Tome,  Chap.

  1    I,    IntI|             lumière, mais bientôt il vit surgir devant lui une ruine,
  2    I,    IntI|             ses yeux. Dès lors il ne vit plus même les ténèbres.~ ~ ~ ~
  3    I,   IntII|            la salle : le voyageur le vit se débattre et se tordre
  4    I,   IntII|           malgré les éléments et qui vit malgré la mort.~ ~ ~– Tu
  5    I,       6|             la fille du baron, et il vit luire le dédain le plus
  6    I,       6|           jusqu’à l’insolence, et il vit, à la crispation de ses
  7    I,       9|                   Puis, lorsqu’il la vit préparée et soumise, il
  8    I,      11|    entrouverte par Legay.~ ~ ~ ~Elle vit alors Balsamo, qui la saluait
  9    I,      12|          culminante du terrain. Il y vit les ruines, majestueuses
 10    I,      12|              maison d’habitation, il vit le baron, ensevelissant
 11    I,      12|      grandissait à vue d’œil ; on le vit bientôt, ruisselant de sueur,
 12    I,      14|          baron de Taverney.~ ~ ~ ~On vit alors trois carrosses, dont
 13    I,      14|      dauphine s’arrêta sitôt qu’elle vit les deux personnes qui venaient
 14    I,      14|                    La jeune dauphine vit du coin de l’œil toute cette
 15    I,      14|          regarda autour d’elle et ne vit parmi ses hôtes que des
 16    I,      18|            les ruines, et Gilbert le vit disparaître dans les massifs.~ ~ ~–
 17    I,      19|              orfèvre, puis, quand il vit venir le carrosse, il se
 18    I,      19|       courait Gilbert. Bientôt il ne vit plus de la voiture que la
 19    I,      19|  renfoncement d’une grande porte. Il vit Andrée au rayonnement des
 20    I,      19|                     Notre philosophe vit une auberge de bonne mine,
 21    I,      20|          plus étonnée.~ ~ ~ ~Gilbert vit qu’il produisait de l’effet
 22    I,      20|           rasseyant, la voyageuse le vit pâle et les yeux fermés.~ ~ ~–
 23    I,      20|            est qu’à Versailles on ne vit pas de courage.~ ~ ~– J’
 24    I,      20|         Versailles.~ ~ ~– Si l’on ne vit point de courage, on vit
 25    I,      20|             vit point de courage, on vit de travail, madame.~ ~ ~–
 26    I,      24|              peu moins quand elle le vit, sire. Cependant, la situation
 27    I,      24|              de se battre !~ ~ ~ ~Il vit dans les yeux de la comtesse
 28    I,      24|              me voilà.~ ~ ~ ~Et l’on vit moelleusement entrer un
 29    I,      26|           rien, mais pâlit. Louis XV vit ces deux attitudes hostiles.~ ~ ~–
 30    I,      26|            mot de punition, Louis XV vit se dresser la comtesse furibonde
 31    I,      26|      furibonde et Chon hérissée ; il vit s’envoler la paix du ménage,
 32    I,      27|         autres.~ ~ ~ ~En entrant, il vit la princesse seule au milieu
 33    I,      27|         devint fort pensif lorsqu’il vit avec quel silence et surtout
 34    I,      30|            autour d’elle ; mais elle vit avec surprise qu’elle était
 35    I,      32|              le roi des yeux ; il le vit s’acheminer vers le pavillon,
 36    I,      32|          éveillant tout seul, le roi vit devant lui madame du Barry
 37    I,      34|           mit le nez à la fenêtre et vit tous ces apprêts de départ.~ ~ ~–
 38    I,      34|              Le lieutenant de police vit que l’arrestation de Rousseau
 39    I,      35|             auberge.~ ~ ~ ~Nul ne la vit entrer ; mais au pied de
 40    I,      36|       Guéménée.~ ~ ~ ~M. de Choiseul vit qu’il n’y avait rien à faire,
 41    I,      38|   spécialement aux présentations, il vit, dans un nuage de dentelles
 42    I,      39|          Compiègne quand le guetteur vit arborer sur le clocher du
 43    I,      39| frissonnement. Le duc se retourna et vit un vieux gentilhomme au
 44   II,      40|           devint courroucé lorsqu’il vit la jeune femme éclater de
 45   II,      41|              dit la jeune femme, qui vit au froncement de sourcils
 46   II,      42|         contact du bois dur, Gilbert vit le crépuscule bleuâtre estomper
 47   II,      43|              depuis longtemps et qui vit de la vie parisienne ; mais
 48   II,      44|            morose figure. Gilbert la vit aux premiers rayons de la
 49   II,      44|    traversant l’antichambre, Gilbert vit une fontaine.~ ~ ~– Monsieur,
 50   II,      45|        Gilbert, en ouvrant les yeux, vit son hôte entrer doucement
 51   II,      45|              trois francs ; un homme vit avec cela ; vous ne direz
 52   II,      46|        pencha hors de la lucarne, et vit en effet les arbres d’un
 53   II,      46|     descendre et le guetta.~ ~ ~ ~Il vit Gilbert sortir son pain
 54   II,      46|         pauvre s’approcha de lui, il vit Gilbert lui donner son pain,
 55   II,      47|             avançant doucement, elle vit au pied de l’autel la femme
 56   II,      48|           avait été rendu public, on vit arriver, dix par dix, cent
 57   II,      48|   entièrement le bourgeois.~ ~ ~ ~Il vit chez ces braves gens, dans
 58   II,      49|          couverte et majestueuse. Il vit l’éclair froid et pénétrant
 59   II,      49|                    Il se retourna et vit Philippe, qui, ayant mis
 60   II,      50|              de beauté sublime, elle vit enfin tant d’innocence dans
 61   II,      50|              une sainte femme ; elle vit dans un coin du parloir
 62   II,      51|      princesse, en se retournant, le vit dans cette attitude.~ ~ ~–
 63   II,      51|            avec un indicible effroi, vit entrer la jeune femme, dont
 64   II,      51|            seul le sait ; mais il le vit, puisqu’il eut pitié de
 65   II,      53|           les yeux autour de lui, il vit la verdure, la solitude
 66   II,      53|            regarda autour de lui, et vit à sa gauche les flots lointains
 67   II,      53|      usa-t-elle du privilège ; on la vit se placer tellement près
 68   II,      53|             peu à moi.~ ~ ~ ~Gilbert vit la blanche figure d’Andrée
 69   II,      54|          accompagnée sans qu’elle me vit de la Muette à la rue voisine
 70   II,      54|          mains de Nicole.~ ~ ~ ~Elle vit cette tête pâle, ce corps
 71   II,      59|         rougirent aussitôt ; puis on vit courir sur l’argile incandescente
 72   II,      66|             les premiers curieux, on vit arriver quelques escouades
 73   II,      66|             devait suffire.~ ~ ~ ~On vit alors les gardes-françaises
 74   II,      66|             et tumultueuse. Alors on vit, avec cette audace du Parisien
 75   II,      66|             laisse envahir, alors on vit monter sur ces impériales,
 76   II,      67|         chevaux furieux. Philippe le vit venir à lui rapide et menaçant ;
 77   II,      67|            Mais tout fut inutile, il vit s’ouvrir la foule derrière
 78   II,      67|            animaux insensés ; il les vit se cabrer comme ces chevaux
 79   II,      67|              cheval se cabra. Andrée vit son frère retomber, fléchir
 80   II,      67|          compte de l’obstacle, et se vit à trois pas du Garde-meubles.
 81   II,      67|         profondeurs de la foule ; il vit se lever au-dessus de cette
 82   II,      68|     vieillard.~ ~ ~– Il respire ! il vit !… il vit, vous dis-je !
 83   II,      68|            Il respire ! il vit !… il vit, vous dis-je ! s’écria Philippe.~ ~ ~–
 84   II,      70|         jours, car tous les jours on vit.~ ~ ~– Oh ! vous ne consommerez
 85   II,      72|              arriverseulement, il vit s’ouvrir avec précaution
 86   II,      72|             point de vue. Gilbert la vit crosser d’un coup de pied
 87   II,      72|           tira une clef ; Gilbert la vit un instant briller entre
 88   II,      72|                 Presque aussitôt, il vit Nicole ouvrir la porte de
 89   II,      73|        Philippe calcula le temps, et vit que sa sœur avait  être
 90   II,      74|           Nicole, Beausire, et il ne vit plus, sur le fond de son
 91   II,      76|        gauche une prune entamée ; il vit ces deux déesses, ou du
 92   II,      76|       jeunesse et la beauté ; il les vit et demeura stupéfait, saluant
 93   II,      76|         doigts rosés.~ ~ ~ ~Rousseau vit et entendit ; il faillit
 94   II,      78|            acharnement.~ ~ ~ ~Le roi vit, de l’antichambre, à quelle
 95   II,      79|                  Mais M. de Choiseul vit bien cette différence de
 96   II,      80|            de la grandeur, lorsqu’il vit ces immenses salons pleins
 97   II,      80|             buisson.~ ~ ~ ~Et le roi vit accourir à lui la dauphine,
 98  III,      87|       ministre exilé ; de plus, on y vit tous les partisans du chancelier,
 99  III,      87|            vrai, et modeste surtout, vit passer le tourbillon des
100  III,      87|             rien n’échappe ; elle ne vit que deux fronts courbés
101  III,      89|       toujours s’en préserver. Il ne vit dans Taverney qu’un de ces
102  III,      89|              et de dépit.~ ~ ~ ~Jean vit ce geste, reconnut cette
103  III,      91|                  Là, en effet, il la vit encore s’avancer pensive
104  III,      91|               Andrée leva la tête et vit, à trente pas derrière elle,
105  III,      91|          marchaient lentement ; elle vit, sous la pelisse de martre
106  III,      91|              Henriade ; et, quand il vit la duchesse sur les dents,
107  III,      91|              plaisir.~ ~ ~ ~Alors on vit la pauvre dame d’honneur,
108  III,      92|              des bâtiments.~ ~ ~ ~Il vit de là Andrée appeler à l’
109  III,      93|            sourdement le baron. Cela vit, cela remue. Oh ! si j’étais
110  III,      95|        chanson, elle leva la tête et vit Gilbert.~ ~ ~ ~Sa première
111  III,      95|           guetta si bien, qu’elle le vit une fois monter son escalier :
112  III,      96|              bonne fortune.~ ~ ~ ~Il vit bien çà et là des gens affairés
113  III,      98|             repris sa vie régulière, vit entrer chez lui Rafté, tenant
114  III,      99|        renfoncement, dit le duc, qui vit que décidément la vieille
115  III,     101|           pas tranquille. Mais on le vit s’admirer dans son magnifique
116  III,     101|              comptait trouver, il ne vit qu’une violente envie d’
117  III,     101|              de la stupeur.~ ~ ~ ~On vit toutes les têtes des parlementaires
118  III,     101|              bouche du roi.~ ~ ~ ~On vit M. de Richelieu, qui avait
119  III,     101|              à la porte de la salle, vit au loin tout ce peuple,
120  III,     101|         nullement politique. Elle ne vit que le compliment là où
121  III,     102|              première personne qu’il vit entrer dans l’allée ouverte.
122  III,     102|             si bien réussi.~ ~ ~ ~Il vit une place vide sur un des
123  III,     104|            au centre du corps ; elle vit, elle fait vivre. C’est
124  III,     105|            pour Balsamo.~ ~ ~ ~Marat vit que Balsamo l’avait compris :
125  III,     106|            regards sur lui-même ; il vit le lit plein de sang, il
126  III,     106|             le lit plein de sang, il vit sa jambe mutilée.~ ~ ~ ~
127  III,     110|            la salle de spectacle, il vit la profusion de beaux habits,
128  III,     110|       costume.~ ~ ~ ~Tout à coup, on vit entrer le roi au milieu
129  III,     110|       bonheur~ ~ ~ ~Aussitôt qu’elle vit Rousseau, elle vint à lui.~ ~ ~ ~
130  III,     110|           seule contemplation, il ne vit plus son compagnon.~ ~ ~ ~
131  III,     111|            des habits villageois, et vit des dames qui coquetaient
132  III,     111|                     La dauphine, qui vit ainsi l’auteur attentif,
133  III,     111|                  Andrée rougit, elle vit tous les yeux se porter
134  III,     111|        retournant après un essai, il vit M. de Jussieu qui le saluait
135  III,     111|          Colin me délaisse.~ ~ ~ ~On vit le roi laisser aller sa
136  III,     111|              Taverney se retourna et vit M. de Jussieu qui caressait
137  III,     112|             dit-il aussitôt qu’il se vit seul avec lui, tu m’as paru
138  III,     113|           les fantômes.~ ~ ~ ~Le roi vit de sa fenêtre et caché derrière
139  III,     115|            Mais, en approchant, elle vit le jeune homme, le reconnut
140  III,     116|         Monsieur, dit Andrée, qui ne vit dans sa démarche qu’une
141  III,     118|          même cela ? dit Nicole, qui vit bien qu’il fallait changer
142  III,     118|        moment, petite !~ ~ ~ ~Nicole vit qu’elle allait trop vite,
143  III,     120|           pour monter.~ ~ ~ ~Gilbert vit donc cette femme blanche
144  III,     120|             l’effleura même et ne le vit pas.~ ~ ~ ~Le jeune homme,
145  III,     120|              bleuâtre de cet éclair, vit un homme caché sous la sombre
146  III,     121|            Ce fut en ce moment qu’il vit la jeune fille vaciller,
147  III,     121|            la chambre.~ ~ ~ ~Gilbert vit cet homme aller en tâtonnant
148  III,     123|             dans la cour, Lorenza se vit entourée de tout un monde
149  III,     123|              le lieutenant de police vit donc dans la glace en biseau
150   IV,     125|             sa protectrice, quand il vit M. de Sartine se diriger,
151   IV,     125|                    M. de Sartine les vit partir tous deux sans montrer
152   IV,     127|              et descendait.~ ~ ~ ~Il vit sortir Balsamo de la chambre
153   IV,     128|              m’aime, celle dont elle vit en ce moment.~ ~ ~ ~Et il
154   IV,     129|          regarda autour de lui et ne vit rien.~ ~ ~ ~Rien que Lorenza
155   IV,     133|             convenablement.~ ~ ~ ~Il vit assis sur des fauteuils
156   IV,     135|            le poids.~ ~ ~ ~Richelieu vit passer son ami, pareil à
157   IV,     135|               et le baron aux aguets vit, à onze heures précises,
158   IV,     137|                    Lorsque Andrée se vit pour ainsi dire entre les
159   IV,     137|             direction, M. de Jussieu vit, en effet, Andrée qui s’
160   IV,     138|              hors de la chambre : il vit sa fille, chancelante encore,
161   IV,     138|          chez sa fille.~ ~ ~ ~Andrée vit avec étonnement son père
162   IV,     140|         était si préoccupé, qu’il ne vit pas M. de Richelieu dans
163   IV,     140|            présume, dit Gilbert, qui vit qu’il s’était trop avancé.
164   IV,     141|            le savoir. M. de Taverney vit ainsi comme un damné dans
165   IV,     142|           depuis cinq minutes, qu’il vit venir à lui la figure roide
166   IV,     142|                     Il leva la tête, vit un homme devant lui et demanda :~ ~ ~–
167   IV,     145|            profonde tristesse. Il ne vit pas sans douleur se flétrir
168   IV,     145|             de la mansarde.~ ~ ~ ~Il vit M. de Taverney sortir avec
169   IV,     145|               Il suivit Philippe, le vit monter chez Andrée, causer
170   IV,     145|            désespoir de Philippe. Il vit naître et grandir cette
171   IV,     145|            avec sa sœur ; Gilbert le vit à genoux, baisant les mains
172   IV,     145|             ce Dieu qui tant de fois vit mes larmes et mes douleurs
173   IV,     154|           approcha de la lucarne, et vit les persiennes du pavillon
174   IV,     156|             le veux !~ ~ ~ ~Philippe vit s’abaisser vers lui la main
175   IV,     157|            sur un fauteuil.~ ~ ~ ~On vit alors la malade rougir et
176   IV,     158|              vie, ouvrit les yeux et vit à ses côtés la servante
177   IV,     158|              dans la glace ; elle le vit revenir pâle, les bras inertes ;
178   IV,     158|             porte du jardin ouverte, vit des empreintes de pas sur
179   IV,     159|         surveillant ; mais, quand il vit, à deux jours de là, le
180   IV,     159|              sur la branche quand il vit, sous la feuille quand il
181   IV,     159|            qui tire le fil.~ ~ ~ ~Il vit ce jour-là Philippe et Andrée
182   IV,     159|              précaution la porte, ne vit personne et s’alla cacher
183   IV,     159|              jusqu’à la cheville. Il vit Andrée endormie dans son
184   IV,     159|            près de la mère, il ne le vit point.~ ~ ~ ~Il comprit
185   IV,     163|        passagers, océan, Philippe ne vit plus rien. La nuit sombre
186   IV,     163|         passagers, car Philippe n’en vit aucun sur la dunette. Seulement,
187   IV,     163|        quelques mots, et Philippe le vit disparaître dans l’entrepont.~ ~ ~–
188   IV,     164|           après-midi.~ ~ ~ ~Philippe vit ces hauts pitons de collines
189   IV,     164|      attendirent leur tour.~ ~ ~ ~On vit donc s’éloigner les deux
190   IV,     164|              le seuil mêmePhilippe vit quelqu’un marcher, les mains
191   IV,     Epi|           leurs maisons.~ ~ ~ ~On ne vit plus dans la ville que les
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