Tome,  Chap.

  1    I,  IntIII|           grand maître.~ ~ ~– Parle, frère, dit le grand Cophte, sans
  2    I,  IntIII|          physionomies, très illustre frère, dit-il, moi je lis dans
  3    I,  IntIII|            Attendez donc. Pour vous, frère, au moins, l’attente ne
  4    I,  IntIII|               Je te l’ordonne, à toi frère de Suède, à toi frère d’
  5    I,  IntIII|            toi frère de Suède, à toi frère d’Écosse, à toi frère d’
  6    I,  IntIII|            toi frère d’Écosse, à toi frère d’Amérique, à toi frère
  7    I,  IntIII|              frère d’Amérique, à toi frère de Suisse, à toi frère d’
  8    I,  IntIII|           toi frère de Suisse, à toi frère d’Espagne, et à toi frère
  9    I,  IntIII|            frère d’Espagne, et à toi frère de Russie, LILIA PEDIBUS
 10    I,       4|            dans la maison à titre de frère de lait de cette jeune personne,
 11    I,       6|           étaient frères ! – Moi, le frère d’un Mozambique !~ ~ ~–
 12    I,       6|            La sœur est un ange et le frère un apôtre ! Buvez donc,
 13    I,       9|             Maison-Rouge ?~ ~ ~– Mon frère Philippe.~ ~ ~– Pourquoi
 14    I,       9|                  Et vous aimez votre frère ?~ ~ ~– Oh ! oui, beaucoup !
 15    I,       9|           voyiez la chambre de votre frère.~ ~ ~– Je ne vois rien.
 16    I,       9|             C’est ce que demande mon frère… Oh ! mon Dieu ! c’est à
 17    I,      10|           que, si vous aviez été mon frère, je vous eusse aimé, moi.
 18    I,      12|        grognement de joie.~ ~ ~– Mon frère ! mon frère ! exclama Andrée
 19    I,      12|          joie.~ ~ ~– Mon frère ! mon frère ! exclama Andrée en lui
 20    I,      12|          joyeuse de l’arrivée de son frère, se précipitait à sa rencontre,
 21    I,      13|             en murmurant :~ ~ ~– Mon frère ! mon bon frère !~ ~ ~–
 22    I,      13|                  Mon frère ! mon bon frère !~ ~ ~– Mon frère ! mon
 23    I,      13|            mon bon frère !~ ~ ~– Mon frère ! mon bon frère ! répétait
 24    I,      13|                  Mon frère ! mon bon frère ! répétait le baron ; elle
 25    I,      13|                    Tu dis donc, cher frère, que c’est par Strasbourg
 26    I,      13|            faire pitié.~ ~ ~– Pauvre frère ! murmura Andrée.~ ~ ~–
 27    I,      13|                eh !~ ~ ~– Mais, cher frère, dit Andrée, je ne vois
 28    I,      15|              mère Marie-Thérèse, mon frère Joseph, ma sœur Caroline.~ ~ ~–
 29    I,      16|            le signe convenu avec mon frère M. de Choiseul, indiquant
 30    I,      16|           Elle vous est bien due… Le frère défendra le roi aux armées,
 31    I,      21|         repoussé rudement.~ ~ ~– Mon frère ! mon frère ! cria mademoiselle
 32    I,      21|      rudement.~ ~ ~– Mon frère ! mon frère ! cria mademoiselle Chon.~ ~ ~–
 33    I,      21|                     Ah ! c’était son frère, murmura Gilbert en respirant
 34    I,      22|               Comment ! vous êtes le frère de celle… ?~ ~– Qui vous
 35    I,      22|         était arrivé.~ ~ ~– Partons, frère, partons, dit Chon en entraînant
 36    I,      22|           vous ne dérangerez pas mon frère.~ ~ ~ ~Et se penchant à
 37    I,      22|       répondit à l’invitation de son frère dans ce dialecte brillant
 38    I,      22|           pensa même point.~ ~ ~ ~Le frère et la sœur reprirent leur
 39    I,      22|             Joseph Balsamo.~ ~ ~ ~Le frère et la sœur se regardèrent.
 40    I,      22|            oui, semblait répondre le frère.~ ~ ~ ~
 41    I,      24|         est-il arrivé ?~ ~ ~– Pauvre frère !~ ~ ~– Pauvre Jean !~ ~ ~–
 42    I,      24|             homme s’est jeté sur mon frère, l’a forcé de mettre l’épée
 43    I,      24|              de Choiseul me tuer mon frère…~ ~ ~– Bon ! voilà que c’
 44    I,      24|             demande justice pour mon frère ; je n’accuse personne :
 45    I,      29|         comme l’avait dit Chon à son frère, voyageait rapidement vers
 46    I,      30|                    Non.~ ~ ~– Ni son frère Jean ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~–
 47    I,      30|         enfin seule avec Chon et son frère, lequel ne s’était pas montré
 48    I,      30|               J’ai déjà remercié mon frère, madame, dit-elle, lorsqu’
 49    I,      31|              en se tournant vers son frère d’un air pénétré, savez-vous,
 50    I,      31|                   Écoutez donc, cher frère, il y a trois cents ans
 51    I,      31|                  Là, vous voyez, mon frère, dit la comtesse avec un
 52    I,      31|           mouvement de dépit que son frère calma d’un signe.~ ~ ~–
 53    I,      31|            avancer la voiture de mon frère.~ ~ ~ ~Zamore partit comme
 54    I,      31|              un peu courte.~ ~ ~ ~Le frère et la sœur regardaient par
 55    I,      34|  Instructions du capucin de Raguse à frère Perduicloso partant pour
 56    I,      35|           carrosse de monsieur votre frère.~ ~ ~– Avant de monter dans
 57    I,      35| Permettez-vous qu’à trois heures mon frère vienne vous prendre avec
 58    I,      37|           Mais remuez-vous donc, mon frère !~ ~ ~– Me remuer, moi !
 59    I,      39|         défier de la sœur que moi du frère.~ ~ ~– Vous êtes fou.~ ~ ~–
 60   II,      40|              l’accident arrivé à son frère à l’auberge de la Chaussée,
 61   II,      41|          propos de son duel avec mon frère.~ ~ ~– Je dirais ce que
 62   II,      42|            droit de partager. Si mon frère qui a trop de pain pour
 63   II,      42|              moins cependant que mon frère ne me dise : « Cette part
 64   II,      49|        Andrée, Andrée, appelez votre frère, qui est là tout près.~ ~ ~ ~
 65   II,      49|      Philippe.~ ~ ~– Absolument, mon frère, et je ne comprends rien
 66   II,      50|             ai de plus ma mère et un frère aîné. En France, m’a-t-on
 67   II,      50|             faire l’éducation de mon frère, qui étudie, comme disait
 68   II,      50|             s’imposer pour aider mon frère, et que l’on résolut de
 69   II,      50|            plat même, j’avais vu mon frère attirer une aiguille avec
 70   II,      50|          avec un autre homme que mon frère, moi qui depuis lors n’avais
 71   II,      50|               mon père, ma mère, mon frère.~ ~ ~« Ils venaient pour
 72   II,      50|               mon père, ma mère, mon frère, cette voisine de la via
 73   II,      53|         malheur. Ce qu’a compris son frère, elle ne l’a pas compris,
 74   II,      57|     aimez-moi comme un ami, comme un frère. J’ai de grands chagrins,
 75   II,      61|            Demande-le à monsieur ton frère, qui est violet de chocolat
 76   II,      61|          visiblement le parti de son frère pour passer dans le camp
 77   II,      61|                  Le logement que mon frère a  louer pour nous, madame,
 78   II,      62|            dit le vicomte.~ ~ ~– Mon frère, ne rions pas, dit Chon ;
 79   II,      62|        armoire, Sylvie, et vous, mon frère, à notre observatoire !~ ~ ~ ~
 80   II,      62|        Regardez avec précaution, mon frère, dit-elle, regardez donc
 81   II,      66|                    Prenez garde, mon frère, vous allez vous faire tuer ;
 82   II,      66|            votre toilette.~ ~ ~– Mon frère, dit Andrée, ne pourrais-je
 83   II,      66|          ouvrit devant Andrée et son frère, et un bon bourgeois, possesseur
 84   II,      67|             artifice~ ~Andrée et son frère étaient à peine établis
 85   II,      67|             se cabra. Andrée vit son frère retomber, fléchir et disparaître ;
 86   II,      69|          protection de l’homme et du frère ?~ ~ ~ ~Que lui, le baron,
 87   II,      73|                  Chapitre LXXIII~ Le frère et la sœur~ ~Gilbert entendait
 88   II,      73|   Miraculeusement, c’est le mot, mon frère.~ ~ ~– Mais, à propos de
 89   II,      73|            que voulez-vous dire, mon frère ? demanda Andrée avec une
 90   II,      73|            Dieu ! vous le savez, mon frère, nous fûmes séparés à vingt
 91   II,      73|         après vous avoir quitté, mon frère.~ ~ ~– C’est cela, poursuivit
 92   II,      73|            en serrant la main de son frère, merci. Il y a trois jours,
 93   II,      73|             dont je me souviens, mon frère.~ ~ ~ ~Philippe calcula
 94   II,      73|      conversation d’Andrée et de son frère, un moment écartée par cet
 95   II,      73|             étincelant ! Hélas ! mon frère, que nous sommes obscurs
 96   II,      73|          est-ce pas ?~ ~ ~– Oui, mon frère.~ ~ ~– À la bonne heure,
 97   II,      73|                   Bonsoir aussi, mon frère, fit Andrée, je suis brisée
 98  III,      83|            elle parlait :~ ~ ~« Cher frère,~ ~ ~« Comme je l’avais
 99  III,      84|             position et celle de son frère par une lettre de cette
100  III,      84|           Grammont avait écrit à son frère ?~ ~ ~– Je vous affirme,
101  III,      86|           Est-il défendu, sire, à un frère et à une sœur de correspondre ?~ ~ ~–
102  III,     101|              par le couloir avec son frère, la maréchale de Mirepoix
103  III,     103|            la réception d’un nouveau frère.~ ~ ~– Vous ne vous étonnerez
104  III,     103|          paru inutiles aux chefs. Le frère qu’il s’agit de recevoir
105  III,     103|              cette entreprise.~ ~ ~– Frère, dit-il avec autorité au
106  III,     103|             oui ; de blâmer, non. Le frère qui va entrer dans l’association
107  III,     103|             que vous m’élisiez votre frère ; mort, je ne vous servirais
108  III,     103|              soyez quelque chose, ce frère que vous admettez aujourd’
109  III,     103|              tournant vers Marat, ce frère aura payé son tribut à la
110  III,     103|          Vous vous trompez, illustre frère, dit une voix suave et pénétrante
111  III,     103|       répondit l’assemblée.~ ~ ~– Le frère récipiendaire vous paraît-il
112  III,     103|              y serais inutile.~ ~ ~– Frère, dit l’inconnu à la voix
113  III,     103|      combinaison de l’esprit humain. Frère, ne cédez pas à un moment
114  III,     103|            Veuillez lire la formule, frère vénérable, dit Marat.~ ~ ~ ~
115  III,     103|       vénérable, dit Marat.~ ~ ~ ~Le frère vénérable lut, en effet,
116  III,     103|           Vous êtes un homme, non un frère, vous êtes un homme d’honneur
117  III,     104|          glisse partout, répliqua un frère qui n’était autre que le
118  III,     104|        supérieurs. Or, chez nous, le frère obscur ne sait rien.~ ~ ~«
119  III,     104|                  Je vous interromps, frère, dit Balsamo. Vous abandonnez
120  III,     104|            préoccuper. Votre défaut, frère, c’est d’exagérer le zèle
121  III,     104|                 Encore une fois, mon frère, vous vous éloignez des
122  III,     104|          inexpérience.~ ~ ~– Parlez, frère, dit-il à Marat, qui s’agitait
123  III,     104|              imagées que les leurs ! Frère, frère ! continua-t-il en
124  III,     104|       imagées que les leurs ! Frère, frère ! continua-t-il en s’adressant
125  III,     110|        hommes.~ ~ ~– Arrêtez-le, mon frère, dit le prince toujours
126  III,     114|          fille se jeta au cou de son frère, et tous deux rentrèrent
127  III,     114|            se retenir au bras de son frère.~ ~ ~– Mon Dieu ! demanda
128  III,     114|                et où allez-vous, mon frère ?~ ~ ~– Ma garnison est
129  III,     114|            épaules et, dirigeant son frère vers l’escalier :~ ~ ~–
130  III,     114|              choses à vous dire, mon frère.~ ~ ~ ~Ces mots étaient
131  III,     114|           Andrée s’arrêta devant son frère.~ ~ ~– Alors, Philippe,
132  III,     114|        moi-même ? Voyons, dites, mon frère, comment expliquez-vous
133  III,     114|           parler. Nous ne sommes pas frère et sœur seulement par l’
134  III,     114|             douloureuses chimères un frère si tendrement aimé, alors
135  III,     114|              embrassa tendrement son frère en lui dérobant une dernière
136  III,     114|       infinie qui tient à la fois du frère et du père.~ ~ ~– Andrée,
137  III,     114|           emparant de la main de son frère :~ ~ ~– Ainsi donc, dit-elle
138  III,     114|               ainsi donc, adieu, mon frère…~ ~ ~ ~Philippe l’embrassa
139  III,     116|           que, mon père, vous et mon frère, vous avez besoin de tout
140  III,     116|              nacrées.~ ~ ~– Oh ! mon frère, murmura-t-elle tout bas,
141  III,     116|     contribuer à la fortune de votre frère et à la mienne ?~ ~ ~– Oh !
142  III,     118|               Andrée toujours de son frère, Taverney toujours d’Andrée.~ ~ ~ ~
143  III,     120|              depuis le départ de son frère ; et pourtant la douleur
144  III,     120|         Philippe, elle ramena sur ce frère chéri la totalité des impressions
145   IV,     133|          compris, à ce qu’il paraît, frère, dit le président, ou plutôt
146   IV,     133|    obsédaient.~ ~ ~– Te souvient-il, frère, continua le président,
147   IV,     133|      affirmatif.~ ~ ~– J’ai donc, en frère plein de loyauté, de bienveillance,
148   IV,     136|            fils de l’un, sire, et du frère de l’autre. Je veux parler
149   IV,     138|         chose pour moi et pour votre frère ? Dites.~ ~ ~– Monsieur,
150   IV,     138|             promis un régiment à mon frère ; nous absorbons ainsi une
151   IV,     138|          croupir votre père et votre frère dans l’obscurité de l’oubli,
152   IV,     138|             roi, dites-lui que votre frère attend son brevet, et que
153   IV,     139|            colonel, ni capitaine, ni frère de favorite ; mais il lui
154   IV,     141|                    Chapitre CXLI~ Le frère et la sœur~ ~Philippe trouva
155   IV,     141|              se pendre au cou de son frère.~ ~ ~– Vous, vous, Philippe !
156   IV,     141|          donc avez-vous vu cela, mon frère ? Je ne suis pas même indisposée ;
157   IV,     141|             se retenir au cou de son frère, sa main glissa raide et
158   IV,     142|              vous voulez cacher à un frère ? Docteur, je vous en supplie,
159   IV,     143|              de s’inquiéter pour son frère et de lui demander comment
160   IV,     143|       Philippe.~ ~ ~– Mon Dieu ! mon frère, demanda Andrée, je suis
161   IV,     143|        envahi par l’amour.~ ~ ~– Mon frère, mon ami, fit Andrée de
162   IV,     143|          crue capable vis-à-vis d’un frère, d’un ami.~ ~ ~– Mon frère,
163   IV,     143|           frère, d’un ami.~ ~ ~– Mon frère, mon ami, dit Andrée, je
164   IV,     143|            son côté, considérait son frère avec stupeur et se glaçait
165   IV,     143|           son bras sous celui de son frère.~ ~ ~ ~Alors, le regardant
166   IV,     143|        sombre et menaçante figure du frère ; sitôt qu’à la place d’
167   IV,     144|       revenant, qu’au désir de votre frère ?~ ~ ~– Monsieur, répondit
168   IV,     144|       Monsieur, répondit Andrée, mon frère est rentré en m’annonçant
169   IV,     144|        inclina.~ ~ ~– Monsieur votre frère, continua-t-il, paraît très
170   IV,     144|            avais vu le visage de mon frère s’assombrir et prendre le
171   IV,     144|       Monsieur, encore une fois, mon frère n’est point là pour me défendre,
172   IV,     144|              parce que je suis votre frère, parce que j’ai eu la faiblesse
173   IV,     144|    maintenant, je ne suis plus votre frère, puisque vous m’avez dénié
174   IV,     144|       trouver, je vais l’appeler mon frère. Tu ne dis rien ; mais un
175   IV,     144|              m’appelleras-tu pas ton frère ?~ ~ ~ ~Andrée avait écouté
176   IV,     144|             ne t’aimais plus, pauvre frère ! tu as pensé que j’avais
177   IV,     145|             de perplexités.~ ~ ~ ~Le frère ! le frère appelé ! c’était
178   IV,     145|     perplexités.~ ~ ~ ~Le frère ! le frère appelé ! c’était donc bien
179   IV,     145|   témoignerais, au besoin, devant le frère et, malgré toutes les dénégations
180   IV,     148|                  Ah ! c’est toi, mon frère ?~ ~ ~– Vous voyez, dit
181   IV,     148|                   Oui, tu as raison, frère, c’est un grand malheur
182   IV,     148|          lisait dans l’esprit de son frère.~ ~ ~ ~Philippe ne s’attendait
183   IV,     148|            Ah ! tu le sais bien, mon frère.~ ~ ~– Forcez-la de parler,
184   IV,     148|              vous comprends pas, mon frère.~ ~ ~ ~Philippe regarda
185   IV,     148|        continuez, dit Balsamo, votre frère veut tout savoir, mademoiselle ;
186   IV,     148|     mademoiselle ; il faut que votre frère sache tout. Après que cet
187   IV,     148|            est cet homme ?~ ~ ~– Mon frère ! mon frère !~ ~ ~ ~Et le
188   IV,     148|                      Mon frère ! mon frère !~ ~ ~ ~Et le visage d’Andrée
189   IV,     148|              il m’embrasse. Oh ! mon frère ! mon frère !~ ~ ~ ~De grosses
190   IV,     148|       embrasse. Oh ! mon frère ! mon frère !~ ~ ~ ~De grosses larmes
191   IV,     148|    machinalement.~ ~ ~– Attends, mon frère, attends !~ ~ ~ ~Et la jeune
192   IV,     148|          dressa dans les bras de son frère. Chaque muscle de son corps
193   IV,     148|             jusqu’à l’oreille de son frère, l’œil étincelant et la
194   IV,     148|              plomb et, regardant son frère avec des yeux étonnés :~ ~ ~–
195   IV,     148|         Louis, le docteur Louis, mon frère !~ ~ ~– Andrée ! s’écria
196   IV,     148|      consolant…~ ~ ~– Cependant, mon frère, dit Andrée, si je suis
197   IV,     148|             que tu m’épouvantes, mon frère ! que je souffre, Philippe !~ ~ ~–
198   IV,     150|            physionomie mobile de son frère.~ ~ ~– De qui voulez-vous
199   IV,     150|      abstenez vous.~ ~ ~– Alors, mon frère… il faut donc que je croie… ?~ ~–
200   IV,     150|            Comme il vous plaira, mon frère, répliqua Andrée toute frissonnante
201   IV,     151|       répondit encore rien.~ ~ ~– Le frère vous poursuivra, et la sœur
202   IV,     151|            Oui.~ ~ ~– Cependant, son frère est un homme de cœur que
203   IV,     151|   arriverait-il si tu demandais à ce frère d’épouser sa sœur ?~ ~ ~–
204   IV,     153|     par-dessus les murs.~ ~ ~– Votre frère, M. Philippe ?… balbutia
205   IV,     153|              ce n’est point de votre frère qu’il s’agit, mademoiselle ;
206   IV,     153|             personnes : devant votre frère Philippe, devant le comte
207   IV,     154|           avare et un ambitieux ; du frère, qui était un homme de cœur,
208   IV,     154|             cœur, et m’enverrait son frère pour me tuer ; mais qui
209   IV,     154|           une habitation paisible du frère et de la sœur.~ ~ ~ ~Philippe
210   IV,     155|             toucherai pas.~ ~ ~– Son frère ?~ ~ ~– Non plus ; son père
211   IV,     157|      dernière heure menace.~ ~ ~ ~Ce frère malheureux trouvait quelquefois
212   IV,     157|            remit aussitôt.~ ~ ~– Mon frère, dit-elle, je n’aurai pas
213   IV,     157|              deux bras au cou de son frère.~ ~ ~ ~Elle l’étreignit
214   IV,     158|          veut savoir si monsieur son frère est revenu ?~ ~ ~ ~On voyait
215   IV,     158|             vous réveiller… Mais mon frère, où est-il ? Voyez dans
216   IV,     158|              battement de cœur ; mon frère serait-il déjà ressorti
217   IV,     158|           dans la chambre.~ ~ ~– Bon frère !… que de peines, que de
218   IV,     158|                   Andrée regarda son frère avec des yeux effarés.~ ~ ~ ~
219   IV,     158|             un soupir, au cri de son frère, elle se laissa tomber sans
220   IV,     162|        chambre et vint embrasser son frère avec une tendresse joyeuse
221   IV,     162|             Andrée s’approcha de son frère, et, avec un tendre sourire :~ ~ ~–
222   IV,     162|              coup décisif.~ ~ ~– Mon frère, tu ne réponds pas ; explique-toi.~ ~ ~–
223   IV,     163|            elle chercha des yeux son frère et la colère qu’elle lut
224   IV,     163|           Andrée ; elle revint à son frère en courant, les bras ouverts ;
225   IV,     163|              arracha des bras de son frère et, soutenue par une sœur
226   IV,     164|            aies la chance de tuer le frère d’Andrée. Un crime de plus !…
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