Tome,  Chap.

  1    I,    IntI|              raconter autrefois à son père ou à son aïeul ce que nous
  2    I,    IntI|              qui, pareille à celle du père d’Hamlet, semblait sortir
  3    I,   IntII|               vous attachent encore à père, mère, frères, sœurs, femme,
  4    I,   IntII|     inévitable.~ ~ ~« Vivez au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. »~ ~ ~
  5    I,  IntIII|      vieillard que j’aimais comme mon père, et qui cependant n’était
  6    I,  IntIII|           cependant n’était point mon père ; car, s’il me regardait
  7    I,  IntIII|     invincible empêche votre illustre père de se révéler à vous ; nous
  8    I,  IntIII|         reprendre nos voyages ; votre père sera parmi ceux que nous
  9    I,  IntIII|              Et maintenant, au nom du père et du maître, retirez-vous,
 10    I,       4|             Taverney ?~ ~ ~– C’est le père de mademoiselle Andrée,
 11    I,       5|                 Je n’ai pas peur, mon père, répondit d’une voix douce
 12    I,       5|         coquette, monsieur, et en bon père je m’applique à développer
 13    I,       5|      singulière théorie émise par son père.~ ~ ~– Disait-on cela à
 14    I,       5|            comme le lui ordonnait son père par un signe des yeux.~ ~ ~–
 15    I,       5|              dire que mon bonhomme de père m’en avait laissé une certaine
 16    I,       5|         Andrée, qui, à l’ordre de son père, lui avait présenté la salière
 17    I,       5|              supplie.~ ~ ~– Mais, mon père, il faut bien qu’on mange,
 18    I,       5|            Puis, se tournant vers son père :~ ~ ~– Vous savez, monsieur,
 19    I,       6|             appris cela autrefois. Le père Porée m’a fait composer
 20    I,       7|             passer trois mois chez un père ruiné, et fort mal pour
 21    I,       8|             et n’entra point chez son père.~ ~ ~ ~Gilbert respira.~ ~ ~ ~
 22    I,       9|              Voyons. Du côté de votre père, d’abord. Où est-il ?~ ~ ~–
 23    I,       9|          jeune fille est libre de son père et de sa femme de chambre
 24    I,       9|                      Vous aimez votre père ?~ ~ ~– Oui, dit la jeune
 25    I,       9|               jusqu’à la mort de leur père ; alors ils s’appellent
 26    I,       9|                quand vous aimez votre père si modérément ?~ ~ ~– Parce
 27    I,       9|                      Tandis que votre père ?…~ ~ ~Andrée se tut.~ ~ ~–
 28    I,       9|           arrêter. Elle veut voir mon père. Oh ! une si grande princesse
 29    I,      11|                  C’est monsieur votre père, mademoiselle, dit Nicole,
 30    I,      12|        répondit à l’invitation de son père, et comment le regard fascinateur
 31    I,      12|               et venait embrasser son père.~ ~ ~– Ah ! diable ! disait
 32    I,      12|               diable !~ ~ ~– Oui, mon père, disait Philippe, qui voyait
 33    I,      12|         hasard est-ce toi ?~ ~ ~– Mon père, dit Philippe, un grand
 34    I,      13|            avait à peine embrassé son père, qu’Andrée, arrachée à sa
 35    I,      13|              d’Andrée et celle de son père et les entraîna tous deux
 36    I,      13|              Vous êtes incrédule, mon père ; tu es surprise, ma sœur,
 37    I,      13|               toute une histoire, mon père.~ ~ ~– Une histoire ! répéta
 38    I,      13|            est notre sauveur et notre père.~ ~ ~ ~Le baron allongea
 39    I,      13|             Mais vous voyez bien, mon père, que Philippe semble heureux !~ ~ ~–
 40    I,      13|         autrement tout à l’heure, mon père, dit le jeune homme, quand
 41    I,      13|          hésitant.~ ~ ~– Eh bien, mon père ?~ ~ ~– Madame la dauphine
 42    I,      13|         avez-vous pu savoir cela, mon père ?~ ~ ~– Je le tiens d’un
 43    I,      13|        continuez.~ ~ ~– J’y suis, mon père. Je revins donc à Strasbourg,
 44    I,      13|               avais plus de voix, mon père. Toute ma vie s’était retirée
 45    I,      13|          impossible !~ ~ ~– Quoi, mon père ? dit naïvement le jeune
 46    I,      13|       écriai-je.~ ~ – Pour voir votre père et votre sœur.~ ~ – Mon
 47    I,      13|               et votre sœur.~ ~ – Mon père ! ma sœur !… Comment, Votre
 48    I,      13|              Madame, la maison de mon père n’est pas digne de recevoir
 49    I,      13|       charmantes paroles ? Dites, mon père !~ ~ ~– Oh ! c’était impossible,
 50    I,      13|      singulier règne !~ ~ ~– Oh ! mon père, pouvez-vous dire de semblables
 51    I,      13|             Que voulez-vous dire, mon père ? demanda Philippe.~ ~ ~–
 52    I,      14|            Taverney-Maison-Rouge, mon père, et mademoiselle Claire-Andrée
 53    I,      14|       Philippe de la pauvreté de leur père lui revenait à l’esprit,
 54    I,      14|               en temps du côté de son père avec inquiétude. La maison
 55    I,      14|         regardait alternativement son père et sa sœur, essayant de
 56    I,      16|             pâlit. Andrée regarda son père avec inquiétude.~ ~ ~– Votre
 57    I,      16|                   Quant à Andrée, son père l’avait habituée à respecter
 58    I,      16|               dauphine chez elle ; le père donnera au fils des conseils
 59    I,      16|         Philippe baisa la main de son père, embrassa sa sœur et sauta
 60    I,      16|               fille.~ ~ ~– Merci, mon père, j’ai Nicole.~ ~ ~ ~Le baron
 61    I,      16|     promptitude accoutumée.~ ~ ~– Mon père, dit Andrée en s’approchant
 62    I,      19|              spectacle digne de Dieu, père des créatures énergiques
 63    I,      21|           annoncer, de la part de mon père, la mise au rôle de son
 64    I,      23|           Sartine déguisé en révérend père de la mission, et s’introduisant
 65    I,      23|              vous savez ?~ ~ ~« Notre Père qui êtes à Versailles, que
 66    I,      26|               dans la personne de son père, a retenti à Philippsburg,
 67    I,      27|            aînée du roi attendait son père dans la grande galerie de
 68    I,      27|           vous me quittiez.~ ~ ~– Mon père, j’ai depuis longtemps décidé
 69    I,      27|             me résistez donc pas, mon père, je vous en supplie.~ ~ ~–
 70    I,      27|             dans ce rôle de roi et de père que jamais l’acteur ne joue
 71    I,      27|        apercevait de l’émotion de son père, et que cette émotion, si
 72    I,      27|            roi.~ ~ ~– Même celle d’un père ?~ ~ ~– Non plus, sire,
 73    I,      27|             plus profonde encore, mon père ; elle rafraîchit le cœur,
 74    I,      27|               ne prierai assez, ô mon père ! jamais je ne prierai assez,
 75    I,      27|               son roi, et fille à son père, dans un pressant besoin.
 76    I,      27|               parle pas pour moi, mon père, je ne me plains pas ; c’
 77    I,      27|             prédisait comme moi à son père et à ses frères la guerre,
 78    I,      27|       destruction, l’incendie, et son père et ses frères riaient de
 79    I,      27|             elle. Prenez garde, ô mon père ! réfléchissez, ô mon roi !~ ~ ~ ~
 80    I,      27|          France saisit la main de son père, et attachant avec amour
 81    I,      27|               Non, dit-elle, non, mon père ; pas une heure de plus
 82    I,      27|           jeune, vous qui êtes un bon père, vous qui savez pardonner.~ ~ ~–
 83    I,      27|        embrassement royal. Adieu, mon père. J’ai dit aujourdhui des
 84    I,      27|        indigne à la fois du roi et du père, cette figure grave et triste
 85    I,      27|          reçois la bénédiction de ton père, que tu as toujours rendu
 86    I,      28|            furieux :~ ~ ~– Merci, mon père !~ ~ ~ ~Le roi se trouvait
 87    I,      28|    tourmentera, soyez tranquille, mon père, dit Madame Sophie avec
 88    I,      28|             je vais vous le dire, mon père.~ ~ ~ ~Louis s’étendit dans
 89    I,      28|           particulière donnée par son père au mot vous, et de sa répétition
 90    I,      28|             avait fait donner par son père le nom de Loque, Mesdames,
 91    I,      28|               comme elles aiment leur père, voyez !~ ~ ~ ~Et il se
 92    I,      28|           après ?~ ~ ~– Eh bien ! mon père, elle aura eu peur, par
 93    I,      28|                ni plus ni moins qu’un père de Molière. Ah ! on se rallie
 94    I,      29|            auprès d’elle ; mais si un père ne peut pas envoyer sa fille,
 95    I,      38|              trop fidèle.~ ~ ~– À son père ! répliqua la maréchale.~ ~ ~ ~
 96    I,      39| Taverney-Maison-Rouge.~ ~ ~– C’est le père ! dirent à la fois Jean
 97    I,      39|              vous dise, ma chère ? le père ne me revient pas plus que
 98   II,      40|          Andrée se promenant avec son père, souvent, disons-nous, il
 99   II,      43|            une lettre d’elle pour son père. Je vis alors qu’il existait
100   II,      48|            frais.~ ~ ~ ~Il y avait le père, enfoui dans un grand habit
101   II,      48|              parti possible.~ ~ ~ ~Le père découpait un de ces appétissants
102   II,      48|              qualité morale.~ ~ ~ ~Le père se retourna.~ ~ ~– Et un
103   II,      48|              On se mit en marche ; le père était entre sa sœur et sa
104   II,      49|             retourner et parler à son père, assis dans la voiture à
105   II,      49|          respect étudié Andrée et son père.~ ~ ~ ~Il lui fallut toutes
106   II,      49|             mouvement pour calmer son père ; elle sentait que l’exagération
107   II,      49|              désirez-vous de moi, mon père ?~ ~ ~– Bonjour, monsieur
108   II,      49|                 il n’a rien fait, mon père s’égare. M. Gilbert n’est
109   II,      49|             il lui plaît d’aller. Mon père ne veut pas comprendre cela,
110   II,      49|            Taverney, mon enfant ? Ton père et ta mère étaient de bons
111   II,      50|     inutilement essayé de rappeler en père et en souverain, c’est-à-dire
112   II,      50|           habitais Rome avec eux. Mon père est de vieille noblesse ;
113   II,      50|              mon noviciat arriva, mon père réunit cinq cents écus romains
114   II,      50|              mère pousser un cri, mon père fit un mouvement pour saisir
115   II,      50|            temps qu’il faudrait à mon père pour en trouver une autre,
116   II,      50|             je vis les efforts de mon père pour me défendre, quand
117   II,      50|              mère, des efforts de mon père, les bandits me lièrent
118   II,      50|             roulait sur la terre, mon père s’évanouit.~ ~ ~« Je n’avais
119   II,      50|            alla en faire autant à mon père et à ma mère.~ ~ ~« Alors,
120   II,      50|               revivre aux bras de mon père et de ma mère.~ ~ – Maintenant,
121   II,      50|                tu es libre.~ ~ ~« Mon père et ma mère remercièrent
122   II,      50|              que nous entretenir, mon père, ma mère et moi, de ce singulier
123   II,      50|             envoyé du ciel.~ ~ ~« Mon père, moins crédule que moi,
124   II,      50|          lutter d’expérience avec mon père ; moi qui obéissais à mon
125   II,      50|             avait été rédigée par mon père dans les termes d’un si
126   II,      50|            que j’eusse au monde : mon père, ma mère, mon frère.~ ~ ~«
127   II,      50|           agitée que d’habitude ; mon père, ma mère, mon frère, cette
128   II,      53|         propres expressions) dont son père avait eu tort de prendre
129   II,      53|               conduire monsieur votre père et mademoiselle votre sœur
130   II,      53|             Malheureusement, oui, mon père, dit Philippe en souriant
131   II,      53|               anxiété.~ ~ ~– Oui, mon père, dit Philippe.~ ~ ~ ~Gilbert,
132   II,      54|          Philippe avait annoncé à son père et à sa sœur que La Brie
133   II,      56|               femme, et non comme mon père m’aimait.~ ~ ~– Lorenza,
134   II,      57|       précepteur, mon ami, mon second père, est un vieillard inoffensif,
135   II,      64|            bon administrateur, un bon père de famille… À propos, monsieur
136   II,      64|            ces mots, sera-t-il un bon père de famille ?~ ~ ~– Eh !
137   II,      64|              demande s’il sera un bon père de famille.~ ~ ~– Sire,
138   II,      64|              côté la qualification de père de famille et j’abandonne
139   II,      66|            dit Andrée.~ ~ ~– Oh ! mon père ! dit Philippe.~ ~ ~– Qu’
140   II,      66|      descendante.~ ~ ~– Attendez, mon père, je vais descendre, dit
141   II,      66|            connaissez plus Paris, mon père, dit Philippe. Ces façons
142   II,      66|        sauront qui je suis…~ ~ ~– Mon père, dit en souriant Philippe,
143   II,      66|               nous éloignons pas, mon père.~ ~ ~ ~En effet, la foule
144   II,      67|               entraîna du côté de son père, qui, inquiet, lui aussi,
145   II,      69|               de temps à chercher son père, pour le sauver à son tour ;
146   II,      69|                comme avait espéré son père, qu’Andrée serait revenue
147   II,      69|            fille dans les bras de son père et de Nicole.~ ~ ~ ~Le baron
148   II,      69|         revint.~ ~ ~– Philippe !… Mon père ! dit-elle.~ ~ ~– Elle nous
149   II,      71|                 Rousseau donc, en bon père de famille, avait fermé
150   II,      73|            vous pouviez désirer ; mon père, lui, m’a dit avoir été
151   II,      73|               un tiers ; bonsoir, mon père.~ ~ ~ ~Philippe se leva
152   II,      73|               donc de Versailles, mon père ?~ ~ ~– Oui, la princesse
153   II,      73|         Andrée va beaucoup mieux, mon père, dit Philippe.~ ~ ~– Je
154   II,      73|          avons, répliqua Andrée à son père, ni la fortune qui permet
155   II,      73|              que Philippe regarda son père, ne croyant pas que ce rire
156   II,      73|            par cette proximité de son père, se tourna vers Philippe.~ ~ ~–
157   II,      73|              C’est bien ; j’irai, mon père.~ ~ ~– À propos, continua
158   II,      73|         craindrais de vous gêner, mon père.~ ~ ~– Oh ! nous ne sommes
159   II,      73|              Andrée.~ ~ ~– Merci, mon père, répliqua la jeune fille
160   II,      73|      Voulez-vous que je la sonne, mon père ?~ ~ ~– Non, j’ai La Brie,
161   II,      74|            Philippe qui l’a dit à son père. Il ne se doute de rien
162   II,      77|         cornes ! comme disait feu mon père, comme c’est galamment troussé !~ ~ ~–
163   II,      80|              convenue entre nous, mon père, répliqua la princesse.~ ~ ~–
164  III,      89|               aura, non parce que son père est mon ami, non parce qu’
165  III,      92|            sire, dit Richelieu, et le père de ce jeune homme s’appelle
166  III,      92|          baron de Taverney.~ ~ ~– Mon père !… s’écria involontairement
167  III,      94|              habillée, écrivait à son père pour l’informer de cet heureux
168  III,      94|               occupait d’écrire à son père lorsqu’un petit coup, discrètement
169  III,      95|     générosité de M. Rafté.~ ~ ~– Mon père a besoin de vous à Paris,
170  III,      95|                 De qui ?~ ~ ~– De mon père.~ ~ ~– C’est votre dernier
171  III,      95|                     Votre affectionné père. »~ ~ ~Cette lettre jeta
172  III,      95|         mandait de Trianon.~ ~ ~« Mon père, ajouta-t-elle, Nicole arrive
173  III,      95|           remarque de Sa Majesté, mon père, permettez-moi de vous dire
174  III,      99|          première fois monsieur votre père, digne homme s’il en fut ;
175  III,     100|          avoir trop souvent montré le père ! s’écria la comtesse.~ ~ ~–
176  III,     104|            charnels qui m’attachent à père, mère, frères, sœurs, épouse,
177  III,     104|           Ciel quand Dieu a pris leur père.~ ~ ~« Les parlements usent
178  III,     105|           mais vous n’êtes ni Dieu le père, ni Dieu le fils, et vous
179  III,     105|               À ma femme, à mon vieux père,~ ~À mes enfants bien-aimés ;~ ~
180  III,     110|      Monseigneur, dès qu’un homme est père, il rentre dans les conditions
181  III,     110|              dernier du royaume… Être père… c’est…~ ~ ~– Dites donc,
182  III,     111|              rapproché de Taverney le père, et ces deux vieillards
183  III,     111|              Oui, sire.~ ~ ~– Ah ! le père de la charmante chanteuse.~ ~ ~–
184  III,     112|               demoiselle, je parle au père… Je te parle, Taverney,
185  III,     112|               de faire entremettre le père, le père qui purifie tout,
186  III,     112|               entremettre le père, le père qui purifie tout, comme
187  III,     113|               lui parler bas, mais le père écoute, et il ne faut pas
188  III,     114|             mais je n’ai jamais eu de père. Tout ce que mon cœur a
189  III,     114|             mon cœur, le brise. – Mon père… Eh ! mon Dieu, mon père !
190  III,     114|              père… Eh ! mon Dieu, mon père ! je ne vous apprends rien
191  III,     114|          Philippe : non seulement mon père n’est pas pour moi un protecteur
192  III,     114|               un ami, mais encore mon père ne me regarde jamais sans
193  III,     114|         intimité de la dauphine ; mon père a soupé hier, dit-on, presque
194  III,     114|              à la fois du frère et du père.~ ~ ~– Andrée, dit-il, je
195  III,     114|            Mais vous avez prévenu mon père, n’est-ce pas ?~ ~ ~– De
196  III,     114|              des occasions.~ ~ ~– Mon père est heureux de vous voir
197  III,     115|        question. Respectez-vous votre père ?~ ~ ~– Je crois, en vérité,
198  III,     115|              Oui vous respectez votre père, continua Gilbert, et ce
199  III,     115|               vous a donné la vie. Un père, malheureusement, vous devez
200  III,     115|         savoir cela, mademoiselle, un père n’est respectable qu’à un
201  III,     116|                     Chapitre CXVI~ Le père et la fille~ ~Au bout de
202  III,     116|             effet, le maréchal et son père, qui se promenaient devant
203  III,     116|           aussi cérémonieuse pour son père que pour le maréchal ; puis
204  III,     116|             chargé M. le baron, votre père, de vous le transmettre.
205  III,     116|            moins.~ ~ ~– Mon Dieu, mon père ! s’écria Andrée.~ ~ ~–
206  III,     116|         inquiet.~ ~ ~– Parce que, mon père, vous et mon frère, vous
207  III,     116|              dit-il, est-ce que votre père n’est pas un peu votre ami ?~ ~ ~ ~
208  III,     118|             celle-ci pût recevoir son père chez elle.~ ~ ~ ~On en était
209  III,     118|               retirer pour laisser le père et la fille dans une intimité
210  III,     118|             le maréchal prit congé du père et de la fille, échangea
211  III,     119|            Andrée avait reconduit son père jusqu’aux barrières du Grand
212   IV,     125|             La Harpe, un entretien du Père de famille à Diderot et
213   IV,     127|              crois bien. Plus qu’ami, père, père qui t’a nourri, qui
214   IV,     127|              bien. Plus qu’ami, père, père qui t’a nourri, qui t’a
215   IV,     127|               étais pas : c’était ton père, ton père, plus fidèle que
216   IV,     127|                 c’était ton père, ton père, plus fidèle que toi ; mais,
217   IV,     127|            dévoué aurait eus pour son père ; puis, absorbé dans une
218   IV,     135|                     Oh !~ ~ ~– Et son père aussi.~ ~ ~– Oh ! oh !~ ~ ~–
219   IV,     135|               craignait l’alliance du père et de la fille ; il craignait
220   IV,     136|        voulez-vous dire ?~ ~ ~– Si le père a eu le malheur de déplaire
221   IV,     136|         monstre au physique comme son père l’est au moral ! s’écria
222   IV,     137|         Andrée entendit le pas de son père dans l’antichambre, au moment
223   IV,     137|               sortez ?~ ~ ~– Oui, mon père.~ ~ ~– Seule ?~ ~ ~– Vous
224   IV,     137|             Andrée.~ ~ ~– Pardon, mon père, mais madame la dauphine
225   IV,     137|            ridiculisée ici.~ ~ ~– Mon père…~ ~ ~– Le ridicule tue partout,
226   IV,     137|              sérieuse.~ ~ ~– Oui, mon père, dit Andrée.~ ~ ~ ~Et elle
227   IV,     137|           repoussante.~ ~ ~– Moi, mon père ? fit Andrée s’arrêtant.~ ~ ~–
228   IV,     137|            changer à ma toilette, mon père.~ ~ ~– C’est odieux, en
229   IV,     137|                Oh ! quant à cela, mon père, ce me sera chose facile,
230   IV,     137|             avait été retenue par son père et forcée de venir lentement,
231   IV,     138|              a-t-il ?~ ~ ~– Rien, mon père, répliqua faiblement Andrée,
232   IV,     138|          Jussieu prit congé.~ ~ ~ ~Le père et la fille demeurèrent
233   IV,     138|              pareil taudis.~ ~ ~– Mon père, répondit Andrée, il n’y
234   IV,     138|        compliments, de la part de son père, commençaient à lui donner
235   IV,     138|                    Andrée regarda son père avec étonnement.~ ~ ~– Oui,
236   IV,     138|                ma chère Andrée, votre père sera le premier solliciteur
237   IV,     138|               à son tour, regarda son père en femme qui demande une
238   IV,     138|      consciences.~ ~ ~ ~Le respect du père envers l’enfant arrêta Taverney
239   IV,     138|            Vous laissez croupir votre père et votre frère dans l’obscurité
240   IV,     138|               vit avec étonnement son père se ranger contre la muraille.~ ~ ~ ~
241   IV,     138|               cette étrange figure de père qui n’annonçait que la gêne
242   IV,     139|            Savez-vous que Taverney le père voulait vendre sa fille
243   IV,     139|                 Le premier ?~ ~ ~– Le père.~ ~ ~– Le second ?~ ~ ~–
244   IV,     139|            Majesté a daigné nommer le père un… complaisant ; sa fille,
245   IV,     140|                plus le silence de son père à son égard, et surtout
246   IV,     140|               continua Philippe ; mon père t’a traité avec injustice
247   IV,     141|              M. de Richelieu, par mon père même ?~ ~ ~– Oh ! cela ne
248   IV,     141|                M. de Richelieu et mon père sont tout bouleversés, ils
249   IV,     141|            ces gens-là. Le matin, mon père s’en va courir après son
250   IV,     141|           comme à vous, comme à notre père, comme à la famille ; mais
251   IV,     142|               la dauphine, ni à votre père, ni à vous ; ne me demandez
252   IV,     143|               j’oubliais…~ ~ ~– Notre père, n’est-ce pas, Andrée ?~ ~ ~–
253   IV,     143|               que vous portez à votre père, ni celui que vous avez
254   IV,     144|              mouvement.~ ~ ~– Je suis père de famille, monsieur, continua
255   IV,     144|             la moitié du prix à notre père ; puis, avec l’autre, nous
256   IV,     144|         comment il me ramena chez mon père.~ ~ ~– Oui, oui ; et cette
257   IV,     145|              tout à l’heure, entre le père et la fille, après le départ
258   IV,     146|              été bien reçu chez votre père, soyez le bien reçu chez
259   IV,     148|             au départ.~ ~ ~– Mais mon père ?~ ~ ~– Mon père, dit Philippe
260   IV,     148|             Mais mon père ?~ ~ ~– Mon père, dit Philippe d’un air sombre,
261   IV,     148|         Philippe d’un air sombre, mon père, cela me regarde, je le
262   IV,     148|         accompagnera donc ?~ ~ ~– Mon père, oh ! impossible ; nous
263   IV,     150|                       Chapitre CL~ Le père et le fils~ ~Lorsque Philippe
264   IV,     150|                   Mais… nous avons un père… Comment traitera-t-il sa
265   IV,     150|              senti la protection d’un père ?… Oh ! ajouta-t-il avec
266   IV,     150|            souvenir !… « Respecte ton père… » O ma sœur, la plus forte
267   IV,     150|              a aussi le portrait. Mon père voulait vendre le tout,
268   IV,     150|         savait bien rencontrer là son père. Le vieillard, depuis sa
269   IV,     150|              attendit un geste de son père pour commencer la conversation,
270   IV,     150|              vous reverra jamais, mon père.~ ~ ~– Est-ce elle qui dit
271   IV,     150|         Philippe tendit l’écrin à son père. Celui-ci le prit, l’ouvrit,
272   IV,     151|              dit Rousseau.~ ~ ~– Être père, murmura Gilbert, est-ce
273   IV,     151|           dites, est-il naturel qu’un père abandonne son enfant ?~ ~ ~ ~
274   IV,     151|           étais ou que tu allais être père ?~ ~ ~– Je l’ai dit, répéta
275   IV,     151|               qui n’avais pas su être père ; à la patrie pour la formation
276   IV,     151|           poitrine : « Malheur à toi, père dénaturé, qui as abandonné
277   IV,     151|             le baron de Taverney, son père, et dis-lui, dis-lui, entends-tu
278   IV,     152|            demande :~ ~ ~ ~Aborder le père Taverney avec de pompeuses
279   IV,     152|               qu’elle soit allée, son père sait où elle va ; un mot
280   IV,     153|             adresser à monsieur votre père, mais lui même avait disparu.~ ~ ~ ~
281   IV,     153|             un mouvement.~ ~ ~– À mon père, dit-elle ; et pourquoi
282   IV,     153|          dit-elle ; et pourquoi à mon père ?~ ~ ~ ~Gilbert se trompa
283   IV,     153|               mais vous n’êtes pas le père de mon enfant !~ ~ ~ ~Et,
284   IV,     154|           pouvait être mieux reçue du père, qui était un avare et un
285   IV,     154|          celle qui nie à l’enfant son père, son soutien naturel, et
286   IV,     155|         pourquoi n’as-tu pas parlé au père ?~ ~ ~– Parce que la fatalité
287   IV,     155|          frère ?~ ~ ~– Non plus ; son père non plus.~ ~ ~– Tu ne la
288   IV,     156|         princesse, que monsieur votre père avait forcé sa fille à venir
289   IV,     157|         Chapitre CLVII~ L’enfant sans père~ ~Le jour de douleur, le
290   IV,     157|           ressemblera peut-être à son père… Son père !… Oh ! je mourrai
291   IV,     157|             peut-être à son père… Son père !… Oh ! je mourrai un jour
292   IV,     160|              est nous qui serions ses père et mère ?~ ~ ~ ~Gilbert
293   IV,     160|               ajouta-t-il ; le pauvre père est mort de douleur.~ ~ ~ ~
294   IV,     160|            Ils en étaient là quand le père Pitou rentra des champs,
295   IV,     160|              monsieur, répliqua Pitou père.~ ~ ~ ~Et il se leva.~ ~ ~ ~
296   IV,     160|               en chancelant.~ ~ ~ ~Le père Pitou était déjà sur le
297   IV,     160|           émotions avaient accablé ce père de dix-huit ans, qu’un peu
298   IV,     161|         maître Niquet que je suis son père, je puis tout ! »~ ~ ~Et
299   IV,     162|               connaissait si bien son père, qu’il ne douta pas de sa
300   IV,     162|             Taverney croyait Louis XV père de cet enfant ; il devait
301   IV,     162|                    Celui du véritable père.~ ~ ~– Oh ! s’écria Philippe,
302   IV,     162|          demanda-t-il ; est-ce que le père refuse de rendre l’enfant ?~ ~ ~–
303   IV,     162|            rendre l’enfant ?~ ~ ~– Le père, dit Philippe, a été saisi
304   IV,     162|            son départ de Paris, et le père était à l’extrémité quand
305   IV,     162|         a-t-il dit ; déshonorez votre père et vous-même, ce sera une
306   IV,     162|                  Je viens de chez mon père d’abord, ainsi que je t’
307   IV,     162|           écriture n’est pas de notre père. »~ ~– Tiens, Andrée, dit
308   IV,     164|              mépriser ou à renier son père.~ ~ ~ ~Philippe reprit haleine
309   IV,     Epi|              venir donner aussi à son père des consolations et des
310   IV,     Epi|               plus une fille pour son père, une sœur pour ses sœurs ;
311  Bib         |                   99. Les Mariages du père Olifus.~ ~Paris, A. Cadot,
312  Bib         |              de 274 pp.~ ~ ~ ~178. Le Père la Ruine.~ ~Paris, Michel
313  Bib         |              et 268 pp.~ ~ ~ ~185. Le père Gigogne contes pour les
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2010. Content in this page is licensed under a Creative Commons License