Tome,  Chap.

  1    I,       6|                dans ma progéniture. La sœur est un ange et le frère
  2    I,       9|                respecte à l’égal d’une sœur ?~ ~ ~– Oui, je le sais.~ ~ ~ ~
  3    I,      12|                       Alors parlez, ma sœur Anne.~ ~ ~– Je vois venir
  4    I,      13|              ne ressemblait point à sa sœur, quoiqu’il fût aussi beau
  5    I,      13|              père ; tu es surprise, ma sœur, dit-il, après les avoir
  6    I,      13|               voir votre père et votre sœur.~ ~ – Mon père ! ma sœur !…
  7    I,      13|               sœur.~ ~ – Mon père ! ma sœur !… Comment, Votre Altesse
  8    I,      14|          Claire-Andrée de Taverney, ma sœur.~ ~ ~ ~Le baron s’inclina
  9    I,      14|         Philippe de venir auprès de sa sœur.~ ~ ~ ~Quant au baron, il
 10    I,      14|         alternativement son père et sa sœur, essayant de deviner dans
 11    I,      15|    Marie-Thérèse, mon frère Joseph, ma sœur Caroline.~ ~ ~– Vos malheurs
 12    I,      16|         défendra le roi aux armées, la sœur servira la dauphine chez
 13    I,      16|               de son père, embrassa sa sœur et sauta en selle.~ ~ ~ ~
 14    I,      22|           ajouta-t-il s’adressant à sa sœur, qui venait de sauter à
 15    I,      22|            point.~ ~ ~ ~Le frère et la sœur reprirent leur conversation
 16    I,      22|          Balsamo.~ ~ ~ ~Le frère et la sœur se regardèrent. La sœur
 17    I,      22|                sœur se regardèrent. La sœur semblait dire :~ ~ ~– Ai-je
 18    I,      23|             est passé ce matin chez la sœur de madame la comtesse.~ ~ ~–
 19    I,      23|                vous avez dépêché votre sœur à Verdun ?~ ~ ~– Justement.
 20    I,      24|                dise quelques mots à ma sœur ? demanda Chon.~ ~ ~– Dis,
 21    I,      24|               de me ramener près de ma sœur, à laquelle j’avais promis
 22    I,      24|          dit-elle, si la douleur de la sœur l’a emporté sur la force
 23    I,      24|               serait dangereux pour sa sœur de pousser plus loin la
 24    I,      24|         querelle.~ ~ ~ ~Elle arrêta sa sœur par sa robe, et, allant
 25    I,      24|               dit-elle, l’amour que ma sœur porte au pauvre vicomte
 26    I,      24|       appartement de l’amie du roi. Sa sœur n’est pas comme lui ; elle
 27    I,      27|                qui, sous l’habit d’une sœur de la Miséricorde, ai vingt
 28    I,      28|            prie, sur la vertu de votre sœur ; on n’a jamais rien dit
 29    I,      28|                  Si cela conduit votre sœur en paradis, quel mal y voyez-vous ?
 30    I,      28|                     Voyons, parlez, ma sœur, parlez, dirent à l’envi
 31    I,      28|          Madame Adélaïde, ce que notre sœur Louise redoutait le plus
 32    I,      28|           Adélaïde. Je dis donc que ma sœur craignait fort les nouvelles
 33    I,      28|             motif de la retraite de ma sœur.~ ~ ~– Eh bien ! vous vous
 34    I,      29|           costume sous lequel Chon, la sœur bien-aimée et la confidente
 35    I,      29|            fait mander à Paris par une sœur, une nièce, une cousine
 36    I,      30|               ne l’ai vue.~ ~ ~– Ni sa sœur Chon ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~–
 37    I,      30|                       Non.~ ~ ~– Ni sa sœur Bischi ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~–
 38    I,      30|              ce pas rendre visite à ma sœur : daignez prendre une place
 39    I,      30|            oiseau.~ ~ ~– Merci pour ma sœur, dit tout bas Jean à M.
 40    I,      30|              comtesse de Béarn chez sa sœur.~ ~ ~ ~La conversation dans
 41    I,      30|        comtesse. Est-ce à madame votre sœur ?~ ~ ~– Oui, madame ; c’
 42    I,      30|            Barry était allé trouver sa sœur.~ ~ ~– Est-ce elle ? demanda
 43    I,      31|            écoute.~ ~ ~– Permettez, ma sœur, dit Jean demeuré debout,
 44    I,      31|             afin de pouvoir emmener ma sœur aux fêtes de Compiègne.~ ~ ~–
 45    I,      31|               d’être la marraine de ma sœur. De la part d’une femme
 46    I,      31|               dit Jean. Voyons, petite sœur, vous êtes bien intime avec
 47    I,      31|             parfaitement jouée, que ma sœur soit présentée par madame
 48    I,      31|              vicomte. Oh ! oui, petite sœur, je suis de votre avis.~ ~ ~–
 49    I,      31|                Béarn et revint vers sa sœur, tandis que la plaideuse
 50    I,      31|           courte.~ ~ ~ ~Le frère et la sœur regardaient par une fenêtre,
 51    I,      31|             des signes effrayants à sa sœur, qui ne le voyait pas.~ ~ ~–
 52    I,      32|             Chon, dit la comtesse à sa sœur en lui adressant un signe
 53    I,      35|          faisant signe au cocher de sa sœur d’arrêter court.~ ~ ~– Vite,
 54    I,      35|                présentera madame votre sœur. Que voulez-vous ! c’était
 55    I,      36|              Choiseul s’approcha de sa sœur et lui pressa le bras en
 56    I,      36|                 Nous allons voir notre sœur Louise à Saint-Denis ; elle
 57    I,      37|            comtesse.~ ~ ~– Oui, petite sœur. Il y a treize lés d’étoffe.
 58    I,      37|              la comtesse.~ ~ ~– Petite sœur, fit Jean, vous avez les
 59    I,      37|              arrivée, dit Dorée, et la sœur de madame la comtesse est
 60    I,      37|            donc, Jean ! cria Chon ; ma sœur pâme d’impatience.~ ~ ~–
 61    I,      38|            répondit M. de Choiseul, ma sœur est malade, et m’a chargé
 62    I,      39|             portière du carrosse de sa sœur ; celle-ci le reçut le visage
 63    I,      39|                     Eh bien ! c’est sa sœur.~ ~ ~– Ah ! fit madame du
 64    I,      39|               autant vous défier de la sœur que moi du frère.~ ~ ~–
 65   II,      40|                le rappelle, près de sa sœur, lui glissait tout bas à
 66   II,      40|                 Je vous montrerai à ma sœur : tâchez de lui plaire ;
 67   II,      40|               je veux communiquer à ma sœur. Veillez seulement à ce
 68   II,      40| aristocratico-philosophiques.~ ~ ~– Ma sœur est-elle donc arrivée ?
 69   II,      40|             être la première à voir ma sœur ; vous la préviendrez que
 70   II,      41|                sont ?~ ~ ~– Le roi, ma sœur et moi.~ ~ ~– Que faut-il
 71   II,      41|              le titre de sapajou de ma sœur ?~ ~ ~ ~Gilbert ne répondit
 72   II,      47|                pavé de son fer, que la sœur tourière, qui avait quitté
 73   II,      47|            Madame est formel.~ ~ ~– Ma sœur, j’ai à révéler à votre
 74   II,      47|               point d’argent.~ ~ ~ ~La sœur tourière parcourut d’un
 75   II,      47|             que je puis m’adresser, ma sœur.~ ~ ~– Je crois que vous
 76   II,      47|                et dans la voix, que la sœur, n’osant prendre sur elle
 77   II,      47|          porter.~ ~ ~– Je le dirai, ma sœur.~ ~ ~ ~Et la religieuse
 78   II,      47|                  Un instant après, une sœur converse parut.~ ~ ~ ~La
 79   II,      47|               dit, madame, répondit la sœur converse, que ce soir il
 80   II,      47|            Vous pouvez donc entrer, ma sœur, et, si vous venez d’accomplir
 81   II,      47|            soin ; soyez tranquille, ma sœur.~ ~ ~– Il est doux comme
 82   II,      47|            madame à sa chambre, dit la sœur converse à la sœur tourière.~ ~ ~–
 83   II,      47|              dit la sœur converse à la sœur tourière.~ ~ ~– Non, pas
 84   II,      47|          chapelle vous est ouverte, ma sœur, dit la religieuse en montrant
 85   II,      47|             sûreté ici ?~ ~ ~– Oui, ma sœur, sans doute. Notre maison
 86   II,      47|                  Qui, lui ? demanda la sœur.~ ~ ~– Personne, personne.~ ~ ~–
 87   II,      47|                d’elle.~ ~ ~– Venez, ma sœur, je vais vous y conduire.~ ~ ~–
 88   II,      47|        Saint-Denis sont bonnes, fit la sœur converse avec un sourire
 89   II,      48|                 le père était entre sa sœur et sa fille ; derrière venait
 90   II,      48|           bourgeoise, le bourgeois, sa sœur et sa fille, puis la servante,
 91   II,      49|           Taverney se retourna vers sa sœur.~ ~ ~– Qu’a-t-il donc fait,
 92   II,      50|                tout cela cependant, ma sœur, répondit la princesse avec
 93   II,      50|               possédait tout.~ ~ ~– Ma sœur, j’ai bien peur que ce démon
 94   II,      50|              le visage, je crus que la sœur infirmière me prodiguait
 95   II,      51|         coïncidence bizarre.~ ~ ~ ~Une sœur parut.~ ~ ~– Qui est là ?
 96   II,      51|                    Madame, répondit la sœur, un gentilhomme vient de
 97   II,      51|               obéit.~ ~ ~– Et vous, ma sœur, continua la princesse,
 98   II,      51|               ce gentilhomme.~ ~ ~ ~La sœur s’inclina et sortit.~ ~ ~ ~
 99   II,      51|                   Presque aussitôt, la sœur reparut. Derrière elle marchait
100   II,      51|           alliée, votre parente, votre sœur ?~ ~ ~– C’est ma femme.~ ~ ~–
101   II,      51|               vivement sa sonnette. Ma sœur ! ma sœur !~ ~ ~ ~La religieuse
102   II,      51|              sa sonnette. Ma sœur ! ma sœur !~ ~ ~ ~La religieuse qui
103   II,      51|           moins la petite porte, et la sœur infirmière resta seule près
104   II,      51|                  Dans les poches de la sœur tourière.~ ~ – Et où sont
105   II,      53|             justice et me donnerait sa sœur en récompense de ma gloire
106   II,      53|             père et mademoiselle votre sœur à Paris.~ ~ ~ ~Gilbert entendit
107   II,      53|             pavillon que sa mère et sa sœur ont habité l’année passée.
108   II,      54|             annoncé à son père et à sa sœur que La Brie et Nicole préparaient
109   II,      56|            comme tu voudras, dit-elle, sœur ou femme, vierge ou épouse,
110   II,      61|              passer dans le camp de sa sœur.~ ~ ~– En vérité, s’écria
111   II,      61|                après avoir embrassé sa sœur.~ ~ ~– Et Jean, pourquoi
112   II,      62|               perdre la tête.~ ~ ~– Ma sœur, dit Jean, ne nous donnons
113   II,      63|               avec eux ?~ ~ ~– Non, ma sœur Chon l’a ramassé sur la
114   II,      63|               contraire, plaisait à ma sœur, et elle eût aimé à le garder
115   II,      63|                 mon Dieu ! que dira ma sœur Jeanne ?~ ~ ~– Elle tient
116   II,      66|               se plaça aux pieds de sa sœur, qui appuya une de ses mains
117   II,      67|              autour de la taille de sa sœur, l’entraîna du côté de son
118   II,      68|               monsieur ; je cherche ma sœur, une belle jeune fille de
119   II,      68|         monsieur, je n’ai pas vu votre sœur.~ ~ ~ ~Et, sur cette foudroyante
120   II,      68|              ai pas encore retrouvé ma sœur.~ ~ ~– Votre sœur ?~ ~ ~–
121   II,      68|          retrouvé ma sœur.~ ~ ~– Votre sœur ?~ ~ ~– C’est là-bas, dans
122   II,      68|             Louis XV.~ ~ ~– Hélas ! ma sœur aussi est de province, monsieur.~ ~ ~–
123   II,      68|            blanc sous ces cadavres. Ma sœur avait une robe blanche.
124   II,      69|             Philippe responsable de sa sœur, c’était impossible : Philippe
125   II,      69|             naturellement  sauver sa sœur ; qu’il avait perdu peut-être
126   II,      69|          haletant, désespéré.~ ~ ~– Ma sœur est-elle ici ? cria-t-il
127   II,      69|              Philippe.~ ~ ~– Quoi ! ma sœur n’est point revenue ? demanda
128   II,      69|          adresse de mademoiselle votre sœur, et je l’avais fait transporter
129   II,      69|             tout cela finisse. Aide ta sœur à rentrer, Philippe.~ ~ ~ ~
130   II,      69|                 encore inquiet pour sa sœur, conduisit le médecin près
131   II,      69|                    Le sommeil de votre sœur est calme et pur comme celui
132   II,      72|          sollicitude de la santé de sa sœur.~ ~ ~ ~Gilbert, en garde,
133   II,      73|        Chapitre LXXIII~ Le frère et la sœur~ ~Gilbert entendait et voyait,
134   II,      73|        respires plus librement, pauvre sœur ?~ ~ ~– Oui, plus librement,
135   II,      73|                      Vous souffrez, ma sœur ? demanda Philippe en lui
136   II,      73|                en se rapprochant de sa sœur, pour donner plus d’importance
137   II,      73|                le temps, et vit que sa sœur avait  être conduite directement
138   II,      73|            joyeux :~ ~ ~– Merci, chère sœur, merci ; tous ces calculs
139   II,      73|            entier rétablissement de ta sœur, elle l’appellerait près
140   II,      73|              ne vous y trompez pas, ma sœur, dit Philippe tristement.~ ~ ~–
141   II,      73|                vers Philippe.~ ~ ~– Ma sœur, dit celui-ci, vous ne ferez
142   II,      73|              avait toujours eu pour sa sœur, et qui partit en effleurant
143   II,      76|                c’est elle et madame sa sœur, continua Jussieu mal à
144   II,      76|          éléments de tempête.~ ~ ~– Sa sœur, qui connaît Gilbert !~ ~ ~–
145   II,      76|              de moi !~ ~ ~ ~Chon et sa sœur se regardèrent en ricanant.~ ~ ~ ~
146   II,      76|                effleurer le pied de sa sœur avec un triomphant clin
147   II,      78|            demanda la jeune femme à sa sœur.~ ~ ~– Au contraire, commande
148   II,      81|         Donnez-moi de l’argent, petite sœur.~ ~ ~– Combien ? demanda
149  III,      85|              impératif encore.~ ~ « Ma sœur », dit la voix en tremblant
150  III,      85|                et la comtesse.~ ~ « Ma sœur, reprit la voix, rassurez-vous :
151  III,      86|              sire, à un frère et à une sœur de correspondre ?~ ~ ~–
152  III,      90|         comprenez-vous cela ?~ ~ ~– Ma sœur la puissance, d’Aiguillon
153  III,      90|               vienne un peu entamer ma sœur ! Je défie tout et tous !~ ~ ~–
154  III,      90|           comme Cléopâtre ou comme… ma sœur, je ne la crains plus… dès
155  III,      96| mythologiquement M. Jean du Barry à sa sœur.~ ~ ~ ~Les parlements, reste
156  III,     113|              son bras, venait après sa sœur ; il n’avait point assisté
157  III,     113|                       Jean avait vu sa sœur pâlie et effarée, et il
158  III,     114|                il pourrait parler à sa sœur.~ ~ ~ ~Andrée ouvrit donc
159  III,     114|        révélation suffisante.~ ~ ~– Ma sœur, dit Philippe, j’ai reçu
160  III,     114|               me faire ?~ ~ ~– Oui, ma sœur.~ ~ ~– Des adieux !~ ~ ~–
161  III,     114|               ses yeux.~ ~ ~– Ma chère sœur, ma bonne Andrée, s’écria
162  III,     114|               cependant, là-bas, chère sœur, dit tristement Philippe,
163  III,     114|            ingratitude envers Dieu, ma sœur.~ ~ ~– Oh ! non, grâce au
164  III,     114|                m’y briser.~ ~ ~– Chère sœur, bonne Andrée, dit Philippe
165  III,     114|                    C’est facile, chère sœur, dit Philippe en arrêtant
166  III,     114|            Nous ne sommes pas frère et sœur seulement par l’âme et le
167  III,     114|                ses larmes.~ ~ ~– Chère sœur, s’écria Philippe en voyant
168  III,     114|                incompréhensible, chère sœur, vous ne m’avez pas tout
169  III,     114|              votre départ.~ ~ ~– Chère sœur, c’est le baron, au contraire,
170  III,     114|                est une consolation, ma sœur.~ ~ ~– Le croyez-vous, Philippe ?
171  III,     114|               me voit jamais.~ ~ ~– Ma sœur, il m’a chargé de vous dire
172  III,     114|             midi.~ ~ ~– Eh bien, chère sœur, ce qui cause mon embarras,
173  III,     119|               fait transporter pour sa sœur ; il y avait, en outre,
174   IV,     129|                 Petite.~ ~ ~– C’est sa sœur. Écoute ce qu’elle va dire.~ ~ ~–
175   IV,     130|                est entré ?~ ~ ~– Votre sœur, comtesse. Est-ce cela ?
176   IV,     135|                  Oh ! oh !~ ~ ~– Et sa sœur encore plus loin.~ ~ ~–
177   IV,     137|            ressemblait à une amitié de sœur, baisa la main de sa protectrice
178   IV,     140|               avoir plus le bras de sa sœur, et son conseil presque
179   IV,     140|                 et surtout celui de sa sœur, qui avait tant promis de
180   IV,     140|               le mal pour le bien ; ma sœur aussi a toujours été bonne
181   IV,     140|                 oui, je comprends ; ma sœur est un peu hautaine, mais
182   IV,     140|        toujours, et s’ennuyant, pauvre sœur ! interrompit Philippe.~ ~ ~–
183   IV,     140|           dirai que mademoiselle votre sœur est bien malade.~ ~ ~– Bien
184   IV,     140|                       Bien malade ! ma sœur ! s’écria Philippe avec
185   IV,     140|            explosion ; bien malade, ma sœur ! bien malade ! et tu ne
186   IV,     141|          Chapitre CXLI~ Le frère et la sœur~ ~Philippe trouva sa sœur
187   IV,     141|              sœur~ ~Philippe trouva sa sœur couchée sur le petit sofa
188   IV,     141|           Gilbert lui avait dit que sa sœur était malade, de sorte qu’
189   IV,     141|             dans les souffrances de sa sœur.~ ~ ~ ~À cet aspect qui
190   IV,     141|            trouve malade ! Ah ! pauvre sœur, qu’as-tu donc ?~ ~ ~ ~Andrée
191   IV,     141|              cria Philippe. Ah ! chère sœur, vous souffrez, vous vous
192   IV,     141|            yeux toujours fixés vers sa sœur, qu’il quittait à regret.~ ~ ~ ~
193   IV,     141|             répondre ; il regardait sa sœur.~ ~ ~ ~Andrée se remit peu
194   IV,     141|          manquer, à moi.~ ~ ~– Ah ! ma sœur, ma sœur, vous ne vous êtes
195   IV,     141|                       Ah ! ma sœur, ma sœur, vous ne vous êtes plus
196   IV,     141|               en arrêtant doucement sa sœur ; vous ne m’avez pas encore
197   IV,     141|             oublié là-bas, même par ma sœur.~ ~ ~– Oh ! Philippe !~ ~ ~–
198   IV,     141|               qui vous en blâme, chère sœur ?~ ~ ~– Eh ! mais, le roi.~ ~ ~–
199   IV,     141|            Philippe, vous souffrez, ma sœur, de façon à effrayer des
200   IV,     142|        surveillant du coin de l’œil sa sœur, qui cherchait elle-même
201   IV,     142|               garde ! vous insultez ma sœur.~ ~ ~– Votre sœur ! Mademoiselle
202   IV,     142|          insultez ma sœur.~ ~ ~– Votre sœur ! Mademoiselle Andrée de
203   IV,     142|           Andrée de Taverney est votre sœur ?~ ~ ~– Oui, monsieur, et
204   IV,     142|              amant ou mari n’aimera ma sœur d’un amour plus profond
205   IV,     142|               rassuré sur l’état de ma sœur.~ ~ ~– Mais qui donc vous
206   IV,     142|                de Taverney était votre sœur. Mais, auparavant, avec
207   IV,     142|           menace. Je rentre près de ma sœur, je ne lui parlerai que
208   IV,     142|       promettez-moi de revenir chez ma sœur après votre visite à Son
209   IV,     142|            dauphine, j’irai voir votre sœur.~ ~ ~– Oh ! merci, merci.
210   IV,     143|          promettant de revenir chez sa sœur ?~ ~ ~ ~Cependant, lorsque
211   IV,     143|            aura effrayé.~ ~ ~– Non, ma sœur, dit Philippe ; le docteur
212   IV,     143|            Philippe prit la main de sa sœur et, la regardant tendrement :~ ~ ~–
213   IV,     143|             âme tout entière.~ ~ ~– Ma sœur, dit Philippe, depuis votre
214   IV,     143|               poitrine ; oui, ma douce sœur, les passions de la jeunesse
215   IV,     143|                    Philippe regarda sa sœur, se leva tout agité, et
216   IV,     143|                       Alors, voyant sa sœur rire et plaisanter sur cette
217   IV,     143|         explication, qu’il embrassa sa sœur comme ces martyrs qui confessaient
218   IV,     143|                avec mademoiselle votre sœur, comme je vous en ai donné
219   IV,     143|                laisser seul avec votre sœur.~ ~ ~ ~Ces mots, prononcés
220   IV,     143|               sombre.~ ~ ~ ~Puis, à sa sœur :~ ~ ~– Andrée, continua-t-il,
221   IV,     144|           pointe sur la poitrine de sa sœur.~ ~ ~– Bien, bien, tuez-moi !
222   IV,     144|              jetée autour du cou de sa sœur.~ ~ ~ ~Le jeune homme était
223   IV,     144|             maudire.~ ~ ~– Eh bien, ma sœur, reprit le jeune homme,
224   IV,     144|        remarqué de pareil.~ ~ ~– Chère sœur, cherche dans les circonstances
225   IV,     144|                le secret. Merci, chère sœur, merci ! Ah ! nous sommes
226   IV,     145|         Philippe se réconcilia avec sa sœur ; Gilbert le vit à genoux,
227   IV,     146|            moment où vous enlevâtes ma sœur du milieu des mourants et
228   IV,     146|            donc pas qu’il s’agit de ma sœur, de ma sœur que vous avez
229   IV,     146|               s’agit de ma sœur, de ma sœur que vous avez tenue évanouie
230   IV,     146|                bras, le 31 mai ; de ma sœur que vous avez conduite dans
231   IV,     146|               selon moi infâme ; de ma sœur, en un mot, dont je vous
232   IV,     146|              que j’avais insulté votre sœur ?~ ~ ~– Oui, lâche !~ ~ ~–
233   IV,     146|              que j’eusse insulté votre sœur ?~ ~ ~ ~Philippe hésita ;
234   IV,     146|                demande.~ ~ ~– C’est ma sœur elle-même, monsieur.~ ~ ~–
235   IV,     146|               Eh bien, monsieur, votre sœur…~ ~ ~– Vous alliez dire ?
236   IV,     146|            vérité, de vous et de votre sœur une bien triste idée. C’
237   IV,     146|               main, ou à épouser votre sœur, ce qui prouve qu’elle a
238   IV,     146|               point d’argent, et votre sœur restera fille.~ ~ ~– Alors,
239   IV,     146|              envers mademoiselle votre sœur, dans la nuit du 31 mai,
240   IV,     146|              Depuis, vous avez revu ma sœur.~ ~ ~ ~Balsamo hésita à
241   IV,     146|             bien, que j’aie revu votre sœur, qu’est-ce que cela prouve
242   IV,     146|             son tour Balsamo.~ ~ ~– Ma sœur !~ ~ ~– Comment le sait-elle,
243   IV,     146|              dans cette nuit que votre sœur ?…~ ~– À été déshonorée,
244   IV,     146|                  Déshonorée ?~ ~ ~– Ma sœur est mère !~ ~ ~ ~Balsamo
245   IV,     146|              trouve en ce moment votre sœur ?~ ~ ~– Là où vous l’avez
246   IV,     146|              sait, alors ?~ ~ ~– Votre sœur.~ ~ ~– Mais elle a refusé
247   IV,     146|               le dira, à moi.~ ~ ~– Ma sœur ?~ ~ ~– Si votre sœur accuse
248   IV,     146|               Ma sœur ?~ ~ ~– Si votre sœur accuse quelqu’un, la croirez-vous ?~ ~ ~–
249   IV,     146|       croirez-vous ?~ ~ ~– Oui, car ma sœur, c’est l’ange de la pureté.~ ~ ~ ~
250   IV,     146|            sera vous-même, quand votre sœur aura parlé.~ ~ ~ ~Un quart
251   IV,     147|              mai, vous aviez déposé ma sœur chez madame la marquise
252   IV,     147|               dans la chambre de votre sœur, monsieur.~ ~ ~– Écoutez,
253   IV,     147|                de la bouche même de ma sœur –, ce soir-là, dis-je, ma
254   IV,     147|                 ce soir-là, dis-je, ma sœur s’était couchée de bonne
255   IV,     147|                vous êtes monté chez ma sœur, continua Philippe s’animant
256   IV,     147|               dans la chambre de votre sœur, voilà tout ce que je puis
257   IV,     147|                vous dire ; c’est votre sœur qui, de son propre mouvement,
258   IV,     147|               grande part, c’est votre sœur qui est venue me trouver
259   IV,     147|             lui dis que la santé de ma sœur m’a inquiété à ce point
260   IV,     147|         question vous allez poser à ma sœur ; épargnez-lui au moins
261   IV,     147|                bâtimentsloge votre sœur. Je n’ai, par conséquent
262   IV,     147|           esprit de mademoiselle votre sœur, cet effet ne se produira
263   IV,     147|          ordonner à mademoiselle votre sœur de tomber dans le sommeil
264   IV,     147|       quelconque, mais n’amenez pas ma sœur à un endroit découvert comme
265   IV,     148|                Philippe contemplait sa sœur avec une terreur mêlée de
266   IV,     148|           commencer à interroger votre sœur ?~ ~ ~– S’il vous plaît,
267   IV,     148|                Balsamo, regardez votre sœur.~ ~ ~– Je la vois, monsieur.~ ~ ~–
268   IV,     148|                je n’adressasse à votre sœur quelque indiscrète question,
269   IV,     148|                    Philippe regarda sa sœur en formulant une volonté
270   IV,     148|             Philippe, si tu y vois, ma sœur, raconte-moi en détail cette
271   IV,     148|          arriver à un but vulgaire. Ma sœur, répéta Philippe, racontez-moi
272   IV,     148|            misérable !~ ~ ~– Parle, ma sœur, parle.~ ~ ~– Ce verre contient
273   IV,     148|             jamais entré chez vous, ma sœur ?~ ~ ~– Jamais.~ ~ ~ ~Un
274   IV,     148|             comte.~ ~ ~– Continuez, ma sœur, continuez, dit Philippe.~ ~ ~–
275   IV,     148|             sortait de la bouche de sa sœur.~ ~ ~– Sauvée ! Andrée est
276   IV,     148|           jeune homme ; c’est de votre sœur qu’il faut vous occuper,
277   IV,     148|              oubliez ce qu’a dit votre sœur ?…~ ~– Qu’a-t-elle dit ?
278   IV,     148|                condamnés. Réveillez ma sœur, monsieur.~ ~ ~– Mais elle
279   IV,     148|              héroïsme :~ ~ ~– Rien, ma sœur, dit-il.~ ~ ~– Rien ?~ ~ ~–
280   IV,     148|                 allons, sois forte, ma sœur ; il y va de notre honneur
281   IV,     148|        Philippe se hâta d’embrasser sa sœur, car il suffoquait.~ ~ ~ ~
282   IV,     149|             Dieu merci, docteur, et ma sœur est une si digne et si honnête
283   IV,     149|           rendra pas l’honneur à votre sœur, au cas où vous tuerez le
284   IV,     149|               veux, non pas exposer ma sœur à l’abandon et à la mort
285   IV,     149|               des croisades, et que ma sœur est noble comme une infante
286   IV,     149|             assistance pour retirer ma sœur de Versailles, pour ensevelir
287   IV,     149|              du crime commis sur votre sœur. Donc, monsieur, je vous
288   IV,     149|            Vous resterez près de votre sœur, et vous me promettrez de
289   IV,     149|         expliquer l’innocence de votre sœur, c’est pour tous ces curieux
290   IV,     149|            misérable, si c’est pour ma sœur que je l’aurai tué ?~ ~ ~–
291   IV,     149|             vous. Alors j’emmènerai ma sœur en un coin quelconque de
292   IV,     149|          mission, retournez vers votre sœur, consolez-la, protégez-la.~ ~ ~–
293   IV,     150|             Philippe revint près de sa sœur, il la trouva bien agitée,
294   IV,     150|              ne s’était pas trompé, ma sœur.~ ~ ~ ~Andrée pâlit, et
295   IV,     150|              qui m’a perdue ?~ ~ ~– Ma sœur, vous devez l’ignorer éternellement.~ ~ ~–
296   IV,     150|              homme, Philippe.~ ~ ~– Ma sœur, ne parlons jamais de cela.~ ~ ~ ~
297   IV,     150|              attendant, repose-toi, ma sœur, de tous les chagrins, de
298   IV,     150|             dit-il avec un sourire. Ma sœur est pure, elle m’aime !
299   IV,     150|              confiance ni l’amitié. Ma sœur est jeune comme moi, bonne
300   IV,     150|            donc que je croie… ?~ ~– Ma sœur, dans les grandes infortunes,
301   IV,     150|              Respecte ton père… » O ma sœur, la plus forte preuve de
302   IV,     150|              mains d’Andrée :~ ~ ~– Ma sœur, il y a encore d’autres
303   IV,     150|              notre seule ressource. Ma sœur, nous ferons fondre les
304   IV,     150|               d’une nature étrange, ma sœur… elles font des taches sur
305   IV,     150|                 Je garde cet écrin, ma sœur, pour le rendre à qui de
306   IV,     150|     frissonnante de honte.~ ~ ~– Chère sœur, habillez-vous une dernière
307   IV,     150|               Moi, je vais à Paris, ma sœur, et je reviendrai vers ce
308   IV,     150|             Monsieur, dit Philippe, ma sœur et moi, nous allons prendre
309   IV,     150|                sourcil.~ ~ ~– Et votre sœur ?… Oublie-t-elle ses devoirs
310   IV,     150|                m’expliquerai donc : ma sœur s’en va parce qu’elle aussi
311   IV,     150|              où nous nous trouvons, ma sœur et moi.~ ~ ~– Je passe à
312   IV,     150|                       Je passe à votre sœur. Si, d’après mon système,
313   IV,     150|                pourraient entrevoir ma sœur, votre fille, dans quelques
314   IV,     150|              sans ma volonté.~ ~ ~– Ma sœur, dit Philippe, ne vous reverra
315   IV,     150|               de perles…~ ~ ~– À votre sœur, monsieur…~ ~ ~– À vous,
316   IV,     150|              ailleurs, peu importe… Ma sœur ne porte point de joyaux
317   IV,     151|           frère vous poursuivra, et la sœur vous fera tuer, reprit Balsamo,
318   IV,     151|                à ce frère d’épouser sa sœur ?~ ~ ~– Il me tuerait, répondit
319   IV,     154|             sans entrailles serait une sœur sans cœur, et m’enverrait
320   IV,     154|             paisible du frère et de la sœur.~ ~ ~ ~Philippe visita et
321   IV,     156|          maison qu’il habitait avec sa sœur. Déjà s’étaient éveillées,
322   IV,     156|               le jeune homme ; mais ma sœur sera bien heureuse de ce
323   IV,     156|             continua-t-elle, que votre sœur est malade ?~ ~ ~– Sinon
324   IV,     156|             Altesse s’intéressait à ma sœur… mais, maintenant…~ ~ ~–
325   IV,     156|              qu’on m’a dit ; or, votre sœur m’a rendu une seule visite
326   IV,     156|              hâta de dire Philippe, ma sœur ne regrette que Votre Altesse.~ ~ ~–
327   IV,     156|            Philippe ; la maladie de ma sœur est un profond chagrin qui
328   IV,     156|          relativement à ce désir de ma sœur.~ ~ ~ ~La dauphine leva
329   IV,     156|             Cependant, j’aime assez ma sœur pour que ce conseil ne soit
330   IV,     156|                par nécessité que votre sœur veut quitter le monde ?
331   IV,     156|                pas cela ; pourtant, ma sœur désire entrer au couvent
332   IV,     156|               ces paroles.~ ~ ~– Votre sœur entrera dès demain, si elle
333   IV,     156|            dernières explications ? Ma sœur accepte le bienfait de Votre
334   IV,     156|                moment. Monsieur, votre sœur peut, dès qu’il lui plaira,
335   IV,     156|          France, dit-il, le jour où ma sœur entrera dans le couvent
336   IV,     157|                préambule :~ ~ ~– Chère sœur, dit-il, avez-vous enfin
337   IV,     157|             sujet… de votre enfant, ma sœur.~ ~ ~ ~Andrée tressaillit.~ ~ ~–
338   IV,     157|                Aujourdhui même, chère sœur.~ ~ ~ ~Andrée devint si
339   IV,     157|              maudite !…~ ~– Andrée, ma sœur !~ ~ ~– Philippe, reprit-elle
340   IV,     157|        suppliait Philippe.~ ~ ~– Votre sœur a donné le jour à un fils,
341   IV,     157|               je vous dirais : « Votre sœur a donné le jour à un fils,
342   IV,     157|         dernières manifestations de sa sœur.~ ~ ~ ~Louis installa donc
343   IV,     158|            nouveau patronage.~ ~ ~– Ma sœur, ma sœur, me voici, dit
344   IV,     158|           patronage.~ ~ ~– Ma sœur, ma sœur, me voici, dit Philippe
345   IV,     158|                ce que tu veux dire, ma sœur ; personne…~ ~ ~– Oh ! je
346   IV,     158|              mère, se dit Philippe. Ma sœur, ma bonne sœur, nous sommes
347   IV,     158|            Philippe. Ma sœur, ma bonne sœur, nous sommes tous fous,
348   IV,     158|               tu me jures ?…~ ~– Chère sœur, tu n’es pas plus raisonnable
349   IV,     160|        paysanne qui filait.~ ~ ~– Oui, sœur Angélique, bien mignon,
350   IV,     160|                       Madame est votre sœur ? demanda Gilbert en désignant
351   IV,     160|         désignant la fileuse.~ ~ ~– Ma sœur, oui, monsieur, répliqua
352   IV,     160|                répliqua Madeleine ; la sœur de mon homme.~ ~ ~– Oui,
353   IV,     162|                qu’en ferez-vous, votre sœur étant au couvent ?~ ~ ~–
354   IV,     162|        Philippe entendit la voix de sa sœur qui criait :~ ~ ~– N’est-ce
355   IV,     162|             avais-je prédit ? »~ ~– Ma sœur, s’écria le jeune homme,
356   IV,     162|               écria le jeune homme, ma sœur, que dis-tu ?~ ~ ~– Ne m’
357   IV,     162|                créature.~ ~ ~– Oui, ma sœur, ajouta Philippe.~ ~ ~–
358   IV,     162|              explique-toi.~ ~ ~– Chère sœur, tu sais que j’ai passé,
359   IV,     162|            rougeur subite.~ ~ ~– Chère sœur !~ ~ ~– Je n’écoute plus
360   IV,     163|            vous plaît.~ ~ ~– Merci, ma sœur.~ ~ ~– Vous, docteur, reprit
361   IV,     163|             frère et, soutenue par une sœur converse, elle s’avança,
362   IV,     163|                trône. Je vous lègue ma sœur, pauvre fleur abandonnée,
363   IV,     164|             dire où est l’enfant de ma sœur ? Veux-tu me rendre cet
364   IV,     Epi|               fille pour son père, une sœur pour ses sœurs ; elle ressemblait
365   IV,     Epi|  Marie-Antoinette et Madame Elisabeth, sœur du roi. La lumière des flambeaux
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