Tome,  Chap.

  1    I,   IntII|       faites subir sont des jeux d’enfant, indignes d’occuper un instant
  2    I,       1|             En effet, sans être un enfant frivole et railleur, une
  3    I,       1|      enleva comme il eût fait d’un enfant, le lança à dix pas, sauta
  4    I,       4|           regard.~ ~ ~ ~C’était un enfant de seize à dix-sept ans
  5    I,       4|            saurai.~ ~ ~– Singulier enfant ! murmura le voyageur.~ ~ ~–
  6    I,       5|       Andrée ! Andrée ! viens, mon enfant, n’aie pas peur.~ ~ ~– Je
  7    I,       5|             au contraire, la chère enfant n’est pas assez coquette,
  8    I,       6|      figure avec celle de la fière enfant ; celle-ci le remarqua,
  9    I,       6|                   Alors vous étiez enfant ?~ ~ ~– Sans doute.~ ~ ~–
 10    I,      10|            légères.~ ~ ~ ~Gilbert, enfant d’un pays nuageux où les
 11    I,      10|      prescription de mes prières d’enfant. Si une fois je me jette
 12    I,      13|       réunion le cœur de la chaste enfant.~ ~ ~ ~Philippe prit la
 13    I,      13|         voilà que le caprice d’une enfant va le ressusciter terni,
 14    I,      15|            voir Votre Altesse tout enfant dans son pays natal, près
 15    I,      16|            ma mère.~ ~ ~– Oui, mon enfant, oui, c’est bien, dit le
 16    I,      16|            allons, du courage, mon enfant. Nous allons à la cour ;
 17    I,      16|           es belle à voir. Va, mon enfant, va.~ ~ ~ ~Andrée sortit
 18    I,      17|            en avoir besoin, pauvre enfant.~ ~ ~– Dame ! si mademoiselle
 19    I,      17|     regardait penser.~ ~ ~– Pauvre enfant ! soupira-t-elle, elle qui,
 20    I,      17|                Réfléchis bien, mon enfant.~ ~ ~– Oui, mademoiselle,
 21    I,      17|            ta vie ; réfléchis, mon enfant, il te reste une heure pour
 22    I,      18|           Confie-moi ton sort, mon enfant, et si quelque bonheur m’
 23    I,      19|           Gilbert.~ ~ ~ ~Le pauvre enfant avait payé six francs un
 24    I,      19|                 Voyons, mon pauvre enfant, lui dit-elle, soupez et
 25    I,      19|         donc écrasé, le malheureux enfant ?~ ~ ~– Ma foi ! madame,
 26    I,      19|                Pauvre fou ! pauvre enfant ! Pas un pas de plus. Arrêtez !
 27    I,      19|          je ne puis abandonner cet enfant dans un pareil état.~ ~ ~–
 28    I,      20|         rêver.~ ~ ~– Eh bien ! mon enfant, dit la dame après un instant
 29    I,      20|   emportées avec moi.~ ~ ~– Pauvre enfant ! mais pourquoi n’avez-vous
 30    I,      20|          fermés.~ ~ ~– Ah ! pauvre enfant, le voilà qui va se trouver
 31    I,      20|                  Bien répondu, mon enfant. Mais de quel travail ?
 32    I,      20|         manqué de respect.~ ~ ~– L’enfant dit vrai, s’écria la jeune
 33    I,      21|        bête comme elle aimerait un enfant.~ ~ ~– Je veux parler à
 34    I,      21|           doute, car ce malheureux enfant meurt de faim ; mais lestement,
 35    I,      22|            médecin pendant que cet enfant déjeunera, répondit Chon.~ ~ ~–
 36    I,      24|          Chon.~ ~ ~– Dis, dis, mon enfant. Pendant ce temps-là, je
 37    I,      27|         Des chagrins ! toi, pauvre enfant !~ ~ ~– De cruels, d’immenses,
 38    I,      27|            Vous vous égarez, chère enfant ; l’ascétisme vous perd.~ ~ ~–
 39    I,      27|       avenir.~ ~ ~– Ma fille ! mon enfant, dit le roi, tes craintes
 40    I,      27|         fait comme tu voudras, mon enfant, dit-il ; seulement, reçois
 41    I,      29|         sur ce tapis les yeux d’un enfant habile à venir chercher
 42    I,      29|       agissait bien de retrouver l’enfant qui pouvait jouer dessus ;
 43    I,      32|     supporte semblent des jouets d’enfant emballés dans une boîte
 44    I,      32|           ajouta Louis XV.~ ~ ~ ~L’enfant posa une main sur son cœur,
 45    I,      36|     princesse de Guéménée, j’ai un enfant malade, et je prends la
 46    I,      36|           chambre pour soigner mon enfant.~ ~ ~– Moi, dit madame de
 47   II,      43|            non comme on parle à un enfant. Quoique nous ayons été
 48   II,      43|              soyez tranquille, mon enfant, je ne suis pas assez riche
 49   II,      44|          est encore une joie qu’un enfant. Quant à la fange, vous
 50   II,      44|       étonnant de trouver, dans un enfant de cet âge, toute la fermeté
 51   II,      45|          madame de Warens, c’est l’enfant entrant dans la vie par
 52   II,      45|            dans le monde ; c’est l’enfant avec ses joies, ses espérances.
 53   II,      45|                  Au contraire, mon enfant, vous m’étonnez. La musique
 54   II,      46|           copié votre musique, mon enfant, répondit en souriant Jean-Jacques,
 55   II,      46|      philosophe de Genève ? Pauvre enfant, heureux enfant qui ignore
 56   II,      46|             Pauvre enfant, heureux enfant qui ignore la persécution !~ ~ ~–
 57   II,      46|          de vous.~ ~ ~– Merci, mon enfant, merci ; mais ce n’est pas
 58   II,      46|     rencontré, je vous étudie, mon enfant ; il y a en vous beaucoup
 59   II,      46|            et de bien naturel, mon enfant ; il est vrai que ce sont
 60   II,      46|            comme vous irez, pauvre enfant, en vous hissant sur la
 61   II,      46|           Allez à Saint-Denis, mon enfant.~ ~ ~ ~Puis, lorsque Gilbert
 62   II,      49|            réussir à Paris, pauvre enfant, sans argent, sans protection,
 63   II,      49|            a donné à Taverney, mon enfant ? Ton père et ta mère étaient
 64   II,      50|           procédons par ordre, mon enfant, dit Madame Louise essayant
 65   II,      50|          des bandits.~ ~ ~– Pauvre enfant ! dit Madame Louise, qui
 66   II,      50|         cette mauvaise pensée, mon enfant.~ ~ ~– J’aurais  tout
 67   II,      51|       toujours à ma puissance, mon enfant ; il est donc bien puissant,
 68   II,      51|          homme, rassurez-vous, mon enfant, vous serez protégée contre
 69   II,      51|              soyez tranquille, mon enfant, dit la princesse, dès aujourd 70   II,      51|         Mais remettez-vous, pauvre enfant, dit-elle ; fût-ce lui,
 71   II,      51|          Que faites-vous donc, mon enfant, que faites-vous ? s’écria
 72   II,      52|           homme, n’est-ce pas, mon enfant ? cédant à une force irrésistible
 73   II,      53|           avait manqué au généreux enfant, mais encore il n’avait
 74   II,      57|     frappez l’imagination comme un enfant, madame, dit Balsamo. Althotas,
 75   II,      57|        elle.~ ~ ~– Voyez-vous, mon enfant, continua Balsamo sans que
 76   II,      57|         une bonne mère enveloppe l’enfant volontaire qui a beaucoup
 77   II,      59|            se baissa, et, comme un enfant qui emporterait huit oranges,
 78   II,      60|      gouttes du sang artériel d’un enfant.~ ~ ~– Eh bien, mais cet
 79   II,      60|                  Eh bien, mais cet enfant, dit Balsamo épouvanté,
 80   II,      60|            Et vous voulez avoir un enfant pour prendre les trois dernières
 81   II,      60|                Mais il faut tuer l’enfant pour cela ?~ ~ ~– Sans doute,
 82   II,      60|         Congo. Il m’est égal que l’enfant soit noir, à moi. Ceux qu’
 83   II,      60|           de votre vie à élever un enfant, à essayer de lui apprendre
 84   II,      60|           vous savez, pour que cet enfant, à trente ans, vienne vous
 85   II,      60|            à ce que je disais, mon enfant, et que le premier pas est
 86   II,      60|            Eh bien ! apporte-moi l’enfant, alors.~ ~ ~– Laissez-moi
 87   II,      61|       madame la dauphine était une enfant et M. de Choiseul un vieux
 88   II,      62|           la peine, et cette belle enfant n’est pas de trop, au contraire.
 89   II,      64|  connaissez le dauphin comme votre enfant, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Oh !
 90   II,      64|      Majesté dans l’innocence de l’enfant qui étudie.~ ~ ~– Eh ! monsieur,
 91   II,      64|                 Eh ! monsieur, cet enfant n’étudie plus, il se marie.~ ~ ~–
 92   II,      67|           qui élevait en l’air son enfant, Gilbert regardait Andrée
 93   II,      68|             Non, monsieur, mais un enfant que j’avais presque adopté.~ ~ ~–
 94   II,      68|           pour moi-même. Le pauvre enfant rentrait d’ordinaire exactement,
 95   II,      68|           aura couru le malheureux enfant ! Un provincial tout ignorant,
 96   II,      68|             dit-il.~ ~ ~– Mon cher enfant ! soupira le vieillard.~ ~ ~–
 97   II,      68|       faudra bien qu’il soigne mon enfant ! s’écria le vieillard exaspéré.
 98   II,      68|              Non, mais à ce pauvre enfant, voyez !~ ~ ~– Ah ! vous
 99   II,      68|     commissionnaires qui prirent l’enfant entre leurs bras.~ ~ ~ ~
100   II,      69|            et pur comme celui d’un enfant, dit il. Laissez-la dormir,
101   II,      70|           Ce qui vous a sauvé, mon enfant, c’est que vous n’étiez
102   II,      70|          pouvoir coucher ce pauvre enfant.~ ~ ~– Où cela ?~ ~ ~– Mais
103   II,      70|                    C’est bien, mon enfant, nous vous transporterons
104   II,      70|             vous êtes froissé, mon enfant, bien froissé ; mais des
105   II,      70|          avec la satisfaction d’un enfant.~ ~ ~– Et vous, mon petit
106   II,      72|             j’irai voir si ce cher enfant ne manque de rien dans sa
107   II,      72|            mansarde.~ ~ ~ ~Ce cher enfant lui fit moins de plaisir
108   II,      72|       toute autre chose qu’au cher enfant.~ ~ ~ ~Toutefois, le temps
109   II,      73|            j’ai retrouvé le pauvre enfant.~ ~ ~– Parmi les morts ?
110   II,      73|           que je vous parle de cet enfant, c’est que j’ai retrouvé
111   II,      75|       Rousseau, impatient comme un enfant, se mit plus de vingt fois
112  III,      83|        Lorenza, lui disait-il, mon enfant chéri, pourquoi montrer
113  III,      92|            celle-ci, que la pauvre enfant, comme si elle eut été mise
114  III,      92|     rougeur, l’émotion de la belle enfant ; il revint aussi à Richelieu
115  III,      93|       disparaîtront. – Nicole, mon enfant, voudriez vous être à Trianon ?~ ~ ~–
116  III,      93|            duc.~ ~ ~– Va, ma belle enfant, fit Richelieu, et laisse-nous
117  III,      94|           Rafté, regarde-moi cette enfant.~ ~ ~ ~Rafté regarda.~ ~ ~–
118  III,      94|         dans ce fauteuil, ma chère enfant, dit-il, à côté de M. Rafté.
119  III,      95|         pouvez donc retourner, mon enfant.~ ~ ~– Oh ! mais, dit Nicole,
120  III,      95|     compassion d’Andrée.~ ~ ~– Mon enfant, dit-elle, ici l’on me sert,
121  III,      97|          en vérité…~ ~ ~– Tu es un enfant, duc. Ta position est magnifique :
122  III,      97|            succès absout, mon cher enfant. Suppose… – j’aime les apologues,
123  III,     106|            dame Grivette.~ ~ ~ ~Un enfant de sept à huit ans, maigre,
124  III,     106|        pauvre blessé, cet ignorant enfant du peuple, vous a dit, touchant
125  III,     110|          fredonna :~ ~ ~ ~C’est un enfant, c’est un enfant…~ ~ ~–
126  III,     110|            est un enfant, c’est un enfant…~ ~ ~– On dit que vous êtes
127  III,     112|                 Eh bien, la pauvre enfant n’a qu’à chercher un bon
128  III,     112|          songes-y, dit Taverney, l’enfant n’est pas si déraisonnable.~ ~ ~–
129  III,     112|         que c’est toi et non pas l’enfant qui parle ?~ ~ ~– Oh ! mais
130  III,     112|        avec son écrin, pareil à un enfant saxon qui se réveille avec
131  III,     114|           m’a bercée quand j’étais enfant ? C’est vous. Qui m’a protégée
132  III,     114|         suprême effort : la pauvre enfant n’avait plus de voix.~ ~ ~ ~
133  III,     115|    frémissante ; je suis le pauvre enfant du peuple Gilbert, qui a
134  III,     115|                   Qu’y a-t-il, mon enfant ? demanda-t-elle.~ ~ ~–
135  III,     116|            jouet que les yeux de l’enfant arrachent de leur poche
136  III,     116|            sommes en faveur, chère enfant. Il ne serait ni d’une sujette
137  III,     116|           d’Andrée :~ ~ ~– Voyons, enfant, dit-il, est-ce que votre
138  III,     116|            et d’ambition… Oh ! mon enfant, quel rôle vous pouvez jouer !…
139  III,     117|           j’aime à la voir. Pauvre enfant ! Allons.~ ~ ~ ~Alors il
140  III,     117|            le ferai, car la pauvre enfant est bien malheureuse dans
141  III,     117|            il me faut le sang d’un enfant ou d’une vierge ?~ ~ ~ ~
142  III,     117|          huit jours je n’ai pas un enfant ou une vierge pour achever
143  III,     118|      sortes de fredaines, ma belle enfant, et M. de Sartine envoie
144  III,     118|          ne te blâme pas, ma chère enfant ; d’ailleurs, j’aime les
145  III,     118|     soupçon.~ ~ ~– Eh bien, pauvre enfant, tu seras chassée alors ;
146  III,     118|                 Impossible, pauvre enfant ; et par qui, je te le demande ;
147  III,     118|    difficile ?~ ~ ~– Une besogne d’enfant.~ ~ ~– Ainsi, dit Nicole,
148   IV,     126|        avez pas envie de redevenir enfant.~ ~ ~– Vous êtes un homme
149   IV,     127|            il eût fait d’un hideux enfant ; voyons, répondez, vous
150   IV,     127|        pour son poids en argent un enfant chrétien qui tétait encore
151   IV,     127|            Althotas, renonçons à l’enfant, puisque tu aimes mieux
152   IV,     127|      puisque vous renoncez à votre enfant, dites, voyons, que vous
153   IV,     129|                 Et elle, la pauvre enfant, elle se tordait en vain
154   IV,     131|          point là la coiffure d’un enfant.~ ~ ~– Et qui t’a dit que
155   IV,     131|          qui t’a dit que ce fût un enfant que j’ai égorgé ? demanda
156   IV,     131|         votre élixir, le sang d’un enfant ? s’écria Balsamo. Voyons,
157   IV,     134|                  C’était son nom d’enfant : il espérait que c’était
158   IV,     134|           emporté Lorenza comme un enfant, ses longs bras se soulevaient,
159   IV,     137|            je l’ai grondée. Pauvre enfant, asseyez-vous, je le veux.~ ~ ~–
160   IV,     137|          duchesse, en vérité cette enfant est malade, elle perd connaissance.~ ~ ~ ~
161   IV,     137|         Vous avez, voyez-vous, mon enfant, vous avez ici quatre sortes
162   IV,     138|           respect du père envers l’enfant arrêta Taverney sur la pente
163   IV,     138|           avez guère soin de cette enfant.~ ~ ~– Madame…, balbutia
164   IV,     138|            voulez-vous dire, chère enfant ; tant pis pour moi, pour
165   IV,     138|       aviserai à cela. Voyons, mon enfant, donnez votre main à M.
166   IV,     138|          disent les consultants. L’enfant est-elle menacée, et la
167   IV,     138|          médecin. Dormez donc, mon enfant ; je vais vous envoyer quelqu’
168   IV,     139|        maréchal avec une naïveté d’enfant.~ ~ ~– Eh bien, dans les
169   IV,     140|    entendue et comprise du sauvage enfant.~ ~ ~– Tu ne me reconnais
170   IV,     140|          non ! répondit vivement l’enfant avec une expression que
171   IV,     141|        vous rappelez-vous qu’étant enfant, je m’avisai, à Taverney,
172   IV,     141|           écrases encore le pauvre enfant.~ ~ ~– Oh ! oui, prenez
173   IV,     144|            continua-t-il, non, mon enfant, je ne vous offense pas,
174   IV,     146|           crime. J’ai laissé cette enfant dans le sommeil magnétique.
175   IV,     148|            pour la pudeur de cette enfant ?~ ~ ~– Oh ! soyez tranquille,
176   IV,     149|      serait impossible ; la pauvre enfant a besoin de soins permanents,
177   IV,     150|           de ses bras cette pauvre enfant, sublime dans son ignorance
178   IV,     151|         tuer ; mais… mais, j’ai un enfant !~ ~ ~ ~Rousseau fit un
179   IV,     151|            vous le répète, j’ai un enfant.~ ~ ~ ~Rousseau le regarda
180   IV,     151|           pensée. J’ai engendré un enfant, monsieur, en commettant
181   IV,     151|           qu’un père abandonne son enfant ?~ ~ ~ ~Gilbert n’eut pas
182   IV,     151|       stupide ? Tu m’as parlé d’un enfant ? Tu m’as dit que tu étais
183   IV,     151|      est-ce assez pour nourrir son enfant ?~ ~ ~– Oui, c’est assez,
184   IV,     151|          vous pouvez nourrir votre enfant, dit Rousseau. Mais vous
185   IV,     151|         bien, cachez-vous ici, mon enfant ; le petit grenier est toujours
186   IV,     151|                  Prenez garde, mon enfant, s’écria Rousseau en le
187   IV,     151| remerciements à Balsamo, le pauvre enfant, déguenillé, s’y glissait
188   IV,     151|         pitié.~ ~ ~– Tu as raison, enfant, dit-il, c’est moi qui ai
189   IV,     152|       honnête comme le plus simple enfant des patriarches. Il oubliait
190   IV,     153|          monde que l’avenir de son enfant.~ ~ ~– Et moi, je ne suppose
191   IV,     153|         car je ne veux pas que cet enfant meure de faim, comme cela
192   IV,     153|          droit de m’occuper de mon enfant, jamais je ne le comprendrai.
193   IV,     153|          était juste ; mais, votre enfant, vous ne deviez pas le sacrifier.
194   IV,     153|            plus, je le donne à mon enfant ; tenez, voilà les trois
195   IV,     153|         erreur ; vous n’avez pas d’enfant.~ ~ ~– Moi !~ ~ ~– De quel
196   IV,     153|                Moi !~ ~ ~– De quel enfant parlez-vous donc ? demanda
197   IV,     153|        mère, c’est vrai ; mais mon enfant n’a qu’une mère, entendez-vous ?
198   IV,     153|            êtes pas le père de mon enfant !~ ~ ~ ~Et, saisissant les
199   IV,     154|        religion, celle qui nie à l’enfant son père, son soutien naturel,
200   IV,     154|         peut-être, attendu que cet enfant déshonore les entrailles
201   IV,     154|            tiendra par la main son enfant… son enfant, qui ne me connaîtra
202   IV,     154|            la main son enfant… son enfant, qui ne me connaîtra jamais…
203   IV,     154|            vers le ciel.~ ~ ~– Son enfant ! voilà tout le secret.
204   IV,     154|            elle possède jamais cet enfant, qu’elle habituerait à exécrer
205   IV,     154|            elle sache bien que cet enfant grandira dans l’exécration
206   IV,     154|            Andrée ! En un mot, cet enfant qu’elle n’aimerait pas,
207   IV,     154|           est un mauvais cœur, cet enfant avec lequel on me flagellerait
208   IV,     154|        aurai fui ; tu appelleras l’enfant, dusses-tu le déchirer si
209   IV,     154|         dans ton cœurOui, oui, l’enfant ! J’aurai l’enfant, Andrée ;
210   IV,     154|          oui, l’enfant ! J’aurai l’enfant, Andrée ; j’aurai, non pas
211   IV,     154|      Andrée ; j’aurai, non pas ton enfant comme tu dis, mais le mien.
212   IV,     154|          le mien. Gilbert aura son enfant ! fils noble par sa mère…
213   IV,     154|        fils noble par sa mère… Mon enfant !… mon enfant !…~ ~ ~Et
214   IV,     154|            mère… Mon enfant !… mon enfant !…~ ~ ~Et il s’anima insensiblement
215   IV,     155|         tuer.~ ~ ~– Bon ! mais son enfant ?~ ~ ~– Elle m’a dit que
216   IV,     155|               Elle m’a dit que son enfant était à elle, non à moi.~ ~ ~–
217   IV,     155|        leur destination.~ ~ ~– Ton enfant, je vois cela…~ ~ ~– Mon
218   IV,     155|            je vois cela…~ ~ ~– Mon enfant, oui, monsieur, répliqua
219   IV,     156|          et que, sans doute, cette enfant regrettait votre pays, quelque
220   IV,     156|         cela, vous qui aimez cette enfant ?~ ~ ~– Je crois juger sainement
221   IV,     157|                  Chapitre CLVII~ L’enfant sans père~ ~Le jour de douleur,
222   IV,     157|                 Au sujet… de votre enfant, ma sœur.~ ~ ~ ~Andrée tressaillit.~ ~ ~–
223   IV,     157|           pas bien que je hais cet enfant ?… Oh ! oui, je le hais !
224   IV,     157|          cœur avec ton esprit. Cet enfant, c’est ta vie et le sang
225   IV,     157|            de tes entrailles ; cet enfant, je l’aime, car il vient
226   IV,     157|        suis pas fausse ; je hais l’enfant parce qu’il n’est pas mon
227   IV,     157|          parce qu’il n’est pas mon enfant et que je ne l’ai pas appelé !
228   IV,     157|       parquet, je ne peux tuer cet enfant à sa naissance, c’est vous
229   IV,     157|             mon Dieu, reprenez cet enfant ! mon Dieu, tuez cet enfant !
230   IV,     157|        enfant ! mon Dieu, tuez cet enfant ! mon Dieu, délivrez moi !
231   IV,     157|           malade. Il voulait que l’enfant fût placé près de la mère,
232   IV,     157|         installa donc lui-même cet enfant dans la chambre de la servante,
233   IV,     158|        Philippe.~ ~ ~ ~Le cri de l’enfant lui frappa le cerveau comme
234   IV,     158|         Philippe, en éloignant cet enfant avec sa délicatesse accoutumée,
235   IV,     158|           Andrée, qui exécrait cet enfant invisible, cette idéalité,
236   IV,     158|       créatures vivantes ?~ ~ ~ ~L’enfant poussa un nouveau cri plus
237   IV,     158|           moindre mouvement de son enfant.~ ~ ~– Il ne faut pas, pensa
238   IV,     158|          robuste paysanne : déjà l’enfant ne gémissait plus.~ ~ ~–
239   IV,     158|          mère, qui prend soin de l’enfant ?… Pour quelques écus… l’
240   IV,     158|              Pour quelques écus… l’enfant sorti de mes entrailles
241   IV,     158|          vie lui causa la vie, cet enfant ne me regardera pas, et
242   IV,     158|            Marguerite, voyez… Cet… enfant doit avoir froid…~ ~ ~ ~
243   IV,     158|         recommandé qu’on laissât l’enfant là-bas… de peur, sans doute,
244   IV,     158|                   Apportez-moi mon enfant ! s’écria la jeune mère
245   IV,     158|              qui ?~ ~ ~– Madame, l’enfant n’est plus là !~ ~ ~– J’
246   IV,     158|        aies pas voulu emporter cet enfant sans que je l’eusse vu…
247   IV,     158|          tranquille, j’aimerai mon enfant.~ ~ ~ ~Philippe saisit et
248   IV,     158|            vous savez bien que cet enfant n’est plus là.~ ~ ~– Quoi ?
249   IV,     158|         Andrée à la vie.~ ~ ~– Mon enfant ? murmurait Andrée, mon
250   IV,     158|              murmurait Andrée, mon enfant !~ ~ ~– Sauvons la mère,
251   IV,     158|            bon docteur a emporté l’enfant avec lui.~ ~ ~– Le docteur !
252   IV,     158|            Comment veux-tu que cet enfant… ait pu disparaître ?~ ~ ~ ~
253   IV,     158|     craignait pour la santé de cet enfant, aura voulu l’emporter…
254   IV,     158|           homme !… s’écria-t-il. L’enfant a été enlevéMalheur !
255   IV,     159|      seigneur, voulant du bien à l’enfant d’une de ses paysannes,
256   IV,     159|         trouver une nourrice à cet enfant.~ ~ ~ ~Selon toute probabilité,
257   IV,     159|          une certaine somme pour l’enfant.~ ~ ~ ~Alors maître Niquet,
258   IV,     159|            qu’on allât découvrir l’enfant de Gilbert dans un de ces
259   IV,     159|            était dit Gilbert ; mon enfant grandira sous les ombrages
260   IV,     159|          résolutions. Soustraire l’enfant à une mère cruelle, c’est-à-dire
261   IV,     159|           déposer sur un berceau d’enfant une grosse somme ; être
262   IV,     159|         fauteuil ; et, cherchant l’enfant près de la mère, il ne le
263   IV,     159|            sur le visage du pauvre enfant, à qui la douleur arracha
264   IV,     160|           poussés par ceux à qui l’enfant avait été pris.~ ~ ~ ~Cependant,
265   IV,     160|     première partie de la route, l’enfant, soigneusement abrité par
266   IV,     160|         couvrir les plaintes que l’enfant commençait à faire entendre,
267   IV,     160|           que Gilbert emportait un enfant dans le cabriolet. Il arrêta
268   IV,     160|            répéta Gilbert.~ ~ ~ ~L’enfant baissa le menton sans articuler
269   IV,     160|        encore une fois Gilbert à l’enfant.~ ~ ~ ~Et celui-ci ayant
270   IV,     160|          paysanne allaitait un bel enfant de quelques mois, tandis
271   IV,     160|   agenouillé devant elle, un autre enfant, vigoureux gars de quatre
272   IV,     160|       témoigner de sa vigilance. L’enfant en prières se retourna,
273   IV,     160|           le berceau grossier de l’enfant campagnard le petit enfant
274   IV,     160|         enfant campagnard le petit enfant citadin qu’il avait apporté.~ ~ ~–
275   IV,     160|         bien simple, bonne dame. L’enfant que voici est fils d’un
276   IV,     160|         Mon maître, parrain de cet enfant, veut qu’il soit élevé à
277   IV,     160|    Voulez-vous vous charger de cet enfant ?~ ~ ~– Mais, monsieur…~ ~ ~–
278   IV,     160|        Madeleine saisit aussitôt l’enfant et lui donna le sein avec
279   IV,     160|            Je vous confie donc cet enfant au nom de mon maître. Je
280   IV,     160|         dit Gilbert avec fierté, l’enfant que voici vous payera vingt
281   IV,     160|                Mais monsieur, si l’enfant ne vivait pas ? objecta
282   IV,     160|         les autres années.~ ~ ~– L’enfant nous resterait ?~ ~ ~– Probablement.~ ~ ~–
283   IV,     160|            péniblementjamais son enfant,  ou à naître, ne devait
284   IV,     160|       expliqua que la pension de l’enfant devait être payée jusqu’
285   IV,     160|        crois que nous aimerons cet enfant, car il est mignon.~ ~ ~–
286   IV,     160|            soyez contents et que l’enfant puisse être heureux.~ ~ ~–
287   IV,     160|     nouveau venu au détriment de l’enfant de la maison.~ ~ ~ ~Il se
288   IV,     161|      éducation et d’entretien de l’enfant, comme aussi à lui former
289   IV,     161|              Ayant ainsi pensé à l’enfant, Gilbert pensa aux nourriciers.
290   IV,     161|            données aux Pitou par l’enfant dès qu’il aurait atteint
291   IV,     161|            argent par Niquet, de l’enfant par Pitou : Pitou ayant
292   IV,     161|      Niquet, celle de Pitou pour l’enfant ; en sorte qu’il put partir
293   IV,     161|   possesseur d’un trésor et de mon enfant ! Ainsi, avec dix mille
294   IV,     161|         autres étant réservées à l’enfant – je puis ici vivre comme
295   IV,     161|      immense ! élever moi-même cet enfant et jouir ainsi de mon ouvrage.~ ~ ~«
296   IV,     161|             dans le partage, à cet enfant que, d’ailleurs, j’aurai
297   IV,     161|          en pâlissant. J’ai volé l’enfant à cette femme, comme je
298   IV,     161|          plus le droit de garder l’enfant, puisqu’une autre ne l’aura
299   IV,     161|            Il est à nous deux, cet enfant, ou à personne.~ ~ ~ ~Et,
300   IV,     162|           la maison pour enlever l’enfant ; mais qui accuser ? Nul
301   IV,     162|       croyait Louis XV père de cet enfant ; il devait attacher un
302   IV,     162|        possible de reconquérir cet enfant puisqu’il connaissait les
303   IV,     162|      déterminé l’enlèvement de cet enfant ?~ ~ ~– Quel intérêt, docteur ?~ ~ ~–
304   IV,     162|         inquiet de la santé de cet enfant, que vous l’êtes revenu
305   IV,     162|     cependant, vous chercherez cet enfant ?~ ~ ~– J’ai un moyen de
306   IV,     162|         découvrir la retraite de l’enfant. Ses résistances, je les
307   IV,     162|            la dauphine.~ ~ ~– Et l’enfant, qu’en ferez-vous, votre
308   IV,     162|        quitter, soit à quitter son enfant ?~ ~ ~– Andrée consentira
309   IV,     162|            père refuse de rendre l’enfant ?~ ~ ~– Le père, dit Philippe,
310   IV,     162|          personne… L’avenir de mon enfant est tout pour moi, et je
311   IV,     162|            a envoyée. Tant que cet enfant aura besoin de moi, je persisterai
312   IV,     162|       soudain un regard.~ ~ ~– Mon enfant, dit le docteur le premier,
313   IV,     162|            aimer excessivement son enfant, parce que l’enfant est
314   IV,     162|            son enfant, parce que l’enfant est une plante frêle, délicate,
315   IV,     162|            bien ?~ ~ ~– Eh bien, l’enfant est un peu malade.~ ~ ~–
316   IV,     162|      malade.~ ~ ~– Malade… ce cher enfant ! Vite, MargueriteMarguerite…
317   IV,     162|             je veux aller voir mon enfant !~ ~ ~– Impossible ! s’écria
318   IV,     162|        besoin d’y aller.~ ~ ~– Mon enfant est mort ! articula froidement
319   IV,     162|             que la présence de cet enfant à tes côtés était un châtiment
320   IV,     162|           a pas fait souffrir, mon enfant, dit le docteur ; la nuit
321   IV,     162|          plus ; mais j’emporte mon enfant, qui jamais ne vous appellera
322   IV,     162|            suivrai… Il me faut cet enfant, d’ailleursDocteur, quel
323   IV,     163|        vous parle quelquefois de l’enfant que vous avez mis au jour
324   IV,     164|           et surtout pour cacher l’enfant que tu as dérobé.~ ~ ~–
325   IV,     164|          que tu as dérobé.~ ~ ~– L’enfant ? dit Gilbert.~ ~ ~– Oui,
326   IV,     164|          tu as volé et emporté cet enfant pour t’en faire une arme
327   IV,     164|          tête.~ ~ ~– J’ai repris l’enfant, dit-il, pour que personne
328   IV,     164|           moi ?~ ~ ~– Tu as volé l’enfant.~ ~ ~– C’est mon fils !
329   IV,     164|           que tu as échafaudé. Cet enfant est ta ressource pour l’
330   IV,     164|            à l’heure me rendre cet enfant.~ ~ ~– Mais je ne l’ai pas,
331   IV,     164|          On n’emmène pas en mer un enfant de quinze jours.~ ~ ~– Il
332   IV,     164|           que je n’ai pas emmené l’enfant.~ ~ ~– Alors tu l’as laissé
333   IV,     164|           Veux-tu me dire où est l’enfant de ma sœur ? Veux-tu me
334   IV,     164|              Veux-tu me rendre cet enfant ?~ ~ ~– Mon enfant est à
335   IV,     164|      rendre cet enfant ?~ ~ ~– Mon enfant est à moi, murmura Gilbert.~ ~ ~–
336   IV,     164|          Je ne veux pas rendre mon enfant.~ ~ ~– Gilbert, écoute,
337   IV,     164|           sacrificeRends-moi cet enfant. Veux-tu davantage ?… Veux-tu
338   IV,     164|            le ferairends-moi cet enfant… Encore un motAndrée aime
339   IV,     164|        engage ; mais rends-moi cet enfant, Gilbert, rends-le-moi !~ ~ ~ ~
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