Tome,  Chap.

  1    I,       6|           vous y avez vu le vicomte Jean des Barreaux, lequel était
  2    I,      20|         applaudit de s’être posé en Jean Jacques Rousseau.~ ~ ~–
  3    I,      21|           bonjour !~ ~ ~– Moi-même, Jean, répondit la voyageuse interpellée
  4    I,      21|        répondit celui qu’on nommait Jean. Eh bien ! notre vieille
  5    I,      21|          as-tu donc conté ? demanda Jean.~ ~ ~– Que j’étais la fille
  6    I,      21|              avec nos chevaux ? dit Jean sautant lourdement à bas
  7    I,      21|              maître, dit le vicomte Jean en enfonçant son chapeau
  8    I,      21|        attelle et au plus vite, dit Jean, ou je me fâche.~ ~ ~– Venez
  9    I,      21|                 Ah ! drôles !~ ~ ~– Jean ! mon cher Jean ! cria Chon,
 10    I,      21|                     Jean ! mon cher Jean ! cria Chon, qui, par l’
 11    I,      21|              excepté le retard, dit Jean avec son plus beau flegme !
 12    I,      21|       joignant l’effet à la menace, Jean détacha successivement de
 13    I,      21|           chevaux.~ ~ ~– Par pitié, Jean ! cria Chon joignant les
 14    I,      21|          maître de poste en suivant Jean, c’est crime de lèse-majesté
 15    I,      21|             c’est vous, madame, dit Jean changeant de conversation.~ ~ ~–
 16    I,      21|             chance aujourdhui, dit Jean, on ne veut ni me vendre
 17    I,      21|           terre.~ ~ ~– Attelle, dit Jean au laquais.~ ~ ~– À moi
 18    I,      21|     palefreniers accoururent.~ ~ ~– Jean ! vicomte ! criait mademoiselle
 19    I,      21|              jeune philosophe, cria Jean de tous ses poumons à Gilbert,
 20    I,      21|            son côté les chevaux que Jean traînait de l’autre.~ ~ ~ ~
 21    I,      21|          avoir un terme. Le vicomte Jean, fatigué, harcelé, à bout,
 22    I,      22|           Chapitre XXII~ Le vicomte Jean~ ~Le jeune lieutenant des
 23    I,      22|         désigna du doigt le vicomte Jean.~ ~ ~– Monsieur ? répéta
 24    I,      22|          différent, alors, répondit Jean ; mais permettez-moi de
 25    I,      22|        encore j’ose faire, continua Jean. Allons, Patrice, attelons,
 26    I,      22|           bien ! je suis le vicomte Jean du Barry.~ ~ ~– Comment !
 27    I,      22|                 Monsieur le vicomte Jean du Barry, dit-il, vous allez
 28    I,      22|             Renoncez à ces chevaux, Jean, renoncez.~ ~ ~– Ah ! vous
 29    I,      22|             dit Chon à l’oreille de Jean, si vous ne prenez cet officier
 30    I,      22|             être mieux caché.~ ~ ~ ~Jean commença l’attaque. Il était
 31    I,      22|             toutes les retraites de Jean aboutissent à rien, mais
 32    I,      22|              Tout à coup le vicomte Jean fit un bond en arrière en
 33    I,      22|          sens sacrebleu bien ! cria Jean en pâlissant et en laissant
 34    I,      22|           au maître de poste.~ ~ ~ ~Jean montra le poing à Philippe,
 35    I,      22|            pressé.~ ~ ~ ~Cependant, Jean continuait à pester.~ ~ ~–
 36    I,      22|     importun.~ ~ ~– Allons, allons, Jean, dit mademoiselle Chon,
 37    I,      22|                    Voyez-vous ! fit Jean.~ ~ ~– Laissez-moi descendre
 38    I,      22|            mon petit gendarme, cria Jean ; vous êtes bien fier à
 39    I,      22|         Philippe de Taverney ! cria Jean en essayant de saisir l’
 40    I,      22|                Bon voyage, monsieur Jean du Barry, dit-il.~ ~ ~ ~
 41    I,      22|                Ah ! c’est vrai, dit Jean, nous n’avons pas déjeuné.
 42    I,      23|     mademoiselle Chon et le vicomte Jean courant la poste sur la
 43    I,      23|            Barry par la grâce de M. Jean du Barry, son ancien protecteur,
 44    I,      23|       celle-ci.~ ~ ~– Ni du vicomte Jean ?~ ~ ~– Non plus.~ ~ ~–
 45    I,      23|             deux heures, le vicomte Jean, dont vous aviez besoin
 46    I,      24|         Pauvre frère !~ ~ ~– Pauvre Jean !~ ~ ~– Crois-tu qu’il faudra
 47    I,      24|            l’agresseur de ce pauvre Jean.~ ~ ~– Oui, c’est cela,
 48    I,      24|         accident arrivé à ce pauvre Jean.~ ~ ~ ~Les courtisans se
 49    I,      26|  antagoniste, que le pauvre vicomte Jean a failli être assassiné.~ ~ ~–
 50    I,      26|               Madame la dauphine et Jean du Barry, dit le roi, cela
 51    I,      26|      pourquoi s’est-il battu contre Jean que j’aime ? Parce que je
 52    I,      26|             de ce que M. le vicomte Jean du Barry, qui voyageait
 53    I,      26|            pure. Oui, M. le vicomte Jean du Barry a fait cette insulte
 54    I,      26|          demanda le roi. Je connais Jean ; il est doux comme un agneau.~ ~ ~–
 55    I,      26|           par accident, sire, et M. Jean du Barry a insulté la dauphine
 56    I,      26|      demandez-vous aussi la tête de Jean ?~ ~ ~– Non, sire, je ne
 57    I,      26|             On n’a point commencé : Jean est un balourd, mais il
 58    I,      26|             ne me regarde pas ; que Jean fasse des excuses, il est
 59    I,      29|      venaient au secours du vicomte Jean.~ ~ ~ ~Ne pouvant trouver
 60    I,      30|             Non.~ ~ ~– Ni son frère Jean ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~– Ni son
 61    I,      30|       annonça :~ ~ ~– M. le vicomte Jean du Barry !~ ~ ~ ~À ces mots,
 62    I,      30|       précédant notre connaissance, Jean du Barry, qui fit son entrée
 63    I,      30|        vieille dame à M. le vicomte Jean du Barry.~ ~ ~ ~Du Barry
 64    I,      30|          pour ma sœur, dit tout bas Jean à M. de Maupeou ; merci,
 65    I,      30|            toute gonflée d’orgueil. Jean fit un signe et l’on partit.~ ~ ~ ~
 66    I,      30|             qu’on la dérange.~ ~ ~ ~Jean s’approcha de Zamore, qui
 67    I,      30|          cette délicieuse retraite, Jean du Barry était allé trouver
 68    I,      31|             Permettez, ma sœur, dit Jean demeuré debout, permettez
 69    I,      31|         plein de reconnaissance sur Jean et tendit à la comtesse
 70    I,      31|           déduction est admise, dit Jean.~ ~ ~– Ah ! le croyez-vous,
 71    I,      31|           il l’eût dit, interrompit Jean.~ ~ ~ ~Mais vous n’avez
 72    I,      31|       Saluces sont remboursés ? dit Jean.~ ~ ~– Oui, monsieur le
 73    I,      31|            air pénétré, savez-vous, Jean, que cette déduction, comme
 74    I,      31|      Terriblement, oui, madame, dit Jean.~ ~ ~– Terriblement pour
 75    I,      31|             mais c’est logique, dit Jean. Il ne devait plus rien
 76    I,      31|           Autrefois, dit le vicomte Jean, dans un cas pareil, on
 77    I,      31|             importe, n’importe, dit Jean, je suis convaincu que si
 78    I,      31|          mon Dieu, oui, décidé, dit Jean.~ ~ ~– Et quand aura lieu
 79    I,      31|           mais j’y pense !… s’écria Jean.~ ~ ~– À quoi ? demanda
 80    I,      31|            si vous saviez, continua Jean, quelle grâce le roi a mise
 81    I,      31|          Dieu ! s’écria tout à coup Jean en se soulevant sur son
 82    I,      31|         sollicitude.~ ~ ~– Non, dit Jean en se laissant doucement
 83    I,      31|             juste, c’est juste, dit Jean ; mais…~ ~ ~– Quoi ?~ ~ ~–
 84    I,      31|         anxiété les monosyllabes de Jean.~ ~ ~– Vous avez dit oui,
 85    I,      31|              Nous y sommes ! répéta Jean.~ ~ ~ ~Les oreilles s’ouvrirent,
 86    I,      31|             les yeux se dilatèrent, Jean rapprocha son fauteuil des
 87    I,      31|            de la bonne volonté, dit Jean.~ ~ ~– S’il ne s’agit que
 88    I,      31|     pareilles supercheries ? reprit Jean. Ah ! par exemple ! et qui
 89    I,      31|             ai encore un moyen, dit Jean.~ ~ ~– Un moyen ?~ ~ ~–
 90    I,      31|               Raillerie à part, dit Jean. Voyons, petite sœur, vous
 91    I,      31|           en parlons plus.~ ~ ~ ~Et Jean se leva.~ ~ ~– Oh ! monsieur,
 92    I,      31|              vous comprenez, reprit Jean avec une indifférence parfaitement
 93    I,      31|                    Tandis, continua Jean, tandis que madame, qu’on
 94    I,      31|              J’en réponds, moi, dit Jean ; et le moins qu’il puisse
 95    I,      31|           Voyons, récapitulons, dit Jean, qui voulait donner à l’
 96    I,      31|             je vous accompagne, dit Jean offrant son bras à la comtesse.~ ~ ~–
 97    I,      31|       demeurez, je vous prie.~ ~ ~ ~Jean insista.~ ~ ~– Jusqu’au
 98    I,      31|           de l’escalier, le vicomte Jean quitta le bras de madame
 99    I,      31|         elle aperçut les signaux de Jean.~ ~ ~ ~Elle suivit la direction
100    I,      33|              sire ; c’est le pauvre Jean qui l’a rapportée des enfers,
101    I,      34|            cette affaire du vicomte Jean avec le baron de Taverney ?~ ~ ~–
102    I,      34|       donnerait cent mille livres à Jean, à condition que celui-ci
103    I,      34|       fenêtre.~ ~ ~ ~Un courrier de Jean du Barry sautait à bas d’
104    I,      34|            tout comme devant,~ ~ ~« Jean »~ ~ ~– Qu’est-ce ? fit
105    I,      35|          paragraphe de la lettre de Jean, cachait dans le boudoir
106    I,      35|           carrosse était le vicomte Jean en compagnie d’un procureur,
107    I,      35|             il aperçut la comtesse, Jean laissa son procureur, sauta
108    I,      35|             le crois, comtesse, dit Jean, je le crois : c’est un
109    I,      35|       comtesse, vous me désespérez, Jean.~ ~ ~– Je ne désespère pas,
110    I,      35|             rien, dit la comtesse à Jean, vous savez cela mieux que
111    I,      35|           mieux que personne.~ ~ ~ ~Jean grimaça un mauvais sourire.~ ~ ~–
112    I,      35|             dire ; allez !~ ~ ~ ~Et Jean se rangea pour laisser passer
113    I,      35|          grande salle, elle aperçut Jean qui, sans doute pour ne
114    I,      35|           donc vainqueurs ? demanda Jean.~ ~ ~– Un autre mot. Mais
115    I,      35|             ne bouge pas d’ici, dit Jean.~ ~ ~– Et moi, je cours
116    I,      35|        Marly.~ ~ ~– C’est égal, dit Jean en suivant de l’œil le carrosse,
117    I,      37|                   Depuis la veille, Jean du Barry, Chon et Dorée
118    I,      37|          harcelait les couturières. Jean, qui avait le département
119    I,      37|                 Vers quatre heures, Jean du Barry rentra pâle, agité,
120    I,      37|                   Vous en êtes sur, Jean ?~ ~ ~– J’ai fait hier le
121    I,      37|      confirmer tout ce qu’avait dit Jean.~ ~ ~– Merci, mes braves
122    I,      37|                    Petite sœur, fit Jean, vous avez les yeux battus ;
123    I,      37|           été tant parlé. Le mot de Jean du Barry : « Nous coûtons
124    I,      37|          cinquante louis donnés par Jean du Barry au coiffeur de
125    I,      37|           robe.~ ~ ~– En effet, dit Jean, elle demeure rue du Bac,
126    I,      37|             de questionner, s’écria Jean.~ ~ ~– Vous avez raison,
127    I,      37|            élança vers la comtesse, Jean se précipita sur la lettre.~ ~ ~ ~
128    I,      37|           pas de carrosse ! s’écria Jean ; il ne vient pas non plus,
129    I,      37|          cabinet de toilette.~ ~ ~ ~Jean était en train de trépigner
130    I,      37|            à la comtesse ?~ ~ ~ ~Et Jean ouvrit la porte d’une main
131    I,      37|       révérence.~ ~ ~– Ah ! s’écria Jean en sautant au cou du jeune
132    I,      37|       demain.~ ~ ~– Hum ! hum ! fit Jean, c’est qu’il y a coiffer
133    I,      37|          dans le cœur de Chon et de Jean.~ ~ ~– Ah ! vraiment ! dit
134    I,      37|              ma pauvre robe !~ ~ ~ ~Jean se frappa le front.~ ~ ~–
135    I,      37|            au suisse.~ ~ ~– Courez, Jean, courez, au nom du ciel.~ ~ ~ ~
136    I,      37|       courez, au nom du ciel.~ ~ ~ ~Jean se précipita par les montées,
137    I,      37|            cela, maroufle ? demanda Jean au suisse.~ ~ ~– Une femme,
138    I,      37|          cheval.~ ~ ~– Allons ! dit Jean, voilà une robe, c’est le
139    I,      37|                   Mais montez donc, Jean ! cria Chon ; ma sœur pâme
140    I,      37|        impatience.~ ~ ~– Tenez, dit Jean, regardez, voyez, admirez,
141    I,      37|              Mais au contraire, dit Jean, cela prouve que, si vous
142    I,      37|                  Et maintenant, dit Jean, j’y pense…~ ~ ~– Que pensez-vous ?~ ~ ~–
143    I,      37|               Allons ! allons ! dit Jean, comédie que cette histoire
144    I,      37|           mordieu ! c’est vrai, dit Jean, et cette canaille de Francian
145    I,      37|             parole ?~ ~ ~– Non, dit Jean, non, le voilà.~ ~ ~– Et
146    I,      37|          sera resté à la porte, dit Jean. Le suisse va ouvrir, il
147    I,      37|         entre pas, c’est cela ! dit Jean.~ ~ ~ ~Puis, sautant à la
148    I,      37|           pas duré une heure.~ ~ ~ ~Jean fit entrer le carrosse dans
149    I,      37|             sonnent.~ ~ ~– Lâchez ! Jean, lâchez ! cria la comtesse.~ ~ ~ ~
150    I,      37|             cria la comtesse.~ ~ ~ ~Jean retomba dans un fauteuil.~ ~ ~–
151    I,      37|         suis monté dedans, répondit Jean ; il est garni de satin
152    I,      37|                 Allons, allons, dit Jean, qu’on prenne madame à quatre
153    I,      37|         étriller.~ ~ ~ ~Pendant que Jean surveillait cette délicate
154    I,      37|     dernière crainte que le vicomte Jean monta à son tour dans le
155    I,      39|             fille.~ ~ ~– Chut ! dit Jean, voici notre ami le duc
156    I,      39|             père ! dirent à la fois Jean et la comtesse en se baissant
157    I,      39|             maison.~ ~ ~– Bah ! dit Jean, nous le retrouverons, maintenant
158   II,      41|             Parce que M. le vicomte Jean a eu tort.~ ~ ~– Et en quoi
159   II,      61|            fusse mal reçu, moi, dit Jean en poussant la porte avec
160   II,      61|                  Il arriverait, dit Jean, que je ne reviendrais plus.~ ~ ~–
161   II,      61|                  Ne m’en parle pas, Jean, elle est inabordable. Ah !
162   II,      61|          Bonjour, mon chocolat, dit Jean en prenant le plateau ;
163   II,      61|            faire signe de la tête à Jean qu’il pouvait déjeuner tout
164   II,      61|          occupe donc ? Dites.~ ~ ~ ~Jean ne bougea point ; il faisait
165   II,      61|          prête-moi mille louis, dit Jean : j’en ai grand besoin.~ ~ ~–
166   II,      61|            mourir de chagrin.~ ~ ~ ~Jean, sans s’occuper le moins
167   II,      61|          moins il s’en doute.~ ~ ~ ~Jean leva la tête.~ ~ ~– On me
168   II,      61|            qui occupe le roi.~ ~ ~ ~Jean se remplit hermétiquement
169   II,      61|              Vous vous trompez, dit Jean, je ne me suis pas couché.~ ~ ~–
170   II,      61|  gourgandinier ?~ ~ ~– Ma foi ! dit Jean, j’ai couru toute la nuit
171   II,      61|               Où elle est ? demanda Jean.~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– À Paris,
172   II,      61|            Armenonville.~ ~ ~– Ah ! Jean, Jean, s’écria la comtesse,
173   II,      61|      Armenonville.~ ~ ~– Ah ! Jean, Jean, s’écria la comtesse, voilà
174   II,      61|              répéta flegmatiquement Jean.~ ~ ~– Eh bien, rue Coq-Héron,
175   II,      61|          vite courir rue Coq-Héron, Jean, louer une maison. On y
176   II,      61|                    Il est loué, dit Jean.~ ~ ~– Homme admirable !
177   II,      61|      comtesse. Tiens, embrasse-moi, Jean.~ ~ ~ ~Jean s’essuya la
178   II,      61|           embrasse-moi, Jean.~ ~ ~ ~Jean s’essuya la bouche, embrassa
179   II,      61|            C’est bien heureux ! dit Jean.~ ~ ~– On ne vous a pas
180   II,      61|        Belle au Bois dormant.~ ~ ~ ~Jean et la comtesse savaient
181   II,      61|          Diable ! au contraire, fit Jean ; défions-nous. C’est pour
182   II,      61|        après avoir serré la main de Jean, après avoir embrassé sa
183   II,      61|          embrassé sa sœur.~ ~ ~– Et Jean, pourquoi ne l’emmenez-vous
184   II,      61|          irai de mon côté, répondit Jean. Attends-moi rue Plâtrière,
185   II,      61|        logement.~ ~ ~ ~Chon partit, Jean se remit à table et avala
186   II,      61|        donnant sur le jardin.~ ~ ~ ~Jean n’avait pas commis d’erreur ;
187   II,      62|             peine, quand le vicomte Jean, montant les escaliers quatre
188   II,      62|      demanda-t-il.~ ~ ~– C’est toi, Jean ? En vérité, tu m’as fait
189   II,      62|                    Oui, certes, dit Jean ; je suis son débiteur d’
190   II,      62|       craindre.~ ~ ~– Aussi, reprit Jean, suis-je convenu avec moi-même,
191   II,      62|            Quand je vous le disais, Jean, elle ne lit pas, elle rêve.~ ~ ~–
192   II,      62|                    En tout cas, dit Jean, si elle a un amant, nous
193   II,      62|            tête.~ ~ ~– Ma sœur, dit Jean, ne nous donnons plus la
194   II,      63|      lecture, on annonça le vicomte Jean du Barry.~ ~ ~– Bon ! pensa
195   II,      63|        vicomte dans le salon.~ ~ ~ ~Jean, déjà fatigué de sa matinée,
196   II,      63|          entretien.~ ~ ~ ~En effet, Jean paraissait radieux.~ ~ ~ ~
197   II,      63|                   D’abord, répliqua Jean habitué avant toute chose
198   II,      63|           vaut pas grand-chose, dit Jean en secouant la tête.~ ~ ~–
199   II,      63|           ne vous doutez pas.~ ~ ~ ~Jean, quoique persuadé que le
200   II,      63|               J’ai une voiture, dit Jean.~ ~ ~– Merci, j’aime mieux
201   II,      63|             tête.~ ~ ~– Faites, dit Jean.~ ~ ~ ~M. de Sartine appela
202   II,      63|             demanda M. de Sartine à Jean.~ ~ ~– Pardieu ! je la vois
203   II,      63|            glaces.~ ~ ~– Tenez, dit Jean, c’est cette maison sale.~ ~ ~–
204   II,      63|           fond de la voiture.~ ~ ~ ~Jean obéit, et M. de Sartine
205   II,      63|          homme. »~ ~– Ah ! ah ! fit Jean.~ ~ ~– Avec un jeune homme,
206   II,      64|                   Il en parle comme Jean Bart.~ ~ ~– Le fait est
207   II,      77|            nous avons vu le vicomte Jean du Barry absorber, au grand
208   II,      79|          dix heures.~ ~ ~ ~Le comte Jean, tout chamarré, tout éblouissant,
209   II,      79|           vouloir remarquer combien Jean du Barry était pâle et combien
210   II,      79|         cette phrase à l’adresse de Jean, qui perdait contenance.~ ~ ~–
211   II,      79|            joués, dit le maréchal à Jean.~ ~ ~– Où vont-ils ?~ ~ ~–
212   II,      79|           Mille tonnerres ! murmura Jean. Ah ! pardon, monsieur le
213   II,      81|           poudre du chasseur.~ ~ ~ ~Jean et le maréchal de Richelieu,
214   II,      81|             sans se déranger.~ ~ ~ ~Jean fit rouler Zamore sur le
215   II,      81|     extermine vous-même, poursuivit Jean avec des yeux qui flamboyaient,
216   II,      81|            grondement de la voix de Jean, elle avait senti un malheur
217   II,      81| demanda-t-elle effrayée de voir que Jean s’était vautré tout du long
218   II,      81|                 Il y a, il y a, dit Jean, parbleu ! il y a toujours
219   II,      81|                 Eh bien, quoi ? dit Jean.~ ~ ~– Eh bien, c’est demain
220   II,      81|            s’est moqué de nous, dit Jean furieux.~ ~ ~– C’est impossible,
221   II,      81|                   Allons donc ! fit Jean avec un tour d’épaules plus
222   II,      81|        comtesse ? Demandez au comte Jean.~ ~ ~– Non, pardieu ! nous
223   II,      81|           irai pas.~ ~ ~– Bon ! dit Jean.~ ~ ~– Un moment ! s’écria
224   II,      81|        devenir vertueux ! s’exclama Jean saisi d’horreur.~ ~ ~– Qui
225   II,      81|            guerre.~ ~ ~– Mais vous, Jean, que faites-vous ? Voyons,
226   II,      81|           elle remit sans compter à Jean, lequel, sans compter aussi,
227   II,      81|           homme accablé de fatigue, Jean fit trois pas dans la chambre.~ ~ ~–
228   II,      81|               Tenez, allez-vous-en, Jean, vous me faites horreur.~ ~ ~ ~
229   II,      81|            me faites horreur.~ ~ ~ ~Jean dévalisa trois bonbonnières,
230  III,      86|             Richelieu et le vicomte Jean du Barry, tous deux calmes
231  III,      86|            dur, mon pauvre duc, fit Jean.~ ~ ~– Que voulez-vous,
232  III,      86|              Voici le duc ! s’écria Jean, qui faisait sentinelle
233  III,      86|          traverse la cour, continua Jean.~ ~ ~– Seul ?~ ~ ~– Absolument
234  III,      86|             ai le frisson, répondit Jean.~ ~ ~ ~Il n’avait pas achevé,
235  III,      86|        avoir bien lu, duc ? demanda Jean.~ ~ ~– Parbleu !~ ~ ~– Et
236  III,      87|             Barry avait sa police ; Jean savait, à un baron près,
237  III,      89|           avec les indiscrétions de Jean du Barry, pour que toute
238  III,      89|             la bienveillance, était Jean du Barry, ni plus ni moins.~ ~ ~ ~
239  III,      89|         surprise et de dépit.~ ~ ~ ~Jean vit ce geste, reconnut cette
240  III,      90|      Chapitre XC~ Désenchantement~ ~Jean, furieux de cette sortie
241  III,      90|        chemins pour cela… Oui, mais Jean est là, et Jean voit clair.~ ~ ~–
242  III,      90|           Oui, mais Jean est là, et Jean voit clair.~ ~ ~– Vous croyez
243  III,      90|             d’épée dans l’épaule de Jean… de ce pauvre Jean.~ ~ ~–
244  III,      90|        épaule de Jean… de ce pauvre Jean.~ ~ ~– À vous ? c’est un
245  III,      90|             Sans doute, interrompit Jean. Oh ! les parlements vont
246  III,      90|       Miraculeux en effet, mon cher Jean !~ ~ ~– Et vous voilà tous
247  III,      90|     reprenant toutes les paroles de Jean.~ ~ ~ ~D’Aiguillon rougit.~ ~ ~–
248  III,      90|          Que diable dit-il là ? fit Jean, qui se croisait les bras.~ ~ ~–
249  III,      90|         Mais, en attendant, s’écria Jean, il est assez payé comme
250  III,      90|            Aiguillon à pâlir.~ ~ ~ ~Jean regardait les beaux Murillo
251  III,      90|              lorsqu’il fut parti, à Jean qui ne savait trop à quoi
252  III,      90|           Et puis il vous aime, dit Jean.~ ~ ~– Comme un mouton.~ ~ ~–
253  III,      90|                  Eh ! mon Dieu, dit Jean, c’est plutôt votre fils
254  III,      90|        payerez !…~ ~– Maréchal, dit Jean avec finesse, nous allons
255  III,      90|         nous quatre ? Cher monsieur Jean, comment comprenez-vous
256  III,      90|         rivales à présent ! s’écria Jean ivre de ses plans et de
257  III,      90|           le maréchal en envoyant à Jean son plus gracieux sourire
258  III,      90|        comme caresse d’adieu.~ ~ ~ ~Jean partit. Rafté rentra. Il
259  III,      96|        écrivait mythologiquement M. Jean du Barry à sa sœur.~ ~ ~ ~
260  III,      96|             chevau-légers.~ ~ ~ ~M. Jean du Barry l’avait formulé
261  III,      98|             Mademoiselle Chon et M. Jean du Barry font des gorges
262  III,     104|          depuis Darius jusqu’au roi Jean, depuis Régulus jusqu’à
263  III,     113|           pas la tête perdue.~ ~ ~ ~Jean, fort lugubre, et le chapeau
264  III,     113|             sa triste pensée.~ ~ ~ ~Jean avait vu sa sœur pâlie et
265  III,     113|           que le péril était grand. Jean n’était brave en diplomatie
266   IV,     139|       couper l’herbe sous le pied à Jean du Barry, c’est-à-dire au
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