Tome,  Chap.

  1    I,    IntI|           voyageur ; calme-toi, mon bon Djérid. Voici douze lieues
  2    I,  IntIII|            avis sera suivi s’il est bon. Nous autres, élus de Dieu,
  3    I,  IntIII|             un roi doux, clément et bon administrateur, après l’
  4    I,  IntIII|           dauphin Louis-Auguste est bon et clément ; il faiblira
  5    I,       1|         cinquante ans auparavant le bon roi Stanislas avait fait
  6    I,       1|       excédant cette impériale d’un bon pied pour le moins, vomissait
  7    I,       1|        livres.~ ~ ~– Vous êtes bien bon, dit le postillon en recevant
  8    I,       2|    tablettes où l’on pouvait placer bon nombre de fioles, de bocaux
  9    I,       3|      toutefois je pouvais vous être bon à quelque chose.~ ~ ~ ~À
 10    I,       4|          maison où je trouverais un bon souper et un bon lit.~ ~ ~–
 11    I,       4|      trouverais un bon souper et un bon lit.~ ~ ~– Cela, c’est plus
 12    I,       4|             Contrat social était un bon livre ?~ ~ ~– Je l’ai vu
 13    I,       4|       singulière nature, mélange de bon et de mauvais, de vergogne
 14    I,       4|       entendu dire que le vin était bon par ici ; vous devez en
 15    I,       4|     monsieur, s’il vous plaît : là… bon ; par ici…~ ~ ~ ~L’étranger
 16    I,       5|            aurais pas cru qu’il fût bon, même à cela. Ah ! c’est
 17    I,       5|   antichambre en grommelant :~ ~ ~– Bon, bon, je sais ce que je
 18    I,       5|             grommelant :~ ~ ~– Bon, bon, je sais ce que je dis ;
 19    I,       5|            vous l’admirez, c’est de bon goût ; c’est poli ; car
 20    I,       5|           coquette, monsieur, et en bon père je m’applique à développer
 21    I,       5|          contradiction polie.~ ~ ~– Bon, bon, reprit le vieillard,
 22    I,       5|     contradiction polie.~ ~ ~– Bon, bon, reprit le vieillard, répondant
 23    I,       5|             physionomie de Balsamo, bon ! je connais Taverney, vous
 24    I,       5|        pensionnaire qui ait pris le bon de l’enseignement et suivi
 25    I,       5|      fainéant de Gilbert, qui n’est bon à rien qu’à lire et rêvasser,
 26    I,       6|         rêvez aussi, vous, dit-il ; bon ! vous devriez au moins
 27    I,       7|          qui voulait dire : « C’est bon, je sais ce qu’il en est. »~ ~ ~
 28    I,       7|           Brie était visiblement un bon serviteur, habitué à obéir
 29    I,       8|        agiter des bras. Comment, si bon observateur qu’il fût, eût-il
 30    I,      10|               ainsi vous trouveriez bon que je fisse comme vous,
 31    I,      10|          maîtresse et écouta.~ ~ ~– Bon ! dit-elle, elle s’est couchée
 32    I,      11|            Je sais cela, moi.~ ~ ~– Bon ! est-ce que tu as des chagrins,
 33    I,      11|                Pour lui dire quoi ? Bon Dieu ! Comme tu as l’air
 34    I,      11|     travaillera-t-il, lui qui n’est bon à rien ?~ ~ ~ ~Pour le coup,
 35    I,      11|            dit Nicole. L’esprit est bon pour les grandes dames.
 36    I,      12|           de vous être utile.~ ~ ~– Bon ! expliquez-moi cela. Est-il
 37    I,      12|            triomphe d’Octave.~ ~ ~– Bon ! voilà que cela vous reprend,
 38    I,      13|                     Mon frère ! mon bon frère !~ ~ ~– Mon frère !
 39    I,      13|                     Mon frère ! mon bon frère ! répétait le baron ;
 40    I,      13|            Je veux partir demain de bon matin, ajouta la dauphine.~ ~ –
 41    I,      13|            Au diable les caprices ! Bon ! la France sera encore
 42    I,      13|        Altesse royale, et elle en a bon nombre, si ses amis brûlent
 43    I,      14|           doit être heureux dans ce bon air et sous ces arbres qui
 44    I,      16|                   N’y a-t-il pas un bon orfèvre à Bar-le-Duc ?~ ~ ~–
 45    I,      16|     gentilhomme ce qui reste ici de bon vin.~ ~ ~– Une bouteille,
 46    I,      16|             régiments sans colonel, bon nombre de pensions en jachère.
 47    I,      17|            la suivre à Paris.~ ~ ~– Bon, dit Gilbert.~ ~ ~– À moins
 48    I,      18|         baron.~ ~ ~– Pour le gâter. Bon ! il est déjà assez vicieux
 49    I,      19|           se présentait de faire un bon repas, mais ce serait complètement
 50    I,      19|             transversalement sur un bon coussin, la tête appuyée
 51    I,      20|          deux jours ! Et le chemin, bon Dieu ! quel chemin ! de
 52    I,      20|                C’était pour souper. Bon, il faudra qu’elle déjeune !
 53    I,      20|           il avait bu le vin.~ ~ ~– Bon ! maintenant que vous voilà
 54    I,      20|            Désir de s’instruire est bon, répondit la jeune dame,
 55    I,      20|           ami, donnez, et, s’il est bon, on le suivra.~ ~ ~– Ce
 56    I,      22|        hommes d’en faire autant, et bon voyage !~ ~ ~– Vous faites
 57    I,      22|         chevaux qui arrivent.~ ~ ~– Bon ! gronda du Barry, ils auraient
 58    I,      22|            la chaise.~ ~ ~– Allons, bon ! dit-il en apercevant Gilbert,
 59    I,      22|    meilleure grâce du monde :~ ~ ~– Bon voyage, monsieur Jean du
 60    I,      22|       conversation en patois.~ ~ ~– Bon ! s’écria tout à coup le
 61    I,      23|           plutôt je sais où ?~ ~ ~– Bon ! il eût mieux valu que
 62    I,      23|         Opéra… Ah ! j’y suis.~ ~ ~– Bon.~ ~ ~– Je suis descendu,
 63    I,      23|           il était bien tard.~ ~ ~– Bon ! cela n’y fait rien : la
 64    I,      24|            ce qu’on travaille ici ? Bon Dieu ! que de papiers !
 65    I,      24|          elle s’arrêta ?~ ~ ~– Ah ! bon Dieu ! que vous avez mauvaise
 66    I,      24|             où il nous vient.~ ~ ~– Bon ! nous y voici, dit Louis
 67    I,      24|            me tuer mon frère…~ ~ ~– Bon ! voilà que c’est M. de
 68    I,      25|          profil à la fois sévère et bon, majestueux et riant, qui
 69    I,      26|            arrêta court.~ ~ ~– Ah ! bon ! pensa-t-il, de ce côté
 70    I,      26|            que l’on m’a déjà dit en bon lieu.~ ~ ~ ~M. de Choiseul
 71    I,      26|       apprécier de quel côté est le bon droit ! Un coup d’État,
 72    I,      26|             ne criera plus… Allons, bon ! voilà que vous me faites
 73    I,      26|             la première fois.~ ~ ~– Bon ! l’on ne me répond rien.
 74    I,      27|             jeune, vous qui êtes un bon père, vous qui savez pardonner.~ ~ ~–
 75    I,      28|        Madame Louise.~ ~ ~– Allons, bon, encore quelque noirceur,
 76    I,      28|           je dirai la vérité.~ ~ ~– Bon ! cela promet. La vérité !
 77    I,      28|          parce qu’elles ont cela de bon qu’elles n’aboient pas la
 78    I,      29|              encore un coup, à quoi bon de pareilles craintes ?
 79    I,      29|           le pense bien, sans qu’un bon nombre de curieux, et les
 80    I,      29|        dirai.~ ~ ~– C’est vrai, mon bon monsieur Flageot ; lisez,
 81    I,      29|             Il n’en sort pas.~ ~ ~– Bon ! nous voilà plus embarrassés
 82    I,      29|           peut rien vous arriver de bon.~ ~ ~– Faible à ce point,
 83    I,      30|           monseigneur, vous êtes si bon, que vous me parlez comme
 84    I,      30|            je voulais ; mais à quoi bon ? Ah ! que je rentre dans
 85    I,      30|       madame, je vous prie… avec le bon plaisir de Son Excellence :
 86    I,      31|            est-ce pas ? A-t-elle un bon procès, un arriéré, une
 87    I,      31|          madame me saura gré de mon bon vouloir.~ ~ ~– J’en suis
 88    I,      32|             Ah ! Boucher… Ce pauvre bon Boucher, il est ici, dit
 89    I,      33|          dit Louis XV, vous avez un bon cuisinier, comtesse.~ ~ ~–
 90    I,      33|             la France a au moins le bon esprit de vous aimer de
 91    I,      33|       parfaitement soupé et dont un bon repas a mis les humeurs
 92    I,      34|     aventure de La Chaussée :~ ~ ~– Bon, bon, dit-il en l’écartant
 93    I,      34|            La Chaussée :~ ~ ~– Bon, bon, dit-il en l’écartant de
 94    I,      34|           embastiller.~ ~ ~– À quoi bon la lettre, alors ?~ ~ ~–
 95    I,      35|             pareil spectacle.~ ~ ~– Bon ! pensa madame du Barry,
 96    I,      35|          suis aujourdhui.~ ~ ~– De bon compte, cela fait six cent
 97    I,      35|         Majesté peut m’honorer d’un bon accueil, étant alliée d’
 98    I,      36|          dit le duc ; le roi est si bon !~ ~ ~– Malheureusement,
 99    I,      36|               mais quelle marraine, bon Dieu ! Une bonne femme de
100    I,      36|        conspiration, vous trouverez bon que je me retire, et qu’
101    I,      36|      haïssez plus madame du Barrybon ! voilà que j’ai dit le
102    I,      36|        choisi quatre fois ; car, de bon compte, j’en suis à ma cinquième
103    I,      36|       conspiration, mesdames.~ ~ ~– Bon ! ne croyez pas cela, duc,
104    I,      37|           ai glissé dans la main un bon de cinquante louis. Il dînera
105    I,      37|             encore quatre heures de bon.~ ~ ~– Et le carrosse ?~ ~ ~–
106    I,      37|            et comme elle était d’un bon caractère, elle travaillait
107    I,      37|            il était en route.~ ~ ~– Bon, dit du Barry, il aura trouvé
108    I,      37|           la comtesse.~ ~ ~– À quoi bon, dit Chon, puisqu’elle était
109    I,      38|           point ; elle seule a tenu bon avec madame de Grammont
110    I,      38|            tout cela, je le sais de bon lieu, enlèvement, violence,
111    I,      38|                    De pièges ? Ah ! bon Dieu ! que me dites-vous
112   II,      40|       faisait son petit repas, fort bon d’ailleurs s’il le comparait
113   II,      40|    éminemment ridicule.~ ~ ~– C’est bon, dit l’intendant au tailleur,
114   II,      41|               Elle mangeait de fort bon appétit, et Gilbert remarqua
115   II,      41|            Êtes-vous fou, mon ami ? Bon Dieu ! qui songe donc à
116   II,      41|       entremets sucrés s’il faisait bon visage ; force menaces,
117   II,      42|             animale, source de tout bon sens et de toute équité,
118   II,      42|             bouchées de pain.~ ~ ~– Bon ! voici mon affaire, dit
119   II,      43|            Devin de village soit un bon opéra.~ ~ ~– C’est un grand
120   II,      43|         bientôt eu lassé. Non, non, bon jeune homme, en dépit de
121   II,      43|                Ça ne fera jamais un bon ouvrier ; il faut en faire
122   II,      43|          dit Gilbert, vous-même, si bon pour moi, n’exercez-vous
123   II,      43|           les a rendus sages, et un bon conseil vaut mieux qu’un
124   II,      44|        eusse fait sous le toit d’un bon château.~ ~ ~ ~L’étranger
125   II,      44|           boîte de fer-blanc.~ ~ ~– Bon ! un commissionnaire ! s’
126   II,      44|          plus en plus ferme, est un bon et loyal jeune homme, qui
127   II,      44|      Jacques.~ ~ ~– Oui, oui, c’est bon. Je connais cette sobriété
128   II,      44|           par vous, qui avez été si bon pour moi. Ainsi, permettez
129   II,      45|        manuscrits étaient rangés en bon ordre, quatre chaises-fauteuils
130   II,      46|               Mille grâces de votre bon vouloir, Monseigneur ; mais
131   II,      46|              mais aussi beaucoup de bon ; luttez avec votre volonté
132   II,      46|             monsieur, que vous êtes bon !~ ~ ~– Quant au gîte, il
133   II,      46|        ouvriers ; vous y mangerez à bon compte, car je vous y recommanderai.
134   II,      46|          Gilbert avaient produit un bon effet.~ ~ ~– Merci, madame,
135   II,      47|     introduite ici ?~ ~ ~– C’est un bon chanoine qui m’a ouvert
136   II,      47|          donc pas dans la maison du bon Dieu ? s’écria l’étrangère
137   II,      47|           irez vous reposer dans un bon lit, au lieu de meurtrir
138   II,      48|      souffla tout bas :~ ~ ~– C’est bon pour des femmes d’avoir
139   II,      50|         dites, êtes-vous dans votre bon sens, et ne seriez-vous
140   II,      52|              non ; je t’aime. Tu es bon, tu es généreux, tu es puissant !~ ~ ~–
141   II,      53|      ulcérée par une douleur que le bon accueil de Philippe et ses
142   II,      53|             doute il n’eût plus été bon qu’à être brûlé.~ ~ ~ ~Dans
143   II,      53|        marchent, que le chemin soit bon ou mauvais ; seulement,
144   II,      53|             du spectacle royal, que bon nombre de Parisiens montèrent
145   II,      53|            d’attendrissement.~ ~ ~– Bon, murmura Gilbert, elle retourne
146   II,      56|           tendre Joseph ; que tu es bon !~ ~ ~– Je fais ce que je
147   II,      56|                    Oh ! tu es assez bon pour ne pas être grand.
148   II,      57|            les mains au ciel.~ ~ ~– Bon ! dit Balsamo en se levant,
149   II,      58|         antre.~ ~ ~ ~Le cocher, que bon nombre d’aventures galantes
150   II,      59|          travaillant avec Pierre le Bon, dans la ville de Pola.
151   II,      59|        évaporation.~ ~ ~– Pierre le Bon ?~ ~ ~– Celui qui composa
152   II,      59|           vous avez connu Pierre le Bon et Flamel ?~ ~ ~– J’ai été
153   II,      59|            au mien. Voici de bel et bon or. Chaque fois que Votre
154   II,      60|         seulement, et là-bas il est bon que l’on sache à quoi j’
155   II,      60|             il s’impatiente ; c’est bon signe.~ ~ ~ ~Balsamo prit
156   II,      60|                  Le diamant ?~ ~ ~– Bon ! le voilà qui extravague.
157   II,      60|             Parle, voyons.~ ~ ~– Le bon, le limon philosophique.~ ~ ~–
158   II,      60|           Voltaire, Rousseau.~ ~ ~– Bon ! je me rappellerai ces
159   II,      60|        plutôt gémit aussitôt.~ ~ ~– Bon ! avance la cloche ; c’est
160   II,      60|         vous qui l’égorgeât ?~ ~ ~– Bon, bon ! s’écria le vieillard
161   II,      60|             l’égorgeât ?~ ~ ~– Bon, bon ! s’écria le vieillard avec
162   II,      61|                Puis, enchanté de ce bon mot, le roi avait coupé
163   II,      61|           Elle est si jeune !~ ~ ~– Bon ! voyez mademoiselle de
164   II,      61|             moquez, je crois.~ ~ ~– Bon ! un compliment, dit tout
165   II,      61|             porte du boudoir.~ ~ ~– Bon ! qui frappe maintenant ?
166   II,      61|                 Impertinent !~ ~ ~– Bon ! voilà que l’on est impertinent
167   II,      61|            mais d’une autre ?~ ~ ~– Bon ! fit Chon en pâlissant.
168   II,      62|           pas un mot de cela.~ ~ ~– Bon ! voilà que vous m’interrompez.~ ~ ~–
169   II,      62|             de soie !~ ~ ~– Allons, bon ! devenez-en amoureux, maintenant,
170   II,      62|           un procureur.~ ~ ~– C’est bon ! me voilà prévenu, j’inventerai
171   II,      63|            police était assuré d’un bon remerciement.~ ~ ~ ~Aussi
172   II,      63|        vicomte Jean du Barry.~ ~ ~– Bon ! pensa M. de Sartine, voici
173   II,      63|            sorti de chez lui. »~ ~– Bon.~ ~ « 18. – Le jeune homme
174   II,      64|            Je le crois, sire.~ ~ ~– Bon historien ?~ ~ ~– Très bon.~ ~ ~–
175   II,      64|          Bon historien ?~ ~ ~– Très bon.~ ~ ~– Géographe parfait ?~ ~ ~–
176   II,      64|          dauphin sera réellement un bon roi, un bon administrateur,
177   II,      64|           réellement un bon roi, un bon administrateur, un bon père
178   II,      64|           un bon administrateur, un bon père de famille… À propos,
179   II,      64|          sur ces mots, sera-t-il un bon père de famille ?~ ~ ~–
180   II,      64|           vous demande s’il sera un bon père de famille.~ ~ ~– Sire,
181   II,      64|           doute.~ ~ ~– Sera-t-il un bon patriarche ?~ ~ ~ ~M. de
182   II,      64|             Le dauphin sera un très bon roi, un très bon administrateur,
183   II,      64|            un très bon roi, un très bon administrateur, mais il
184   II,      64|           mais il ne sera jamais un bon patriarche.~ ~ ~– Hélas !
185   II,      64|             le duc de Berry sera un bon époux. Je laisse de côté
186   II,      64|         yeux tout égrillards.~ ~ ~– Bon ! après ?~ ~ ~– Il a tiré
187   II,      66|          Andrée et son frère, et un bon bourgeois, possesseur avec
188   II,      68|               Merci, vous êtes bien bon, mais je vous gênerais.~ ~ ~–
189   II,      70|           avez été blessé.~ ~ ~– Ce bon Jussieu ! dit Rousseau ;
190   II,      70|       Rousseau, car vous êtes aussi bon médecin de l’âme que du
191   II,      70|       attentive.~ ~ ~– Le fonds est bon, dit-il. Mais qui donc vous
192   II,      71|                   Rousseau donc, en bon père de famille, avait fermé
193   II,      71|             les tressa pour tout de bon cette fois.~ ~ ~ ~Il tâtonna
194   II,      72|          grande porte usitée.~ ~ ~– Bon ! dit Gilbert, je comprends :
195   II,      73|        allons, courage, Andrée ; ce bon air et ces belles fleurs,
196   II,      77|        génie que ce ministre.~ ~ ~– Bon ! voilà que vous parlez
197   II,      77|                   Et vous le croyez bon ?~ ~ ~– Je suis payée pour
198   II,      78|           Votre Majesté.~ ~ ~– Ah ! bon ! je vous vois venir, comtesse.~ ~ ~–
199   II,      78|        atterrée ; qu’y a-t-il donc, bon Dieu ?~ ~ ~– Il y a, ma
200   II,      79|               M. de Richelieu, avec bon nombre de partisans, était
201   II,      79|           la France, aujourdhui un bon ministre est plus nécessaire
202   II,      80|            comme les Anglais.~ ~ ~– Bon ! dites cela devant Choiseul,
203   II,      81|       chasse ; je n’irai pas.~ ~ ~– Bon ! dit Jean.~ ~ ~– Un moment !
204   II,      81|            un qui le connaît.~ ~ ~– Bon ! Mais hâtez-vous, comtesse.
205  III,      82|        cacher son impatience.~ ~ ~– Bon ! dit-elle ; mais la maison ?~ ~ ~–
206  III,      83|           mon exil me sera au moins bon à quelque chose. J’ai quitté
207  III,      84|           comte.~ ~ ~– Sorcier, mon bon sorcier, trouvez-en donc
208  III,      84|      monsieur, dit-il, ce moyen est bon pour ceux qui décachètent
209  III,      84|           madame.~ ~ ~– Soyez assez bonjoignez cette faveur à
210  III,      86|          les Idées singulières d’un bon citoyen, alors le peuple
211  III,      87|      monsieur le duc ; vous êtes un bon parent, j’en ai eu plus
212  III,      88|       plaire aux philosophes.~ ~ ~– Bon ! qui donc ? Voltaire ?~ ~ ~–
213  III,      88|         avait remercié, lorsque mon bon ou mon mauvais génie, décidez,
214  III,      88|              je ne vois pas un seul bon ministre, moi.~ ~ ~– Soit ;
215  III,      88|        cette poule mouillée ?~ ~ ~– Bon ! le vainqueur de Mahon,
216  III,      89|            faisait plus obstacle au bon vouloir de Sa Majesté.~ ~ ~ ~
217  III,      89|             fait, sa fortune est en bon train. L’as-tu vue, ma fille ?
218  III,      90|        mieux avec Jeannette ?~ ~ ~– Bon ! vraiment ?~ ~ ~– Au mieux.
219  III,      90|  difficultés.~ ~ ~– Ce qu’il y a de bon, se hâta de dire Richelieu,
220  III,      91|       maître, de M. Rousseau.~ ~ ~– Bon courage, monsieur Gilbert !
221  III,      92|          dit Louis XV ; faites-vous bon ménage avec madame la duchesse
222  III,      93|            suis pas ministre.~ ~ ~– Bon !~ ~ ~– Sans doute, mon
223  III,      93|            attacherait le mineur au bon endroit pour faire sauter
224  III,      93|     inquisiteur de Richelieu.~ ~ ~– Bon ! je devine ce que tu dirais
225  III,      93|                     Beaucoup, et du bon sens surtout.~ ~ ~– Elle
226  III,      94|           mais nous allons y mettre bon ordre. Elle a les cheveux
227  III,      94|          déjeuner chez elle lorsque bon lui semblait. Cette faveur
228  III,      95|           une bouche de plus.~ ~ ~– Bon ! comme si cette bouche
229  III,      95|            ceci m’est confié par un bon ami, que vous manquez de
230  III,      96|      perpétuelle, attendait quelque bon sujet de rire comme transition
231  III,      96| circonstance le permettait ou qu’un bon mot en pouvait résulter ;
232  III,      96|             été pour moi souvent un bon conseil, et j’ai pu être
233  III,      96|             que je serai encore, un bon ami ; faut-il que je retourne
234  III,      97|          Pourquoi, si l’on prend le bon ? répliqua Rafté.~ ~ ~–
235  III,      97|                   Eh ! mon cher, le bon, souviens-toi de cela, c’
236  III,      97|            de maître Flageot.~ ~ ~– Bon ! que dit ce maître Flageot ?
237  III,      98|           lecture.~ ~ ~– Le roi est bon, dit-il au bout d’un instant.~ ~ ~–
238  III,      98|             cher oncle,~ ~ ~« Votre bon conseil a porté ses fruits :
239  III,      98|            la nique. Corbleu ! j’ai bon caractère, mais tout cela
240  III,      98|         rien.~ ~ ~– Cela est bel et bon, et j’admets que j’aie eu
241  III,      98|             secrétaire n’était plus bon à toucher avec des pincettes.~ ~ ~–
242  III,      98|                   Non pas, non pas… Bon quand maître Flageot était
243  III,      99|          remise indéfiniment.~ ~ ~– Bon ! pourquoi ?~ ~ ~– Cela
244  III,     100|          faisait de malentendu qu’à bon escient, et lorsque le malentendu
245  III,     100|            le parlement.~ ~ ~– Ah ! bon ! fit le roi en frappant
246  III,     101|             sans exagérer un bel et bon affront, ou tout au moins
247  III,     101|                    Le même revenant bon était assuré à M. d’Aiguillon,
248  III,     102|            que l’oignon sente moins bon que la rose, et que le paon
249  III,     102|       pouvait passer pour un bel et bon paradoxe, on se mit à table
250  III,     102|          pas tenir en place :~ ~ ~– Bon ! dit-elle, je comprends
251  III,     102|            des conquêtes : c’est un bon moyen de vous avancer.~ ~ ~–
252  III,     105|            n’est peut-être pas d’un bon plébéien, mais qui n’est
253  III,     105|             coupant mal la tête. Un bon chirurgien doit opérer avec
254  III,     106|        enfants.~ ~ ~– Oh ! Dieu est bon, et Dieu y pourvoira.~ ~ ~–
255  III,     108|         savait par cœur.~ ~ ~– Ah ! bon Dieu ! dit-il en lisant
256  III,     108|          promeneur solitaire.~ ~ ~– Bon ! dit-elle en posant bruyamment
257  III,     108|                  Il ruminait.~ ~ ~– Bon ! vous réfléchissez, dit-elle ;
258  III,     108|         pour Rousseau, mais pour le bon prince.~ ~ ~ ~Rousseau ne
259  III,     108|           prit son parti, et, après bon nombre de remerciements,
260  III,     109|         superbement Rousseau.~ ~ ~– Bon ! allez donc un peu dire
261  III,     110|          marcher et payer d’audace. Bon nombre de regards se fixaient
262  III,     110|                  Cela est un bel et bon contresens, monsieur Rousseau…
263  III,     111|            Mon petit Gilbert est un bon travailleur et un botaniste
264  III,     112|             des commentaires sur le bon plaisir du roi… La peste
265  III,     112|         enfant n’a qu’à chercher un bon mari, car les occasions
266  III,     112|           monde.~ ~ ~– Mais à quoi, bon Dieu ? s’écria Taverney
267  III,     112|          donc ?~ ~ ~– Mais toi, mon bon ami ; toi, mon féal… Tu
268  III,     113|                   J’ai Rafté.~ ~ ~– Bon !~ ~ ~– Que doit-il faire,
269  III,     113|       agréables.~ ~ ~ ~Il mangea de bon appétit, commanda qu’on
270  III,     117|            Lorenza.~ ~ ~– Vous êtes bon chrétien, m’avez-vous dit
271  III,     118|           mais, aujourdhui, à quoi bon ? on n’en jaserait même
272  III,     118|          saches.~ ~ ~– Tout me sera bon, monsieur le duc, pourvu
273  III,     119|             craignent les témoins : bon !~ ~ ~ ~Gilbert n’était
274  III,     119|            et s’enfuit pour tout de bon cette fois.~ ~ ~ ~Nicole
275  III,     119|           jetait point bas avant un bon quart d’heure.~ ~ ~ ~Andrée,
276  III,     119|           il faut que je me lève de bon matin ; puis je aller me
277  III,     120|            la folie que de ce froid bon sens qu’il faut à l’observateur.~ ~ ~ ~
278  III,     122|        braves chevaux allemands, de bon caractère, qui murmurent
279  III,     122|             faisait une offre qui à bon nombre de femmes eût paru
280  III,     123|         frondeurs, et il y en avait bon nombre à cette époque, disaient
281   IV,     130|             des intentions, vous si bon, si utile ; vous qui paraissez
282   IV,     130|           répondit-il, de vous être bon à quelque chose, même sans
283   IV,     130|          roi, arrêtez tout Paris si bon vous semble, c’est votre
284   IV,     133|             ne présageaient rien de bon à Fritz : voilà pourquoi
285   IV,     135|                Beau colonel !~ ~ ~– Bon ! qu’y a-t-il encore par
286   IV,     135|           la galerie des Glaces, où bon nombre de courtisans peu
287   IV,     138|           Andrée ; mais soyez assez bon pour ouvrir la fenêtre ;
288   IV,     139|             point à déguiser.~ ~ ~– Bon ! frappez, frappez, fit
289   IV,     139|            pour me rendre un peu de bon sens et de clairvoyance :
290   IV,     141|        idiot, ce fainéant qui n’est bon qu’à faire le mal ou à le
291   IV,     141|           banc, dans les bras de ce bon M. de Jussieu, qui me secourait
292   IV,     143|            m’avez plus trouvé assez bon ou assez sûr pour me montrer
293   IV,     144|           toi, si noble, si pur, si bon, toi que personne n’accuse,
294   IV,     146|           Philippe ; et, sauf votre bon plaisir, je vais commencer
295   IV,     146|             les épaules.~ ~ ~– Eh ! bon Dieu ! murmura-t-il, que
296   IV,     150|       monsieur, dit Philippe.~ ~ ~– Bon ! c’est grave ?~ ~ ~– Assez
297   IV,     150|             l’échafaud.~ ~ ~ ~C’est bon à dire à des enfants ou
298   IV,     150|             ne répliqua rien.~ ~ ~– Bon, bon, continua Taverney ;
299   IV,     150|           répliqua rien.~ ~ ~– Bon, bon, continua Taverney ; je
300   IV,     151|         secoua la tête.~ ~ ~– C’est bon, c’est bon, dit-elle, je
301   IV,     151|                    C’est bon, c’est bon, dit-elle, je sors pour
302   IV,     151|           bien certainement. À quoi bon cette question de votre
303   IV,     151|            que vous me donneriez un bon conseil, et je suis venu.~ ~ ~–
304   IV,     151|     puissant et qui devriez être si bon, vous avez aggravé le malheur
305   IV,     152|               Donc, le billet était bon.~ ~ ~ ~Gilbert, joyeux et
306   IV,     153|            tellement sombre, que le bon ange d’Andrée dut trembler
307   IV,     154|             Mais, se dit-il, à quoi bon être soutenu par M. de Taverney
308   IV,     154|               il s’agit d’un bel et bon complot. Ce n’est plus d’
309   IV,     155|          répondit rien.~ ~ ~– C’est bon, fit le comte en reprenant
310   IV,     155|          elle me ferait tuer.~ ~ ~– Bon ! mais son enfant ?~ ~ ~–
311   IV,     156|             monde ? Qu’elle parle ! Bon Dieu ! les princes sont
312   IV,     157|          plus en plus fréquentes du bon docteur Louis, malgré les
313   IV,     157|          ont toujours laissé.~ ~ ~– Bon docteur !… Demain, n’est-ce
314   IV,     158|    pénétrant dans la chambre.~ ~ ~– Bon frère !… que de peines,
315   IV,     158|       paraît ; nous oublions que ce bon docteur a emporté l’enfant
316   IV,     158|           Eh bien, tu as entendu ce bon docteur, qui, revenu derrière
317   IV,     159|       écrivit une lettre d’adieu au bon philosophe, de remerciement
318   IV,     160|             bois sous ses pieds, un bon gros chien caniche sur ce
319   IV,     160|      campagne, et qu’il devienne un bon laboureurbonne santé320   IV,     162|           Le docteur était homme de bon conseil ; il examina les
321   IV,     164|         pour l’aider à reprendre le bon chemin. Dans ce mouvement
322   IV,     164|            je voulais ; mais à quoi bon ? Voilà que vous courez
323   IV,     Epi|   irritation nerveuse ; c’est qu’un bon Français, voyez vous, aime
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