Tome,  Chap.

  1    I,   IntII|            ignorants, puisque vous ne savez pas qui je suis, tandis
  2    I,  IntIII|           dernière mort, car, vous le savez, mes frères, et c’est un
  3    I,  IntIII|              charge.~ ~ ~– Alors vous savez ce qui se passe en France ?
  4    I,       2|         presse, par Jupiter ! vous le savez bien, mon jour arrive, et
  5    I,       2|            étais aujourd’hui, vous le savez bien. Prenez-y garde, Acharat,
  6    I,       4|                     Comment ! vous ne savez pas un peu de mathématiques ?~ ~ ~–
  7    I,       4|                  Oui, moi.~ ~ ~– Vous savez ce que c’est que l’orage ?
  8    I,       4|              c’est que l’orage ? Vous savez ce qui cause la foudre ?~ ~ ~ ~
  9    I,       5|            vers son père :~ ~ ~– Vous savez, monsieur, que vous n’avez
 10    I,       9|                     Comment ! vous ne savez pas ? répondit Balsamo assez
 11    I,      10|      mademoiselle est sévère, vous le savez.~ ~ ~– Ah ! oui, je lui
 12    I,      10|                      Peut-être ! vous savez que j’ai de l’ambition.~ ~ ~–
 13    I,      10|        cherchant la solitude, vous le savez.~ ~ ~– Oui, et l’on monte
 14    I,      10|              où chaque homme, vous le savez, a jusqu’à sept ou huit
 15    I,      13|                j’étais, comme vous le savez, en garnison à Strasbourg.
 16    I,      13|       garnison à Strasbourg. Or, vous savez que c’est par Strasbourg
 17    I,      15|                     Allons, vous n’en savez pas davantage, dit la princesse
 18    I,      16|      tourmente à cette heure. Vous le savez, j’ai une trentaine de louis
 19    I,      17|               seul soupir.~ ~ ~– Vous savez, dit la jeune fille en s’
 20    I,      17|        accoudant sur la fenêtre, vous savez, Gilbert, que l’on quitte
 21    I,      17|          répondit Gilbert.~ ~ ~– Vous savez où l’on va ?~ ~ ~– On va
 22    I,      17|             va à Paris.~ ~ ~– Et vous savez encore que je suis du voyage ?~ ~ ~–
 23    I,      20|               a une chose que vous ne savez pas…~ ~ ~– Laquelle ?~ ~ ~–
 24    I,      21|       peut-être dans deux.~ ~ ~– Vous savez, maître, dit le vicomte
 25    I,      21|          pliant la jambe droite, vous savez ou vous ne savez pas que
 26    I,      21|         droite, vous savez ou vous ne savez pas que je ne plaisante
 27    I,      21|        attaché là au contrevent. Vous savez que j’en offre cinq cents
 28    I,      23|       monsieur, vous l’êtes, car vous savez quel est le misérable qui
 29    I,      23|                dans laquelle, vous le savez, je mets tout mon amour-propre,
 30    I,      23|               courir contre lui, vous savez ?~ ~ ~« Notre Père qui êtes
 31    I,      23|             manquent.~ ~ ~– Oh ! vous savez que je vous sers, et vous
 32    I,      23|                  Justement. Ah ! vous savez cela ? dit la comtesse mécontente.~ ~ ~–
 33    I,      23|          gouverner sans cela, vous le savez bien, vous qui êtes si excellente
 34    I,      24|         parodie, comtesse.~ ~ ~– Vous savez que je les adore, sire.~ ~ ~–
 35    I,      24| emprisonnerait-on pas le drôle ? Vous savez bien que les militaires
 36    I,      24|              mandarins.~ ~ ~– Vous ne savez pas d’où vient le coup ?
 37    I,      26|             Je vous avais mandé, vous savez cela ?~ ~ ~– Oui, sire,
 38    I,      26|            dit le dauphin.~ ~ ~– Vous savez cela aussi, vous ? dit le
 39    I,      27|            puis être abbesse, vous le savez.~ ~ ~ ~Le roi tressaillit ;
 40    I,      27|           combattu longtemps, vous le savez. Je l’ai donnée parce que
 41    I,      27|              on vous dise ce que vous savez bien, ce que vous avez vu
 42    I,      27|            êtes un bon père, vous qui savez pardonner.~ ~ ~– Reste avec
 43    I,      28|          Adélaïde.~ ~ ~– Eh ! vous le savez bien ; aux placets de mademoiselle
 44    I,      29|               un miracle, et, vous le savez, les miracles sont rares…~ ~ ~–
 45    I,      29|      président Maupeou.~ ~ ~– Vous le savez ?~ ~ ~– Il n’en sort pas.~ ~ ~–
 46    I,      30|             que vous le gagniez. Vous savez, les influences… Il fait
 47    I,      30|         malade qui va mourir, vous le savez, on tire ce que l’on peut.~ ~ ~–
 48    I,      30|             Chon ?~ ~ ~– Mais vous le savez bien, à Versailles.~ ~ ~–
 49    I,      31|             un charmant sourire, vous savez que je me fie assez au hasard.
 50    I,      31|             plaideuse.~ ~ ~– Car vous savez, madame, que, malgré l’opposition
 51    I,      31|              Si je le suis !… Vous le savez bien.~ ~ ~– Se formaliserait-elle
 52    I,      32|              voulez-vous, sire ! vous savez le proverbe : « On veut
 53    I,      34|             pas.~ ~ ~– Comment ! vous savez cela, Sartine ?~ ~ ~– Sire,
 54    I,      35|               sibylle ?~ ~ ~– Vous le savez bien : au Coq chantant,
 55    I,      35|              la comtesse à Jean, vous savez cela mieux que personne.~ ~ ~ ~
 56    I,      35|               par troupes.~ ~ ~– Vous savez que le roi vous attendait
 57    I,      36|               j’étais malade, et vous savez ce que Rafté a répondu :
 58    I,      37|               quant au carrosse, vous savez que j’en ai répondu ; le
 59    I,      37|              vous êtes.~ ~ ~– Vous le savez déjà, monsieur ; je suis
 60    I,      38|             retard, cher duc, et vous savez le proverbe : « A tout gagné
 61    I,      38|              et montrez-leur que vous savez faire la révérence. J’espère
 62   II,      40|         faites pas violence ; vous en savez assez, n’est-ce pas ?~ ~ ~–
 63   II,      43|               pas fils de noble, vous savez un état, je présume ?~ ~ ~–
 64   II,      43|            secoua la tête.~ ~ ~– Vous savez lire, écrire ?~ ~ ~– Ma
 65   II,      45|               est-ce pas ?~ ~ ~– Vous savez, monsieur, répondit Gilbert,
 66   II,      45|              Mais vous, monsieur, qui savez tant de choses, vous devez
 67   II,      45|               un sol.~ ~ ~– Mais vous savez lire la musique, alors ?~ ~ ~–
 68   II,      46|               vous son pain ; vous ne savez où vous retirer, cet homme
 69   II,      47|          autre s’approcha.~ ~ ~– Vous savez, madame, dit-il, que maintenant
 70   II,      49|           mademoiselle.~ ~ ~– Vous la savez donc ? ajouta-t-elle dédaigneusement
 71   II,      51|         désire connaître comment vous savez tout cela, répéta le comte.~ ~ ~–
 72   II,      52|              vous êtes.~ ~ ~– Vous le savez.~ ~ ~– Moi ?~ ~ ~– Sans
 73   II,      52|            dit-il.~ ~ ~– Oh ! vous le savez bien.~ ~ ~– Dites toujours.~ ~ ~–
 74   II,      54|            par tous. Je suis, vous le savez, un des illustres malheureux
 75   II,      57|            demanda-t-elle.~ ~ ~– Vous savez d’où vous venez, madame,
 76   II,      57|              et moi.~ ~ ~– Alors vous savez aussi que cette princesse,
 77   II,      57|         frissonner.~ ~ ~– Et, vous le savez, j’ai toujours généreusement
 78   II,      59|        Monseigneur, monseigneur, vous savez vous-même que ce crédit
 79   II,      60|             lui apprendre ce que vous savez, pour que cet enfant, à
 80   II,      61|             vous la vantez et vous ne savez pas, dites-vous, si elle
 81   II,      61|            dans des traquenards. Vous savez que j’ai la vue basse. Une
 82   II,      61|             Louis XV.~ ~ ~– Ah ! vous savez cela, sire ?~ ~ ~– Je crois
 83   II,      61|                 Belle nouvelle ! vous savez bien qu’ils sont inamovibles.~ ~ ~–
 84   II,      61|           très chrétienne, et vous le savez mieux que personne, comtesse,
 85   II,      62|        philosophe ne vous voie ; vous savez s’il décampe vite.~ ~ ~ ~
 86   II,      64|            pas, moi.~ ~ ~– Vous ne le savez pas ! s’écria Louis XV avec
 87   II,      64|            Mon Dieu, sire…~ ~ ~– Vous savez l’histoire de France, n’
 88   II,      64|               mon Dieu ! mais vous ne savez donc rien ?~ ~ ~– Si Votre
 89   II,      65|             offre des aspérités. Vous savez que les pointes sollicitent
 90   II,      69|            Monsieur, lui dit-il, vous savez mon adresse, vous savez
 91   II,      69|               savez mon adresse, vous savez mon nom. Mettez-moi, je
 92   II,      73|             importance à la question, savez vous que je n’ai encore
 93   II,      73|                    Mon Dieu ! vous le savez, mon frère, nous fûmes séparés
 94   II,      75|       singulier nom !~ ~ ~– Oh ! vous savez, à la campagne, il n’y a
 95   II,      77|              chose, c’est que vous ne savez pas seulement ce dont il
 96   II,      77|               que si fait.~ ~ ~– Vous savez ce qui me crispe ?~ ~ ~–
 97   II,      77|             est charmante, comme vous savez…~ ~ ~– Hélas !~ ~ ~– Lui
 98   II,      77|         Supposez donc, comtesse… vous savez, on suppose toujours dans
 99   II,      77|               avez raison.~ ~ ~– Vous savez, le secret…~ ~ ~– C’est
100   II,      78|              belle Bourbonnaise, vous savez.~ ~ ~– Comtesse, les Choiseul
101   II,      78|              tout.~ ~ ~– Ah ! vous le savez bien.~ ~ ~– Non.~ ~ ~– Si
102   II,      79|                c’est fort drôle. Vous savez qu’on vous craint beaucoup
103   II,      79|             roi le sentit.~ ~ ~– Vous savez, dit-il, que je n’aime pas
104   II,      81|               vite en carrosse : vous savez comment se gouverne la chasse ?~ ~ ~–
105  III,      82|              honneur.~ ~ ~– Mais vous savez bien, madame, dit Richelieu
106  III,      83|              êtes folle, dit-il, vous savez bien que vous ne mourrez
107  III,      84|              monsieur le duc, vous le savez, nous changeons de nom à
108  III,      84|               fait-il ?~ ~ ~– Vous le savez aussi bien que moi, comtesse ;
109  III,      85|                     Oh ! madame, vous savez que nous sommes déjà en
110  III,      90|              au contraire.~ ~ ~– Vous savez ce que c’est que ce monsieur ?~ ~ ~–
111  III,      90|               affaire du relais, vous savez ?~ ~ ~– Ah ! mais voyez
112  III,      90|             Il nous aidera tous… Vous savez qu’il est au mieux avec
113  III,      90|       merveille, je parie.~ ~ ~– Vous savez cela ?~ ~ ~– C’est bien
114  III,      90|          Aiguillon rougit.~ ~ ~– Vous savez ? dit-il.~ ~ ~– M. le vicomte
115  III,      90|        faisceau de l’Antiquité ; vous savez, celui qu’on ne pouvait
116  III,      92|               suis impatient, vous le savez.~ ~ ~– Il faut d’abord essayer,
117  III,      99|              je n’abuserai pas : vous savez ce qui m’amène.~ ~ ~– Les
118  III,     100|          Béarn. » D’ailleurs, vous le savez, c’est chose promise, et
119  III,     100|             vous êtes le maître. Vous savez, sire, que le roi, lorsqu’
120  III,     100|              Voyons.~ ~ ~– Vous ne le savez pas ?~ ~ ~– Il a un peu
121  III,     102|                   Mais, Thérèse, vous savez bien qu’il n’en est rien,
122  III,     103|             monde ; l’avenir, vous le savez, c’est l’espoir, c’est la
123  III,     104|           vous le recommande. Vous le savez comme moi maintenant, la
124  III,     104|                Or, messieurs, vous le savez tous, l’Angleterre s’est
125  III,     105|         bientôt prêt, monsieur ? Vous savez que mes moments sont comptés.~ ~ ~–
126  III,     107|      emportant de plus en plus ; vous savez bien que personne n’est
127  III,     107|             cuiller d’argent que vous savez, qu’a pris mon couteau à
128  III,     107|          Marat.~ ~ ~– Oui ; mais vous savez lire, vous ?~ ~ ~– Sans
129  III,     107|               dit-elle.~ ~ ~– Vous le savez parfaitement, insista Balsamo,
130  III,     108|           elle-même. D’ailleurs, vous savez, monsieur, que c’est à un
131  III,     110|              vous y dites que vous ne savez que médiocrement le latin.~ ~ ~–
132  III,     110|              superiore Germania… Vous savez, on fait le portrait de
133  III,     113|          salle à manger avec qui vous savez.~ ~ ~ ~Louis XV se leva
134  III,     114|              vie d’un soldat, vous le savez, c’est un événement des
135  III,     114|       Philippe, je vous le jure, vous savez tout, et vous avez mon cœur
136  III,     114|             esprit bien fort, vous le savez mieux que personne, vous,
137  III,     117|              Monsieur, dit-elle, vous savez que je meurs de tristesse
138  III,     117|             depuis longtemps, vous le savez, ce désir est le mien.~ ~ ~–
139  III,     117|         science et en politique. Vous savez qu’Althotas a trouvé la
140  III,     117|           voilà pour la science. Vous savez que moi et mes amis conspirons
141  III,     117|             constante et douce ? Vous savez que voilà mon plus ardent
142  III,     118|            encore !~ ~ ~– Ainsi, vous savez même cela ? dit Nicole,
143  III,     118|          jeune fille ; mais, vous qui savez tant de choses, monsieur
144  III,     119|               veilleuse allumée. Vous savez qu’il faut que je me lève
145   IV,     124|             bonne heure ; et, si vous savez quelle conspiration il dirige,
146   IV,     124|              mais…~ ~ ~– Mais vous ne savez point celui sous lequel
147   IV,     125|                monsieur, puisque vous savez si bien qui je suis, vous
148   IV,     125|            est philosophe, comme vous savez ; lorsque Frédéric se sera
149   IV,     125|                entretenus, comme vous savez, par M. Nicolet : ah ! monsieur
150   IV,     125|             monsieur de Sartine, vous savez bien que vous n’avez pas
151   IV,     127|               au mois de mai, vous le savez ; voilà vos biscuits d’orge
152   IV,     127|               le chercher.~ ~ ~– Vous savez bien, maître, que Lorenza
153   IV,     133|             tout le monde.~ ~ ~– Vous savez cela ? dit Balsamo.~ ~ ~–
154   IV,     136|          arrêta encore.~ ~ ~– Vous le savez, sire, on appelle ami, en
155   IV,     138|             logement à Trianon ; vous savez que c’est le grand défaut
156   IV,     138|           tout, ma fille !~ ~ ~– Vous savez ?…~ ~– Tout, vous dis-je.~ ~ ~–
157   IV,     139|               les fusées ; et vous le savez, duc…~ ~ ~– Je ne sais rien,
158   IV,     139|                     Parbleu ! vous le savez bien.~ ~ ~– Non, sur ma
159   IV,     139|               n’est personne. vous le savez bien, duc.~ ~ ~– Au contraire,
160   IV,     139|            rester seule la nuit, vous savez, la nuit où j’étais chez
161   IV,     141|              saison des fleurs ; vous savez comme je suis nerveuse ;
162   IV,     141|         parterre m’a suffoquée ; vous savez combien ces plumets magnifiques,
163   IV,     141|             me réveillai pas, vous le savez ; le lendemain, tout le
164   IV,     141|             avait d’abord, comme vous savez, témoigné beaucoup d’intérêt,
165   IV,     141|              roi m’a aperçue. Vous le savez, Philippe, l’évanouissement
166   IV,     142|              homme.~ ~ ~– Alors, vous savez qu’elle est fort souffrante.~ ~ ~–
167   IV,     143|              elles-mêmes, et, vous le savez, un précepte divin commande
168   IV,     143|              vous ai quittée, vous le savez, pour les jeux de mes camarades.
169   IV,     146|             Philippe, il y a, vous le savez, dans la vie des situations
170   IV,     146|              l’argent, parce que vous savez que je fais de l’or. Eh
171   IV,     146|              homme étonné.~ ~ ~– Vous savez que je ne crains pas un
172   IV,     150|            avec un amer sourire, vous savez à fond ma pensée, vous connaissez
173   IV,     150|               aura alléguées, vous le savez… c’est le besoin d’un changement
174   IV,     150|               service pour moi : vous savez que les promesses faites
175   IV,     151|          saviez où est la porte, vous savez aussi où est le pain : allez
176   IV,     151|           pain, je le gagnerai ; vous savez que je ne suis pas un paresseux.~ ~ ~–
177   IV,     151|           vous venez faire ici : vous savez qu’une dénonciation terrible
178   IV,     152|                    Comment, vous n’en savez rien ? s’écria Gilbert.
179   IV,     153|               conçois encore, vous ne savez pas ce que je pense ; mais
180   IV,     157|                      Maintenant, vous savez que nous avons retenu une
181   IV,     158|       monsieur, dit la servante, vous savez bien que cet enfant n’est
182   IV,     Epi|         façade du château.~ ~ ~– Vous savez donc des nouvelles plus