Tome,  Chap.

  1    I,  IntIII|          maître ; il est encore mon ami, ami vénérable, car il a
  2    I,  IntIII|              il est encore mon ami, ami vénérable, car il a deux
  3    I,       1|          chose contre ce désir, mon ami ? dit le voyageur d’une
  4    I,       4|         vous nommez-vous, mon jeune ami ?~ ~ ~– Gilbert, monsieur.~ ~ ~–
  5    I,       4|            deux heures. Voyons, mon ami, cherchez bien, n’y a-t-il
  6    I,       4|           leur histoire à tous. Mon ami, conduisez-moi chez le baron
  7    I,       4|           ce baron de Taverney, mon ami ? dit-il.~ ~ ~– Oui, monsieur,
  8    I,       4|            comme vous le dites, mon ami, le baron met-il son argent
  9    I,       4|         bien envie d’apprendre, mon ami ? dit tout bas le voyageur.~ ~ ~–
 10    I,       4|           vous entendra jamais, mon ami ; frappez plus fort.~ ~ ~ ~
 11    I,       4|        votre baron en faveur de son ami le duc de Richelieu.~ ~ ~–
 12    I,       4|                   Pardon, pardon, l’ami, dit le voyageur ; mais
 13    I,       6|          gothique ; mais, voyez mon ami le maréchal, qui a des habits
 14    I,       6|       horreur.~ ~ ~– Le fils de son ami ?~ ~ ~– Et il a raison.~ ~ ~–
 15    I,       7|               c’est vous traiter en ami, mon cher hôte. Vous loger
 16    I,       7|        quelque chose à me dire, mon ami ? demanda Balsamo en s’approchant
 17    I,       7|      Balsamo ; et en quoi donc, mon ami.~ ~ ~– En ce que vous avez
 18    I,       7|                    Bien, merci, mon ami ; laissez-moi maintenant.~ ~ ~–
 19    I,       7| Retiendrez-vous bien tout cela, mon ami ?~ ~ ~– Oh ! oui certes :
 20    I,      18|                   Derrière, mon bel ami, répliqua Beausire avec
 21    I,      19|            n’y a pas de jambon, mon ami, répondit l’hôtesse, Voulez-vous
 22    I,      20|         donc pour parler ainsi, mon ami ? demanda-t-elle.~ ~ ~–
 23    I,      20|           Vous êtes bien jeune, mon ami, pour courir les grands
 24    I,      20|            je vous en félicite, mon ami. Mais il me semble qu’il
 25    I,      20|            de préférence, mon petit ami ?~ ~ ~– Madame, dit Gilbert,
 26    I,      20|          galères.~ ~ ~– Écoute, mon ami, arrange-toi comme tu pourras,
 27    I,      20|             avis…~ ~ ~– Donnez, mon ami, donnez, et, s’il est bon,
 28    I,      21|         chapeau.~ ~ ~– Fais vite, l’ami, le roi est très pressé.~ ~ ~ ~
 29    I,      21|           du monde :~ ~ ~– Mon cher ami, dit-il, je vais mettre
 30    I,      21|            de mauvaise affaire, mon ami ! en mission, il faut savoir
 31    I,      22|          vous allez me le dire, mon ami.~ ~ ~– Eh bien ! on veut
 32    I,      22|              Patrice, attelons, mon ami, et dépêchons-nous, car
 33    I,      22|            Dételez ces chevaux, mon ami, et reconduisez-les à leur
 34    I,      22|      soulagement.~ ~ ~– Faites, mon ami, faites, dit Chon. Postillon,
 35    I,      24|                  Eh bien ! mon cher ami, dit Louis XV, dans quinze
 36    I,      29|            Parce que c’est un grand ami des Saluces que M. le président
 37    I,      30|          raison de dire que je suis ami des Saluces ; mais vous
 38    I,      30|            le juge pense plus à son ami qu’à l’indifférent ; c’est
 39    I,      30|             vous me parlez comme un ami.~ ~ ~– Eh ! nous sommes
 40    I,      33|         Paris. Qu’il aille chez son ami, mon cousin Frédéric II.
 41    I,      37|          êtes coiffeur. Entrez, mon ami, entrez !~ ~ ~– Venez, mon
 42    I,      37|                  Ce ne peut être un ami, dit Chon, car comment eût-il
 43    I,      37|             été prévenu par le même ami qui nous a envoyé la robe.~ ~ ~–
 44    I,      38|      connaissant le bonheur que son ami avait toujours eu à la guerre,
 45    I,      38|       Richelieu est mon plus fidèle ami.~ ~ ~– Richelieu ?~ ~ ~–
 46    I,      39|               dit Jean, voici notre ami le duc de Richelieu.~ ~ ~ ~
 47   II,      40|          Luciennes. Faites-vous son ami ; c’est une bonne créature
 48   II,      40|    rassuraient.~ ~ ~ ~Il était déjà ami d’une comtesse, ami d’un
 49   II,      40|            déjà ami d’une comtesse, ami d’un vicomte, il allait
 50   II,      40|           vicomte, il allait être l’ami d’un gouverneur.~ ~ ~– Eh !
 51   II,      41|        garde ! Savez-vous, mon cher ami, que vous êtes féroce et
 52   II,      41|           cela ? Êtes-vous fou, mon ami ? Bon Dieu ! qui songe donc
 53   II,      41|          soit la fortune, mon petit ami. Ce nègre a déjà deux mille
 54   II,      43|          Vous voulez me parler, mon ami ? dit-il en souriant et
 55   II,      43|                 Serait-ce vous, mon ami ? s’écria le vieillard,
 56   II,      43|         maître, monsieur.~ ~ ~– Mon ami, dit l’étranger en se couvrant
 57   II,      43|           paraissez bien jeune, mon ami, pour avoir des principes
 58   II,      43|           mais parlons de vous, mon ami, s’il vous plaît.~ ~ ~–
 59   II,      43|           libre même en prison, mon ami, dit l’étranger ; demain
 60   II,      43|                   Bien ! bien ! mon ami, s’écria l’étranger. Voilà
 61   II,      43|        encore herboriste, mon jeune ami ; l’une est trop humide
 62   II,      44|        étranger souriait.~ ~ ~– Mon ami, disait-il, l’hiver viendra ;
 63   II,      44|               Non pas, non pas, mon ami ; je vous ai invité à venir
 64   II,      44|           sûr, va recevoir comme un ami.~ ~ ~– Il y a de quoi pour
 65   II,      44|           pain vous-même, mon jeune ami, et taillez-le à votre faim,
 66   II,      44|          Thérèse. N’est-ce pas, mon ami, vous veillerez à ce qu’
 67   II,      44|            à Paris ?~ ~ ~– Non, mon ami ; mais, fût-elle chère,
 68   II,      44|         propreté.~ ~ ~– Prenez, mon ami, prenez, dit Jacques en
 69   II,      45|         dort à votre âge, mon jeune ami, et rien ne vous empêchera
 70   II,      45|      connais pas d’autre, mon jeune ami. Ainsi donc, à demain.~ ~ ~–
 71   II,      45|    murmura-t-il.~ ~ ~– Bonjour, mon ami, dit Jacques ; avez-vous
 72   II,      46|            qu’un prince appelle son ami et veut présenter à la future
 73   II,      46|             malOui, en effet, mon ami, vous êtes chez Jean-Jacques
 74   II,      46|       vivrez pas auprès de moi, mon ami, dit Jean-Jacques, car je
 75   II,      46|             toi-même.~ ~ ~« Or, mon ami, quand vous aurez copié
 76   II,      46|             moins badaud, mon jeune ami, dit Rousseau, et vous m’
 77   II,      46|               Je vous le donne, mon ami.~ ~ ~– Merci, monsieur.~ ~ ~–
 78   II,      50|             Subiaco, mais voici mon ami qui t’accompagnera.~ ~ ~«
 79   II,      52|    êtes-vous informé de moi à votre ami M. de Breteuil ?~ ~ ~– M.
 80   II,      52|           de Breteuil n’est pas mon ami.~ ~ ~– C’est-à-dire qu’il
 81   II,      52|             quoi importe d’avoir un ami qui fait de l’or ? Cela
 82   II,      53|          referma sur eux.~ ~ ~– Mon ami, dit Philippe au laquais
 83   II,      54|        poignet ; non pas, mon jeune ami ; il y a là-dessous quelque
 84   II,      56|             veux-tu causer avec ton ami ?~ ~ ~– Oh ! oui, dit-elle ;
 85   II,      57|       Althotas, mon précepteur, mon ami, mon second père, est un
 86   II,      57|           conseille de trahir votre ami, votre bienfaiteur, votre
 87   II,      57|          Lorenza ; je vous parle en ami, écoutez-moi.~ ~ ~ ~Il y
 88   II,      57|       présence ; aimez-moi comme un ami, comme un frère. J’ai de
 89   II,      58|           et tout rêveur.~ ~ ~– Mon ami, dit-il en s’arrêtant à
 90   II,      58|       demanda Fritz.~ ~ ~– Oui, mon ami.~ ~ ~– Alors, c’est bien
 91   II,      59|           secret que je révèle à un ami de la science, ne se jette
 92   II,      59|       élixir composé par mon savant ami le docteur Althotas ; aussi
 93   II,      60|             élixir ?~ ~ ~– Oui, mon ami, c’est mon élixir ; c’est-à-dire
 94   II,      60|    appelaient les poètes vates, mon ami, n’oublie pas cela.~ ~ ~–
 95   II,      61|         comme les bergères de notre ami Boucher.~ ~ ~ ~Cette petite
 96   II,      61|           raccommode avec vous, mon ami ; mais ce sont des détails
 97   II,      63|         Rousseau, non pas, mon cher ami, non pas.~ ~ ~– En vérité,
 98   II,      64|         France.~ ~ ~ ~Ce duc, grand ami des jésuites, qu’il espérait
 99   II,      65|             partir de ce moment, un ami affectueux, un protecteur
100   II,      68|        cadavres l’objet regretté, l’ami perdu, alors les cris succèdent
101   II,      68|           qui espèrent trouver leur ami, et qui s’éloignent quand
102   II,      70|                  Souffrez-vous, mon ami ? demanda Rousseau en lui
103   II,      70|                  Et vous, mon petit ami, affermissez vos jambes
104   II,      74|        Taverney.~ ~ ~– Gilbert, mon ami !~ ~ ~– Et l’on vous chassera,
105   II,      76|           de Jussieu, un savant, un ami de la nature, un de vos
106   II,      77|     contraire : vous êtes mon vieil ami, et je vous adore ; mais
107   II,      77|          cela, vous apercevez votre ami le duc de Richelieu qui
108   II,      77|           Taverney ?~ ~ ~– C’est un ami de quarante ans.~ ~ ~– Il
109   II,      81|         vous enterrez tout vif, mon ami.~ ~ ~– Ce que je fais ?
110  III,      84|       correctement la langue de mon ami M. de Voltaire.~ ~ ~ ~Balsamo,
111  III,      87|            maréchal ; vous êtes mon ami. Je prierai monsieur, par
112  III,      87|                   Eh bien, mon cher ami, ce rôle, j’ai décidé que
113  III,      88|          duc, en compagnie de votre ami Maupeou.~ ~ ~– Vous encourageriez
114  III,      89|        refroidissement de son grand ami et ne s’en rapprochait que
115  III,      89|       voyons, ne soyons pas mauvais ami, et, quant à la reconnaissance,
116  III,      89|             obtenir cela, mon grand ami.~ ~ ~– Votre fils, dit Richelieu,
117  III,      89|        impossible ? C’est un ancien ami qui me dit cela ?~ ~ ~–
118  III,      89|      antichambres ; moi, je suis un ami véritable, par conséquent…~ ~ ~–
119  III,      89|          parce que son père est mon ami, non parce qu’il s’appelle
120  III,      91|           Jussieu ?~ ~ ~– C’était l’ami de mon premier protecteur,
121  III,      93| balbutia-t-il.~ ~ ~– Mais oui, cher ami, le duc lui-même…, répliqua
122  III,      93|                   Écoute, mon vieil ami, répondit Richelieu, l’autre
123  III,      93|             naturel de mon devoir d’ami… Le ministre refusait. Richelieu
124  III,      93|             tu es donc un véritable ami ?~ ~ ~– Pardieu !~ ~ ~–
125  III,      93|                     Sans doute, mon ami.~ ~ ~– Tu as refusé le portefeuille
126  III,      93|             ce trésor-là, mon vieil ami.~ ~ ~– Tu m’en parles avec
127  III,      93|             prit alors congé de son ami, qui lui réitéra ses remerciements
128  III,      95|             m’est confié par un bon ami, que vous manquez de toilette
129  III,      95|            Beausire, qui aidait son ami, le surveillant des écuries,
130  III,      96|             je serai encore, un bon ami ; faut-il que je retourne
131  III,      97|              si tu veux lutter, mon ami, eh bien, tu as madame du
132  III,     105|             vous laisser libre, mon ami ?~ ~ ~– On le peut.~ ~ ~–
133  III,     105|            quel pays êtes-vous, mon ami ? demanda Balsamo.~ ~ ~–
134  III,     105|             scie de l’os.~ ~ ~– Mon ami, dit Balsamo, chantez-moi
135  III,     106|         refrain.~ ~ ~– Eh bien, mon ami, lui demanda-t-il, qu’augurez-vous
136  III,     106|        était trop grande.~ ~ ~– Mon ami, lui dit-il, tranquillisez-vous.
137  III,     106|        lettre.~ ~ ~– Non, mon petit ami, dit Marat, tu lui diras
138  III,     107|          boit une partie.~ ~ ~« Ton ami,~ ~ ~ ~L. DAVID »~ ~ ~ ~
139  III,     109|             gentilhomme ; il a pour ami intime le roi de Prusse ;
140  III,     111|          vint à la rencontre de son ami, qui l’entraîna sous la
141  III,     112|           Mais le maréchal tira son ami d’inquiétude, il l’entraîna
142  III,     112|            répliqua sèchement à son ami :~ ~ ~– Baron, je ne suis
143  III,     112|             secouant le bras de son ami.~ ~ ~– À faire un petit
144  III,     112|     plaignît à toi ?~ ~ ~– Oh ! mon ami, pas de comparaison… Moi,
145  III,     112|                   Mais toi, mon bon ami ; toi, mon féal… Tu tombes
146  III,     112|        charges-tu alors ?~ ~ ~– Mon ami, dit Richelieu en frappant
147  III,     112|             la main de son illustre ami et la serrant :~ ~ ~– Grâce
148  III,     113|            le corps de son meilleur ami, en supposant que Louis
149  III,     113|           Louis XV eût jamais eu un ami.~ ~ ~ ~Non, en ce moment,
150  III,     113|           qui, pour moi et pour mon ami le baron de Taverney est,
151  III,     113|     maréchal, appuyé au bras de son ami et penché à son oreille,
152  III,     114|          avez-vous donc ?~ ~ ~– Mon ami, mon unique ami, dit Andrée,
153  III,     114|                 Mon ami, mon unique ami, dit Andrée, vous me laissez
154  III,     114|          est bonne, direz-vous, mon ami. Sans doute ; elle est parfaite,
155  III,     114|             moi un protecteur ou un ami, mais encore mon père ne
156  III,     114|            y était doux, caressant, ami. Je vous voyais partir avec
157  III,     114|       remercie. Oui, vous perdez un ami, mais momentanément : je
158  III,     116|     maréchal crut un moment que son ami allait pleurer. Plein d’
159  III,     116|         père n’est pas un peu votre ami ?~ ~ ~ ~Un doux sourire
160  III,     117|             souffert ! Eh bien, mon ami – car vous dites que vous
161  III,     117|             dites que vous êtes mon amiécoutez-moi donc : ce
162  III,     118|            il venait annoncer à son ami que le roi avait déclaré,
163  III,     118|             encore sur celle de son ami le maréchal, et pourrait
164  III,     118|  circulation ; seulement, comme ton ami, comme ton protecteur, je
165  III,     118|         comme je suis encore plus l’ami de la famille Taverney que
166   IV,     125|          votre cour.~ ~ ~– C’est un ami à vous, à ce qu’il paraît,
167   IV,     125|                Comme vous dites, un ami à moi.~ ~ ~– Et je lui rendrai
168   IV,     125|           le comte est un excellent ami à moi, et je vous en voudrais
169   IV,     126|             ai appelé quelqu’un mon ami, j’ai dit la parole avec
170   IV,     127|        doucement, il me semble, mon ami, que vous venez seulement
171   IV,     127|      seulement d’appeler.~ ~ ~– Ton ami ! s’écria Althotas, ton
172   IV,     127|               s’écria Althotas, ton ami ! vile créature humaine !
173   IV,     127|           langue de tes semblables. Ami pour toi, je le crois bien.
174   IV,     127|           je le crois bien. Plus qu’ami, père, père qui t’a nourri,
175   IV,     127|             instruit, enrichi. Mais ami pour moi, oh ! non ! car
176   IV,     127|         être aidé et secouru par un ami ?~ ~ ~– Je suis là, maître,
177   IV,     129|           mon bonheur.~ ~ ~– Pauvre ami, dit-elle, tu craignais
178   IV,     135|        autre heure la visite de son ami ; mais, aussitôt la porte
179   IV,     135|            Richelieu vit passer son ami, pareil à un de ces hommes
180   IV,     135|             qu’on répond à un vieil ami. Un mois, comprends donc !
181   IV,     135|        deviens impertinent ; tendre ami, tu me démens, en vérité,
182   IV,     135|           il désobligerait fort son ami en acceptant.~ ~ ~– Non,
183   IV,     136|   voulez-vous parler ?~ ~ ~– De mon ami Taverney.~ ~ ~– De votre
184   IV,     136|            Taverney.~ ~ ~– De votre ami ? s’écria le roi.~ ~ ~–
185   IV,     136|             savez, sire, on appelle ami, en ce monde, tout ce qu’
186   IV,     136|             la délicatesse de votre ami, d’un vieux serviteur, d’
187   IV,     136|             l’angle de laquelle son ami l’attendait avec une impatience
188   IV,     141|        malaise ?~ ~ ~– Que sais-je, ami ? au retour du printemps,
189   IV,     141|           va courir après son vieil ami, comme il l’appelle ; il
190   IV,     141|                     Voilà tout, mon ami ; et M. Gilbert aurait 
191   IV,     141|             moment ?~ ~ ~– Oui, mon ami ; et, à sept heures précises
192   IV,     142|            choses que l’on dit à un ami que l’on ne dit pas à un
193   IV,     143|            tenu pour votre meilleur ami ; moi, je vous ai, de mon
194   IV,     143|         amour.~ ~ ~– Mon frère, mon ami, fit Andrée de plus en plus
195   IV,     143|          vis-à-vis d’un frère, d’un ami.~ ~ ~– Mon frère, mon ami,
196   IV,     143|           ami.~ ~ ~– Mon frère, mon ami, dit Andrée, je vous jure
197   IV,     144|           lui prit la main comme un ami ou un confesseur, et non
198   IV,     144|          que ce mot m’impose !… Mon ami, je te le pardonne ; oui,
199   IV,     146|           pas de comptes.~ ~ ~– Mon ami, dit Philippe, il faut pourtant
200   IV,     146|           valent les consignes, mon ami, dit Philippe, et la vôtre
201   IV,     148|             Oh ! que tu m’effraies, ami ! que tu m’épouvantes, mon
202   IV,     150|        agitée, bien inquiète.~ ~ ~– Ami, lui dit-elle, j’ai pensé
203   IV,     150|             crois ?~ ~ ~– Oh ! cher ami, elles ne sont pas dignes
204   IV,     151|                  Qui êtes-vous, mon ami ? demanda Balsamo avec une
205   IV,     151|           que vous me citez là, mon ami. Que me voulez vous ?~ ~ ~–
206   IV,     151|             est pas moi. Allez, mon ami.~ ~ ~– Une dernière grâce,
207   IV,     151|             baron.~ ~ ~– Tenez, mon ami. voilà, dit Balsamo.~ ~ ~ ~
208   IV,     153|             venez-vous y faire, mon ami ?~ ~ ~ ~Cette dernière appellation
209   IV,     155|            avec un sourire. Va, mon ami, va.~ ~ ~ ~Il y avait dans
210   IV,     155|    reconnaissance.~ ~ ~– Allez, mon ami.~ ~ ~– Adieu, monsieur le
211   IV,     157|       femmes.~ ~ ~– Merci, mon seul ami. J’ose dire que je ne suis
212   IV,     157|            toujours répondu : « Mon ami, je suis médecin, et je
213   IV,     162|        seulement, cher et excellent ami, consentir à un dernier
214   IV,     162|         tendre sourire :~ ~ ~– Cher ami, lui dit-elle, mon avenir
215   IV,     162|         homme, suivez mon conseil d’ami tendre ; votre santé est
216   IV,     163|             de Philippe :~ ~ ~– Mon ami, dit-elle, vous me parliez
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