Tome,  Chap.

  1    I,   IntII|           prosternant.~ ~ ~– Parlez, maître, dirent le président et
  2    I,  IntIII|           mon gouverneur, il fut mon maître ; il est encore mon ami,
  3    I,  IntIII|        univers. Je savais, quand mon maître m’y forçait, en m’imposant
  4    I,  IntIII|            mais encore avec ce grand maître qu’on appelle la nature.
  5    I,  IntIII|             année.~ ~ ~« Un jour mon maître vint me trouver dans la
  6    I,  IntIII|    vénération suprême dans mon digne maître, et cependant ma main trembla
  7    I,  IntIII|    triomphalement au palais du grand maître Pinto.~ ~ ~« Sans doute,
  8    I,  IntIII|               Pardon, très vénérable maître, interrompit le chef qui
  9    I,  IntIII|         cependant, le très vénérable maître m’excusera de lui parler
 10    I,  IntIII|         parler, très vénérable grand maître, j’ai vu une fille de Marie-Thérèse
 11    I,  IntIII|              mécontentement du grand maître.~ ~ ~– Parle, frère, dit
 12    I,  IntIII|         réussi, très vénérable grand maître, à me convaincre d’une vérité :
 13    I,  IntIII|            commencer, très vénérable maître. Si vous voulez faire les
 14    I,  IntIII|           fois, très vénérable grand maître, j’ai honte de notre loyauté.~ ~ ~–
 15    I,  IntIII|             cœur, car nous souverain maître des loges d’orient et d’
 16    I,  IntIII|     maintenant, au nom du père et du maître, retirez-vous, dit le chef
 17    I,       1|             secousse, il emporta son maître, qui disparut dans les ténèbres,
 18    I,       1|              tempête, et lorsque son maître, tout en le sifflant selon
 19    I,       1|          fâchez point contre Djérid, maître, dit le voyageur en détachant
 20    I,       2|      voyageur sourit.~ ~ ~– D’abord, maître, dit-il, nous ne traversons
 21    I,       2|          Borri.~ ~ ~– Eh bien ! cher maître, encore quelques secondes,
 22    I,       2|               De l’eau pure du ciel, maître ; il pleut à verse, ne vous
 23    I,       2|        merveille, il me semble, cher maître, dit Acharat.~ ~ ~– Sans
 24    I,       2|              est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, maître, soyez tranquille, je le
 25    I,       2|            roule-t-elle ?~ ~ ~– Non, maître, c’est le tonnerre.~ ~ ~–
 26    I,       2|             prévenir ?~ ~ ~– Pardon, maître, mais vous ne m’avez pas
 27    I,       2|            donc bien réellement sûr, maître ?~ ~ ~– Sans doute, puisque
 28    I,       2|         profondes de ses yeux.~ ~ ~– Maître, dit Acharat, votre feu
 29    I,       2|               Voyons, pardonnez-moi, maître, dit le jeune homme en tournant
 30    I,       2|                   Vous vous trompez, maître, c’est ce matin à six heures
 31    I,       2|             moins quelques instants, maître.~ ~ ~– Eh bien ! oui, je
 32    I,       2|                     Je vous le jure, maître.~ ~ ~– Dans deux heures ?~ ~ ~–
 33    I,       4|                     Non.~ ~ ~– Votre maître ?~ ~ ~ ~Le jeune homme tressaillit
 34    I,       4|              tressaillit à ce mot ce maître, et une vive rougeur colora
 35    I,       4|             Nicole, celle qu’appelle maître La Brie.~ ~ ~– C’est la
 36    I,       4|              désarmera peut-être ton maître.~ ~ ~ ~La Brie fit son annonce,
 37    I,       5|             à vous et qu’ils sont au maître de poste, cela vous doit
 38    I,       5|            la salle à manger. Holà ! maître La Brie, servez-nous comme
 39    I,       5|           précipita pour obéir à son maître.~ ~ ~– Je n’ai que ce laquais,
 40    I,       5|        Balsamo, quoique profondément maître de lui, comme on a déjà
 41    I,       8|           lâche quiconque n’est plus maître de son cœur. – Elle dort,
 42    I,       9|          accomplir la volonté de son maître, cette volonté fût-elle
 43    I,      12|             pieds.~ ~ ~– Notre jeune maître, fit La Brie avec un grognement
 44    I,      18|         connaîtrais-je aussi bien le maître que je me donnerais ?~ ~ ~ ~
 45    I,      20|             n’était pas encore assez maître de lui-même pour ne point
 46    I,      21|        annonçait qu’il attendait son maître.~ ~ ~ ~De temps en temps
 47    I,      21|              la fille de son avocat, maître Flageot, que je passais
 48    I,      21|              son tabac, prétendu que maître Flageot était le premier
 49    I,      21|               Pardon, madame, dit le maître de poste s’avançant sur
 50    I,      21|            le vicomte s’adressant au maître de poste.~ ~ ~– Dame ! mon
 51    I,      21|              deux.~ ~ ~– Vous savez, maître, dit le vicomte Jean en
 52    I,      21|       inquiéter de l’interruption du maître de poste, comme madame la
 53    I,      21|                 Vous dites ?… dit le maître de poste abasourdi.~ ~ ~–
 54    I,      21|            seulement un ! s’écria le maître de poste s’élançant entre
 55    I,      21|          personne ne bouge ! cria le maître de poste aux deux ou trois
 56    I,      21|        monsieur, songez-y, criait le maître de poste en suivant Jean,
 57    I,      21|            noirs, avancez !~ ~ ~ ~Le maître de poste s’élança sur les
 58    I,      21|         retint par le bras.~ ~ ~ ~Le maître de poste s’égosillait à
 59    I,      22|              apercevant Philippe, le maître de poste alla pour ainsi
 60    I,      22|                     Monsieur, dit le maître de poste.~ ~ ~ ~Et il désigna
 61    I,      22|          leur place, dit Philippe au maître de poste.~ ~ ~ ~Jean montra
 62    I,      22|              Ah ! justement, cria le maître de poste, voilà trois chevaux
 63    I,      22|       gentilhomme.~ ~ ~– Mais, notre maître…, dit le postillon.~ ~ ~–
 64    I,      22|             cher monsieur, criait le maître de poste, ne vous désolez
 65    I,      22|         musicales.~ ~ ~ ~Gilbert, si maître qu’il fût de lui-même, fit
 66    I,      24|              Est-ce que vous êtes le maître, vous ?~ ~ ~ ~Le roi sentit
 67    I,      24|              Demandez au roi, il est maître ici, monsieur le duc.~ ~ ~ ~
 68    I,      26|             après avoir maltraité le maître de poste, quand M. le chevalier
 69    I,      26|             suis-je fou ? Suis-je le maître ou ne le suis-je pas ?~ ~ ~ ~
 70    I,      28|            chiens qui sentaient leur maître.~ ~ ~– Sire, dit l’officier,
 71    I,      28|          regarde déjà comme à moitié maître et croit qu’il le sera tout
 72    I,      29|         connaissait depuis vingt ans maître Flageot ; elle l’avait été
 73    I,      29|            Petit-Lion, à la porte de maître Flageot.~ ~ ~ ~Ce ne fut
 74    I,      29|            ardeur de la route.~ ~ ~ ~Maître Flageot, lorsque sa servante
 75    I,      29|    Maintenant, madame, dit galamment maître Flageot, voulez-vous bien
 76    I,      29|             bien peur, madame.~ ~ ~– Maître Flageot !… s’écria la comtesse.~ ~ ~ ~
 77    I,      29|            tint prête à soutenir son maître.~ ~ ~– Maître Flageot, continua
 78    I,      29|           soutenir son maître.~ ~ ~– Maître Flageot, continua la comtesse,
 79    I,      29|             les temps :~ ~ ~– Voilà, maître Flageot, voilà ; c’est pour
 80    I,      29|     repousser le clerc, se jeter sur maître Flageot, lui arracher le
 81    I,      29|            qu’on dit donc là dedans, maître Flageot ?~ ~ ~– Ma foi,
 82    I,      29|            du billet.~ ~ ~– C’est de maître Guildou, notre procureur,
 83    I,      29|                Il m’invite, continua maître Flageot avec une stupéfaction
 84    I,      29|              plus.~ ~ ~– Madame, dit maître Flageot, tout abasourdi
 85    I,      29|               plaidée mardi. Ah çà ! maître Flageot, cette dame qui
 86    I,      29|                    Et cependant, dit maître Flageot, il n’y a pas à
 87    I,      29|             est probable.~ ~ ~– Ah ! maître Flageot, que me dites-vous
 88    I,      29|        parler devant César, répondit maître Flageot, qui ne trouvait
 89    I,      29|  vice-chancelier ?~ ~ ~– Madame, dit maître Flageot appelant, lui aussi,
 90    I,      29|            inquiétude :~ ~ ~– Adieu, maître Flageot, continua-t-elle ;
 91    I,      29|                     Oh ! madame, dit maître Flageot, ce n’est point
 92    I,      29|              vieille comtesse quitta maître Flageot et s’éloigna de
 93    I,      31|        visiteuse, la fausse fille de maître Flageot.~ ~ ~ ~Du Barry
 94    I,      32|      est-elle au jardin ?~ ~ ~– Non, maître, dit Zamore.~ ~ ~ ~Ce mot
 95    I,      32|            de Versailles.~ ~ ~– Non, maître, répondit encore Zamore.~ ~ ~–
 96    I,      32|       est-elle donc ?~ ~ ~– À Paris, maître.~ ~ ~– Comment, à Paris !…
 97    I,      32|             à Luciennes ?~ ~ ~– Non, maître, mais elle y a envoyé Zamore.~ ~ ~–
 98    I,      32|             cela, alors ?~ ~ ~– Oui, maître.~ ~ ~– Et elle n’a pas dit
 99    I,      32|        parquet crier sous les pas du maître, et se mit à blaireauter
100    I,      32|            jure foi et hommage à mon maître et à ma maîtresse, je jure
101    I,      32|              ce palais.~ ~ ~– Merci, maître, dit Zamore en se relevant.~ ~ ~–
102    I,      33|                 Mais qui donc est le maître, alors ?~ ~ ~– Dame ! sire,
103    I,      33|           tandis que nous souperons, maître Zamore rentrera-t-il de
104    I,      34|            ressentit de la gaieté du maître ; il avait cédé sur un point
105    I,      34|               pardieu ! Chon me dira Maître Corbeau pendant ce temps-là.~ ~ ~ ~
106    I,      35|           devez le penser. Je dois à maître Flageot quelque chose comme
107    I,      35|            ceci est l’indispensable. Maître Flageot est d’excellent
108    I,      35|              payer les honoraires de maître Flageot.~ ~ ~ ~Puis elle
109    I,      36|        duchesse.~ ~ ~– Le roi est le maître, dit Madame Adélaïde en
110    I,      36|           Grammont : « Le roi est le maître. »~ ~– Et j’ai répondu : «
111    I,      36|             le duc.~ ~ ~– Le roi est maître chez lui, c’est vrai ; mais
112    I,      37|             presque au même instant, maître Francian s’élança tout effaré
113    I,      37|          Sang bleu ! vous êtes passé maître, monsieur.~ ~ ~– Vous serez
114    I,      38|             cria l’huissier au grand maître des cérémonies.~ ~ ~– Madame
115   II,      40|            lui avait dit d’un ton de maître :~ ~ ~– Restez ici !~ ~ ~ ~
116   II,      41|           dit Chon, quand on sert un maître, ce maître assume sur lui
117   II,      41|          quand on sert un maître, ce maître assume sur lui toute responsabilité.~ ~ ~–
118   II,      41| responsabilité.~ ~ ~– Je n’ai pas de maître, grommela Gilbert.~ ~ ~–
119   II,      43|          avez eu querelle avec votre maître ? demanda timidement l’étranger,
120   II,      43|          boîte.~ ~ ~– Je n’ai pas de maître, monsieur.~ ~ ~– Mon ami,
121   II,      43|              homme, car chacun a son maître ici-bas, et ce n’est pas
122   II,      43|              dire : « Je n’ai pas de maître. »~ ~– Comment ?~ ~ ~– Eh !
123   II,      43|              vous aviez quitté votre maître à Versailles.~ ~ ~– Et moi,
124   II,      43|              que je n’avais point de maître, j’aurais pu ajouter qu’
125   II,      43|              qu’alors vous auriez un maître, vous qui n’en voulez pas
126   II,      46|           mansarde, je suis donc mon maître, c’est-à-dire, non, pas
127   II,      46|             Thérèse ; mais, toujours maître de lui, et tout en le convoitant,
128   II,      46|              Monsieur, vous êtes mon maître, puisque c’est chez vous
129   II,      48|          chanter, encouragée par son maître, qui la relayait au besoin.~ ~ ~ ~
130   II,      50|           signe eût été l’ordre d’un maître tout-puissant, le bandit
131   II,      55|       composait de trois chambres de maître.~ ~ ~ ~Mais un géomètre
132   II,      58|               et, d’après l’ordre du maître, alla se cacher sous les
133   II,      58|    monseigneur, ce soir.~ ~ ~– Votre maître vient de vous dire qu’il
134   II,      58|             de nom : je m’appelle le Maître.~ ~ ~– Oui, c’est le titre
135   II,      58|              hermétique. Ainsi donc, maître, vous m’attendiez ?~ ~ ~–
136   II,      59|        demanda-t-il. On étouffe ici, maître, la sueur me coule. Quel
137   II,      59|             diable me dites-vous là, maître ?~ ~ ~– La vérité.~ ~ ~–
138   II,      59|            été l’élève de l’un et le maître de l’autre.~ ~ ~ ~Et tandis
139   II,      60|              élève se trouva chez le maître.~ ~ ~ ~Cette nouvelle habitation
140   II,      60|          votre dernière combinaison, maître ?~ ~ ~– Oui, mais il y manquait
141   II,      60|            toi.~ ~ ~– Vous êtes fou, maître.~ ~ ~– Eh bien, quoi ? demanda
142   II,      60|                    C’était au Congo, maître.~ ~ ~– Eh bien, oui, c’était
143   II,      60|           mais malheureusement, cher maître, nous ne sommes pas au Congo.~ ~ ~–
144   II,      60|              est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, maître.~ ~ ~– Des conspirations
145   II,      60|  conspirations à ourdir ?~ ~ ~– Oui, maître.~ ~ ~– Tes affaires, enfin,
146   II,      60|              a deux façons de vivre, maître.~ ~ ~– Je n’en connais qu’
147   II,      60|        au-dessous de celle du chien, maître ?~ ~ ~– Dame ! les exemples
148   II,      60|         réponds pas ?~ ~ ~– Si fait, maître, je vous réponds que ce
149   II,      60|            sur ton cœur, réponds : « Maître, moyennant ces quatre millions
150   II,      60|         bonheur de l’humanité. »~ ~– Maître, dit Balsamo en éludant
151   II,      60|       Balsamo en éludant la réponse, maître, au nom du ciel, cherchez
152   II,      60|                    Vous vous abusez, maître, sur l’efficacité du moyen :
153   II,      60|          sourcils blancs.~ ~ ~– Non, maître, mais je réfléchis, moi
154   II,      60|              adepte.~ ~ ~– Oh ! oui, maître, invincible, infinie surtout.~ ~ ~–
155   II,      60|             ce que vous voulez dire, maître ; la mort est la mort.~ ~ ~–
156   II,      60|          Cela m’étonnerait beaucoup, maître, répondit Balsamo en souriant.~ ~ ~–
157   II,      60|         Acharat ?~ ~ ~– Oh ! je dis, maître, que vous êtes le plus savant
158   II,      60|            du moins, c’est possible, maître.~ ~ ~– Eh bien ! apporte-moi
159   II,      64|             Richelieu était un grand maître en pareille matière. M.
160   II,      66|              Philippe. Ces façons de maître étaient bonnes autrefois ;
161   II,      68|             dix-huit à dix-neuf ans. Maître de ses actions, il a voulu
162   II,      75|        bécasses, c’est plaire à leur maître ; les gens de toutes les
163   II,      76|            la nature…~ ~ ~– Mon cher maître, interrompit M. de Jussieu
164   II,      76|          hôte, pour protecteur, pour maître.~ ~ ~– Hypocrisie.~ ~ ~–
165  III,      83|               À ce dernier signe, le maître répondit par l’exhibition
166  III,      83|             Balsamo.~ ~ ~– De Rouen, maître.~ ~ ~– Que fais-tu ?~ ~ ~–
167  III,      83|         avoir pas de secrets pour le maître.~ ~ ~– Où vas-tu ?~ ~ ~–
168  III,      83|            dans l’office.~ ~ ~– Oui, maître.~ ~ ~– Il sait mon nom !
169  III,      83|              attendait les ordres du maître.~ ~ ~– Voilà la lettre,
170  III,      86|              ne fait pas jouer à son maître un rôle ridicule.~ ~ ~–
171  III,      87|             il est adroit ! C’est un maître. En ce cas, prenons garde
172  III,      89|             bien, il m’a dit que son maître était mis à la Guerre.~ ~ ~–
173  III,      89|              aussi spirituel que son maître, et bien plus armé que lui,
174  III,      89|            esprit. Rafté, voyant son maître si bien assuré, crut lui-même
175  III,      89|      présenta une longue liste à son maître, qui lut avec satisfaction
176  III,      89|              le secrétaire força son maître à passer dans le grand salon.~ ~ ~ ~
177  III,      90|              ne dit pas un mot à son maître, il le connaissait trop
178  III,      90|            choc était rude, et notre maître est malade ; soigne-le bien !~ ~ ~ ~
179  III,      91|           avec son architecte et son maître jardinier. On entendait
180  III,      91|           premier protecteur, de mon maître, de M. Rousseau.~ ~ ~– Bon
181  III,      91|           salle à manger, lorsque le maître d’hôtel paraîtrait, la dauphine
182  III,      91|         place considérable ; mais le maître d’hôtel, qui ne comptait
183  III,      92|             service improvisé que le maître d’hôtel plaça devant lui
184  III,      93|        conversation roulait entre le maître et la servante sur un point
185  III,      93|          serait bien temps que notre maître ne nous forçât pas, nous
186  III,      94|           compléter la pensée de son maître, et souvent même de penser
187  III,      94|           esclave au palais rentrait maître dans sa chambre des communs.~ ~ ~ ~
188  III,      96|        livrées du duc et prévint son maître.~ ~ ~ ~Le duc entra jusque
189  III,      96|                     Ah ! c’est vous, maître Flageot ! dit-il ; enchanté
190  III,      96|              procédure qu’il remit à maître Flageot en lui disant :~ ~ ~–
191  III,      96|              porte de l’antichambre, maître Flageot ravi du poids de
192  III,      97|               ce n’est pas l’avis de maître Flageot.~ ~ ~– Bon ! que
193  III,      97|                     Bon ! que dit ce maître Flageot ? et qu’est-ce que
194  III,      97|   monseigneur, ce sera le rat !…~ ~– Maître Flageot, alors !~ ~ ~– Il
195  III,      97|        verrons, Rafté, les moyens de maître Flageot.~ ~ ~– C’est ce
196  III,      98|            communiqua promptement au maître.~ ~ ~– Qu’est-ce encore,
197  III,      98|             tôt, ce me semble.~ ~ ~– Maître Rafté, vous êtes un niais.
198  III,      98|            visite à votre procureur, maître Flageot.~ ~ ~– Plaît-il ?
199  III,      98|              M. Flageot ! que diable maître Flageot a-t-il à faire en
200  III,      98|          irai-je, moi, faire chez un maître Flageot ?~ ~ ~– J’ai eu
201  III,      98|          vous dire, monseigneur, que maître Flageot était votre procureur.~ ~ ~–
202  III,      98|              pas, non pas… Bon quand maître Flageot était un simple
203  III,      98|            comme à partir de demain, maître Flageot est un Attila, un
204  III,      98|              qui m’arrivera chez ton maître Flageot ?~ ~ ~– J’en serais
205  III,      98|          tout de suite, une visite à maître Flageot demain. Ah ! l’adresse…
206  III,      99|        demandera sans doute pourquoi maître Flageot, qui va jouer un
207  III,      99|             peine d’en parler.~ ~ ~ ~Maître Flageot, prévoyant le moment
208  III,      99|           quelques arrangements avec maître Guildou, le procureur, qui
209  III,      99|          fois données. Voilà comment maître Flageot se trouva être procureur.
210  III,      99|             de M. de Choiseul.~ ~ ~ ~Maître Flageot depuis longtemps
211  III,      99|           son importance croissante, maître Flageot ne quitta pas la
212  III,      99|          respectée par les clercs de maître Guildou, passés au service
213  III,      99|                   Devant la porte de maître Flageot, le carrosse de
214  III,      99|              madame monte aussi chez maître Flageot ? demanda-t-il.~ ~ ~–
215  III,      99|        introduits dans le cabinet de maître Flageot, trouvèrent un homme
216  III,      99|       premier clerc.~ ~ ~– Mon Dieu, maître Flageot, qu’y a-t-il donc ?
217  III,      99|     Bernardet, un autre siège.~ ~ ~– Maître Flageot, dit la comtesse,
218  III,      99|              heure.~ ~ ~– Fort bien, maître Flageot, fort bien.~ ~ ~–
219  III,      99|             le duc, excusez-moi, dit maître Flageot ; mais vous êtes
220  III,      99|      comprendre…~ ~ ~– Je comprends, maître Flageot, je comprends.~ ~ ~–
221  III,      99|          quel procès je veux parler, maître Flageot.~ ~ ~– De votre
222  III,      99|            perdu ma confiance.~ ~ ~ ~Maître Flageot, frappé de cette
223  III,      99|             écria la comtesse.~ ~ ~ ~Maître Flageot leva les yeux au
224  III,      99|      occupera pas plus pour vous que maître Flageot…~ ~ ~– C’est donc
225  III,      99|                Pardieu ! croyez-vous maître Flageot assez bête pour
226  III,      99|                  Moi, je déclare que maître Flageot est un fort honnête
227  III,      99|          généreux, libéral ! s’écria maître Flageot ; j’en propagerai
228  III,      99|      Richelieu.~ ~ ~– Non, non pas ! maître Flageot, je vous en supplie…,
229  III,      99|        action… Ne me désobligez pas, maître Flageot ; je nierais, voyez-vous,
230  III,      99|             la grand-salle, répondit maître Flageot d’un air belliqueux
231  III,      99|          bras long, monsieur le ducMaître Flageot, faites-moi le plaisir
232  III,      99|           moi qui vous le dis.~ ~ ~ ~Maître Flageot tourna la tête avec
233  III,      99|              Encore une fois, adieu, maître Flageot, je vous laisse
234  III,     100|            êtes le roi, vous êtes le maître.~ ~ ~– Le roi, oui ; le
235  III,     100|                     Le roi, oui ; le maître, pas toujours.~ ~ ~– Sire,
236  III,     100|            rebelles que vous êtes le maître. Vous savez, sire, que le
237  III,     100|           Barry.~ ~ ~– Et montrer le maître, après avoir trop souvent
238  III,     101|          intrigues qui poussaient le maître à ce coup État~ ~ ~ ~La
239  III,     104|              tranché la tête de leur maître.~ ~ ~« Or, messieurs, vous
240  III,     105|             Le dernier resté près du maître fut Marat, le chirurgien.~ ~ ~ ~
241  III,     105|     puissance était illimitée.~ ~ ~– Maître, demanda-t-il, ai-je donc,
242  III,     105|             à l’extirper.~ ~ ~– Oh ! maître, dit Marat, vous avez de
243  III,     105|            Où vous verrai-je ?~ ~ ~– Maître, c’est à moi d’aller vous
244  III,     105|          engagement que vous prenez, maître ; j’habite une mansarde,
245  III,     105|                   Marat, à la vue du maître, rougit beaucoup plus qu’
246  III,     105|        amphithéâtre, si vous voulez, maître ; j’y ai désigné un sujet
247  III,     105|       croyiez.~ ~ ~– Un instant, mon maître, entendons-nous, et surtout
248  III,     105|          vilaine lame. Ce corps, mon maître, était celui d’une coquine
249  III,     105|                  Hélas ! hélas ! mon maître, c’est encore là une de
250  III,     105|              un rire amer. Et tenez, maître, vous avez en ce moment
251  III,     105|        maintenant.~ ~ ~– Un instant, maître, pas avant, je vous prie,
252  III,     105|               qui croyait prendre le maître en faiblesse, un jour quelque
253  III,     105|           notre profession celui-là, maître !~ ~ ~– Oui, monsieur ;
254  III,     105|           Bouchez bien vos oreilles, maître ! Bouchez-les, vous qui
255  III,     106|             escabeau, je vois que le maître a de beaux secrets.~ ~ ~–
256  III,     106|         Aussi, je suis fier de vous, maître, dit Marat.~ ~ ~– Et cependant,
257  III,     106|                    Inconnues à nous, maître, ces fonctions ne doivent
258  III,     108|          coup d’œil, les conseils du maître sont indispensables : il
259  III,     109|             respects qu’on y rend au maître ? Eh ! bonne femme, qui
260  III,     110|          solitaire, telle que jamais maître des cérémonies n’avait vu
261  III,     110|               profaner la musique du maître.~ ~ ~ ~Rousseau eût donné
262  III,     113|             chevaux, que le poids du maître se fît sentir dans la caisse
263  III,     113|         cette mesure.~ ~ ~– Voici le maître d’hôtel ; chut ! Donnez
264  III,     113|              accord, comme dit notre maître de ballet et comme semble
265  III,     115|        dignes de ceux que publie son maître.~ ~ ~ ~Gilbert, qui avait
266  III,     122|              atomes animés par Dieu, maître et seigneur de toutes choses,
267  III,     122|           tacite que lui donnait son maître, posant, avec cette délicatesse
268  III,     122|          demanda Balsamo.~ ~ ~– Oui, maître.~ ~ ~– T’es-tu informé ?~ ~ ~–
269  III,     122|              éperon au talon de leur maître.~ ~ ~ ~Fritz revint vers
270  III,     123|          coffre ?~ ~ ~– Parce que le maître du coffre ne s’en sépare
271  III,     123|           sépare jamais.~ ~ ~– Et le maître du coffre, cet homme plus
272   IV,     124|        passablement déguisée :~ ~ ~« Maître, il est temps de quitter
273   IV,     125|            Tuez-moi, vous en êtes le maître ; mais le bruit attirerait
274   IV,     126|             avec anxiété.~ ~ ~– Oui, maître, répondit le domestique,
275   IV,     127|            lâche, qui abandonnes ton maître !~ ~ ~ ~Balsamo, selon son
276   IV,     127|            assassines.~ ~ ~– Voyons, maître ; vous vous troublez la
277   IV,     127|            les autres ?~ ~ ~– Enfin, maître, repartit froidement Balsamo,
278   IV,     127|            elle-même !~ ~ ~– Allons, maître, dit Balsamo avec une inaltérable
279   IV,     127|              ami ?~ ~ ~– Je suis là, maître, je suis là ; voyons, répondez,
280   IV,     127|         allait mourir.~ ~ ~– Voyons, maître, lui dit alors Balsamo,
281   IV,     127|                     Vous savez bien, maître, que Lorenza n’est point
282   IV,     127|          homme !~ ~ ~– Je vous jure, maître, que Lorenza est chaste
283   IV,     127|              malheureux !~ ~ ~– Non, maître ; mais enfin, puisque vous
284   IV,     127|             jours.~ ~ ~– C’est bien, maître, dit Balsamo ; je verrai,
285   IV,     127|             je te poursuivrai.~ ~ ~– Maître, répondit Balsamo, prenez
286   IV,     127|                Je ne sais dire à mon maître que ce qui est vrai ; je
287   IV,     127|             amer.~ ~ ~– C’est ainsi, maître, dit Balsamo.~ ~ ~ ~Althotas
288   IV,     127|           Oui ou non ! dit-il.~ ~ ~– Maître, oui, si je trouve ; non,
289   IV,     127|        serviteur aurait eus pour son maître, qu’un fils dévoué aurait
290   IV,     129|              Fritz craignait que son maître n’eût pas entendu.~ ~ ~ ~
291   IV,     131|               dit-il.~ ~ ~– Eh bien, maître ? demanda Fritz comprenant,
292   IV,     131|             L’as-tu vue ?~ ~ ~– Non, maître.~ ~ ~– Elle n’est pas sortie ?~ ~ ~–
293   IV,     131|                  L’élève leva sur le maître un regard étonné.~ ~ ~ ~
294   IV,     131|       laisser voir de son trouble au maître, si peu indulgent pour les
295   IV,     131|             manquer à la fois.~ ~ ~– Maître, dit-il en cherchant un
296   IV,     131|              de dilater sa poitrine, maître, vous ne pouvez vivre ici ;
297   IV,     131|            vis, comme tu vois.~ ~ ~– Maître, maître, dit Balsamo de
298   IV,     131|         comme tu vois.~ ~ ~– Maître, maître, dit Balsamo de plus en
299   IV,     131|              fragile, Acharat.~ ~ ~– Maître, dit Balsamo en étendant
300   IV,     131|             doigt vers le vieillard, maître, vous avez du sang sur vos
301   IV,     131|              du sang sur vos mains ; maître, il y a du sang sur cette
302   IV,     131|            du sang sur cette table ; maître, il y a du sang partout,
303   IV,     131|         luisent comme deux flammes ; maître, cette odeur qu’on respire
304   IV,     132|             si grossier ait abusé le maître si sublime ? N’est-ce pas
305   IV,     132|          doute, Fritz savait que son maître était chez Althotas, car
306   IV,     132|     attendait.~ ~ ~ ~À la vue de son maître, il poussa un cri de satisfaction
307   IV,     132|             ordinaire, à prendre son maître par la main et à le conduire
308   IV,     132|             demanda-t-il.~ ~ ~– Oh ! maître, pour eux.~ ~ ~– Eux ?~ ~ ~–
309   IV,     132|      ensemble ?~ ~ ~– Ensemble, oui, maître ; et ils s’impatientent ;
310   IV,     132|        répondit Fritz en suivant son maître.~ ~ ~ ~Puis, au bas de l’
311   IV,     133|              il parut.~ ~ ~ ~Lui, le maître du logis, les ayant vus
312   IV,     133|              toi secondement, toi le maître, toi le grand cophte ; toi
313   IV,     134|             le scélérat a trompé son maître, il a joué comme un vil
314   IV,     134|            un piège à moi, à moi son maître, son bienfaiteur. Oh ! Acharat !… » ~ ~
315   IV,     135|             car lui aussi, comme son maître, regardait parfois dans
316   IV,     137|           que la leçon d’un si grand maître donnée en présence même
317   IV,     140|             à peu, l’esprit redevenu maître de lui-même avait secoué
318   IV,     140|        jardinier reconnut son ancien maître.~ ~ ~ ~De son côté, Philippe
319   IV,     143|              fut parvenu à se rendre maître de sa raison, il se dirigea
320   IV,     146|              veux, dit-il, parler au maître du logis, au comte de Fœnix,
321   IV,     146|        pourtant que je parle à votre maître ce soir.~ ~ ~– Je doute
322   IV,     146|        attendant, allez dire à votre maître…~ ~ ~– Mais j’ai l’honneur
323   IV,     146|          appliquer à moi, dont votre maître ne pouvait prévoir la visite,
324   IV,     146|              barrière en face de son maître, qui, debout sur les degrés
325   IV,     146|            épieu et, sur un signe du maître, le déposa dans un angle
326   IV,     146|            comme pour demander à son maître ses derniers ordres à l’
327   IV,     149|             porte et entra. Une fois maître de l’allée, il aperçut le
328   IV,     151|                ne craignez rien, mon maître et mon protecteur, dit Gilbert
329   IV,     151|             un homme que j’aime, mon maître ! s’écria Gilbert, et l’
330   IV,     151|              avais accusé, vous, mon maître, d’être moralement la cause
331   IV,     152|            le changer, ainsi que son maître, disait-il, l’en avait chargé.~ ~ ~ ~
332   IV,     155|             Balsamo se récria.~ ~ ~– Maître Gilbert, dit-il de sa voix
333   IV,     155|       cependant ni douleur ni joie ; maître Gilbert, il me semble que
334   IV,     155|             vingt mille livres à son maître.~ ~ ~– Tu es encore cette
335   IV,     159|           endroit, lequel s’appelait maître Niquet.~ ~ ~ ~Gilbert s’
336   IV,     159|            outre, entre les mains de maître Niquet, une certaine somme
337   IV,     159|           pour l’enfant.~ ~ ~ ~Alors maître Niquet, qui était possesseur
338   IV,     159|              sous les ombrages où le maître a exhalé des souhaits et
339   IV,     159|           joie fut donc grande quand maître Niquet, allant au-devant
340   IV,     159|            inspiré aucune défiance à maître Niquet ; il était d’assez
341   IV,     160|             fils d’un fermier de mon maître… un fermier ruiné… Mon maître,
342   IV,     160|        maître… un fermier ruiné… Mon maître, parrain de cet enfant,
343   IV,     160|     nourrisson dont a  vous parler maître Niquet, tabellion à Villers-Cotterêts.~ ~ ~ ~
344   IV,     160|             cet enfant au nom de mon maître. Je vois qu’il sera heureux
345   IV,     160|              par mois aux enfants de maître Niquet, de Villers-Cotterêts ?~ ~ ~–
346   IV,     160|              moi, je vous prie, chez maître Niquet ; je déposerai chez
347   IV,     161|             dix-huit ans. Jusque-là, maître Niquet ne devait fournir
348   IV,     161|             cinq cents livres.~ ~ ~ ~Maître Niquet devait jouir de l’
349   IV,     161|            de s’arracher des bras de maître Niquet, qui l’avait accompagné,
350   IV,     161|        mercenaires. Je puis avouer à maître Niquet que je suis son père,
351   IV,     162|             à tour sa maîtresse, son maître et le docteur.~ ~ ~– Çà !
352   IV,     Epi|            homme, c’est mon illustre maître.~ ~ ~– Et vous êtes mon
353   IV,     Epi|           avec ironie. Oh ! mon cher maître, vous ! un si puissant philosophe,
354   IV,     Epi|              en réchappera, mon cher maître ; seulement, cette fois,
355   IV,     Epi|         jeune homme, c’est vrai, mon maître.~ ~ ~– Louis XIV, continua
356  Bib         |             308 et 304 pp.~ ~ ~ ~40. Maître Adam le Calabrais.~ ~Paris,
357  Bib         |              vol. in-8.~ ~ ~ ~42. Le Maître d’armes.~ ~Paris, Dumont,
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