Tome,  Chap.

  1    I,    IntI|            voix à droite, ou tu es mort !~ ~ ~– Bien, répondit sans
  2    I,    IntI|            voix à gauche, ou tu es mort !~ ~ ~ ~Le voyageur s’inclina
  3    I,   IntII|          de purger le globe par la mort ou l’hébétation de ceux
  4    I,   IntII|           d’un homme pâle comme la mort, garrotté et bâillonné.~ ~ ~–
  5    I,   IntII|          a-t-il encouru ?~ ~ ~– La mort.~ ~ ~ ~Les trois cents fantômes
  6    I,   IntII|     fantômes répétèrent :~ ~ ~– La mort !~ ~ ~ ~Au même instant
  7    I,   IntII|                 Et tu boirais à la mort de tout homme qui, comme
  8    I,   IntII|              Je bois, dit-il, à la mort de tout homme qui trahira
  9    I,   IntII|        homme assassiné n’est point mort ; je dis que ce sang que
 10    I,   IntII|      éléments et qui vit malgré la mort.~ ~ ~– Tu es jeune, reprit
 11    I,  IntIII|     allaient porter loin de moi la mort ou la vie, selon que j’avais
 12    I,  IntIII|         trouve celui qui chasse la mort. Acharat, j’ai bu hier ce
 13    I,  IntIII|       jusqu’à celui de ma dernière mort, car, vous le savez, mes
 14    I,  IntIII|            nous pour le jour de sa mort. La France est la clef de
 15    I,  IntIII|          peut se faire qu’après la mort, non pas du monarque, mais
 16    I,  IntIII|        travail sans repos et à une mort prématurée. Je ne puis rien
 17    I,  IntIII|         mais dans un mois tu seras mort.~ ~ ~ ~L’envoyé moscovite
 18    I,       1|            aucun ne sut s’il était mort ou vivant. Le voyageur lui-même
 19    I,       6|        Balsamo, à Fontenoy j’étais mort.~ ~ ~ ~Le baron ouvrit de
 20    I,       9|        portaient ce nom jusqu’à la mort de leur père ; alors ils
 21    I,      15|          regretterez que l’un soit mort, vous regretterez que l’
 22    I,      19|          qu’il croyait sanglant et mort.~ ~ ~ ~La voyageuse aidait
 23    I,      24|    Beaucoup espéraient qu’il était mort.~ ~ ~ ~Ils se composèrent
 24    I,      25|       progressif de la vie vers la mort.~ ~ ~ ~Le dauphin regardait
 25    I,      26|        suis point pour la peine de mort ; Votre Majesté le sait,
 26    I,      31|       comte de Béarn, à son lit de mort, en 1417, puisqu’on trouve
 27    I,      31|       testament : « Sur mon lit de mort, ne devant plus rien aux
 28    I,      32|        jure de défendre jusqu’à la mort le château dont on me confie
 29    I,      37|           Pas de coiffeur ! Par la mort ! j’éventrerai ce bélître
 30   II,      41|            qui ne vous doit pas la mort.~ ~ ~– C’est la même chose.~ ~ ~–
 31   II,      44|       Gilbert devint pâle comme la mort et bondit vers la porte.
 32   II,      49|         vous le demande. J’y fusse mort de désespoir, d’ignorance
 33   II,      50|            déchirant.~ ~ – Oh ! la mort, la mort, mon Dieu ! m’écriai-je.~ ~ ~«
 34   II,      50|   déchirant.~ ~ – Oh ! la mort, la mort, mon Dieu ! m’écriai-je.~ ~ ~«
 35   II,      50|          qu’on attend doit être la mort ou la vie.~ ~ – Benac, répondit
 36   II,      50|         une religieuse est puni de mort. Donnerez vous la mort à
 37   II,      50|          de mort. Donnerez vous la mort à qui vous devez la vie ? »~ ~«
 38   II,      51|          voulait point croire à ma mort ; elle déclara qu’elle passerait
 39   II,      51|  effrayante ! le glas de ma propre mort.~ ~ ~« Ce que je fis d’efforts
 40   II,      51|          venait m’arracher à cette mort désespérée que je redoutais
 41   II,      51|     seconde fois, m’arrachait à la mort.~ ~ ~« Nous arrivâmes dans
 42   II,      52|             moi, me voulait mal de mort. Alors vous comprenez :
 43   II,      57|           bien ! hurla Lorenza, la mort alors ! la mort tout de
 44   II,      57|        Lorenza, la mort alors ! la mort tout de suite !~ ~ ~ ~Et,
 45   II,      60|            loi.~ ~ ~– Et devant la mort, imbécile, devant la mort,
 46   II,      60|          mort, imbécile, devant la mort, cette loi des lois, seront-ils
 47   II,      60|      hommes n’auront pas vaincu la mort ! Oh ! la brute ! la double
 48   II,      60|           vulnérable au talon ; la mort a trouvé un passage, elle
 49   II,      60|             voyons ; crois-tu à la mort ?~ ~ ~– Je crois à ce qui
 50   II,      60|         crois à ce qui est, or, la mort est.~ ~ ~ ~Althotas haussa
 51   II,      60|         les épaules.~ ~ ~– Donc la mort est, dit-il ; c’est un point
 52   II,      60|            présence du cadavre : « Mort ! mort ! tu es puissante
 53   II,      60|     présence du cadavre : « Mort ! mort ! tu es puissante comme
 54   II,      60|           règnes souverainement, ô mort ! et nul ne prévaut contre
 55   II,      60|         pas, puisque tu crois à la mort ?~ ~ ~– Sans doute.~ ~ ~–
 56   II,      60|            de te demander à quelle mort tu crois le mieux.~ ~ ~–
 57   II,      60|           voulez dire, maître ; la mort est la mort.~ ~ ~– C’est
 58   II,      60|            maître ; la mort est la mort.~ ~ ~– C’est juste, très
 59   II,      60|        aussi. Eh bien ! puisque la mort est la mort, fais le vide,
 60   II,      60|             puisque la mort est la mort, fais le vide, Acharat.~ ~ ~ ~
 61   II,      60|      inanimé.~ ~ ~– Voilà le chien mort d’apoplexie, n’est-ce pas ?
 62   II,      60|            dit Althotas. Une belle mort qui ne fait pas souffrir
 63   II,      60|             Oui.~ ~ ~– Il est bien mort ?~ ~ ~– Sans doute.~ ~ ~–
 64   II,      60|          je crois que le chien est mort, voilà tout.~ ~ ~– N’importe,
 65   II,      60|          ne serait pas tout à fait mort, répondit Althotas avec
 66   II,      60|         Oui, ma foi, il était bien mort, dit Althotas ; pas une
 67   II,      60|     attentat. N’est-ce pas, il est mort, et bien mort ?~ ~ ~– Je
 68   II,      60|          pas, il est mort, et bien mort ?~ ~ ~– Je le reconnais
 69   II,      60|          Rien ne prévaut contre la mort, as-tu dit. Nul n’a la puissance
 70   II,      60|        nature a un intérêt dans la mort.~ ~ « Ainsi voilà un chien
 71   II,      60|         Ainsi voilà un chien aussi mort que possible, et la nature
 72   II,      60|        dit-il.~ ~ ~– Vois comme la mort est peu de chose, dit Althotas
 73   II,      60|             dit-il, voilà un chien mort qui tout à l’heure voulait
 74   II,      60|           Aurais-tu cru cela de la mort, Acharat ? dit le vieillard,
 75   II,      60|          déjà parvenu à annuler la mort ?~ ~ ~– Mais on ne le sait
 76   II,      60|          pas vaincu tout à fait la mort, n’est-ce pas ? je lui ai
 77   II,      65|          aide desquels on donne la mort, et celui-là n’existe point ;
 78   II,      67|          seul contre tous, plus la mort.~ ~ ~ ~Andrée poussa un
 79   II,      67|        Lorsqu’on tombait, on était mort.~ ~ ~ ~Mais ce cri terrible,
 80   II,      67|          un sommeil épais comme la mort : le cœur ne battait plus,
 81   II,      68|        avait trouvé la chute et la mort.~ ~ ~ ~Çà et là, à la lueur
 82   II,      68|          étaient les voleurs de la mort, attirés vers leur proie
 83   II,      68|          jeté à corps perdu sur le mort pour l’embrasser une dernière
 84   II,      68|           je laisse sur son lit de mort l’aristocratie pour relever
 85   II,      69|             une fois échappé de la mort pour rentrer dans la vie,
 86   II,      69|         nouveau et pour rien à une mort miraculeusement évitée ?~ ~ ~ ~
 87   II,      70|            vous n’étiez pas encore mort ; celui qui a pensé à vous,
 88   II,      70|         Hélas ! monsieur, c’est la Mort, dit Gilbert.~ ~ ~ ~Rousseau
 89   II,      71|          une maladie, mais non une mort.~ ~ ~– Là, se disait-il,
 90   II,      76|            yeux, et, pâle comme la mort, regardait par la fenêtre
 91  III,      82|          morceaux.~ ~ ~– Est-ce un mort que je vois là-bas sur l’
 92  III,      82|             Alors, ce n’est pas un mort.~ ~ ~ ~Et Richelieu à tout
 93  III,      82|              Certainement, j’étais mort, rien que cela.~ ~ ~– Contez-moi
 94  III,      82|             On me ramassa, j’étais mort.~ ~ ~– Comment, vous étiez
 95  III,      82|                Comment, vous étiez mort ?~ ~ ~– Ma foi, oui, ou
 96  III,      84|       rencontré mourant, ou plutôt mort sur une litière ; vous veniez
 97  III,      94|           je posséderai jusqu’à ma mort. Peut-être me verrai-je
 98  III,      95|     résolut donc de contrefaire le mort jusqu’à ce que le hasard
 99  III,      99|           l’exil ?~ ~ ~– Même à la mort, monsieur le maréchal !
100  III,     102|      crient : « Mon Dieu ! je suis mort. »~ ~ ~C’était un des thèmes
101  III,     103|            m’élisiez votre frère ; mort, je ne vous servirais pas :
102  III,     104|           d’épurer le globe par la mort ou l’hébétation des ennemis
103  III,     104|             Le roi Charles Ier est mort sur l’échafaud c’est vrai ;
104  III,     104|          Charles II, son fils, est mort sur le trône.~ ~ ~« Attendez,
105  III,     104|           marquée d’avance pour la mort, ce qui est arrivé en France
106  III,     105|         les deux malheureux que la mort avait faits égaux devant
107  III,     105|      philanthrope s’occupera de la mort comme les autres s’occupent
108  III,     105|         aucun des autres genres de mort ; la roue, l’écartèlement
109  III,     105|           avant de le punir par la mort ; ce qui est trop de moitié,
110  III,     105|       trapèzes, croyez-vous que la mort serait instantanée et la
111  III,     105|          douleur rapide ?~ ~ ~– La mort serait instantanée, sans
112  III,     105|          le sombre phénomène de la mort.~ ~ ~ ~Il semblait demander
113  III,     106|         doit mourir, le jour de sa mort ; s’il doit vivre, le temps
114  III,     106|            sur la table sa tête de mort, cherchant une réponse qu’
115  III,     107|          Sartine interpréter cette mort à sa façon.~ ~ ~ ~Il regarda
116  III,     113|          disgrâce, c’est-à-dire ma mort, en dépendre, la volonté
117  III,     117|          autre, qui entraîne votre mort dans celui-ci et votre damnation
118  III,     117|         dans cette vie, puisque la mort seule peut les briser.~ ~ ~–
119  III,     117|         vous aviez le secret de la mort, soit par une goutte de
120  III,     117|        veine ouverte, et que cette mort était douce, et que cette
121  III,     117|          était douce, et que cette mort avait la rapidité de la
122  III,     117|        libérées tout à coup par la mort, premier bienfait qu’elles
123  III,     117|         vous m’avez fait chérir la mort.~ ~ ~– Lorenza, par pitié,
124  III,     117|     promets qu’avant peu…~ ~ ~– La mort ou la vie ! s’écria la jeune
125  III,     117|           voulez-vous me donner la mort, c’est-à-dire le repos ?~ ~ ~–
126  III,     117|           silence.~ ~ ~– Alors, la mort, la douce mort par un philtre,
127  III,     117|           Alors, la mort, la douce mort par un philtre, par un coup
128  III,     117|         par un coup d’aiguille, la mort pendant le sommeil : le
129  III,     117|        achever mon élixir, je suis mort.~ ~ ~ ~Balsamo se retourna ;
130  III,     120|            est décidée. Mais cette mort l’épouvante. Elle laisse
131  III,     121|     Gilbert, frissonnant et à demi mort de stupeur, Gilbert, dans
132  III,     123|          seul, et que nul après sa mort n’eut pu déchiffrer, à moins
133  III,     123|            s’en servir qu’après la mort du donateur, et encore avait-il
134   IV,     124|           qui jure dans l’ombre la mort des rois et l’écroulement
135   IV,     127|         Alors, tu m’exposeras à la mort, misérable ; tu économiseras
136   IV,     128|            ici, je le reconnaîtrai mort ou vif. »~ ~« Et ce malheur
137   IV,     128|            captivité, l’exil et la mort.~ ~ ~« Donc, continua-t-il
138   IV,     128|        lire en caractères de feu : mort ! amour !… Lorenza ! Lorenza !
139   IV,     128|         appuya sur son cœur.~ ~ ~– Mort ! dit-elle tout bas, de
140   IV,     128|         corail qui sort de la mer, mort, mais amour !~ ~ ~ ~Balsamo
141   IV,     128|       suivit sur ses genoux.~ ~ ~– Mort ! répéta-t-elle de sa voix
142   IV,     128|             Cet amour lui donne la mort ; oh ! lâche, oh ! fou féroce
143   IV,     129|           Saxon Payken, condamné à mort par Charles II, a racheté
144   IV,     129|         léthargie si voisine de la mort.~ ~ ~ ~Lorenza rêvait, et,
145   IV,     130| feuilletant ce livre curieux de la mort, gravé à Mayence, et dont
146   IV,     130|           merveilleux, montrent la mort présidant à toutes les actions
147   IV,     130|         morts, comme l’image de la mort. Il a trouvé mademoiselle
148   IV,     130|        toutes les apparences de la mort. C’est cela ! c’est cela !
149   IV,     131|           perceptible, signifie la mort ou la folie.~ ~ ~– Voyons,
150   IV,     132|      sanglots.~ ~ ~ ~D’un côté, la mort ; de l’autre, l’agonie.~ ~ ~ ~
151   IV,     132|           agonie, profond comme la mort.~ ~ ~ ~Balsamo n’avait plus
152   IV,     132|          en passant de la vie à la mort.~ ~ ~ ~Balsamo, pendant
153   IV,     132|           la froide solennité d’un mort qui sort de son tombeau.~ ~ ~ ~
154   IV,     132|     vieillard, impassible comme la mort, l’avait enlevée entre ses
155   IV,     133|      revint s’asseoir auprès de la mort et du désespoir.~ ~ ~ ~
156   IV,     134|        doublait les horreurs de la mort.~ ~ ~ ~Ne sachant pas dans
157   IV,     134|          les orbites d’une tête de mort.~ ~ ~ ~Alors il s’écriait :~ ~ ~–
158   IV,     134|         une voix étranglée, que la mort va me prendre comme une
159   IV,     135|            sembles triste comme la mort.~ ~ ~– Triste, dit Taverney,
160   IV,     138|             et la condamnez-vous à mort ?~ ~ ~ ~Le docteur reporta
161   IV,     141|        accompagnait jusque dans la mort.~ ~ ~ ~Et son œil défaillant,
162   IV,     141|   lendemain, tout le monde me crut mort, excepté vous, qui ne voulûtes
163   IV,     142|          en devenant pâle comme la mort.~ ~ ~– Monsieur, dit-il,
164   IV,     144|         Andrée, que tu préfères la mort à un aveu versé dans mon
165   IV,     145|          après la fuite, trouva la mort.~ ~ ~ ~C’était la première
166   IV,     145|          se dit-il, de songer à la mort lorsque toutes les ressources
167   IV,     145|           prison perpétuelle ou de mort, n’ai-je pas cet homme inconnu
168   IV,     146|        toute la tête à une tête de mort.~ ~ ~ ~Philippe demeura
169   IV,     146|    pénétrer jusqu’à vous, bravé la mort.~ ~ ~ ~Balsamo continuait
170   IV,     148|         vois, il est pâle comme la mort.~ ~ ~– Qui ?~ ~ ~– Gilbert.~ ~ ~ ~
171   IV,     149|           sœur à l’abandon et à la mort en me faisant tuer, mais
172   IV,     149|           un évanouissement, d’une mort, pour ainsi dire, a souillé
173   IV,     149|            certainement condamné à mort ; eh bien, je le jugerai,
174   IV,     151|          dire : « Est-ce que votre mort, à vous, misérable qui n’
175   IV,     151|            quelqu’un, c’est que ma mort volerait quelqu’un, monsieur.
176   IV,     151|          Sans cela, je serais déjà mort, continua Gilbert ; dans
177   IV,     151|     pardonne ; car, maintenant, ma mort n’est plus un vol fait à
178   IV,     151|          avec soi, non pas dans la mort, mais dans la honte, des
179   IV,     151|       fille, vous avez suspendu la mort sur la tête du coupable.~ ~ ~–
180   IV,     151|          comme je désire plutôt la mort que je ne la crains, si
181   IV,     152|           il ne m’envoie pas à une mort certaine sous le prétexte
182   IV,     154|           oubli, à la misère, à la mort peut-être, attendu que cet
183   IV,     158|     prostration est semblable à la mort.~ ~ ~ ~Andrée, revenue au
184   IV,     158|            Andrée, qui désirait sa mort, fut blessée d’entendre
185   IV,     160|   ajouta-t-il ; le pauvre père est mort de douleur.~ ~ ~ ~Les deux
186   IV,     162|        aller.~ ~ ~– Mon enfant est mort ! articula froidement la
187   IV,     163|                  La nouvelle de la mort de son fils eût tué Andrée
188   IV,     Epi|          suis pas assez près de la mort, j’espère, pour qu’une exhortation
189   IV,     Epi|       entrer que la religion et la mort. Le roi fut administré le
190   IV,     Epi|      malheur pour quelqu’un que la mort d’un homme, c’est souvent
191   IV,     Epi|            un grand malheur que la mort d’un roi.~ ~ ~– Même la
192   IV,     Epi|            d’un roi.~ ~ ~– Même la mort de Louis XV ? interrompit
193   IV,     Epi|        homme, pourquoi penser à la mort du roi ? Qui en parle ?
194   IV,     Epi|        obscurité.~ ~ ~– Le roi est mort ! dit le vieillard en se
195  Bib         |                   1. Élégie sur la mort du général Foy. Paris, Sétier,
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