Tome,  Chap.

  1    I,  IntIII|          hiéroglyphes écrits sur ces livres de granit qu’on appelle
  2    I,       1|           tendant quatre écus de six livres.~ ~ ~– Vous êtes bien bon,
  3    I,       1|        engloutissant les écus de six livres, désirait n’être point exclu
  4    I,       2|          eux-mêmes étaient pleins de livres, enfermaient le fauteuil,
  5    I,       2|          avait ménagé, au-dessus des livres, des tablettes où l’on pouvait
  6    I,       2|              fioles, les boîtes, les livres et les cartons semés à terre
  7    I,       4|             colporteurs avec de bons livres.~ ~ ~– Qui vous a dit que
  8    I,       4|              appelez-vous de mauvais livres ?~ ~ ~– Mais le Sofa, Tanzaï
  9    I,       4|        Tanzaï et Néadarné, et autres livres de cette espèce.~ ~ ~– Où
 10    I,       4|          diable avez-vous trouvé ces livres ?~ ~ ~– Dans la bibliothèque
 11    I,       4|        laisse pas traîner de pareils livres devant mademoiselle Andrée.~ ~ ~–
 12    I,       4|      est-elle de votre avis, que ces livres sont de mauvais livres ?
 13    I,       4|           ces livres sont de mauvais livres ? demanda en souriant narquoisement
 14    I,       4|            pourquoi avez-vous lu ces livres, puisque vous saviez qu’
 15    I,       6|              de Voltaire et a lu les livres de M. Diderot.~ ~ ~ ~En
 16    I,       6|            de choses et lire trop de livres ; j’aime mieux ne jamais
 17    I,       6|             et qui a deux cent mille livres de rentes. Eh bien ! il
 18    I,       7|            une pièce de vingt-quatre livres.~ ~ ~ ~Et il ouvrit sa main
 19    I,       9|                    Un de ces mauvais livres qu’il veut toujours me faire
 20    I,      10|         cherche la guérison dans des livres qui vous rendent plus inquiets
 21    I,      10|            lisant ensemble un de ces livres, vous vous le rappelez,
 22    I,      18|         facilement cinq ou six mille livres sur le service doré de Balsamo.~ ~ ~ ~
 23    I,      18|              contenait un écu de six livres poli et luisant. C’étaient
 24    I,      19|          était renfermé l’écu de six livres. L’écu, ballotté, avait
 25    I,      19|              à trouer, ni écu de six livres à perdre.~ ~ ~ ~La pâleur,
 26    I,      20|          avais qu’un seul écu de six livres, dit Gilbert, partagé entre
 27    I,      20|           assez.~ ~ ~– Un écu de six livres pour un si long voyage !
 28    I,      20|                  Voilà un écu de six livres à compte ; réparons le temps
 29    I,      23|       misérable somme de trois cents livres tous les 30 du mois.~ ~ ~–
 30    I,      29|              où l’on dépensait douze livres par jour rien qu’à la location
 31    I,      30|              préparé un écu de trois livres pour adoucir le cerbère
 32    I,      30|             dans mes deux cent mille livres, et l’on me recherchera.
 33    I,      31|        obligation de deux cent mille livres, qui, avec les intérêts
 34    I,      31|               Devant deux cent mille livres », au lieu de dire : « Ne
 35    I,      31|           qui enlève deux cent mille livres ?~ ~ ~– Mais d’abord, dit
 36    I,      31|              don royal de cent mille livres, par exemple ?~ ~ ~ ~Les
 37    I,      31|      matérielles. Voyons, cent mille livres d’abord comme dédommagement
 38    I,      34|              Il donnerait cent mille livres à Jean, à condition que
 39    I,      34|   contrebandiers pour introduire ses livres. J’en ai saisi l’autre jour
 40    I,      35|         voudrais les deux cent mille livres de mon procès garanties.~ ~ ~–
 41    I,      35|          cela fera quatre cent mille livres, ce me semble.~ ~ ~– Non,
 42    I,      35|              moi les deux cent mille livres que me disputent les Saluces.
 43    I,      35|            aurez ces deux cent mille livres, madame. Après ?~ ~ ~– J’
 44    I,      35|         régiment les deux cent mille livres de mon bénéfice, je serai
 45    I,      35|             cela fait six cent mille livres.~ ~ ~– Quatre cent mille,
 46    I,      35|       quelque chose comme neuf mille livres.~ ~ ~– Neuf mille livres.~ ~ ~–
 47    I,      35|             livres.~ ~ ~– Neuf mille livres.~ ~ ~– Oh ! ceci est l’indispensable.
 48    I,      35|            Je payerai ces neuf mille livres sur mes propres deniers.
 49    I,      35|        parure de deux cent dix mille livres, qu’ils vous reprendront
 50    I,      35|          demain pour deux cent mille livres. Ainsi votre indemnité se
 51    I,      35|              madame ?…~ ~– Six mille livres l’arpent. C’étaient d’excellentes
 52    I,      35|            obligation de douze mille livres qui, avec les douze mille
 53    I,      35|     obligation de vingt et une mille livres, douze mille pour indemniser
 54    I,      37|       commissionnaire avait reçu six livres de celui qui les avait amenés
 55   II,      41|              nègre a déjà deux mille livres de rente sur la cassette
 56   II,      43|          Contrat social. De ces deux livres viennent toutes les choses
 57   II,      43|             a révélé, parmi tous les livres que j’ai lus, l’excellence
 58   II,      43|            avais rencontrés dans les livres que j’avais lus, mais je
 59   II,      43|              plutôt, bons et mauvais livres, j’ai tout dévoré. Oh !
 60   II,      43|             de force, donnez-moi des livres, donnez-moi un cabinet à
 61   II,      45|     élevaient au milieu d’un amas de livres rongés par les rats.~ ~ ~ ~
 62   II,      45|             qui m’enivrent, certains livres qui m’exaltent, certaines
 63   II,      45|           bordures de bois noir, des livres dans une bibliothèque de
 64   II,      48|            avait pour six cent mille livres.~ ~ ~ ~Aussi, quand la nouvelle
 65   II,      54|          introduit chez moi et tu me livres ; oh ! triple sot que je
 66   II,      59|              et son abat-jour, force livres, beaucoup d’instruments
 67   II,      59|              écus ?~ ~ ~– Deux cents livres, cent marcs, oui, monseigneur ;
 68   II,      59|                   Qui pèse cinquante livres, oui, monseigneur ; oh !
 69   II,      59|              moules remplis, et cent livres d’or fin.~ ~ ~ ~Et, saisissant
 70   II,      59|        minutes après, les deux cents livres d’or étaient étalées en
 71   II,      59|         peine un lingot de cinquante livres dans ses mains délicates.~ ~ ~ ~
 72   II,      59|        épiscopal vaut quarante mille livres.~ ~ ~ ~Et le prélat étendit
 73   II,      60|              de fioles, d’outils, de livres, d’appareils et de papiers
 74   II,      60|              à chaque homme dix-sept livres de sang, c’est à peu près
 75   II,      60|            soixante-huit millions de livres de sang versé pour arriver
 76   II,      60|            soixante-huit millions de livres, es-tu sûr ? Dis ! Alors
 77   II,      66|              accordé cinquante mille livres pour ce feu, puisqu’aux
 78   II,      72|           Rousseau, du mérite de ses livres et de l’harmonie de sa musique.~ ~ ~ ~
 79   II,      73|             table voisine chargée de livres, indiquant la seule distraction
 80   II,      78|               Je donnerai cent mille livres aux pauvres, j’irai passer
 81   II,      79|              par mois six cent mille livres des Anglais.~ ~ ~– Oh !
 82   II,      80|             meubles déjà rangés, des livres, un clavecin, attirèrent
 83   II,      81|           trois ou quatre cent mille livres par an.~ ~ ~ ~La pendule
 84  III,      83|          tout chose. Voulez-vous des livres ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~– Pourquoi
 85  III,      83|                  Pourquoi cela ? Des livres vous distrairont.~ ~ ~–
 86  III,      84|              y ai dépensé cent mille livres par an, et je ne l’ai jamais
 87  III,      89|            lui manque que cent mille livres pour avoir une belle compagnie
 88  III,      94|            son clavecin, entourée de livres allemands, qui sont une
 89  III,      95|              moi, vingt bonnes mille livres de revenu ; cependant, comme
 90  III,      95|              je me contente de mille livres, imitez-moi et prenez Nicole,
 91  III,      99|            somme de vingt-cinq mille livres une fois données. Voilà
 92  III,      99|            paya les vingt-cinq mille livres, nous répondrons que ce
 93  III,      99|             gagné dix ou douze mille livres avec mes affaires ; vous
 94  III,     103|              l’avez pas lue dans mes livres.~ ~ ~– Vos livres ! s’écria
 95  III,     103|           dans mes livres.~ ~ ~– Vos livres ! s’écria Marat, ils sont
 96  III,     104|            avec les sophismes de ses livres des vérités de notre association,
 97  III,     106|         diamant qui vaut vingt mille livres, à peu près ; quand vous
 98  III,     106|            une valeur de vingt mille livres, pour le prix en être remis
 99  III,     106|              de sacré au monde : les livres saints et les traditions,
100  III,     108|             tout grands ouverts, ses livres politiques et philosophiques,
101  III,     108|         courbait pour feuilleter ces livres qu’il savait par cœur.~ ~ ~–
102  III,     108|              glace. Monsieur lit ses livres. Il s’admire, M. Rousseau !~ ~ ~–
103  III,     108|         idéales, et vous écrirez des livres que les jeunes filles n’
104  III,     112|              de quelques milliers de livres que Sa Majesté, flattée
105  III,     116|        seules valent cinquante mille livres.~ ~ ~ ~Andrée joignit les
106  III,     119|         Versailles chercher quelques livres que Philippe devait avoir
107   IV,     125|               traduit en écus de six livres et posé en pile, pourrait
108   IV,     131|      toujours remplie de plantes, de livres, de fioles ; devant lui
109   IV,     134|           fauteuil du vieillard, ces livres épars dans la chambre, ces
110   IV,     138|       dites-vous, plus de cent mille livres. Sa Majesté a, en outre,
111   IV,     150|             seules valent cent mille livres.~ ~ ~ ~Philippe referma
112   IV,     150|           aurons de cela vingt mille livres qui font une somme suffisante
113   IV,     150|          paraît roi avec trois mille livres de rente… Je serai deux
114   IV,     151|         faussé ; j’ai lu beaucoup de livres qui m’ont prêché l’égalité
115   IV,     151|         noblesse des instincts ; ces livres, monsieur, étaient signés
116   IV,     151|                Tu as mal lu dans mes livres, comme tu lis mal dans la
117   IV,     151|           ton crime en me citant les livres que j’ai écrits ; en me
118   IV,     151|              tu n’as pas lu dans mes livres, ce que tu n’as point deviné,
119   IV,     151|            pouvais-je pas vendre mes livres aussi cher qu’il vend les
120   IV,     151|           Toi qui as lu ou copié mes livres, voyons, ne te rappelles-tu
121   IV,     151|              ciel.~ ~ ~– Vingt mille livres, demanda Gilbert, est-ce
122   IV,     151|       billets de caisse de dix mille livres chacun.~ ~ ~ ~Puis il les
123   IV,     151|                 Donnez-moi cinquante livres.~ ~ ~– Tu me demandes cinquante
124   IV,     151|             Tu me demandes cinquante livres quand tu en tiens trois
125   IV,     151|                 Ces trois cent mille livres ne seront à moi, dit Gilbert,
126   IV,     151|         pourquoi faire ces cinquante livres ?~ ~ ~– Afin que j’achète
127   IV,     151|              lui donna les cinquante livres qu’il désirait.~ ~ ~ ~Là-dessus,
128   IV,     152|             ces billets de dix mille livres ; puis, entrant chez un
129   IV,     152|             emplette pour vingt-cinq livres, c’est-à-dire pour un des
130   IV,     152|         comme appoint des vingt-cinq livres, il serra le précieux mouchoir
131   IV,     152|            sa poche trois cent mille livres ?~ ~ ~ ~Mais Gilbert avait
132   IV,     152| instinctivement que trois cent mille livres dans la poche sont une sûre
133   IV,     153|               Voici trois cent mille livres qu’un protecteur généreux,
134   IV,     153|           voilà les trois cent mille livres.~ ~ ~ ~Et il déposa sur
135   IV,     155|              de rendre quarante-huit livres.~ ~ ~– Je ne voulais pas
136   IV,     155|               Il me faut vingt mille livres.~ ~ ~– Et tu ne toucheras
137   IV,     155|              me demandez vingt mille livres, et, sur ces vingt mille
138   IV,     155|              et, sur ces vingt mille livres, vous n’en pouvez prendre
139   IV,     155|            un sou de ces vingt mille livres n’effleurera ma poche :
140   IV,     155|             pour ne pas garder mille livres : la délicatesse d’abord…~ ~ ~–
141   IV,     155|                Voici tes vingt mille livres, répliqua Balsamo sans hésitation.~ ~ ~ ~
142   IV,     155|              paierai ces vingt mille livres.~ ~ ~– Comment ?~ ~ ~– En
143   IV,     155|     serviteur pour payer vingt mille livres à son maître.~ ~ ~– Tu es
144   IV,     155|             vous demande vingt mille livres, que vous me devez. »~ ~–
145   IV,     156|            dot est de soixante mille livres ! s’écria la princesse ;
146   IV,     156|            avez donc que vingt mille livres ?~ ~ ~– À peine, madame ;
147   IV,     159|               à côté des vingt mille livres de Balsamo.~ ~ ~ ~Mais quelle
148   IV,     160|           voyage, plus un écu de six livres, et Gilbert reprenant son
149   IV,     160|      Villers-Cotterêts ?~ ~ ~– Douze livres, monsieur ; mais M. Niquet
150   IV,     160|          bien par ci par-là quelques livres pour le sucre et l’entretien.~ ~ ~–
151   IV,     160|              voici vous payera vingt livres par mois, ce qui fait deux
152   IV,     160|              fait deux cent quarante livres par an.~ ~ ~– Jésus ! s’
153   IV,     161|            mille moins quelques cent livres destinée à subvenir aux
154   IV,     161|             à la somme de cinq cents livres par an, pendant quinze ans,
155   IV,     161|              deux mille quatre cents livres fussent données aux Pitou
156   IV,     161|            concurrence de cinq cents livres.~ ~ ~ ~Maître Niquet devait
157   IV,     161|                Ainsi, avec dix mille livres – dix mille autres étant
158   IV,     161|                    Il possédait neuf livres et quelques sous. Son extérieur
159   IV,     161|             Gilbert, réduit à quatre livres dix sous, déchira cette
160   IV,     161|          libraire qui en donna trois livres.~ ~ ~ ~Ce fut ainsi que
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