Tome,  Chap.

  1    I,   IntII|        dont chacun représente dix mille associés ; trois cents épées
  2    I,  IntIII|          connaissais les soixante mille familles de plantes qui
  3    I,  IntIII|      rappellent, ont porté durant mille ans la lumière, la charité,
  4    I,  IntIII|          baïonnettes de cinq cent mille soldats qui se lèveront,
  5    I,  IntIII|          trône de Wasa, plus cent mille écus d’argent.~ ~ ~ ~Le
  6    I,  IntIII|         une contribution de trois mille hommes et de trois mille
  7    I,  IntIII|          mille hommes et de trois mille couronnes par an.~ ~ ~ ~
  8    I,  IntIII|         pauvre, je n’ai que trois mille frères à donner ; mais ils
  9    I,  IntIII|         contribueront chacun pour mille réaux par an. L’Espagne
 10    I,  IntIII|        mais je promets pour trois mille riches vingt louis par chaque
 11    I,       2|     abandonner ainsi un cheval de mille louis, ou plutôt qui n’a
 12    I,       2|           race d’Al Borach.~ ~ ~– Mille louis, mille louis ! je
 13    I,       2|        Borach.~ ~ ~– Mille louis, mille louis ! je vous les donnerai
 14    I,       2|           quand vous voudrez, les mille louis, ou leur équivalent.
 15    I,       2|       cent fois, cinq cents fois, mille fois près de cette plante,
 16    I,       3|  Populeuse ?~ ~ ~– Quatre ou cinq mille âmes, je crois.~ ~ ~– Y
 17    I,       6|          Paris et qui a deux cent mille livres de rentes. Eh bien !
 18    I,       6|        que j’ai connu il y a deux mille cent cinquante ans, dit
 19    I,      12|          oublier surtout les deux mille arpents de prés et de bois
 20    I,      12|           vus et vous devez avoir mille choses à vous dire.~ ~ ~ ~
 21    I,      14|          noueuses tiges lançaient mille épais rameaux, une table
 22    I,      18|  prêterait facilement cinq ou six mille livres sur le service doré
 23    I,      22|         je descendrai.~ ~ ~– Eh ! mille diables, descendez ! cria
 24    I,      22|       partit avec rapidité.~ ~ ~– Mille tonnerres ! dit le vicomte
 25    I,      22|          que de moi. Je donnerais mille pistoles du cheval.~ ~ ~–
 26    I,      23|           n’a encore tiré que dix mille exemplaires. Mais c’est
 27    I,      25|         jeune Louis ; j’ai encore mille écus sur ma pension du mois.~ ~ ~–
 28    I,      25|         donc ! J’ai envoyé trente mille chevaux sur la route, trente
 29    I,      25|      venait de dire.~ ~ ~– Trente mille chevaux, répéta le roi,
 30    I,      26|           quand il me dit par les mille bouches des libellistes
 31    I,      29|       comtesse de Béarn, riche de mille écus de rente à peu près,
 32    I,      29|        ces plantes fabuleuses des Mille et une Nuits, ne fleurissait
 33    I,      29|           sa tente, qui souffrait mille morts quand sonnait cette
 34    I,      29|                 Non, madame, non, mille fois non.~ ~ ~– Et vous
 35    I,      30|         rentre dans mes deux cent mille livres, et l’on me recherchera.
 36    I,      31|        remboursée ; les deux cent mille francs ont été rendus. Je
 37    I,      31|           obligation de deux cent mille livres, qui, avec les intérêts
 38    I,      31|          dit : « Devant deux cent mille livres », au lieu de dire : «
 39    I,      31|   présentation elle recevra vingt mille écus comptant. Aussi elle
 40    I,      31|       procès qui enlève deux cent mille livres ?~ ~ ~– Mais d’abord,
 41    I,      31|          par un don royal de cent mille livres, par exemple ?~ ~ ~ ~
 42    I,      31|         matérielles. Voyons, cent mille livres d’abord comme dédommagement
 43    I,      33|                Parbleu ! sur cent mille qui se fabriquent, il y
 44    I,      33|           y en a quatre-vingt-dix mille contre moi.~ ~ ~– Et ceux
 45    I,      33|        dire appartiennent aux dix mille qui ne peuvent lui faire
 46    I,      33|         pour les quatre-vingt-dix mille autres ?~ ~ ~– Non, comtesse,
 47    I,      34|       bénéfice. Il donnerait cent mille livres à Jean, à condition
 48    I,      34|          cela nous coûterait cent mille francs de police extraordinaire.~ ~ ~–
 49    I,      34|         pleuvent. Il y a déjà six mille écus, et remarquez, sire,
 50    I,      35|           l’enverrai…~ ~ ~– Merci mille fois.~ ~ ~– Il convient
 51    I,      35|         je voudrais les deux cent mille livres de mon procès garanties.~ ~ ~–
 52    I,      35|     procès, cela fera quatre cent mille livres, ce me semble.~ ~ ~–
 53    I,      35|         comme à moi les deux cent mille livres que me disputent
 54    I,      35|        les Saluces. Les deux cent mille autres seront une bonne
 55    I,      35|          Vous aurez ces deux cent mille livres, madame. Après ?~ ~ ~–
 56    I,      35|         ce régiment les deux cent mille livres de mon bénéfice,
 57    I,      35|        compte, cela fait six cent mille livres.~ ~ ~– Quatre cent
 58    I,      35|         livres.~ ~ ~– Quatre cent mille, en supposant que le régiment
 59    I,      35|          quelque chose comme neuf mille livres.~ ~ ~– Neuf mille
 60    I,      35|          mille livres.~ ~ ~– Neuf mille livres.~ ~ ~– Oh ! ceci
 61    I,      35|     comtesse. Je payerai ces neuf mille livres sur mes propres deniers.
 62    I,      35|           parure de deux cent dix mille livres, qu’ils vous reprendront
 63    I,      35|       après demain pour deux cent mille livres. Ainsi votre indemnité
 64    I,      35|        arpents, madame ?…~ ~– Six mille livres l’arpent. C’étaient
 65    I,      35|           une obligation de douze mille livres qui, avec les douze
 66    I,      35|        livres qui, avec les douze mille que vous avez déjà reçues,
 67    I,      35|     feront juste les vingt-quatre mille.~ ~ ~– Voici l’écritoire,
 68    I,      35|        obligation de vingt et une mille livres, douze mille pour
 69    I,      35|           une mille livres, douze mille pour indemniser de la perte
 70    I,      35|         la perte des vignes, neuf mille pour payer les honoraires
 71    I,      37|         mon ingénieur. Il y a dix mille points par  ; cinq mille
 72    I,      37|        mille points par  ; cinq mille par chaque ouvrière. Dans
 73    I,      37|        cent vingt par heure, sept mille deux cents en dix heures.
 74    I,      37|        heures. Je laisse les deux mille deux cents pour les repos
 75    I,      37|    tonnerre ! ah ! carnage ! ah ! mille légions du diable !~ ~ ~ ~
 76   II,      41|         ami. Ce nègre a déjà deux mille livres de rente sur la cassette
 77   II,      43|       reproduit cette adresse dix mille fois peut-être et je savais
 78   II,      46|        mon cher philosophe.~ ~ ~– Mille grâces de votre bon vouloir,
 79   II,      46|          qu’il ne l’avait été des mille triomphes de sa glorieuse
 80   II,      48|          y en avait pour six cent mille livres.~ ~ ~ ~Aussi, quand
 81   II,      48|           par dix, cent par cent, mille par mille, les Parisiens
 82   II,      48|          cent par cent, mille par mille, les Parisiens sortis de
 83   II,      48|       avait-il pas à cette époque mille équipages : le Parlement,
 84   II,      48|   obstacle d’un rempart de trente mille personnes toutes plus recommandables
 85   II,      48|           au but lentement, après mille chocs, mille heurts, mille
 86   II,      48|     lentement, après mille chocs, mille heurts, mille murmures essuyés.~ ~ ~ ~
 87   II,      48|        mille chocs, mille heurts, mille murmures essuyés.~ ~ ~ ~
 88   II,      51|         tout pouvait valoir vingt mille écus.~ ~ ~– Ces bijoux sont
 89   II,      52|      Peste ! quand on a cinq cent mille francs à payer dans les
 90   II,      52|     heuresEst-ce bien cinq cent mille francs ? Dites.~ ~ ~– Oui,
 91   II,      52|         importe que les cinq cent mille francs qu’on n’a pu trouver
 92   II,      55|    offrait des balcons de fer aux mille pointes acérées ; un fossé
 93   II,      57|        chose sans qu’aucun de ces mille riens qui font la joie des
 94   II,      57| supérieurs ont cherché depuis six mille ans.~ ~ ~– Et vous, que
 95   II,      59|       donnerais pas pour les cent mille écus que vous m’avez promis.~ ~ ~–
 96   II,      59|      monseigneur.~ ~ ~– Pour cent mille écus ?~ ~ ~– Deux cents
 97   II,      59|          son carrosse.~ ~ ~– Cent mille écus ! murmura le cardinal
 98   II,      59|     moitié sur ma signature, cent mille écus d’ici à après-demain,
 99   II,      59|           épiscopal vaut quarante mille livres.~ ~ ~ ~Et le prélat
100   II,      59|       vous faire un reçu des cent mille écus que vous me prêtez
101   II,      60|        cent quatre-vingt-dix-neuf mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf
102   II,      60|          je mets cela à deux cent mille morts par année, ce n’est
103   II,      60|          sais-je, moi ! Deux cent mille hommes par année, pendant
104   II,      60|           demande, et j’en vivrai mille. Oh ! mon cher Acharat,
105   II,      61|                  Alors, prête-moi mille louis, dit Jean : j’en ai
106   II,      61|         en ai grand besoin.~ ~ ~– Mille croquignoles sur votre gros
107   II,      65|          immense clameur des cent mille spectateurs répandus dans
108   II,      65|        les vitres qui, brisées en mille pièces, tombaient sur les
109   II,      66|       était bien choisi. Six cent mille spectateurs y pouvaient
110   II,      66|      accorder la gratification de mille écus demandée par le colonel
111   II,      66|       raison de ne pas donner les mille écus aux gardes françaises,
112   II,      66|         avoir lieu quand six cent mille curieux seraient réunis
113   II,      66|           avait accordé cinquante mille livres pour ce feu, puisqu’
114   II,      67|           population de sept cent mille âmes rugissant de joie en
115   II,      67|        bouquet, composé de quinze mille fusées, éclatait, s’échappant
116   II,      67|  rétrogression invincible de cent mille personnes, cent mille autres,
117   II,      67|        cent mille personnes, cent mille autres, étouffées, avaient
118   II,      67|           général, fuyaient vingt mille malheureux, mutilés, atteints,
119   II,      68|       payent d’ordinaire : un sur mille.~ ~ ~ ~Le jeune homme éleva
120   II,      68|      monsieur ! J’ai déjà éclairé mille visages, et je n’ai pas
121   II,      69|          retour~ ~Pendant que ces mille catastrophes se succédaient
122   II,      69|          une femme parmi ces cent mille femmes ? Comment ne pas
123   II,      70|        Jussieu, auquel il faisait mille civilités.~ ~ ~– Prenez
124   II,      70|            Le dauphin reçoit deux mille écus de pension par mois.
125   II,      77|           et que Sa Majesté gagna mille louis au piquet, jeu où
126   II,      78|         quittée. Je donnerai cent mille livres aux pauvres, j’irai
127   II,      79|        recevait par mois six cent mille livres des Anglais.~ ~ ~–
128   II,      79|          se moquer de nous.~ ~ ~– Mille tonnerres ! murmura Jean.
129   II,      81|             Oui, plus que jamais, mille tonnerres !~ ~ ~– Qu’est-ce
130   II,      81|     rapporte trois ou quatre cent mille livres par an.~ ~ ~ ~La
131  III,      82|          à lui, il se leva.~ ~ ~– Mille respects à madame la comtesse,
132  III,      84|           Barry.~ ~ ~– Tant mieux mille fois, alors je serai à mon
133  III,      84|         moi ; j’y ai dépensé cent mille livres par an, et je ne
134  III,      84|         adepte, qui ai vécu trois mille sept cents ans.~ ~ ~– Oh !
135  III,      88|        donc ?~ ~ ~– Gageons qu’en mille vous ne devinez pas.~ ~ ~–
136  III,      89|         il ne lui manque que cent mille livres pour avoir une belle
137  III,      89|           au profit de trois cent mille autres peut-être… Si votre
138  III,      89|       Rafté, mon secrétaire, en a mille par jour dans mes antichambres,
139  III,      95|     faudrait, à moi, vingt bonnes mille livres de revenu ; cependant,
140  III,      95|           comme je me contente de mille livres, imitez-moi et prenez
141  III,      95|        voir Nicole ; il se forgea mille terreurs de l’arrivée de
142  III,      96|           On tira cet arrêt à dix mille exemplaires dont la distribution
143  III,      96|    imprimé ?~ ~ ~– Et tiré à cinq mille. Les premières épreuves
144  III,      97|          soir, ils lurent les dix mille exemplaires de l’arrêt,
145  III,      99|  moyennant la somme de vingt-cinq mille livres une fois données.
146  III,      99|    comment il paya les vingt-cinq mille livres, nous répondrons
147  III,      99|         ravi, dit-il, et je rends mille grâces au hasard. Vous avez
148  III,      99|           avez gagné dix ou douze mille livres avec mes affaires ;
149  III,     101|         un total de plus de trois mille personnes.~ ~ ~ ~Au dehors,
150  III,     104|        mousquetaires, cinq ou six mille hommes à peine ! Que fera
151  III,     104|    éclairera les esprits plus que mille ans de préceptes, plus que
152  III,     104|          privilégiées : deux cent mille à peine ; promenez-vous,
153  III,     104|          et abattez ces deux cent mille têtes comme Tarquin faisait
154  III,     106|         un diamant qui vaut vingt mille livres, à peu près ; quand
155  III,     106|        être d’une valeur de vingt mille livres, pour le prix en
156  III,     115|       jour, mademoiselle, où cent mille personnes, s’écrasant les
157  III,     115|         bras jusqu’à ce que vingt mille bras, pesant sur les siens,
158  III,     116|      présent une valeur de trente mille écus au moins.~ ~ ~– Mon
159  III,     116|           seules valent cinquante mille livres.~ ~ ~ ~Andrée joignit
160  III,     117|           odieuse que j’interroge mille fois le jour, pour savoir
161  III,     117|       heureuses. » Oh ! non, non, mille fois non !~ ~ ~ ~Et elle
162  III,     118|                  Il me faut vingt mille francs, monseigneur.~ ~ ~ ~
163  III,     118|         moi. Mais, avec vos vingt mille francs, je ferai du chemin.~ ~ ~–
164   IV,     124|           Ordre d’assembler trois mille frères à Paris.~ ~ ~« Ordre
165   IV,     124|         Ordre de mettre cinq cent mille francs à sa disposition
166   IV,     125|          un manque de production. Mille sacs de grains au grenier
167   IV,     125|         de grains au grenier sont mille sacs de moins sur la place.
168   IV,     125|          la place. Multipliez ces mille sacs par dix seulement,
169   IV,     125|         lui a produit huit ou dix mille écus ; mais ils savent aussi
170   IV,     125|            ne l’ai-je pas risquée mille fois ? Ne la dois-je pas,
171   IV,     129|        Transylvanie a vendu vingt mille ducats, à Cosme Ier, la
172   IV,     131|         le parquet et se brisa en mille morceaux, tandis que lui,
173   IV,     132|        eût dit qu’il comptait ces mille débris qui avaient, en s’
174   IV,     137|      petit Trianon, en grommelant mille choses désagréables pour
175   IV,     138|          dites-vous, plus de cent mille livres. Sa Majesté a, en
176   IV,     139|         tout le monde, c’est cent mille âmes pour Versailles seulement ;
177   IV,     139|        seulement ; c’est six cent mille pour Paris ; c’est vingt-cinq
178   IV,     139|         Aiguillon prit congé avec mille caresses faites à son oncle
179   IV,     150|         perles seules valent cent mille livres.~ ~ ~ ~Philippe referma
180   IV,     150|         nous aurons de cela vingt mille livres qui font une somme
181   IV,     150|          on paraît roi avec trois mille livres de rente… Je serai
182   IV,     151|         vers le ciel.~ ~ ~– Vingt mille livres, demanda Gilbert,
183   IV,     151|          lui porteras en dot cent mille écus que je te donnerai
184   IV,     151|          billets de caisse de dix mille livres chacun.~ ~ ~ ~Puis
185   IV,     151|    défiance. Prends donc ces cent mille écus, et va chez M. de Taverney.~ ~ ~–
186   IV,     151|        Taverney, la somme de cent mille écus que je lui ai remise
187   IV,     151|      quand tu en tiens trois cent mille entre tes mains ?~ ~ ~–
188   IV,     151|      mains ?~ ~ ~– Ces trois cent mille livres ne seront à moi,
189   IV,     152|          un de ces billets de dix mille livres ; puis, entrant chez
190   IV,     152|          dans sa poche trois cent mille livres ?~ ~ ~ ~Mais Gilbert
191   IV,     152| présentait avec une somme de cent mille écus.~ ~ ~ ~Gilbert, bâtissant
192   IV,     152|    instinctivement que trois cent mille livres dans la poche sont
193   IV,     153|       sacrifier. Voici trois cent mille livres qu’un protecteur
194   IV,     153|       tenez, voilà les trois cent mille livres.~ ~ ~ ~Et il déposa
195   IV,     155|           est beau de rendre cent mille écus, c’est puéril de rendre
196   IV,     155|                  Il me faut vingt mille livres.~ ~ ~– Et tu ne toucheras
197   IV,     155|            Vous me demandez vingt mille livres, et, sur ces vingt
198   IV,     155|         livres, et, sur ces vingt mille livres, vous n’en pouvez
199   IV,     155|          vous n’en pouvez prendre mille pour vous embarquer ?~ ~ ~–
200   IV,     155|           pas un sou de ces vingt mille livres n’effleurera ma poche :
201   IV,     155|         motifs pour ne pas garder mille livres : la délicatesse
202   IV,     155|    remplir.~ ~ ~– Voici tes vingt mille livres, répliqua Balsamo
203   IV,     155|         je vous paierai ces vingt mille livres.~ ~ ~– Comment ?~ ~ ~–
204   IV,     155|        serviteur pour payer vingt mille livres à son maître.~ ~ ~–
205   IV,     155|             Je vous demande vingt mille livres, que vous me devez. »~ ~–
206   IV,     156|            La dot est de soixante mille livres ! s’écria la princesse ;
207   IV,     156|        vous n’avez donc que vingt mille livres ?~ ~ ~– À peine,
208   IV,     159|       paillasse, à côté des vingt mille livres de Balsamo.~ ~ ~ ~
209   IV,     161|           nom, une somme de vingt mille moins quelques cent livres
210   IV,     161|   nourriciers. Il voulut que deux mille quatre cents livres fussent
211   IV,     161|       vive, et qui le tentait par mille et mille séductions.~ ~ ~ ~
212   IV,     161|           le tentait par mille et mille séductions.~ ~ ~ ~Mais l’
213   IV,     161|          enfant ! Ainsi, avec dix mille livres – dix mille autres
214   IV,     161|       avec dix mille livres – dix mille autres étant réservées à
215  Bib         |           de 40 pp.~ ~ ~ ~96. Les Mille et un fantômes.~ ~Paris,
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2010. Content in this page is licensed under a Creative Commons License