes au mieux avec les Choiseul.~ ~ ~–
 65    I,      23|         Monsieur de Sartine, vous n’êtes pas bien franc.~ ~ ~– Ah !
 66    I,      23|        savez ?~ ~ ~« Notre Père qui êtes à Versailles, que votre
 67    I,      23|         perruque.~ ~ ~– Non, vous n’êtes pas perdu ; vous êtes chansonné,
 68    I,      23|             n’êtes pas perdu ; vous êtes chansonné, voilà tout. Suis-je
 69    I,      23|         suis une femme !~ ~ ~– Vous êtes une reine.~ ~ ~– Oui, une
 70    I,      23|             le savez bien, vous qui êtes si excellente politique.~ ~ ~ ~
 71    I,      23|                    Faites-les, vous êtes le vainqueur.~ ~ ~– Je suis
 72    I,      23|            gagner du temps, et vous êtes trop habile tacticienne
 73    I,      24|            la fois.~ ~ ~– Oh ! vous êtes charmant, sire, s’écria
 74    I,      24|              dit la comtesse ; vous êtes nommé.~ ~ ~– Mais en vérité,
 75    I,      24|             enchanteurs.~ ~ ~– Vous êtes orfèvre, monsieur Josse.
 76    I,      24|                    Sans doute. Vous êtes reine.~ ~ ~– À peu près.~ ~ ~–
 77    I,      24|          sont, et de rester où vous êtes. Croyez-moi, la meilleure
 78    I,      24|           oh ! oh ! Est-ce que vous êtes le maître, vous ?~ ~ ~ ~
 79    I,      24|               Vous avez tort ; vous êtes ravissante quand vous souriez,
 80    I,      24|      impossible de choisir : vous m’êtes nécessaires tous deux.~ ~ ~–
 81    I,      26|            je sais l’affaire : vous êtes mal renseigné, duc, murmura
 82    I,      26|             d’auberge ! Louis, vous êtes sévère, malgré vos idées
 83    I,      26|             être philanthrope, vous êtes mathématicien, et qu’un
 84    I,      26|         Choiseul.~ ~ ~– Tenez, vous êtes tous de mauvais esprits !
 85    I,      27|          sire, non plus.~ ~ ~– Vous êtes religieuse, cependant, vous,
 86    I,      27|          temps où nous vivons. Vous êtes entraîné, comme nous tous.
 87    I,      27|         vous encore jeune, vous qui êtes un bon père, vous qui savez
 88    I,      29|            n’en ai pas.~ ~ ~ ~–Vous êtes sûr ? dit la comtesse.~ ~ ~–
 89    I,      29|            le voulez bien, car vous êtes inconcevable aujourdhui,
 90    I,      29|          pas envoyée par vous… Vous êtes sûr qu’elle ne m’était pas
 91    I,      30|              Oh ! monseigneur, vous êtes si bon, que vous me parlez
 92    I,      30|            je m’occupais quand vous êtes arrivée ? Je dressais pour
 93    I,      30|           Dites maintenant que vous êtes abandonnée de la fortune,
 94    I,      30|            honneur pour vous : vous êtes naturellement le plus pressé.~ ~ ~–
 95    I,      30|             écria la comtesse, vous êtes mon dieu tutélaire. Monsieur
 96    I,      30|           Monsieur le vicomte, vous êtes la fleur de la noblesse
 97    I,      31|         eussiez pas dit.~ ~ ~– Vous êtes censée ne pas nous avoir
 98    I,      31|           Voyons, petite sœur, vous êtes bien intime avec madame
 99    I,      31|          pareille charge. Mais vous êtes femme d’esprit, vous lui
100    I,      32|        mieux cela, sire.~ ~ ~– Vous êtes donc parvenue à en fabriquer
101    I,      33|             le roi en riant, vous n’êtes pas une fée, vous êtes un
102    I,      33|            n’êtes pas une fée, vous êtes un démon.~ ~ ~ ~La comtesse
103    I,      34|        Sartine, dit-il ; comme vous êtes exact !~ ~ ~ ~La chose était
104    I,      35|            puis pas, parce que vous êtes une femme, et que vous ferez
105    I,      35|              Une femme… Ah ! vous y êtes maintenant.~ ~ ~– J’ai la
106    I,      35|            deux pas de moi que vous êtes, madame, je ne distingue
107    I,      35|             écoute.~ ~ ~– Vous vous êtes brûlé le pied ?~ ~ ~– Vous
108    I,      35|     affreuse blessure que vous vous êtes faite ?~ ~ ~– Comme vous
109    I,      35|          madame, lui dit-elle, vous êtes encore plus forte que je
110    I,      35|      accommodante ?~ ~ ~– Oh ! vous êtes parfaite, madame ; mais
111    I,      36|          maréchal.~ ~ ~– Ainsi vous êtes du complot ? demanda Madame
112    I,      36|            que vous oubliez où vous êtes ? Dans le pays des Amazones,
113    I,      36|            tout mis en branle, vous êtes le boute-feu, vous révolutionnez
114    I,      37|       aurons la robe.~ ~ ~– Vous en êtes sur, Jean ?~ ~ ~– J’ai fait
115    I,      37|           du jeune homme. Ah ! vous êtes coiffeur. Entrez, mon ami,
116    I,      37|                    Léonard ! vous n’êtes pas connu.~ ~ ~– Pas encore.
117    I,      37|       voudrez bien me dire qui vous êtes.~ ~ ~– Vous le savez déjà,
118    I,      37|           débute ? Sang bleu ! vous êtes passé maître, monsieur.~ ~ ~–
119    I,      38|           jeune homme.~ ~ ~– Vous n’êtes pas malade, vous, dit le
120    I,      38|           plaindre, comtesse ; vous êtes coiffée à merveille et belle
121    I,      38|       compliquées. Tenez, duc, vous êtes un homme adorable.~ ~ ~ ~
122    I,      38|         vous regarde, madame ; vous êtes si belle !~ ~ ~– Il me salue,
123    I,      38|                 Oui, monsieur, vous êtes mon prophète de la place
124    I,      39|            moi du frère.~ ~ ~– Vous êtes fou.~ ~ ~– Je suis sage.
125    I,      39|         sourire. On dirait que vous êtes mécontent.~ ~ ~– Comtesse,
126   II,      41|     aucunement à ses paroles ; vous êtes donc bien revêche en amitié ?~ ~ ~–
127   II,      41|            Chon. Alors vous ne vous êtes pas cru l’égal de Zamore ?~ ~ ~–
128   II,      41|              mon cher ami, que vous êtes féroce et que l’on ne peut
129   II,      41|         pour la justice.~ ~ ~– Vous êtes un fou, Gilbert ! taisez-vous,
130   II,      41|            Allons, la paix ! … Vous êtes un joli garçon, très vertueux,
131   II,      41|             y a pas de hum ! Vous n’êtes pas si savant, mon petit
132   II,      41|           tour.~ ~ ~– Ainsi, vous n’êtes pas ambitieux ? dit-elle.~ ~ ~–
133   II,      43|           vous y invite, car vous n’êtes point, je le vois, un convive
134   II,      43|              J’allais à Paris… Vous êtes parisien, monsieur ?~ ~ ~–
135   II,      43|             vous, jeune homme, vous êtes dans l’âge des illusions.~ ~ ~–
136   II,      43|          monde ; mais écoutez, vous êtes le premier qui m’ait parlé
137   II,      43|            encore ; mais vous qui n’êtes pas fils de noble, vous
138   II,      43|              dit le vieillard, vous êtes paresseux, alors ?~ ~ ~–
139   II,      43|        profession quelconque ? Vous êtes vêtu comme un homme de finance.~ ~ ~ ~
140   II,      43|          Presque.~ ~ ~– Alors, vous êtes pauvre ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~–
141   II,      43|          arrachez pas ! Oh ! vous n’êtes pas encore herboriste, mon
142   II,      45|                Allons, allons, vous êtes amoureux, dit le vieillard.~ ~ ~ ~
143   II,      45|                Allons, dit-il, vous êtes non seulement botaniste
144   II,      45|    botaniste et musicien, mais vous êtes encore logicien.~ ~ ~– Hélas !
145   II,      46|             en effet, mon ami, vous êtes chez Jean-Jacques Rousseau.~ ~ ~–
146   II,      46|             Oh ! monsieur, que vous êtes bon !~ ~ ~– Quant au gîte,
147   II,      46|          dit :~ ~ ~– Monsieur, vous êtes mon maître, puisque c’est
148   II,      46|         Rousseau ; c’est vrai, vous êtes jeune. Allez à Saint-Denis,
149   II,      47|        cette longue course, si vous êtes aussi fatiguée que vous
150   II,      47|       croyez, fatiguée comme vous l’êtes, vous vous en rapporterez
151   II,      48|        bourgeoise, je vois que vous êtes homme de précaution, monsieur,
152   II,      48|            non plus, puisque vous y êtes comme moi ?~ ~ ~– Oh ! nous,
153   II,      49|             province.~ ~ ~– Et vous êtes venu faire votre éducation
154   II,      49|               Eh bien, puisque vous êtes en train de vous instruire,
155   II,      50|           le répète, parce que vous êtes toute puissante, et qu’il
156   II,      50|          vous paraissez riche, vous êtes belle, vous vous exprimez
157   II,      50|           Merci ! oh ! merci ! vous êtes véritablement l’ange consolateur
158   II,      50|         voyant cet homme, vous vous êtes évanouie, et voilà tout ;
159   II,      51|           vous ignorez comment vous êtes sortie du couvent ?~ ~ ~–
160   II,      51|          fût-ce lui, mon Dieu, vous êtes ici en sûreté.~ ~ ~– Il
161   II,      51|         cela est.~ ~ ~– Marié, vous êtes marié ?~ ~ ~– Je suis marié.~ ~ ~–
162   II,      51|           Lorenza, dit-il, que vous êtes en sûreté chez moi ?~ ~ ~–
163   II,      51|           doute savoir comment vous êtes sortie du couvent, Lorenza.
164   II,      51|       depuis le moment où vous vous êtes évanouie dans le chœur jusqu’
165   II,      51|          jusqu’à celui où vous vous êtes réveillée dans la chaise
166   II,      52|             Je veux savoir qui vous êtes.~ ~ ~– Vous le savez.~ ~ ~–
167   II,      52|             dans les termes où vous êtes avec elle, dit flegmatiquement
168   II,      52|          depuis deux jours que vous êtes à Paris…~ ~ ~– Moi ?~ ~ ~–
169   II,      52|          princesse à Soissons, vous êtes venu en poste à Paris par
170   II,      52|             la plus courte, et vous êtes venu demander à vos bons
171   II,      52|          Après lesquels refus, vous êtes reparti en poste pour Compiègne,
172   II,      54|             soupçonneux, or, vous m’êtes suspect, et vous allez sortir
173   II,      54|      connaissiez pas, et, si vous n’êtes pas un traître, vous êtes
174   II,      54|           êtes pas un traître, vous êtes un menteur.~ ~ ~– Monsieur,
175   II,      54|      Diderot et de Marmontel ; vous êtes un menteur, monsieur.~ ~ ~–
176   II,      54|         fils, dit Rousseau. Si vous êtes amoureux au point que vous
177   II,      57|     naturellement à deviner où vous êtes.~ ~ ~– Oui, vous avez raison
178   II,      57|        égales ; pendant l’une, vous êtes douce, bonne et raisonnable ;
179   II,      57|               pendant l’autre, vous êtes folle.~ ~ ~– Et c’est sous
180   II,      57|        choisi ? Jamais !~ ~ ~– Vous êtes ma femme, cependant.~ ~ ~–
181   II,      57|                    C’est vrai, vous êtes chaste, et c’est la seule
182   II,      59|       mixtion abondante.~ ~ ~– Vous êtes en vérité un généreux sorcier,
183   II,      59|           Monsieur, alors vous vous êtes trompé et vous vous trompez
184   II,      59|        exemple.~ ~ ~– Oh ! oui vous êtes un homme profond ! Oui,
185   II,      59|        homme de cette qualité, vous êtes un galant homme, et, si
186   II,      60|                Oui, toi.~ ~ ~– Vous êtes fou, maître.~ ~ ~– Eh bien,
187   II,      60|            dit Althotas.~ ~ ~– Vous êtes blessé, et grièvement.~ ~ ~–
188   II,      60|            je dis, maître, que vous êtes le plus savant des hommes.~ ~ ~–
189   II,      61|        grands cris.~ ~ ~– Mais vous êtes féroce aujourdhui, Jeanne,
190   II,      61|         auront pas.~ ~ ~– Ah ! vous êtes charmants, vous autres,
191   II,      61|             voulait dire : « Vous y êtes. »~ ~– Et de la dauphine ?
192   II,      62|            Mais attendez donc, vous êtes trop pressée aussi, ma chère ;
193   II,      63|             on voit bien que vous n’êtes pas lieutenant de police
194   II,      63|                     En vérité, vous êtes charmants, vous autres bourgeois.
195   II,      63|                    Décidément, vous êtes optimiste ! N’importe, faites-moi
196   II,      64|          sens, dans le sens… Vous n’êtes pas sans avoir lu la Bible,
197   II,      65|             souffririez-vous ? Vous êtes bien pâle, et l’on dirait
198   II,      66|        Andrée, provinciale que vous êtes, ne vous penchez pas ainsi,
199   II,      66|         Andrée ; oui, venez, vous n’êtes pas grosse et l’on vous
200   II,      68|       éclairerai.~ ~ ~– Merci, vous êtes bien bon, mais je vous gênerais.~ ~ ~–
201   II,      70|              dit Rousseau, car vous êtes aussi bon médecin de l’âme
202   II,      70|         étonnement.~ ~ ~– Oh ! vous êtes froissé, mon enfant, bien
203   II,      70|            pas l’aumône.~ ~ ~– Vous êtes fou, dit Rousseau, et vous
204   II,      70|          avoir été à cette lucarne, êtes tombé en route ?~ ~ ~– C’
205   II,      70|            surtout moralement… Vous êtes l’hôte d’un homme avec lequel
206   II,      70|           lui vivra…~ ~ ~– Que vous êtes un homme aimable, mon cher
207   II,      73|           Obscurs ! en vérité, vous êtes folle, mademoiselle ; obscure !
208   II,      73|           robe ou de finance ; vous êtes musicienne ; vous dessinez
209   II,      73|        baron a raison, dit-il, vous êtes bien tout ce qu’il dit,
210   II,      73|             continua le baron, vous êtes en argent, Philippe ?~ ~ ~–
211   II,      74|         tout à l’heure, et que vous êtes maintenant plus imprudente
212   II,      74|  tranquillité.~ ~ ~– Oui, dont vous êtes amoureux, mais qui, par
213   II,      74|         sage jeune fille comme vous êtes, de glisser des clefs sous
214   II,      76|            fois, jamais deux ; vous êtes libre ; allez où vous voudrez !~ ~ ~–
215   II,      77|           vous, au contraire : vous êtes mon vieil ami, et je vous
216   II,      77|            croire, non pas que vous êtes folle, mais ingrate.~ ~ ~–
217   II,      77|        raison ; c’est cela, et vous êtes en vérité un très fin politique.~ ~ ~–
218   II,      77|             Duc, mon cher duc, vous êtes plein de réticences aujourd’
219   II,      77|             Ah ! non point, et vous êtes loin de penser un seul mot
220   II,      77|              parlons-en.~ ~ ~– Vous êtes aussi courageuse que spirituelle,
221   II,      77|      concluez-vous ?~ ~ ~– Que vous êtes bien informé, duc.~ ~ ~–
222   II,      77|                    Ainsi donc, vous êtes de mes amis ?~ ~ ~– Je croyais
223   II,      77|       Académie ?~ ~ ~– Oh ! vous en êtes si peu, duc.~ ~ ~– C’est
224   II,      77|    apologues.~ ~ ~– Dieu ! que vous êtes ennuyeux, duc.~ ~ ~– Vous
225   II,      77|               Très bien !~ ~ « Vous êtes un homme, vous ; vous êtes
226   II,      77|          êtes un homme, vous ; vous êtes fort ; vous avez pris Mahon ;
227   II,      77|            votre pensée.~ ~ ~– Vous êtes adorable !~ ~ ~– Mais, moi,
228   II,      78|           trouvez ?~ ~ ~– Oui. Vous êtes sérieuse comme M. Rousseau
229   II,      78|             Cependant, puisque vous êtes fâchée…~ ~ ~– Je suis fâchée,
230   II,      78|        paraît.~ ~ ~– Comtesse, vous êtes femme.~ ~ ~– Heureusement.~ ~ ~–
231   II,      79|            besoin de la paix ? Vous êtes bien heureux !… Le fait
232   II,      79|        propos, duc, est-ce que vous êtes philosophe, vous ?~ ~ ~–
233   II,      79|              Vous m’enchantez, vous êtes un homme impayable ; donnez-moi
234   II,      81|             plus aimable que vous n’êtes, comtesse. Je sais bien
235   II,      81|            est encore temps. Vous n’êtes pas compromis, et vous pouvez
236   II,      81|               heureusement que vous êtes presque habillée ; montrez-vous
237  III,      82|           que je désire.~ ~ ~– Vous êtes adorable, comtesse.~ ~ ~–
238  III,      82|              alors.~ ~ ~– Duc, vous êtes horriblement poltron.~ ~ ~–
239  III,      82|                     Je dis que vous êtes venue avec moi, en tête
240  III,      83|            dit-il, et, puisque vous êtes si fière, ne vous plaignez
241  III,      83|       essaya de sourire.~ ~ ~– Vous êtes folle, dit-il, vous savez
242  III,      84|             veux dire.~ ~ ~– Vous n’êtes pas accoutumé à être battu,
243  III,      84|              Parce que vous ne vous êtes pas adressée à moi, madame,
244  III,      85|        poussa un soupir.~ ~ ~– Vous êtes fatiguée. Je comprends cela.~ ~ ~–
245  III,      85|          puis.~ ~ ~– Parce que vous êtes trop loin. Entrez dans le
246  III,      87|             le duc, maréchal ; vous êtes mon ami. Je prierai monsieur,
247  III,      87|     maréchal. Monsieur le duc, vous êtes ici chez vous.~ ~ ~ ~La
248  III,      87|              monsieur le duc ; vous êtes un bon parent, j’en ai eu
249  III,      88|       cervelle… Oh ! femme que vous êtes ! Avant de chasser son cuisinier,
250  III,      88|        Lui-mêmePeste ! comme vous êtes savante !… Vous connaissez
251  III,      88|       baisers son royal amant, vous êtes un homme accompli.~ ~ ~–
252  III,      88|           de son cœur.~ ~ ~– Vous n’êtes pas une femme, dit-il, vous
253  III,      88|             une femme, dit-il, vous êtes…~ ~ ~– L’Ange, n’est-ce
254  III,      89|             C’est autre chose, vous êtes ministre, vous… Comment
255  III,      89|         appelle le ministère ? Vous êtes donc las d’être heureux
256  III,      89|           Richelieu, c’est vous qui êtes injuste en ce moment.~ ~ ~–
257  III,      89|             est-ce pas ?~ ~ ~– Vous êtes un mauvais courtisan, dit
258  III,      89|            de répondre :~ ~ ~– Vous êtes trop arriéré, monsieur des
259  III,      89|           des croisades : vous n’en êtes qu’au mémoire calomnieux
260  III,      90|         rien quand on réussit. Vous êtes content, n’est-ce pas ?~ ~ ~–
261  III,      90|             ai une idée.~ ~ ~– Vous êtes un homme incomparable ;
262  III,      92|      étourdi.~ ~ ~– Est-ce que vous êtes allé aussi sur la route
263  III,      92|             pour nous dire que vous êtes hardi, duc ?~ ~ ~– C’est
264  III,      94|     stupéfaite, regardez comme vous êtes charmante et surtout comme
265  III,      94|     charmante et surtout comme vous êtes peu la Nicole de tout à
266  III,      95|             monsieur Gilbert ; vous êtes donc ici ?~ ~ ~– Eh ! bonsoir,
267  III,      96|         réplique tout obscure, vous êtes la conscience de mon oncle :
268  III,      98|                  Maître Rafté, vous êtes un niais. Je suis battu
269  III,      98|                Monsieur Rafté, vous êtes un impertinent !~ ~ ~– Il
270  III,      98|             homme d’esprit que vous êtes, des sottises que je ne
271  III,      98| satisfactions-là coûtent cher… Vous êtes riche, payez, monsieur le
272  III,      99|          maître Flageot ; mais vous êtes trop galant pour ne pas
273  III,      99|            dit, et c’est vrai… Vous êtes, madame, le premier exemple
274  III,      99|      monsieur le maréchal, que vous êtes un esprit généreux, libéral !
275  III,     100|                    Sire, enfin vous êtes le roi, vous êtes le maître.~ ~ ~–
276  III,     100|        enfin vous êtes le roi, vous êtes le maître.~ ~ ~– Le roi,
277  III,     100|          ces gens rebelles que vous êtes le maître. Vous savez, sire,
278  III,     100|         prendre congé.~ ~ ~– Vous n’êtes pas de trop, madame, lui
279  III,     100|             faute.~ ~ ~– Sire, vous êtes le plus grand roi du monde.~ ~ ~–
280  III,     101|           Rousseau.~ ~ ~– Ah ! vous êtes ce jeune chirurgien, mon
281  III,     102|              des rendez vous ! Vous êtes folle, Thérèse !~ ~ ~– Je
282  III,     102|         folie, dit-elle ; mais vous êtes capable de toutes ; allez,
283  III,     102|          tranquillement.~ ~ ~– Vous êtes un libertin, dit Thérèse
284  III,     103|             sont des utopies ; vous êtes utile au même point de vue
285  III,     103|           Et il ajouta :~ ~ ~– Vous êtes un homme, non un frère,
286  III,     103|           homme, non un frère, vous êtes un homme d’honneur placé
287  III,     105|               Bouchez-les, vous qui êtes sensible à cette connexité
288  III,     105|             m’intéresse.~ ~ ~– Vous êtes un illustre chef, dit Marat,
289  III,     105|              dit Marat, mais vous n’êtes ni Dieu le père, ni Dieu
290  III,     106|        premier accès.~ ~ ~– Vous en êtes sûr ?~ ~ ~– Oh ! oui.~ ~ ~–
291  III,     106|             pauvre garçon, que vous êtes un peu faible d’esprit,
292  III,     106|             d’esprit, car vous vous êtes évanoui devant la première
293  III,     107|           seule la clef.~ ~ ~– Vous êtes la portière.~ ~ ~– Vous
294  III,     107|           me soupçonniez quand vous êtes sorti.~ ~ ~– Je vous soupçonne
295  III,     107|            Marat ; c’est que vous n’êtes pas plus que nous, monsieur
296  III,     108|        femmes que vous adorez… Vous êtes un satyre ! un mage !~ ~ ~ ~
297  III,     108|                 Oh ! monsieur, vous êtes homme de goût, homme d’esprit ;
298  III,     108|          Monsieur, je sais que vous êtes à la cour plus que je ne
299  III,     109|            surpris.~ ~ ~– Oui, vous êtes un vaniteux, un hypocrite !~ ~ ~–
300  III,     109|              Moi ?~ ~ ~– Vous… Vous êtes enchanté d’aller à la cour
301  III,     109|           un œil irrité.~ ~ ~– Vous êtes une sotte, dit-il, il n’
302  III,     109|             Thérèse. Parce que vous êtes méchant, et parce que vous
303  III,     109|            quelque part et que vous êtes un homme courageux, sinon
304  III,     109|            répondrai, moi, que vous êtes un hypocrite et que cela
305  III,     109|            soyez raisonnable ; vous êtes affreux ainsi, vous avez
306  III,     110|       enfant…~ ~ ~– On dit que vous êtes très mal avec Voltaire,
307  III,     110|             après quoi :~ ~ ~– Vous êtes bien supérieur dans la philosophie,
308  III,     113|              je ne sais pas si vous êtes prévenu de cela ?~ ~ ~ ~
309  III,     113|          toutes, avec laquelle vous êtes à couteaux tirés.~ ~ ~–
310  III,     113|           Votre Majesté.~ ~ ~– Vous êtes donc de son avis en ce qu’
311  III,     113|           France.~ ~ ~– Enfin, vous êtes de son avis, baron ?~ ~ ~–
312  III,     113|       monsieur de Taverney, si vous êtes embarrassé.~ ~ ~ ~Cela dit,
313  III,     114|           partie ; aujourdhui vous êtes le tout, Philippe ; et quand
314  III,     114|        Philippe, dit-elle, vous qui êtes un homme, vous qui avez
315  III,     114|            moi, d’où vient que vous êtes en ce moment aussi triste
316  III,     115|           pour un insolent, et vous êtes moins que cela : vous n’
317  III,     115|             moins que cela : vous n’êtes qu’un fou.~ ~ ~– Je ne suis
318  III,     115|       bienfait, continua-t-il, vous êtes tenue d’aimer le bienfaiteur.
319  III,     115|            vous le dire.~ ~ ~– Vous êtes donc M. le baron de Balsamo ?
320  III,     116|          Hélas, mon cher, vous seul êtes juge de la tendresse que
321  III,     116|   spirituelle et forte comme vous l’êtes. Faites-vous si belle, que
322  III,     116|           digne du rang auquel vous êtes appelée depuis que le roi
323  III,     117|        mieux, il me semble, si vous êtes assis.~ ~ ~– Aujourdhui,
324  III,     117|          Merci, Lorenza.~ ~ ~– Vous êtes bon chrétien, m’avez-vous
325  III,     117|            je l’entourerai, et vous êtes libre.~ ~ ~– Que faut-il
326  III,     117|             Lorenza. Jurez, et vous êtes libre.~ ~ ~ ~La jeune femme
327  III,     117|             car vous dites que vous êtes mon amiécoutez-moi donc :
328  III,     117|        percez le cœur ? Quoi ! vous êtes malheureuse à ce point ?
329  III,     118|              fit-elle, puisque vous êtes en train.~ ~ ~– Qui s’appelle
330  III,     118|              vous, monseigneur, qui êtes un homme d’expérience.~ ~ ~ ~
331  III,     119|        allez…~ ~ ~– Oh ! comme vous êtes délicat, cher monsieur de
332  III,     120|         vôtre, le vôtre ! Vous vous êtes coupé les doigts avec un
333  III,     120|            voit M. de Sartine, vous êtes perdu !~ ~ ~ ~Balsamo poussa
334  III,     123|         lieutenant de police ; vous êtes sa femme.~ ~ ~– Il le dit,
335   IV,     124|           nom sous lequel vous vous êtes fait annoncer ?…~ ~– Le
336   IV,     124|    faisaient qu’un.~ ~ ~– Ah ! vous êtes un grand ministre, dit Balsamo,
337   IV,     125|     apercevez donc pas combien vous êtes injuste ! Je viens pour
338   IV,     125|              je sais, moi, que vous êtes M. de Sartine.~ ~ ~– Eh
339   IV,     125|          découverte pareille ! Vous êtes peu aimé du peuple : le
340   IV,     125|         Majesté ? Tuez-moi, vous en êtes le maître ; mais le bruit
341   IV,     126|            Ah ! malheureux que vous êtes ! je vous ferai tous périr
342   IV,     126|        redevenir enfant.~ ~ ~– Vous êtes un homme charmant, en vérité ;
343   IV,     126|             décidément, comte, vous êtes non seulement mon prophète
344   IV,     127|              mais est-ce que vous n’êtes pas dans votre quarantaine
345   IV,     130|             par la tête ; vous vous êtes dit : « Allons voir le comte
346   IV,     130|              En vérité, comte, vous êtes sorcier ! Est-ce que vous
347   IV,     130|                     Comment !… vous êtes devin, et vous ne devinez
348   IV,     130|        intention.~ ~ ~– Oh ! vous m’êtes excellent toujours. Mais
349   IV,     130|                 Alors, dit-il, vous êtes contente de moi, madame ?~ ~ ~–
350   IV,     130|       Sartine veulent dire que vous êtes un mauvais roi.~ ~ ~« Alors
351   IV,     130|           royaume…~ ~ – Oh ! vous n’êtes pas un Sully, lui ai-je
352   IV,     136|          douce habitude.~ ~ ~– Vous êtes une langue dorée, monsieur
353   IV,     136|             crois, sire.~ ~ ~– Vous êtes fou !~ ~ ~– Bah !~ ~ ~–
354   IV,     136|         vous a contée là. Ah ! vous êtes l’avocat de cette nichée ?
355   IV,     137|              Vous voyez.~ ~ ~– Vous êtes donc encore seule ?~ ~ ~–
356   IV,     137|          rouge, mademoiselle ; vous êtes d’une pâleur repoussante.~ ~ ~–
357   IV,     137|            Taverney, dites que vous êtes malade ; rendez-vous intéressante,
358   IV,     137|         grondera plus, puisque vous êtes si sensible, petite rusée.~ ~ ~ ~
359   IV,     138|           dis et je le répète, vous êtes d’une modestie qui va jusqu’
360   IV,     138|             la diplomatie dont vous êtes pourvue naturellement, et
361   IV,     138|            car je remarque que vous êtes seule. Veuillez m’accompagner,
362   IV,     139|           Ce qui veut dire que vous êtes repris pour Luciennes…~ ~ ~–
363   IV,     139|           car, tout faible que vous êtes ou que vous prétendez être,
364   IV,     139|          continua la comtesse, vous êtes comme les oiseaux poétiques
365   IV,     139|         diable ! mon cher duc, vous êtes bien pressé, dit la comtesse ;
366   IV,     139|            Eh bien, on dit que vous êtes la plus spirituelle, la
367   IV,     139|             la comtesse.~ ~ ~– Vous êtes un oiseau, dit-il.~ ~ ~–
368   IV,     139|        dites-moi pourquoi vous vous êtes donné tant de mal à pousser
369   IV,     141|              Oh ! oui, Andrée, vous êtes toute pâle et toute tremblante.~ ~ ~–
370   IV,     141|         venus.~ ~ ~– Oh ! mais vous êtes si pâle, Andrée…~ ~ ~– Ai-je
371   IV,     141|           aime tant… vous, vous qui êtes le mobile, l’événement de
372   IV,     141|         sœur, ma sœur, vous ne vous êtes plus souvenue de cela, vous
373   IV,     141|            avait raison ; vous vous êtes donc évanouie, Andrée ?~ ~ ~–
374   IV,     142|                 C’est donc vous qui êtes… ?~ ~– Qui suis, quoi, monsieur ?~ ~ ~–
375   IV,     142|                  Eh ! parbleu ! qui êtes l’amant, fit le docteur
376   IV,     142|             donner le change ; vous êtes en vain un homme délicat
377   IV,     142|           que, vous-même, vous vous êtes trompé quelquefois.~ ~ ~–
378   IV,     142|             vous-même que vous vous êtes trompé.~ ~ ~– Je le désire
379   IV,     143|            il continua :~ ~ ~– Vous êtes dans un âge, Andrée, où
380   IV,     143|            me dites depuis que vous êtes rentré.~ ~ ~– Oui, Andrée,
381   IV,     143|         docteur, oui.~ ~ ~– Et vous êtes rassuré ?~ ~ ~– J’ai le
382   IV,     144|           tout votre orgueil : vous êtes enceinte !…~ ~ ~Andrée poussa
383   IV,     144|            honneur, tant que vous n’êtes pas mariée, appartient en
384   IV,     146|             vouloir me parler. Vous êtes donc coupable d’un tort
385   IV,     146|       monsieur !~ ~ ~– Ah çà ! vous êtes fou, monsieur ! s’écria
386   IV,     146|           leur déshonneur. Or, vous êtes venu, la menace à la bouche,
387   IV,     146|            cher monsieur, vous vous êtes trompé sur les deux points :
388   IV,     147|        Saverny ?~ ~ ~– Vous vous en êtes assuré vous-même, monsieur,
389   IV,     147|       attendait.~ ~ ~– Lorsque vous êtes monté chez ma sœur, continua
390   IV,     147|       seulement, ajoutez-vous, vous êtes parti en oubliant de la
391   IV,     147|            que vous l’oubliez. Vous êtes jeune, vous êtes officier,
392   IV,     147|      oubliez. Vous êtes jeune, vous êtes officier, vous avez l’habitude
393   IV,     148|       partir du moment où vous vous êtes couchée.~ ~ ~– Vous voyez-vous
394   IV,     148|             mot encore, comte. Vous êtes homme d’honneur ?~ ~ ~–
395   IV,     149|           Ah ! dit le docteur, vous êtes, je le vois, monsieur, de
396   IV,     149|           dans le désespoir si vous êtes tué. Ah ! monsieur, je vous
397   IV,     149|          est ainsi, docteur, vous n’êtes point ce sage que j’ai admiré,
398   IV,     149|             que j’ai admiré, vous n’êtes qu’un homme ordinaire et,
399   IV,     149|           Oh ! merci, docteur, vous êtes un dieu pour moi !~ ~ ~–
400   IV,     150|             ma chère Andrée, vous n’êtes aimée de personne en ce
401   IV,     150|      triomphons !~ ~ ~– Alors… vous êtes bien réellement l’homme
402   IV,     150|          suprême dégoût ; vous vous êtes trahi vous-même, et vous
403   IV,     151|             est pas étonnant : vous êtes si maussade !~ ~ ~– Thérèse,
404   IV,     151|             à vous, misérable qui n’êtes rien, qui ne possédez rien,
405   IV,     151|          vous tourneriez mal ; vous êtes une méchante nature.~ ~ ~–
406   IV,     151|           causes à mon crime : vous êtes la première, et je viens
407   IV,     151|         parce que, enfin, vous vous êtes toujours regardé comme un
408   IV,     151|             cas, jeune comme vous l’êtes, avec votre travail, vous
409   IV,     151|          toujours libre.~ ~ ~– Vous êtes un homme que j’aime, mon
410   IV,     151|            trois ans.~ ~ ~– Et vous êtes venu ?…~ ~– À Paris, où
411   IV,     151|            garder.~ ~ ~– Alors vous êtes celui qu’on nomme Gilbert ?
412   IV,     151|        payer ce respect : vous vous êtes vengé de ses mépris, par
413   IV,     151|             Andrée ; puis vous vous êtes enfui ; à mesure que vous
414   IV,     151|             porter remède, vous qui êtes un homme si puissant et
415   IV,     153|          expliquez-moi comment vous êtes ici.~ ~ ~– Oh ! mademoiselle,
416   IV,     153|         agit, mademoiselle ; vous n’êtes donc point partie ? Vous
417   IV,     153|         crime ! la fatalité !… Vous êtes insensé, monsieur Gilbert,
418   IV,     153|             Mais de celui dont vous êtes mère. N’avez-vous pas avoué
419   IV,     153|            c’est vrai ; mais vous n’êtes pas le père de mon enfant !~ ~ ~ ~
420   IV,     155|             il me semble que vous n’êtes pas conséquent avec votre
421   IV,     156|       comprendre, monsieur ; vous n’êtes pas riche ?~ ~ ~– Votre
422   IV,     156|             honnête homme… que vous êtes, j’en suis certaine.~ ~ ~ ~
423   IV,     156|         avec mélancolie.~ ~ ~– Vous êtes un ange du ciel, madame,
424   IV,     157|            vous en conjure, si vous êtes juste, mon Dieu, si vous
425   IV,     160|           pas trompé, dit-il ; vous êtes une brave femme. Je vous
426   IV,     160|            de nourrice réglés, vous êtes satisfaite ?~ ~ ~– Oh !
427   IV,     161|         partit en effet.~ ~ ~– Vous êtes le capitaine de l’Adonis,
428   IV,     162|           de cet enfant, que vous l’êtes revenu prendre la nuit pour
429   IV,     162|           écria le docteur ; vous n’êtes pas en état de sortir ni
430   IV,     164|       sources d’eau glacée, si vous êtes naturalistes ; des lapins
431   IV,     164|             perdrix rouges, si vous êtes chasseurs.~ ~ ~ ~Philippe
432   IV,     164|        sommes ennemis mortels… Vous êtes le plus fort, soyez vainqueur…
433   IV,     164|           dirent les matelots… Vous êtes le dernierchacun a regagné
434   IV,     Epi|      illustre maître.~ ~ ~– Et vous êtes mon jeune praticien, dit
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