Tome,  Chap.

  1    I,  IntIII|            jusqu’à Agrippa.~ ~ ~« J’avais étudié la médecine non seulement
  2    I,  IntIII|             on appelle la nature. J’avais surpris les secrets des
  3    I,  IntIII|            Cophtes et des Druses. J’avais recueilli les semences fatales
  4    I,  IntIII|         mort ou la vie, selon que j’avais condamné ou béni la contrée
  5    I,  IntIII|          reste aujourdhui.~ ~ ~« J’avais une grande confiance, j’
  6    I,  IntIII|             une grande confiance, j’avais une vénération suprême dans
  7    I,  IntIII|        trente-deux existences que j’avais déjà vécues.~ ~ ~« Je vis
  8    I,  IntIII|           les différents noms que j’avais portés depuis le jour de
  9    I,  IntIII|        trente-deux existences que j’avais déjà vécu, j’avais déjà
 10    I,  IntIII|            que j’avais déjà vécu, j’avais déjà visité les mêmes villes ;
 11    I,       2|             recommencer. Comme si j’avais du temps à perdre ! Mon
 12    I,       2|   électrique que je forcerais, si j’avais le temps, à descendre dans
 13    I,       4|            apprend des choses que j’avais devinées.~ ~ ~– Lesquelles ?~ ~ ~–
 14    I,       5|      longtemps que tout ce que j’en avais, – et je dois dire que mon
 15    I,       5|        dis-je, que tout ce que j’en avais est vendu, mangé, digéré.
 16    I,       6|        Balsamo.~ ~ ~– J’étais là, j’avais l’honneur d’assister comme
 17    I,       6|         plus !~ ~ ~– Non pas ; j’en avais quarante et un.~ ~ ~– Ah !
 18    I,       6|       faisait écho.~ ~ ~– Je vous l’avais bien dit, monsieur, dit
 19    I,       6|           montrer aucun embarras. J’avais quarante et un ans à cette
 20    I,      10|          jolie fille que moi ? Si j’avais les mains blanches de mademoiselle,
 21    I,      12|       maison est pauvre, et je vous avais prévenu.~ ~ ~– Je m’y trouve
 22    I,      13|          écria le baron.~ ~ ~– Je n’avais plus de voix, mon père.
 23    I,      15|                 C’est bien ce que j’avais dit, murmura-t-il, un courage
 24    I,      16|            vrai, une croix, je ne l’avais pas vue : donnez.~ ~ ~ ~
 25    I,      17|         vous aimais encore, et si j’avais mis en ce que je fais en
 26    I,      20|           cette faiblesse ?~ ~ ~– J’avais beaucoup trop marché.~ ~ ~–
 27    I,      20|     quelques bouchées de pain que j’avais emportées avec moi.~ ~ ~–
 28    I,      20|            bien garnie ?~ ~ ~– Je n’avais qu’un seul écu de six livres,
 29    I,      20|           parti contre moi. Si je n’avais pas perdu mon argent, j’
 30    I,      21|         passais par Verdun et que j’avais pour commission de lui annoncer,
 31    I,      23|            coupeur de bourses que j’avais laissé tranquille tant qu’
 32    I,      23|       ministre ?~ ~ ~– Ah ! si je n’avais peur que de cela.~ ~ ~–
 33    I,      24|            de ma sœur, à laquelle j’avais promis de revenir ce matin.~ ~ ~–
 34    I,      26|          par ma foi ! pensa-t-il, j’avais oublié celui-là. Qu’il soit
 35    I,      26|               s’écria-t-il. Je vous avais mandé, vous savez cela ?~ ~ ~–
 36    I,      29|             vous m’ôtez celui que j’avais.~ ~ ~– Devant M. de Maupeou,
 37    I,      29|            le parlement que je n’en avais là-bas devant mon traversin.~ ~ ~ ~
 38    I,      35|             ai pas de robe.~ ~ ~– J’avais prévu le cas, madame ; hier,
 39    I,      36|          celle de Cellamare, dont j’avais l’honneur de faire partie,
 40    I,      38|           ans ; cet homme, que je n’avais pas pu retrouver, que j’
 41   II,      43|            vous ai répondu que je n’avais point de maître, j’aurais
 42   II,      43|       entendu dire une fois. Je les avais rencontrés dans les livres
 43   II,      43|    rencontrés dans les livres que j’avais lus, mais je ne les avais
 44   II,      43|           avais lus, mais je ne les avais pas compris.~ ~ ~– Vous
 45   II,      43|           ai tout dévoré. Oh ! si j’avais eu quelqu’un pour me guider
 46   II,      43|          savoir que c’était moi qui avais fait cette demande, mademoiselle
 47   II,      43|          question. Puis, quand je l’avais trouvée, je l’enlevais avec
 48   II,      43|             ou un savant. » Quand j’avais quelque répugnance à écouter
 49   II,      43|            Au bout de huit jours, j’avais reproduit cette adresse
 50   II,      46|          savez-vous que jamais je n’avais rêvé que cela, vivre auprès
 51   II,      46|           tristement Gilbert, que j’avais été malheureux, et que,
 52   II,      47|             dite en disant que je n’avais point d’argent, car dans
 53   II,      49|     probablement, dit Gilbert, si j’avais osé poser mes doigts sur
 54   II,      50|           comme une nécessité. Je n’avais ni force ni volonté. On
 55   II,      50|     ailleurs, on ordonnait, et je n’avais pas autre chose à faire
 56   II,      50|              Toutes les amies que j’avais connues et qui, comme moi,
 57   II,      50|         père s’évanouit.~ ~ ~« Je n’avais plus qu’un espoir : c’est
 58   II,      50|           nous protéger.~ ~ ~« Je l’avais regardé tant que j’avais
 59   II,      50|            avais regardé tant que j’avais pu le voir, et ce n’est
 60   II,      50|          mouvement de malaise que j’avais déjà éprouvé ; cet effet
 61   II,      50|            planche, un plat même, j’avais vu mon frère attirer une
 62   II,      50|          fatal voyage de Subiaco, n’avais jamais échangé une seule
 63   II,      50|        frère, moi qui depuis lors n’avais croisé que deux fois mon
 64   II,      50|               Le même trouble que j’avais déjà éprouvé se répandit
 65   II,      50|       offices, l’inconnu assista. J’avais voulu résister ; j’avais
 66   II,      50|            avais voulu résister ; j’avais dit que j’étais malade ;
 67   II,      50|          dit que j’étais malade ; j’avais résolu que je ne descendrais
 68   II,      50|             n’était point arrivé, j’avais quelques instants de calme
 69   II,      50|           Dieu.~ ~ ~« D’abord, je n’avais pu le regarder sans crainte ;
 70   II,      50|             étais vêtue de blanc. J’avais sur le front une couronne
 71   II,      51|             moi-même, que je ne les avais pas devinées. Oh ! vous
 72   II,      51| certainement on devait croire que j’avais agi de complicité avec cet
 73   II,      51|           en sûreté ici ; je vous l’avais dit.~ ~ ~– Elle est en sûreté
 74   II,      51|             ma chambre ; comme je n’avais pas prononcé mes vœux, on
 75   II,      51|      convulsif pareil à celui que j’avais l’habitude d’éprouver quand
 76   II,      52|             de Lorenza elle-même. J’avais été obligé de la laisser
 77   II,      52|            serait déjà fait si je n’avais plus de prudence que vous,
 78   II,      53|           qu’elle m’aimât. Ce que j’avais le droit d’exiger d’elle,
 79   II,      53|           arrivasse à mon but, je n’avais pas eu plus à grandir pour
 80   II,      57|          royale intermédiaire que j’avais choisie entre Dieu et moi.~ ~ ~–
 81   II,      59|            les cœurs. Oui, car je l’avais prévenu que le chevalier
 82   II,      59|             pas, monsieur ?~ ~ ~– J’avais la parole de Votre Éminence,
 83   II,      60|          réjouir, sur mon âme, si j’avais trouvé cela !~ ~ ~– Alors,
 84   II,      60|             Ah ! oui, c’est vrai, j’avais oublié, moi. Tu as des clubs
 85   II,      62|                   Attendez donc : j’avais juré très fort en me sentant
 86   II,      64|            sire.~ ~ ~– Moi aussi, j’avais été élevé comme vous avez
 87   II,      64|           toit de mon grand-père. J’avais M. de Villeroy, un brave
 88   II,      68|           retrouvé la place où je l’avais perdue, mais d’elle, nulle
 89   II,      68|      monsieur, mais un enfant que j’avais presque adopté.~ ~ ~– Vous
 90   II,      68|             rues ; mais, ce soir, j’avais comme un pressentiment.
 91   II,      68|            ne puis vaincre.~ ~ ~– J’avais cette même horreur ; mais,
 92   II,      69|    mademoiselle votre sœur, et je l’avais fait transporter par mes
 93   II,      70|           presque éteinte :~ ~ ~– J’avais besoin d’air, dit-il.~ ~ ~ ~
 94   II,      70|       Jussieu un peu embarrassé ; j’avais des graines à lui demander ;
 95   II,      73|            il y a un point que je n’avais pas d’abord examiné, et
 96   II,      73|            nombre de secondes que j’avais encore à vivre, quand, à
 97   II,      73|                  Oui, le même que j’avais déjà vu à Taverney ; le
 98   II,      73|             ce dernier effort que j’avais fait, soit qu’effectivement
 99   II,      73|      effectivement la terreur que j’avais ressentie dépassât la mesure
100   II,      73|    frémissement pareil à ceux que j’avais déjà éprouvés à l’approche
101   II,      74|            mon Dieu !~ ~ ~– Je vous avais priée de ne pas crier, dit
102   II,      74|           les gardes françaises~ ~J’avais un amoureux !~ ~ ~– Par
103   II,      77|           plan fort agréable, que j’avais formé à tout hasard.~ ~ ~–
104  III,      82|            elle était en chasse ; j’avais à lui parler d’une affaire
105  III,      83|             frère,~ ~ ~« Comme je l’avais prévu, mon exil me sera
106  III,      84|        gâter la bonne opinion que j’avais de vous, comte.~ ~ ~– Je
107  III,      87|       disparaître ? Mon oncle, si j’avais connu madame du Barry au
108  III,      87|       intéressé ?… Non, non !… Si j’avais le malheur de lui plaire,
109  III,      88|       Choiseul. Je vous dirai que j’avais eu l’idée de prendre pour
110  III,      88|   épouvantez.~ ~ ~– C’était fait… J’avais fait venir l’homme, ses
111  III,      89|            il fallait ajouter que j’avais veillé tard, ou, bien mieux,
112  III,      89|         formaliste et puriste. Si j’avais su cela, je ne t’aurais
113  III,      90|           évincé, mais chassé, si j’avais suSoyez tranquille, vicomte,
114  III,      92|            homme est charmant, et j’avais pris l’engagement de faire
115  III,      95|           mademoiselle, c’est que j’avais mes raisons pour cela. Qui
116  III,     104|           le fer et le feu, si je n’avais encore l’espoir de le guérir
117  III,     107|    soupçonniez.~ ~ ~– Je ne vous en avais rien dit encore.~ ~ ~– Je
118  III,     112|              oui.~ ~ ~– Eh bien, tu avais tort. Ta fortune et celle
119  III,     112|            été m’exténuer à cela. J’avais assez de vivre dans mon
120  III,     113|             suivisse vos avis, si j’avais trente ans. J’y aurais un
121  III,     113|          sire, s’écria Richelieu, j’avais pensé jusqu’à cette heure
122  III,     117|           acte d’existence.~ ~ ~– J’avais prévu ce désir, Lorenza,
123  III,     118|           Tiens, ce soir encore, tu avais rendez-vous…~ ~ ~– C’est
124  III,     118|       toutes choses auxquelles je n’avais pas songé d’abord, mais
125   IV,     124|        effrontée franchise.~ ~ ~– J’avais deviné, vous voyez, dit-il.
126   IV,     125|         quel homme je parlais, je n’avais pas pris les précautions
127   IV,     125|           Oh ! c’est charmant, j’en avais eu l’idée… On m’avait volé
128   IV,     127|          élixir un mois d’avance. J’avais fait retraite sur le mont
129   IV,     127|           pris à revivre comme si j’avais quinze ans… Mais voilà que
130   IV,     128|         voix ne me répondra plus. J’avais en toi à la fois la femme
131   IV,     130|         avoir fait attendre, mais j’avais mal calculé la distance
132   IV,     131|              pauvre vieillard, je l’avais oublié ! Avant toute chose,
133   IV,     132|           je pensais, je croyais, j’avais peur…~ ~ ~– C’est bien,
134   IV,     133|               Ce n’est pas ce que j’avais cru en te voyant prendre
135   IV,     133|          comment elle l’a lue… Tu l’avais enfermée dans un coffret ;
136   IV,     134|            l’œuvre laborieuse que j’avais presque menée à fin ; il
137   IV,     134|           il y a une chose que je n’avais pas prévue : je n’avais
138   IV,     134|             avais pas prévue : je n’avais pas prévu Dieu.~ ~ ~ ~Et,
139   IV,     137|          succès à la cour ; je vous avais recommandé tout autre chose,
140   IV,     139|             Moi, fit la comtesse, j’avais tendu un piège au roi ?~ ~ ~–
141   IV,     140|         reconnaissais pas ; je vous avais pris pour un des gardes
142   IV,     140|         aurais cru cependant que tu avais des yeux.~ ~ ~– Moi ?~ ~ ~–
143   IV,     144|            répondit Andrée, si je n’avais vu le visage de mon frère
144   IV,     144|              Non, non, dit-elle, tu avais raison d’abord. Tue-moi,
145   IV,     144|           frère ! tu as pensé que j’avais aimé un autre homme ; tu
146   IV,     144|           homme ; tu as pensé que j’avais oublié la loi de l’honneur,
147   IV,     144|      Laquelle ?~ ~ ~– La même que j’avais éprouvée un jour à Taverney.~ ~ ~–
148   IV,     144|           mes facultés.~ ~ ~– Et tu avais éprouvé cette impression
149   IV,     144|      pouvoir mesurer le temps que j’avais dormi.~ ~ ~– C’est la seule
150   IV,     144|              avant de succomber, tu avais vu ce Joseph Balsamo, ce
151   IV,     146|     venez-vous pas de me dire que j’avais insulté votre sœur ?~ ~ ~–
152   IV,     146|             j’ai, je le garde, et j’avais pour le répandre, si j’eusse
153   IV,     148|           demanda Philippe.~ ~ ~– J’avais oublié.~ ~ ~– Quoi ?~ ~ ~–
154   IV,     149|         alors, chacun eut dit que j’avais bien fait : pourquoi donc
155   IV,     150|          curiosité t’a causés. Si j’avais su ! oh ! si j’avais su !…~ ~ ~
156   IV,     150|           Si j’avais su ! oh ! si j’avais su !…~ ~ ~Et il cacha sa
157   IV,     150|        devoir.~ ~ ~– Rien, rien ; j’avais Nicole, elle s’est enfuie…
158   IV,     150|          thèse est récitée.~ ~ ~– J’avais encore deux choses à vous
159   IV,     151|        Malheureux, dit Rousseau, tu avais lu mon livre et tu viens
160   IV,     151|       détermination excessive, je n’avais plus trouvé ensuite d’autre
161   IV,     151|            leurs enfants, moi qui n’avais pas su être père ; à la
162   IV,     151|          forts et honnêtes, moi qui avais été faible et corrompu.
163   IV,     151|         chose toute simple. Je vous avais accusé, vous, mon maître,
164   IV,     151|           elle m’a méprisé, moi qui avais des sentiments si respectueux
165   IV,     151|            moi qui déjà deux fois l’avais tenue entre mes bras, sans
166   IV,     155|       promener dans des allées où j’avais eu du plaisir à rêver d’
167   IV,     155|           longues épreuves. Mais tu avais, ce me semble, annoncé deux
168   IV,     157|        avons retenu une nourrice. J’avais, en passant au Point-du-Jour,
169   IV,     162|            Oh ! s’écria Philippe, j’avais eu un moment cette pensée ;
170   IV,     162|            abord, ainsi que je t’en avais prévenue.~ ~ ~– M. le baron
171   IV,     162|            en grinçant des dents, j’avais presque pardonné le crime
172   IV,     163|           ma mère fit faire quand j’avais deux ans ; il doit ressembler
173   IV,     164|           Tu te cachais donc ? Tu m’avais donc vu ?~ ~ ~– Je ne savais
174   IV,     164|          est venue de te tuer. Je l’avais juré, j’en avais le droit.~ ~ ~ ~
175   IV,     164|         tuer. Je l’avais juré, j’en avais le droit.~ ~ ~ ~Gilbert
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