Tome,  Chap.

  1    I,  IntIII|          quand je sentis battre son cœur.~ ~ ~« C’était le chérif
  2    I,  IntIII|            ce qui se passe dans son cœur. Ainsi le tigre, lui aussi,
  3    I,  IntIII|            effacer le nom de roi du cœur de trente millions d’hommes,
  4    I,  IntIII|      lettres non seulement dans son cœur, mais sur son cœur, car
  5    I,  IntIII|         dans son cœur, mais sur son cœur, car nous souverain maître
  6    I,       4|    regardait tous ces mouvements du cœur reflétés sur le visage,
  7    I,       5|           de ses études.~ ~ ~– Sans cœur ! dit-il ; mais, au reste,
  8    I,       5|            remercie, et de tout mon cœur ; mais non, je me trompe.
  9    I,       6|           ce qui se passait dans le cœur de la coquette jeune fille,
 10    I,       7|             précisé à cet égard, le cœur avait déjà battu, et le
 11    I,       8|        entendre les palpitations du cœur de Gilbert, que celui-ci
 12    I,       8|            n’est plus maître de son cœur. – Elle dort, ô mon Dieu !
 13    I,       8|           insensé ; il crut, pauvre cœur aveuglé, qu’elle attendait
 14    I,       9|        chair et pénétré jusqu’à son cœur ; ses yeux se fermèrent
 15    I,       9|            l’on donne la liberté au cœur en même temps qu’au corps ?~ ~ ~ ~
 16    I,       9|           secoua la tête.~ ~ ~– Mon cœur est libre, dit-elle tristement.~ ~ ~ ~
 17    I,       9|            a pas de distance que le cœur ne franchisse, cette distance
 18    I,       9|            Parce qu’il est un noble cœur, lui, qui donnerait sa vie
 19    I,       9|           fille se recueillit ; son cœur battait à briser sa poitrine.~ ~ ~–
 20    I,      10|            échelle, et s’avança, le cœur palpitant, vers le château.~ ~ ~ ~
 21    I,      10|     troublés comme un homme dont le cœur bat trop vite, et que cette
 22    I,      10|               Gilbert la suivait le cœur déchiré. Cependant quoique
 23    I,      10|            et il lui sembla que son cœur se dérangeait dans sa poitrine.~ ~ ~–
 24    I,      10|          une erreur.~ ~ ~– De votre cœur ?~ ~ ~– De notre société.
 25    I,      10|             les mouvements de votre cœur… La sainte liberté consiste
 26    I,      10|              et vous frappiez votre cœur.~ ~ ~– Vous vous trompez,
 27    I,      10|           ce ne devait pas être mon cœur, mais ma tête. Le cœur n’
 28    I,      10|          mon cœur, mais ma tête. Le cœur n’est qu’une pompe foulante
 29    I,      10| Dictionnaire philosophique, article Cœur.~ ~ ~ ~Et Gilbert se redressa
 30    I,      10|           semble que c’est avec mon cœur et non avec ma tête que
 31    I,      10|           est fidèle à celui que le cœur a choisi. Vous vous rappelez
 32    I,      10|         dessein bien arrêté dans le cœur de Gilbert, c’était de rompre
 33    I,      11|     violemment, retombaient sur son cœur, corrosives comme des gouttes
 34    I,      11|         toutes les blessures de son cœur ! Certes, Nicole était une
 35    I,      11|         honneur d’habiter son petit cœur de dix sept ans.~ ~ ~ ~Au
 36    I,      12|            je voudrais, de tout mon cœur, vous le prouver en vous
 37    I,      13|          donnait à cette réunion le cœur de la chaste enfant.~ ~ ~ ~
 38    I,      13|          vie s’était retirée en mon cœur, que je sentais battre avec
 39    I,      13|         pressentiment me troubla le cœur à ces mots.~ ~ – En route ?
 40    I,      14|     comprendre ces mystères, si son cœur ne les lui eût déjà fait
 41    I,      15|             suis bonne Française de cœur, mais pas encore d’esprit,
 42    I,      15|             voulu dire reine par le cœur et par l’esprit, et cependant…~ ~ ~–
 43    I,      17|      dit-elle, vous êtes un mauvais cœur ou tout au moins un mauvais
 44    I,      18|         comme tu le plains, méchant cœur ! dit Andrée.~ ~ ~– Oh !
 45    I,      18|           adieu, sois maudite ! Mon cœur bondit de joie et se sent
 46    I,      24|           qu’il vous porte dans son cœur. C’est un galant homme après
 47    I,      25|             comme le battement d’un cœur qu’un habile médecin rend
 48    I,      25|      soupçon venait de le mordre au cœur, un souvenir à peine saisissable
 49    I,      27|          rappelait qu’elle avait un cœur. Et chaque jour elle le
 50    I,      27|            resta calme, quoique son cœur fût réellement troublé.~ ~ ~–
 51    I,      27|           qu’au moment de partir le cœur vous manquerait. Vous ne
 52    I,      27|           le silence, Dieu parle au cœur de l’homme ; et dans la
 53    I,      27|          solitude, l’homme parle au cœur de Dieu.~ ~ ~– Mais vous
 54    I,      27|           père ; elle rafraîchit le cœur, elle est douce aux forts
 55    I,      27|              je prierai de tout mon cœur, pour le roi, pour mes sœurs,
 56    I,      27|            aime avec l’énergie d’un cœur que nulle passion n’a encore
 57    I,      27|            vous venez de briser mon cœur.~ ~ ~ ~Louise de France
 58    I,      27|           ans, me surchargeaient le cœur. Le fardeau m’étouffait.
 59    I,      28|             et filles~ ~Ont tous le cœur débile~ ~Et poussent des
 60    I,      30|           sans se faire prier ; son cœur nageait dans la joie et
 61    I,      31|        vieille avec un serrement de cœur qui lui fit apercevoir les
 62    I,      31|      tombassent sur quelque mauvais cœur, qui, gagné par un intérêt
 63    I,      32|           La main lui tremblait, le cœur lui battait.~ ~ ~ ~Louis
 64    I,      32|        enfant posa une main sur son cœur, l’autre dans les mains
 65    I,      32|           froid lui monter jusqu’au cœur. Vous partez, sire ?~ ~ ~–
 66    I,      33|           de vous aimer de tout son cœur, lui.~ ~ ~– Ah ! sire, pourquoi
 67    I,      35|          mon huile ?~ ~ ~– De grand cœur, madame. Vous l’avez donc
 68    I,      35|         comtesse.~ ~ ~– De tout mon cœur, madame.~ ~ ~– Je suis sûre
 69    I,      35|           qu’à son arrivée, mais le cœur légèrement serré de n’avoir
 70    I,      37|        caressent, et de l’autre, un cœur percé d’une flèche. Le tout
 71    I,      37|            rentrer l’espoir dans le cœur de Chon et de Jean.~ ~ ~–
 72    I,      38|       bienveillance magnanime : son cœur débordait de joie et n’avait
 73   II,      40|          certaine sympathie dans le cœur de Gilbert. Cela venait
 74   II,      43|           lire jusqu’au fond de son cœur.~ ~ ~– Non pas, lui dit-il,
 75   II,      44|             dans la ville.~ ~ ~ ~Le cœur du jeune homme battait à
 76   II,      45|             fort ridicule, mais mon cœur la donne malgré moi. »6~ ~ ~ ~
 77   II,      45|     initiant à tous les mystères du cœur, rêves de l’adolescence
 78   II,      45|    étincelle du feu qui a brûlé son cœur en échauffant son génie…~ ~ ~–
 79   II,      45|            mais froid à l’œil et au cœur, tant le jour tamisé par
 80   II,      45|          remercie du profond de mon cœur.~ ~ ~ ~Et il se jeta sur
 81   II,      46|             porte pour écouter ; le cœur lui battait singulièrement.~ ~ ~ ~
 82   II,      46|          reconnu ?…~ ~ ~Gilbert, le cœur gonflé, ramassa le volume
 83   II,      46|      ardente passion qui brûlait le cœur du jeune homme ; seulement,
 84   II,      48|          dit le bourgeois, et si le cœur vous en dit…~ ~ ~ ~Il lui
 85   II,      49|           qui bouillonnait dans son cœur brisa son orgueil.~ ~ ~–
 86   II,      49|             qui lui eût traversé le cœur. Il eut un éblouissement,
 87   II,      49|             fois, il commanda à son cœur de cesser de battre, à son
 88   II,      49|             qui passa à travers son cœur et qui ressemblait à celui
 89   II,      50|           Dieu, et des lèvres et du cœur à la fois je lui dis :~ ~ –
 90   II,      50|       possession tout entière : mon cœur, mon âme, ma raison, le
 91   II,      50|            n’eût point oppressé mon cœur, l’amour n’eût point secoué
 92   II,      50|     beaucoup avaient un nom dans le cœur en invoquant le nom de Dieu.
 93   II,      50|        éprouvé se répandit dans mon cœur. Je me sentis tout entière
 94   II,      51|        pousser jusqu’au fond de mon cœur des pensées qui ne sont
 95   II,      51|            écria-t-elle, le coup au cœur ; il approche, il approche !~ ~ ~–
 96   II,      51|           éprouvai une commotion au cœur ; puis je le vis apparaître
 97   II,      52|         aussitôt cette main sur son cœur.~ ~ ~– C’est Lorenza, dit-elle.~ ~ ~–
 98   II,      52| balbutia-t-il.~ ~ ~– Je la sais par cœur.~ ~ ~– C’est une trahison
 99   II,      53|             fois ce n’était plus le cœur bondissant d’attente et
100   II,      53|            avait tout reçu en plein cœur, regards de mépris et paroles
101   II,      54|          appuyer à la muraille, son cœur battait comme s’il allait
102   II,      54|             Rousseau connaissait le cœur humain et savait le diapason
103   II,      54|        Gilbert, vous me déchirez le cœur, et, en vérité, vous me
104   II,      54|     analogies.~ ~ ~– Voilà un grand cœur ou un grand fourbe, se dit-il ;
105   II,      55|           serrer Balsamo contre son cœur.~ ~ ~ ~
106   II,      56|          toi-même, sonde ton propre cœur.~ ~ ~– Ah ! oui… Je comprends
107   II,      56|             Alors elle voit dans le cœur et dans l’esprit de Balsamo.
108   II,      56|          Dieu ! mon Dieu !~ ~ ~ ~Le cœur de la jeune femme s’oppressa,
109   II,      56|            lire à découvert dans le cœur des hommes pour les dominer
110   II,      56|           douleur de cette femme au cœur brisé.~ ~ ~– Hélas ! dit-il,
111   II,      56|          Tiens, tiens, lis dans mon cœur, je le veux, et dis encore
112   II,      59|         avec un joyeux battement de cœur.~ ~ ~– Moins que Votre Éminence,
113   II,      59|             magicien lit au fond du cœur et sait le contraire.~ ~ ~–
114   II,      59|         aussi clairement dans votre cœur ce qui s’y passe en ce moment,
115   II,      59|             qui se passe dans votre cœur ; car votre cœur est comme
116   II,      59|         dans votre cœur ; car votre cœur est comme un miroir qui
117   II,      60|       lève-toi, et, la main sur ton cœur, réponds : « Maître, moyennant
118   II,      60|        front, le regret te vient au cœur ?~ ~ ~– La sueur ne me monte
119   II,      60|           regret ne me vient pas au cœur, parce que j’estime la vie
120   II,      60|       paupières étaient closes, son cœur ne battait plus.~ ~ ~– Prends
121   II,      64|       vertus étant en germe dans le cœur de M. le dauphin, celle-là
122   II,      67|            Lorsqu’il sentit sur son cœur cette forme, cette beauté,
123   II,      67|            épais comme la mort : le cœur ne battait plus, les yeux
124   II,      67|           Soudain Gilbert sentit le cœur battre sous sa main.~ ~ ~–
125   II,      68|        comme un châtiment.~ ~ ~ ~Le cœur brisé, il s’éloigna des
126   II,      68|             et posa la main sur son cœur.~ ~ ~– Pauvre Gilbert !
127   II,      68|                  J’en suis sûr, son cœur bat.~ ~ ~– C’est vrai !
128   II,      69|         complètement éteint dans le cœur de l’homme. Le raisonnement
129   II,      72|            vide irréparable dans le cœur de la femme qu’il abandonnait,
130   II,      72|            de son cou, commença, le cœur palpitant, à escalader sa
131   II,      72|             Gilbert reflua vers son cœur.~ ~ ~ ~Une autre voix répondait
132   II,      72|        regarda, si heureux, que son cœur se fondait de joie ; si
133   II,      72|           si épouvanté, que ce même cœur se rétrécissait au point
134   II,      73|            des éblouissements et le cœur me manque.~ ~ ~– Oh ! dit
135   II,      73|             effroyable battement du cœur de Gilbert ; s’il était
136   II,      73|         valons mieux qu’eux ; notre cœur est plus pur et notre bras
137   II,      74|       furieusement son front et son cœur. Des flots embrasés circulaient
138   II,      74|    éternellement présent au fond du cœur.~ ~ ~ ~Gilbert voulut s’
139   II,      74|      pensées, pour analyser avec le cœur, avec l’esprit, avec tout
140   II,      76|             et mit une main sur son cœur qui débordait de joie après
141   II,      77|        comtesse, voilà un accroche- cœur qui se déroule. Ah ! votre
142   II,      77|             que Sa Majesté, dont le cœur est d’or, n’y put résister,
143   II,      78|          les choses que j’ai sur le cœur, moi. Tenez, sire, on assure
144   II,      78|         reproche frappa Louis XV au cœur ; il revint à la comtesse
145   II,      79|              avait pris l’affaire à cœur ; mais M. l’avocat général
146   II,      79|              Je l’ai gardé dans mon cœur, répliqua le ministre, sachant
147  III,      83|           une énorme place dans son cœur, sinon dans sa vie.~ ~ ~–
148  III,      83|        lisez donc une fois dans mon cœur, dans ce cœur qui vous aime
149  III,      83|         fois dans mon cœur, dans ce cœur qui vous aime au-dessus
150  III,      83|             le serai plongé dans le cœur.~ ~ ~ ~Balsamo, pâle et
151  III,      83|              et il appliqua sur son cœur la lettre du courrier, toute
152  III,      83|            femmes… Si nous avons un cœur, et dans ce cœur une fibre
153  III,      83|           avons un cœur, et dans ce cœur une fibre sensible, nous
154  III,      83|          femmes sans raison et sans cœur.~ ~ ~ ~Balsamo se laissa
155  III,      84|            que madame exerce sur le cœur.~ ~ ~– C’est vrai, dit le
156  III,      84|        léger froid à la nuque et au cœur.~ ~ ~– Oui, dit-il après
157  III,      85|          découvre la pensée dans le cœur des hommes ?~ ~ ~– Alors,
158  III,      87|        verriez toujours le valet de cœur aux genoux de la dame et
159  III,      87|             d’Aiguillon un homme de cœur.~ ~ ~ ~Il faut dire que
160  III,      87|     seulement, vous m’avez percé le cœur en me la présentant si douce
161  III,      87|            entré bien avant dans le cœur ; elle buvait à longs traits
162  III,      88|      occurrence, d’être un homme de cœur, et de jouer seul la partie
163  III,      88|            régénérer le sang de son cœur.~ ~ ~– Vous n’êtes pas une
164  III,      90|           embrasse ?~ ~ ~– De grand cœur.~ ~ ~– Ma foi, on a eu du
165  III,      90|           qui sentit au fond de son cœur rentrer l’espoir, cet hôte
166  III,      91|           fatiguée en venant de son cœur dont elle représentait chaque
167  III,      91|            une main crispée sur son cœur :~ ~ ~– Encore lâche ! se
168  III,      91|           avec son sang jusqu’à son cœur. En effet, un pareil honneur
169  III,      92|            incurable, tandis que le cœur de l’amante se refroidirait !~ ~ ~–
170  III,      93|            non sans un battement de cœur, à l’entrée du salon :~ ~ ~–
171  III,      93|        doute, dit Taverney, dont le cœur battait ; mais malheureusement
172  III,      94|             gens qui lisent avec le cœur, Andrée défiait le sort
173  III,      95|                 Il y avait assez de cœur et de sensibilité dans le
174  III,      95|        Majesté, en outre, a trop de cœur pour avoir remarqué ou critiqué
175  III,      95|           leurs soupirs, apprit par cœur ce qu’il entendit de leurs
176  III,      95|        Gilbert, pour se soulager le cœur de ce poids qu’avaient lancé
177  III,      97|             qui vous porte dans son cœur…~ ~ ~ ~Ici, Richelieu prêta
178  III,      97|           qu’elle me porte dans son cœur, cette chère comtesse ?
179  III,      97|           toi, elle te porte en son cœur, et c’est un solide appui.~ ~ ~ ~
180  III,      99|       madame, serviteur de tout mon cœur. Un siège à madame la comtesse
181  III,      99|           robe, on n’a pas moins un cœur.~ ~ ~ ~Et M. Flageot frappa
182  III,     102|          pas m’y jeter de gaieté de cœur.~ ~ ~ ~Et Rousseau reprenait
183  III,     102|            avec vos palpitations de cœur, avec votre petite toux
184  III,     102|          chaise ; Rousseau, dont le cœur battait fort, prit son habit
185  III,     103|           la nature et tous ceux du cœur humain ne saurait être impressionné
186  III,     104|        centre de l’Europe, comme le cœur au centre du corps ; elle
187  III,     104|            le médecin s’approche du cœur : j’ai ausculté, j’ai palpé,
188  III,     104|        autres encore, qui seront le cœur.~ ~ ~« Pénétrez-vous surtout
189  III,     105|            siège des sentiments, du cœur, qui est le centre de la
190  III,     105|             sa main et non avec son cœur, quoiqu’il sache bien, en
191  III,     105|        quoiqu’il sache bien, en son cœur, que, pour une souffrance
192  III,     105|             l’indifférence avec son cœur, que l’acier avec ses yeux.~ ~ ~ ~
193  III,     107|           porte ; Marat sentait son cœur battre si violemment, qu’
194  III,     107|      chambre, avec le doute dans le cœur et la rêverie dans les yeux.~ ~ ~ ~
195  III,     108|             livres qu’il savait par cœur.~ ~ ~– Ah ! bon Dieu ! dit-il
196  III,     108|           faites ce que votre grand cœur refuserait à des rois qui
197  III,     108|          grâce parfaite me gagne le cœur ; votre éloquence est irrésistible,
198  III,     108|          sait toutes vos œuvres par cœur, a dit devant sa cour qu’
199  III,     108|                On vous prend par le cœur, monsieur, répliqua M. de
200  III,     110|             et avec un serrement de cœur cette salle vide et son
201  III,     110|     folâtrait du plus joyeux de son cœur avec la maîtresse de son
202  III,     110|           conforme à l’esprit et au cœur de son auteur !~ ~ ~ ~Rousseau
203  III,     110|          Colette.~ ~ ~– De tout mon cœur, Monseigneur ; mais je n’
204  III,     110|          déposé un hameçon dans son cœur.~ ~ ~ ~Il voulut fuir.~ ~ ~–
205  III,     110|   souffrance du musicien ; après le cœur, l’oreille recevait son
206  III,     111|            au contraire, sentit son cœur se fondre de joie et caressa
207  III,     111|         trouver le roi, sentait son cœur transi et brûlé tour à tour
208  III,     112|         cher duc, merci de tout mon cœur.~ ~ ~– Un mot ; cache bien
209  III,     113|          elle impose des devoirs de cœur à quiconque vous sert. Elle
210  III,     113|         Sire, répondit Taverney, le cœur tout gonflé, le duc me semble
211  III,     114|                Puis tout à coup son cœur se brisa, ses traits se
212  III,     114|            de père. Tout ce que mon cœur a éprouvé de petits chagrins,
213  III,     114|       sentiment si nécessaire à mon cœur, qui, toujours refoulé dans
214  III,     114|           toujours refoulé dans mon cœur, le brise. – Mon père… Eh !
215  III,     114|       partissiez ou revinssiez, mon cœur n’était pas tout à vous,
216  III,     114|         fait sentir jusque dans mon cœur. Je suis donc triste, mais
217  III,     114|          lui et la pressant sur son cœur pour lire dans ses yeux.~ ~ ~–
218  III,     114|        savez tout, et vous avez mon cœur entre vos mains.~ ~ ~– Eh
219  III,     115|          suis resté, moi, et jamais cœur plus dévoué n’a battu pour
220  III,     115|         pourra penser, tant que mon cœur pourra battre, tant que
221  III,     115|          sang afflua aussitôt à mon cœur, à mes tempes, à mon cerveau ;
222  III,     115|      répondez ? balbutia Gilbert le cœur serré, les yeux éteints.~ ~ ~–
223  III,     115|                     O créature sans cœur, corps sans âme, je t’ai
224  III,     116|                Vous oubliez ceux du cœur, dit Taverney avec épanouissement ;
225  III,     116|   paternelle, il s’écria :~ ~ ~– Le cœur ! Hélas, mon cher, vous
226  III,     116|     tendresse que peut renfermer le cœur de mademoiselle. Que n’ai-je
227  III,     116|           même limon l’esprit et le cœur de M. de Taverney.~ ~ ~ ~
228  III,     117|             eût pénétré jusqu’à son cœur.~ ~ ~– Et sous quelle forme
229  III,     117|       connais si mal le monde et le cœur du monde. Allons, allons,
230  III,     117|       Lorenza, lisez mieux dans mon cœur. Vous donner une compagne,
231  III,     117|         point que vous me percez le cœur ? Quoi ! vous êtes malheureuse
232  III,     118|      monseigneur, et du fond de mon cœur je vous en remercie.~ ~ ~–
233  III,     119|         Vous ne me croyez pas, cher cœur ?~ ~ ~– Si fait, je vous
234  III,     119|          éveillés son esprit et son cœur. Chez elle, le souvenir
235  III,     119|       volonté déjà si forte dans ce cœur si jeune encore, elle versa
236  III,     120|          amour était entré dans son cœur.~ ~ ~ ~Tout à coup, le mystère
237  III,     120|            d’un fer rouge mordit le cœur de Gilbert et le fit se
238  III,     121|        réellement battait encore le cœur, quand main, pied et visage
239  III,     121|           la fois, il interrogea le cœur muet sous cette chair glacée
240   IV,     126|           avec la bouche ou avec le cœur. J’allais retourner à Luciennes,
241   IV,     127|             vois et je lis dans ton cœur, car je te juge et je te
242   IV,     127|          allaient son esprit et son cœur.~ ~ ~ ~Althotas souriait
243   IV,     128|            Là, Balsamo s’arrêta, le cœur gonflé de douloureuses pensées.~ ~ ~ ~
244   IV,     128|           qui m’aime !~ ~ ~ ~Et son cœur s’emplit d’un profond chagrin,
245   IV,     128|        mains qu’elle appuya sur son cœur.~ ~ ~– Mort ! dit-elle tout
246   IV,     128|             fermente au fond de mon cœur. J’aime cette femme, je
247   IV,     128|             puisque je lis dans ton cœur.~ ~ ~– Et jamais tu ne m’
248   IV,     128|         volonté, d’avoir trompé ton cœur ?~ ~ ~– Jamais, jamais !
249   IV,     128|             une tache noire sur ton cœur.~ ~ ~– Tu m’aimeras toujours,
250   IV,     129|           faisaient tressaillir son cœur, Lorenza les reproduisait
251   IV,     129|         Balsamo ; lis, lis dans mon cœur, chère Lorenza !~ ~ ~– Non,
252   IV,     129|             pense qu’à toi, avec le cœur, du moins ; vois un peu
253   IV,     129|           leur dit de n’avoir qu’un cœur à eux deux ! Ève est ressuscitée
254   IV,     129|       emportant le paradis dans son cœur.~ ~ ~ ~Balsamo se trompait :
255   IV,     131|     souvient, l’avait déjà mordu au cœur, vint chasser toutes les
256   IV,     131|         cachée, son effroi dans son cœur, et qu’elle se divertissait
257   IV,     131|             de son esprit et de son cœur, et sans songer à autre
258   IV,     131|      atmosphère épaisse et âcre, le cœur de Balsamo faiblit, sa tête
259   IV,     131|       lourds à mon cerveau et à mon cœur.~ ~ ~– C’est cela, dit le
260   IV,     131|         suis déjà aperçu ; tu as un cœur tendre et un cerveau très
261   IV,     131|        anéanti, frappé à la fois au cœur et au cerveau, il se renversait
262   IV,     134|        homme dont il avait brisé le cœur, et la peur le prit d’un
263   IV,     135|            introduisirent.~ ~ ~ ~Le cœur de Taverney battait avec
264   IV,     136|           œil éveillé, la bouche en cœur, les bras en guirlande,
265   IV,     139|             comtesse.~ ~ ~– De tout cœur.~ ~ ~ ~M. d’Aiguillon et
266   IV,     139|             croyez pas que c’est le cœur qui me ramène ? s’écria
267   IV,     139|            me prend toujours par le cœur, moi ; et puis comment croire
268   IV,     139|            essayait d’égratigner le cœur de son neveu avec les ongles
269   IV,     140|             d’une voix puissante au cœur du jeune homme.~ ~ ~ ~Mais
270   IV,     140|        inspire toujours un homme de cœur.~ ~ ~ ~En conséquence, à
271   IV,     140|          Gilbert douloureusement au cœur ; il répondit d’une voix
272   IV,     140|           deviner avaient amolli ce cœur farouche ; oui, je vous
273   IV,     141|          courir un frisson dans son cœur, Philippe ne put retenir
274   IV,     141|           et le sang s’est porté au cœur, voilà tout.~ ~ ~– Mais
275   IV,     141|        serra la jeune fille sur son cœur.~ ~ ~ ~Au même instant,
276   IV,     142|             qui est restée dans mon cœur comme la lame brisée d’un
277   IV,     142|            voyez que je me ronge le cœur devant vous ; vous voyez
278   IV,     142|            Je le désire de tout mon cœur, monsieur, et, si je me
279   IV,     143|            blâmasse jamais si votre cœur renfermait une affection
280   IV,     143|          dans un âge, Andrée, où le cœur des jeunes filles leur parle
281   IV,     143|           sûr pour me montrer votre cœur envahi par l’amour.~ ~ ~–
282   IV,     143|             honte à peser sur votre cœur, alors, ne vous en prenez
283   IV,     143|       battre d’un mouvement égal le cœur d’Andrée sur son cœur, se
284   IV,     143|            le cœur d’Andrée sur son cœur, se dit qu’un mois d’absence
285   IV,     143|    praticien philosophe, l’homme de cœur s’était ému et, depuis les
286   IV,     143|            l’enfer de moins dans le cœur.~ ~ ~ ~Le docteur prit la
287   IV,     144|         sentait bien au fond de son cœur quelque émotion de l’espèce
288   IV,     144|           rien ne me l’arrachera du cœur. Je le regrette vivement,
289   IV,     144|              mais tu es si noble de cœur et de pensée, que tu dois
290   IV,     144|                 Le battement de son cœur indiquait seul la vie ;
291   IV,     144|          clair jusqu’au fond de ton cœur. Oui, tu es pure, innocente,
292   IV,     144|           pressa tendrement sur son cœur et, emporté par la fougue
293   IV,     145|             aux yeux de Gilbert, le cœur de celui-ci bondissait,
294   IV,     145|              Alors il lui venait au cœur, il ressentait une des plus
295   IV,     145|          puis Gilbert se savait par cœur : une figure remarquable,
296   IV,     146|            qu’il remuait au fond du cœur de cet homme.~ ~ ~ ~Cependant,
297   IV,     148|         elle craignait de briser le cœur du comte.~ ~ ~– Continuez,
298   IV,     149|           droit, je vous croyais un cœur intelligent ! Il me semblait
299   IV,     149|           esprit, arrêté dans votre cœur ?~ ~ ~– Arrêté, résolu !
300   IV,     150|            connaissez l’état de mon cœur… S’il fallait aimer celui
301   IV,     150|         jusqu’aux battements de son cœur dans cette molle étreinte,
302   IV,     150|         juge, après avoir manqué de cœur devant votre fils.~ ~ ~–
303   IV,     151|            patience d’ange, j’ai le cœur et la tête si malades, que,
304   IV,     151|            qu’une égratignure à mon cœur, et vous l’ouvririez comme
305   IV,     151|         doute, en ma tête et en mon cœur. Monsieur Rousseau, je vous
306   IV,     151|           esprit joint à un mauvais cœur.~ ~ ~– Monsieur Rousseau !~ ~ ~–
307   IV,     151|           réels et très graves, mon cœur, toujours jeune, semble
308   IV,     151|        autre côté, je punissais mon cœur par la perpétuité du remords.~ ~ ~–
309   IV,     151|      injuste. Eh bien, moi, j’ai un cœur qui résout la question,
310   IV,     151|           résout la question, et ce cœur me dit là, au fond de ma
311   IV,     151|           son frère est un homme de cœur que je crois peu entiché
312   IV,     151|        encore que tu es un homme de cœur, bien que tes actions soient
313   IV,     152|            qui était peut-être d’un cœur plus honnête qu’on ne le
314   IV,     152|            préparées, il arriva, le cœur dans un étau, sur le territoire
315   IV,     152|        jamais perdue, il sentit son cœur se briser et tomba presque
316   IV,     153|         était douce, et comment son cœur avait joyeusement battu
317   IV,     153|    douloureusement jusqu’au fond du cœur du jeune homme.~ ~ ~– Oh !
318   IV,     153|       mademoiselle, mais jamais mon cœur…~ ~ ~– Votre cœur ! votre
319   IV,     153|        jamais mon cœur…~ ~ ~– Votre cœur ! votre crime ! la fatalité !…
320   IV,     153|             quiconque lira dans mon cœur, et que j’apporte la réparation
321   IV,     153|           car vous ne voyez pas mon cœur ; que vous me méprisiez,
322   IV,     154|        frère, qui était un homme de cœur, et dont le premier mouvement
323   IV,     154|          broyer dans ses ongles ton cœur encore plein d’innocence
324   IV,     154|            tremblant, attiré par le cœur du côté de cette fenêtre,
325   IV,     154|     entrailles serait une sœur sans cœur, et m’enverrait son frère
326   IV,     154|            va retenir à la fois mon cœur et mon bras… Oh ! ne plus
327   IV,     154|     peut-être, car c’est un mauvais cœur, cet enfant avec lequel
328   IV,     154|             aurai enfoncée dans ton cœurOui, oui, l’enfant ! J’
329   IV,     155|           mais vous m’avez gagné le cœur.~ ~ ~– J’en suis aise, dit
330   IV,     156|             Philippe revit, avec le cœur serré, tout ce Versailles
331   IV,     156|         promesses. Il revit avec le cœur brisé Trianon, souvenir
332   IV,     156|             qui est chagrin dans un cœur blessé.~ ~ ~ ~Plusieurs
333   IV,     156|             les autres, et déjà son cœur souffrait, lorsque la princesse,
334   IV,     156|       madame, dit Philippe, dont le cœur battait violemment, des
335   IV,     156|   malheureux ! Dieu leur a donné un cœur pour plaindre les infortunes,
336   IV,     156|            dans l’ombre un homme de cœur prie et se souvient !~ ~ ~ ~
337   IV,     156|         main, et lentement, avec un cœur gonflé, palpitant, y posa
338   IV,     157|            moi, j’ai l’esprit et le cœur aussi vierges que le corps…
339   IV,     157|         calme-toi ; n’égare pas ton cœur avec ton esprit. Cet enfant,
340   IV,     157|        courage !~ ~ ~ ~Philippe, le cœur gonflé, se précipita vers
341   IV,     158|             inquiète, et sentit son cœur tiré comme par un lien invisible
342   IV,     158|        attache, venait de souder le cœur de la mère au moindre mouvement
343   IV,     158|           avec toute l’énergie d’un cœur chaud et généreux.~ ~ ~ ~
344   IV,     158|        explosion qui dut briser son cœur, car de ses yeux, restés
345   IV,     158|         Andrée avec un battement de cœur ; mon frère serait-il déjà
346   IV,     158|             tu connaissais bien mon cœurOui, oui, sois tranquille,
347   IV,     159|            solide du ciel noir. Son cœur battait sur le manche de
348   IV,     160|              Cette vue lui brisa le cœur ; il fut obligé de s’enfoncer
349   IV,     160|             larme qui montait de ce cœur blessé à sa paupière.~ ~ ~ ~
350   IV,     161|            puis tout ! »~ ~ ~Et son cœur s’emplit peu à peu d’une
351   IV,     161|           dormit du meilleur de son cœur sans s’apercevoir que la
352   IV,     162|      tendresse joyeuse qui glaça le cœur du jeune homme.~ ~ ~– Eh
353   IV,     163|            fin de cette lecture, le cœur de Philippe se serra : le
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