Tome,  Chap.

  1    I,       1|       moi, ce sont les chevaux ; voyez, ils refusent d’avancer.~ ~ ~–
  2    I,       1|      brave homme. Eh ! monsieur, voyez donc… voici la voiture qui
  3    I,       2|             Ah ! oui, bouillir ! voyez, Acharat, c’est comme une
  4    I,       2|         avez fait ?~ ~ ~– Tenez, voyez plutôt.~ ~ ~– Où ?~ ~ ~–
  5    I,       6|        folies de jeunesse.~ ~ ~– Voyez donc, dit-il, quels jolis
  6    I,       6|        un homme. Tel que vous le voyez, je parais vieux, n’est-ce
  7    I,       6|       mon habit gothique ; mais, voyez mon ami le maréchal, qui
  8    I,       6|         Eh bien ! monsieur, vous voyez bien que je vous ai vu et
  9    I,       9|         yeux, continua Balsamo ; voyez avec la poitrine.~ ~ ~ ~
 10    I,       9|        si vous l’ordonnez.~ ~ ~– Voyez ! je le veux.~ ~ ~– Ah !
 11    I,       9|      caché dans ses mains.~ ~ ~– Voyez à travers ses mains.~ ~ ~ ~
 12    I,       9|          la main d’Andrée.~ ~ ~– Voyez, demanda-t-il.~ ~ ~– Oh !
 13    I,       9|          sentais si bien !~ ~ ~– Voyez ! répondit Balsamo en posant
 14    I,      10|         fenêtre de Nicole.~ ~ ~– Voyez ce que c’est que la destinée,
 15    I,      10|        Ah ! s’écria Nicole, vous voyez bien que vous ne m’aimez
 16    I,      12|        ressemble à Nicole ? Vous voyez bien que vous tombez dans
 17    I,      13|          arrive.~ ~ ~– Mais vous voyez bien, mon père, que Philippe
 18    I,      16|      madame ; mais dans ce coin, voyez, est le signe convenu avec
 19    I,      16|          l’air vif m’a ranimée ; voyez comme je suis forte et bien
 20    I,      19|         au-dessus de ses forces. Voyez comme il est pâle : il mourrait.
 21    I,      20|          Bien. Allez, et si vous voyez une file de voitures sur
 22    I,      21|          tout trouvé.~ ~ ~– Vous voyez bien qu’il n’a pas de bouchon
 23    I,      21|       ont déjà doublé la poste ; voyez en quel état ils sont, ces
 24    I,      22|         la princesse.~ ~ ~– Vous voyez cependant que l’on en admet,
 25    I,      23|         ai la mienne, comme vous voyez : ainsi gare à vous !… Oui !
 26    I,      24|     autre monde.~ ~ ~– Ah ! vous voyez bien, dit la comtesse, voilà
 27    I,      24|            Mon Dieu ! mon Dieu ! voyez donc si ce n’est pas damnant,
 28    I,      24|          et menaçant.~ ~ ~– Vous voyez, Chon, dit le roi au milieu
 29    I,      24|     consternation générale, vous voyez, voilà votre ouvrage.~ ~ ~ ~
 30    I,      24|         y vais. Adieu, comtesse. Voyez comme je suis malheureux,
 31    I,      24|        comme je suis malheureux, voyez comme on me tiraille.~ ~ ~–
 32    I,      27|        Les campagnes que vous ne voyez pas, vous, sire, car vous
 33    I,      27|     allusion contre la royauté ; voyez, le soir, les groupes joyeux
 34    I,      27|        Adieu : je suis contente. Voyez : je souris, je suis heureuse
 35    I,      28|         jamais, la vérité ? Eh ! voyez, je ne m’en porte pas plus
 36    I,      28|          elles aiment leur père, voyez !~ ~ ~ ~Et il se consola
 37    I,      29|          Béarn.~ ~ ~– Comme vous voyez, j’y étais ; mais à votre
 38    I,      29|              Il a signé Guildou, voyez.~ ~ ~– C’est vrai !… Évoquée
 39    I,      31|         fauteuil.~ ~ ~– Là, vous voyez, mon frère, dit la comtesse
 40    I,      31|     profonde commisération, vous voyez que vous avez affligé madame.
 41    I,      32|    apercevant Zamore.~ ~ ~– Vous voyez le gouverneur de Luciennes,
 42    I,      33|          plus, dit Louis XV, car voyez un peu comme on m’obéit.~ ~ ~–
 43    I,      33|       aux œufs de faisan !~ ~ ~– Voyez quel malheur !~ ~ ~– Eh
 44    I,      33|         suivez mon exemple, vous voyez qu’il n’y a qu’à y gagner.~ ~ ~–
 45    I,      34|                 Bien sûr ?~ ~ ~– Voyez plutôt.~ ~ ~ ~Le roi reconnut
 46    I,      34|          pas si désespérée. Vous voyez tout de la couleur de votre
 47    I,      35|          ai pas tort, comme vous voyez. Neuf heures du soir venues,
 48    I,      35|       reconnaissante.~ ~ ~– Vous voyez ma position, madame.~ ~ ~–
 49    I,      35|          le pied ?~ ~ ~– Vous le voyez.~ ~ ~– Gravement ?~ ~ ~–
 50    I,      35|         désirer.~ ~ ~– Vous m’en voyez ravie.~ ~ ~– Mais le brevet
 51    I,      37|       Tenez, dit Jean, regardez, voyez, admirez, voilà ce que le
 52    I,      38|        Parthes ; or, elle a fui. Voyez comme M. de Choiseul est
 53    I,      38|      vous irez en prison. – Vous voyez bien que je ne savais pas
 54    I,      38|      avant-hier seulement.~ ~ ~– Voyez comme il me regarde, duc !~ ~ ~–
 55   II,      43|          et poétique…~ ~ ~– Vous voyez bien que non, dit en souriant
 56   II,      43|          est un grand botaniste. Voyez ses lettres, dont je n’ai
 57   II,      43|        plutôt bien que mal. Vous voyez, monsieur, que mes espérances
 58   II,      44|     assaisonnés au beurre.~ ~ ~– Voyez comme ils sont verts, dit
 59   II,      45|      aimez, dit Jacques, et vous voyez une analogie entre votre
 60   II,      46|      cette mesure ; puis, tenez, voyez, vos barres de mesure ne
 61   II,      47|          un d’eux.~ ~ ~– Vous le voyez, monsieur, répondit l’étrangère
 62   II,      49|     sergent l’arrêta.~ ~ ~– Vous voyez bien que l’on m’appelle,
 63   II,      49|     méritent pas même un regard. Voyez, Philippe, si nous avançons.~ ~ ~ ~
 64   II,      50|          Lorenza. Quoi ! vous me voyez en larmes, en prières, vous
 65   II,      50|      larmes, en prières, vous me voyez à genoux vous suppliant
 66   II,      51|          pas devinées. Oh ! vous voyez bien, Madame, qu’il y a
 67   II,      51|         malgré moi, il m’attire, voyez ; retenez-moi, retenez-moi.~ ~ ~ ~
 68   II,      55|         cours du couvent si vous voyez Son Éminence ?~ ~ ~– Je
 69   II,      61|       est si jeune !~ ~ ~– Bon ! voyez mademoiselle de Taverney,
 70   II,      61|          susceptibles et vous ne voyez pas que je souffre.~ ~ ~–
 71   II,      61| rapprochez, c’est heureux ; mais voyez donc ce butor, qui se crève
 72   II,      62|           et je vois…~ ~ ~– Vous voyez ?~ ~ ~– Mon philosophe,
 73   II,      62|          amant… Elle ne lit pas, voyez… le livre va lui tomber
 74   II,      62|        est la vérité, dit Chon ; voyez donc ce regard, cette fixité,
 75   II,      64|     suppose ?~ ~ ~– Tenez, sire, voyez la lumière dans la galerie.
 76   II,      65|          tout mon corps tremble, voyez.~ ~ ~ ~Et en effet tout
 77   II,      65|         l’ingénieur. Eh ! tenez, voyez que je ne me trompais pas,
 78   II,      67|          feux diversifiés.~ ~ ~– Voyez donc, Philippe, que c’est
 79   II,      68|        nobles, dites-vous ? Vous voyez bien cependant que je ne
 80   II,      68|     broyé les deux jambes.~ ~ ~– Voyez, ajouta-t-il en poursuivant
 81   II,      68|         Philippe qui s’enfuyait, voyez, sont-ce les pauvres qui
 82   II,      68|          quelqu’un.~ ~ ~– Alors, voyez d’abord au grand fossé ;
 83   II,      68|    répliqua Philippe.~ ~ ~– Oh ! voyez, dit le vieillard ; nous
 84   II,      68|        au pied du Garde-meubles. Voyez ces vestiges de la lutte.
 85   II,      68|         mais à ce pauvre enfant, voyez !~ ~ ~– Ah ! vous aussi,
 86   II,      69|         ce brave garçon que vous voyez et qui m’aidait à soutenir
 87   II,      75|        Elle est bonne à prendre, voyez.~ ~ ~– Prenez-la si cela
 88   II,      75|          mon philosophe ; tenez, voyez le beau plantago nonanthos ;
 89   II,      76|         le rendre.~ ~ ~– Vous le voyez, fit Rousseau acrimonieusement,
 90   II,      77|         vous voulez ?~ ~ ~– Vous voyez bien que non, puisqu’il
 91   II,      78|           Regardez-moi, sire, et voyez si je suis ou non sérieuse ;
 92   II,      79| comprendre.~ ~ ~– Non, non, vous voyez bien que non. Vous m’aimez
 93   II,      81|      crois que je perds la tête. Voyez ce qu’il en est : on ne
 94   II,      81|          cents louis.~ ~ ~– Vous voyez, duc, dit la comtesse en
 95   II,      81|          à réfléchir.~ ~ ~– Vous voyez bien, comtesse, que M. de
 96  III,      82|      secours.~ ~ ~– Mais vous ne voyez donc pas, monseigneur, dit-il,
 97  III,      83|     cette lecture.~ ~ ~– Vous ne voyez rien autre chose ? demanda
 98  III,      86|     ajouter en me quittant. Vous voyez que je suis instruit, n’
 99  III,      87|          et lui dit :~ ~ ~– Vous voyez, duc, je suis installé ici.~ ~ ~–
100  III,      90|          savez ?~ ~ ~– Ah ! mais voyez la sympathie, j’ignorais
101  III,      94|       cheveux blonds, comme vous voyez, Rafté ; mais ce n’est pas
102  III,      95|          fait coiffer comme vous voyez ; et me voici.~ ~ ~ ~Andrée
103  III,      95|       Trianon ?~ ~ ~– Comme vous voyez, femme de chambre de mademoiselle.~ ~ ~–
104  III,      96|        Aiguillon, qui justement, voyez le bonheur, c’est-à-dire
105  III,     100|          n’est pas jugé, vous le voyez, ce ne sera pas de ma faute.~ ~ ~–
106  III,     104|    travail de cette année ; vous voyez le progrès de nos mines.
107  III,     105|   stoïcien véritable.~ ~ ~– Vous voyez, monsieur, dit-il en jetant
108  III,     105|          se perd ici.~ ~ ~– Vous voyez bien, dit Balsamo. Allons,
109  III,     106|      fait la découverte que vous voyez. Je désire cependant, messieurs
110  III,     107|          bien, dit Balsamo, vous voyez que dame Grivette a aussi
111  III,     107|          Je l’ignore.~ ~ ~– Vous voyez, dit Marat, la conscience
112  III,     107|           monsieur, dit-il, vous voyez enfin la lutte de l’âme
113  III,     110|           madame ?~ ~ ~– Vous le voyez bien, dit-elle.~ ~ ~– M.
114  III,     111|        fièrement :~ ~ ~– Vous le voyez, je regarde.~ ~ ~– Au lieu
115  III,     114|          entreprends, comme vous voyez. Il est vrai que, de là,
116  III,     114|         l’amour. Hélas ! vous le voyez cependant bien, Philippe,
117  III,     114|     pardonnez-moi donc ; vous le voyez, j’essuie mes yeux, je ne
118  III,     117|                 Soit. Aussi vous voyez que c’est moi qui reviens
119  III,     120|        au-dessous du sein.~ ~ ~– Voyez, Andrée, voyez, ne la quittez
120  III,     120|       sein.~ ~ ~– Voyez, Andrée, voyez, ne la quittez plus.~ ~ ~–
121  III,     120|               Après ? … après ?… Voyez, Andrée, voyez, je le veux !~ ~ ~–
122  III,     120|          après ?… Voyez, Andrée, voyez, je le veux !~ ~ ~– Elle
123  III,     120|          Bastille.~ ~ ~– Vous la voyez toujours ?~ ~ ~– Oui, elle
124   IV,     124|      vous mander ici.~ ~ ~– Ah ! voyez donc, dit Balsamo, comme
125   IV,     124|          cette cassette que vous voyez, partout.~ ~ ~– Ah ! oui,
126   IV,     124|             J’avais deviné, vous voyez, dit-il. Je vous connaissais,
127   IV,     125|                Et, comme vous le voyez, dit Balsamo, monsieur l’
128   IV,     126|       Djérid en main.~ ~ ~– Vous voyez, comte, si je suis loyale,
129   IV,     130|          vous est expliqué, vous voyez que je n’y suis que pour
130   IV,     132|   chambre de Lorenza.~ ~ ~– Oh ! voyez, Excellence, dit-il en lui
131   IV,     137|               Seule ?~ ~ ~– Vous voyez.~ ~ ~– Vous êtes donc encore
132   IV,     137|          son mouchoir, duchesse, voyez donc. Au fait, c’est ma
133   IV,     137|          écria :~ ~ ~– Encore !… Voyez, duchesse, en vérité cette
134   IV,     139|         regard à la comtesse : « Voyez vous, j’étais sûr d’une
135   IV,     141|     traits l’air et la vie, vous voyez que me voilà ressuscitée ;
136   IV,     141|         Dieu ! dit-elle, vous le voyez bien, Philippe, c’est fini,
137   IV,     141|          donc, Philippe, vous le voyez, je me porte à merveille.
138   IV,     142|          charité, docteur ; vous voyez que je me ronge le cœur
139   IV,     142|          cœur devant vous ; vous voyez que je prie, que je supplie ;
140   IV,     142|              Oui, oui… mais vous voyez que j’interprète votre silence ;
141   IV,     142|  interprète votre silence ; vous voyez que je suis votre pensée
142   IV,     142|          monsieur, dit-il ; vous voyez dans quel désordre se trouve
143   IV,     146|        terrible.~ ~ ~– Ah ! vous voyez bien ! dit Philippe.~ ~ ~–
144   IV,     147|         que ces futaies que vous voyez là-bas, en face des bâtiments
145   IV,     148|           mon frère ?~ ~ ~– Vous voyez, dit Balsamo, elle vous
146   IV,     148|          dit clairement : « Vous voyez si je vous trompais, monsieur ? »~ ~–
147   IV,     148|                  Attendez…~ ~ ~– Voyez, voyez, dit Balsamo, je
148   IV,     148|           Attendez…~ ~ ~– Voyez, voyez, dit Balsamo, je veux que
149   IV,     148|       occuper, monsieur. Vous le voyez, elle commence à être fatiguée
150   IV,     153|          le conçois, car vous ne voyez pas mon cœur ; que vous
151   IV,     157|          fils a perdu sa mère… » Voyez, d’ailleurs.~ ~ ~ ~Philippe
152   IV,     158|          ou une fenêtre ouverte. Voyez, Marguerite, voyez… Cet…
153   IV,     158|      ouverte. Voyez, Marguerite, voyez… Cet… enfant doit avoir
154   IV,     158|      Mais mon frère, où est-il ? Voyez dans sa chambre.~ ~ ~ ~Marguerite
155   IV,     158|        vient de s’ouvrir !~ ~ ~– Voyez ! voyez !~ ~ ~– C’est M.
156   IV,     158|         s’ouvrir !~ ~ ~– Voyez ! voyez !~ ~ ~– C’est M. Philippe
157   IV,     160|       dit-elle.~ ~ ~– Comme vous voyez ; mais ne vous interrompez
158   IV,     163|        vos passagers, comme vous voyez.~ ~ ~– Par vous ; mais les
159   IV,     163|          par moi…, dit Philippe. Voyez, là-bas, cet homme qui rêve
160   IV,     164|      croisa les bras.~ ~ ~– Vous voyez, dit-il, que je pourrais
161   IV,     Epi|          est qu’un bon Français, voyez vous, aime son roi, et mon
162   IV,     Epi|        cette nuit, jeune homme ; voyez ce qu’elle renferme de nuages
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