Tome,  Chap.

  1    I,   IntII|        coup mat, et le bruit d’un corps tombant lourdement sur le
  2    I,  IntIII|            conservant la forme du corps, mais transparente, impalpable,
  3    I,       1|       faiblis, je te passe sur le corps, à toi et à tes chevaux.~ ~ ~ ~
  4    I,       3|         femme sortit à moitié son corps des rideaux de cuir.~ ~ ~–
  5    I,       5|    pouvoir porter le poids de son corps que par un miracle d’équilibre ;
  6    I,       6|           épée au beau travers du corps. Je passais là comme le
  7    I,       9|          cœur en même temps qu’au corps ?~ ~ ~ ~Andrée secoua la
  8    I,       9| tranquillité du sommeil à ce beau corps qui penchait brisé, à cette
  9    I,       9|          immobiles le long de son corps.~ ~ ~– Maintenant, dit Balsamo,
 10    I,      10|           son sang le tour de son corps.~ ~ ~– Honnête quant à vous,
 11    I,      10|           la philosophie celle du corps.~ ~ ~– Monsieur Gilbert,
 12    I,      11|       avaient point recouvert son corps à demi vêtu, et, dans un
 13    I,      11|           chaque mouvement de son corps. Le moindre mouvement d’
 14    I,      11|         ou le contact de certains corps raboteux.~ ~ ~– Que veut
 15    I,      19|        tirer d’entre les roues le corps de Gilbert qu’il croyait
 16    I,      20|        Gilbert tout entier de son corps.~ ~ ~ ~Elle venait d’apercevoir
 17    I,      22|      passe mon épée au travers du corps.~ ~ ~ ~Et de sa main droite
 18    I,      23|           brodé de perles ; et ce corps souple, dont nous avons
 19    I,      33|         leur mal-être au reste du corps exactement comme les autres,
 20    I,      37|          Aussi, seuls de tous les corps de métiers, les perruquiers
 21    I,      38|        parmi les femmes.~ ~ ~ ~Un corps opaque interrompit la perspective.~ ~ ~–
 22   II,      43|        toute besogne imprimant au corps des mouvements rudes et
 23   II,      43|           car, me voyant frêle de corps, elle disait toujours : «
 24   II,      46|    étendus, tremblant de tout son corps, laissa tomber le volume
 25   II,      46|         homme de dix-huit ans, au corps souple et élastique, au
 26   II,      49|      Gilbert, qui sentit tout son corps se hérisser sous un frisson
 27   II,      50|         eût point secoué tout mon corps comme le vent d’orage fait
 28   II,      50|         mon âme s’élançait de mon corps pour aller à lui, et je
 29   II,      51|     Madame Louise.~ ~ ~– Tout mon corps tremble ! Ne le voyez-vous
 30   II,      51|        que de vouloir retenir mon corps sur la terre, quand déjà
 31   II,      51| frissonnement courut par tout mon corps ; car, je vous le répète,
 32   II,      51|           de l’eau bénite sur mon corps.~ ~ ~« Le soir vint. Les
 33   II,      51|         il me sembla que tout mon corps était secoué par un mouvement
 34   II,      51|          liens qui retenaient mon corps étendu se rompirent aussitôt ;
 35   II,      52|         main de Lorenza.~ ~ ~ ~Le corps de la jeune femme frissonna
 36   II,      53|      épuisé, non de la fatigue du corps, mais des angoisses de l’
 37   II,      54|  bouillonner le sang par tout son corps.~ ~ ~ ~Cependant peu à peu
 38   II,      54|           vit cette tête pâle, ce corps immobile, fit un brusque
 39   II,      55|          de Lorenza, dont tout le corps frissonna au voluptueux
 40   II,      57|        toutes les larmes de votre corps ; à la seconde, je vous
 41   II,      60|   quarante ans peut-être, tout le corps frémira ; mais je cote au
 42   II,      60|         la vie avec l’air dans un corps intact, comme on le peut
 43   II,      60|         je trouvasse l’endroit du corps où l’âme est logée, et cela
 44   II,      60| empêcherai cette âme de sortir du corps par la blessure qui aura
 45   II,      60|    restait si peu de sang dans le corps du vieillard, et ce sang
 46   II,      60|    relever. Vois-tu, mon fils, le corps humain a des os fragiles
 47   II,      60|        aussi durs que l’acier. Le corps humain a du sang qui, lorsqu’
 48   II,      60|           que le sang ne sorte du corps. La chair est molle et facile
 49   II,      60|       rends-moi la vigueur de mon corps, rends-moi la fraîcheur
 50   II,      65|          le poids si léger de son corps frêle et délicat ; et, chose
 51   II,      65|           en suis sûre ; tout mon corps tremble, voyez.~ ~ ~ ~Et
 52   II,      65|               Et en effet tout le corps de la pauvre princesse semblait
 53   II,      65|     fluide électrique, et que les corps plats, au contraire, les
 54   II,      65|        montants, et sépara de mon corps ma tête, qui tomba et roula
 55   II,      66|      laquelle chaque membre de ce corps passait à la fois pour un
 56   II,      66|        Ruggieri l’avait séparé du corps de la machine : il était
 57   II,      67|       nouveau déluge de coups, de corps, de cadavres, inonda Gilbert ;
 58   II,      67|     suprême effort, il entoura le corps d’Andrée de ses bras, appuyant
 59   II,      68|            le vivant s’est jeté à corps perdu sur le mort pour l’
 60   II,      68|         lanterne de ce monceau de corps.~ ~ ~– Oh ! je frissonne
 61   II,      69|     retomber ses mains contre son corps, les yeux fixes et atones,
 62   II,      70|           médecin de l’âme que du corps.~ ~ ~– Tant d’honneur…,
 63   II,      72|        détail ne venait donner un corps à ses soupçons.~ ~ ~ ~Gilbert
 64   II,      74|        frisson passa dans tout le corps de Gilbert.~ ~ ~ ~La jeune
 65   II,      79|     Choiseul a l’âme chevillée au corps.~ ~ ~– Merci, dit le duc,
 66  III,      82|           épée tout au travers du corps. C’était une épée de mari,
 67  III,      95|     soutenaient en arc-boutant un corps penché avec précaution ;
 68  III,      96|          les grandes batailles de corps armés débutent par des engagements
 69  III,      96|          La Chalotais, prenant au corps M. d’Aiguillon, avait personnifié
 70  III,      97|          te décrétera de prise de corps et te condamnera au feu
 71  III,     101|           donne tant de force aux corps constitués, une attitude
 72  III,     102|           un esprit libre et d’un corps indépendant.~ ~ ~ ~Il en
 73  III,     102|      donna une telle impulsion au corps indépendant, qu’il alla
 74  III,     103|          travers la souffrance du corps, nous espérons que vous
 75  III,     103|          douleurs ; j’ai sondé le corps et j’ai palpé jusqu’à l’
 76  III,     103|  instruction de chaque élément du corps social, comme le mécanicien
 77  III,     104|        comme le cœur au centre du corps ; elle vit, elle fait vivre.
 78  III,     104|           de fonctionner. Dans un corps bien organisé, comme doit
 79  III,     104|           or, le parlement est au corps social ce que l’estomac
 80  III,     104|           ce que l’estomac est au corps humain ; les parlements
 81  III,     104|   Resteront la maison du roi, les corps privilégiés, les gardes,
 82  III,     104|      arriver qu’en passant sur le corps de ceux qui la gardent,
 83  III,     105|                   Chapitre CV~ Le corps et l’âme~ ~Le dernier resté
 84  III,     105|                 Quand il était un corps, monsieur ?~ ~ ~– Non, depuis
 85  III,     105|    méchant suaire leur voilait le corps, en laissant leurs visages
 86  III,     105|      pourquoi aurais-je peur d’un corps inerte, d’une statue qui
 87  III,     105|           sur.~ ~ ~– Mais dans un corps vivant ?~ ~ ~– Il y a le
 88  III,     105|          l’ai jamais vue dans les corps que j’ai fouillés avec mon
 89  III,     105|           j’ai fort opéré sur les corps vivants.~ ~ ~– Et vous n’
 90  III,     105|          matérialistes.~ ~ ~– Ces corps sont bien froids, dit Balsamo
 91  III,     105|         certes bien été à ce beau corps.~ ~ ~– Ah ! voilà où fut
 92  III,     105|        fourreau, vilaine lame. Ce corps, mon maître, était celui
 93  III,     105|          de médecins que pour les corps, dit Marat avec un rire
 94  III,     105|         sur le marbre sans que le corps eût seulement bougé ou frémi.~ ~ ~–
 95  III,     105|     machine existe en Italie ; un corps de chêne la fait mouvoir,
 96  III,     105|      Êtes-vous plus pitoyable aux corps qu’aux cadavres ?~ ~ ~–
 97  III,     105|        trop de tendresse pour son corps.~ ~ ~– Alors pourquoi ne
 98  III,     105|          âme est-elle attachée au corps ? Tout à l’heure, quand
 99  III,     105|           ai coupé cette tête, le corps n’a rien dit. L’opération
100  III,     105|       rien dit, voilà pourquoi ce corps que je décapitais m’a laissé
101  III,     105|      laissé faire ; tandis que ce corps que l’âme habite encore
102  III,     105|         connexité des âmes et des corps, qui tuera toujours votre
103  III,     105|         sera parvenue à isoler le corps de l’âme.~ ~ ~– Vous croyez
104  III,     105|        avec tout le fluide de son corps.~ ~ ~ ~En ce moment, le
105  III,     106|         Chapitre CVI~ L’âme et le corps~ ~Chacun regardait le patient
106  III,     106|           grande influence sur le corps, dites bien à Havard, aussitôt
107  III,     106|           sourde qu’on appelle le corps, et qui, fille du Ciel,
108  III,     106|           Ciel, après la chute du corps, retournera au Ciel.~ ~ ~–
109  III,     106|       tiré momentanément l’âme du corps ?~ ~ ~– Oui, monsieur, je
110  III,     106|           m’a donné, l’âme de son corps qui souffre, ce corps aveugle,
111  III,     106|         son corps qui souffre, ce corps aveugle, inerte, insensible,
112  III,     106|           avait plus affaire à ce corps, elle qui était à moitié
113  III,     106|       Vous avez puissance sur mon corps, mais vous ne pouvez rien
114  III,     106|       défaut. Dieu prête l’âme au corps, il est vrai ; mais il n’
115  III,     106|        temps que l’âme possède ce corps, il y a union entre eux,
116  III,     106|   inconnues, Dieu a permis que le corps fût roi ou que l’âme fût
117  III,     106|     matières ! avec l’égalité des corps, vous ne volez pas devant
118  III,     106|        momentanément des liens du corps, a plané au-dessus de la
119  III,     106|    monsieur : j’isolerai l’âme du corps ; et l’âme, fille pure,
120  III,     107|         il est vrai que ce pauvre corps humain n’est que l’enseigne
121  III,     107|            l’esprit, supérieur au corps, et qui, par conséquent,
122  III,     107|    éclairait, pour ainsi dire, le corps par un reflet diaphane,
123  III,     107|        âme qui sait lire quand le corps ne le sait pas.~ ~ ~– Parce
124  III,     107|  réveillée, c’est-à-dire quand le corps aura enveloppé l’âme de
125  III,     107|         de lui courir par tout le corps ; sa bouche prit une expression
126  III,     107|         la lutte de l’âme avec le corps. Voyez-vous la conscience
127  III,     113|          dans l’esprit ni dans le corps de son meilleur ami, en
128  III,     113|         diplomatie que contre les corps, jamais contre les fantômes.~ ~ ~ ~
129  III,     115|          avait fait frissonner le corps d’Andrée, avait violemment
130  III,     115|             O créature sans cœur, corps sans âme, je t’ai sauvé
131  III,     117|       nerveux courut par tout son corps. Lorenza était endormie.~ ~ ~ ~
132  III,     120|           tressaillit de tout son corps.~ ~ ~– Voyez-vous ? dit-il.~ ~ ~–
133  III,     121|           en lui au contact de ce corps inanimé ; ses nerfs étaient
134  III,     121|         autre bras enveloppant ce corps si beau et si doux, il se
135  III,     121|         les extrémités de ce beau corps, il se demandait si réellement
136  III,     122|  cherchait presque inutilement un corps, tant leur ambition était
137   IV,     129|      opérer la transmutation d’un corps dans un autre ; faire du
138   IV,     131|        soleil, elle avait pris un corps et terni les vitres.~ ~ ~ ~
139   IV,     131|       miasmes qui s’exhalent d’un corps fraîchement tué ! je les
140   IV,     131|     pencha avec un sanglot sur le corps de Lorenza et s’évanouit
141   IV,     132|          chaleur avait quitté son corps, sans passer dans celui
142   IV,     133|         passionnée, dévouée à toi corps et âme, tendrement aimée
143   IV,     134|        charger sur ses épaules le corps et redescendre avec lui
144   IV,     134|       maîtres en leur montrant le corps de Lorenza assassinée ;
145   IV,     134|           reprit dans ses bras le corps de Lorenza, remonta l’escalier,
146   IV,     134|        dévorât déjà le bas de son corps, il semblait ne pas la sentir.~ ~ ~ ~
147   IV,     134|           de son visage. Isolé du corps à cette dernière heure,
148   IV,     134|       était à tout danger près du corps insensible de Lorenza ;
149   IV,     135|                Tu as le diable au corps avec tes explications ;
150   IV,     138|            et la tête baissée, ce corps inerte, morne, comme l’assassin
151   IV,     138|   assassin qui marche derrière le corps de sa victime.~ ~ ~ ~M.
152   IV,     139|        première partie, on met le corps au service de l’esprit ;
153   IV,     139|      survécu, devient le valet du corps : c’est absurde.~ ~ ~– Cher
154   IV,     141|    bouleversés, ils semblent deux corps sans âme. Je ne comprends
155   IV,     142|           il ne lisait, lorsqu’un corps ambulant et opaque acheva
156   IV,     143|   cherchait, sous les maladies du corps, à découvrir les maladies
157   IV,     144|          âmes autant que celui du corps, de moi qui vois et qui
158   IV,     144|         il entoura de ses bras le corps de la jeune fille.~ ~ ~–
159   IV,     144|         ait mon âme, tu tiens mon corps entre tes mains.~ ~ ~– C’
160   IV,     146|          dominait de la moitié du corps.~ ~ ~– Monsieur le comte
161   IV,     147|           fait de la virginité du corps.~ ~ ~– Monsieur, répondit
162   IV,     148|       frère. Chaque muscle de son corps se raidit, comme s’il eût
163   IV,     152|         ses mains, pour punir son corps de ce qu’il souffrait moins
164   IV,     153|           terre pour y cacher mon corps, si je meurs. Ce que j’ai
165   IV,     157|         cœur aussi vierges que le corps… Et cependant !… triste
166   IV,     158|         faculté de veiller sur le corps, dont la prostration est
167   IV,     Epi|          logeait à l’aise dans ce corps vieilli, usé, gâté par la
168   IV,     Epi|           l’esprit et le salut du corps, répondit la princesse.~ ~ ~–
169   IV,     Epi|    nouvelles du roi aux gardes du corps qui arpentaient silencieusement
170   IV,     Epi|          questionné les gardes du corps, traversait diagonalement
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