Tome,  Chap.

  1    I,   IntII|             à qui vous auriez promis foi, obéissance ou service. »~ ~ ~
  2    I,   IntII|             dans le sanctuaire de la foi terrible.~ ~ ~– Non, sans
  3    I,       4|       entendre d’une lieue.~ ~ ~– Ma foi ! si votre baron n’a pas
  4    I,       5|            chose de précieux, par ma foi ! et c’est ma fille.~ ~ ~–
  5    I,       5|                dit Balsamo.~ ~ ~– Ma foi, oui, mademoiselle Andrée,
  6    I,       6|     Savez-vous ce qu’il a prétendu ? Foi de gentilhomme, il faut
  7    I,       6|             et notre amitié date… ma foi, attendez donc… du fameux
  8    I,       6|               sur la grand-route, ma foi ; au revers de cette route,
  9    I,      11|           trouve un gibier.~ ~ ~– Ma foi, j’avoue que je n’y ai jamais
 10    I,      12|            reprit le baron.~ ~ ~– Ma foi, oui.~ ~ ~– Achevez, en
 11    I,      12|             plaisir ? Tant mieux, ma foi ; mais à votre place, baron…~ ~ ~–
 12    I,      12|                dit Balsamo.~ ~ ~– Ma foi, cher hôte, j’avoue que
 13    I,      13|       répétait le baron ; elle a, ma foi, l’air satisfait de ce qui
 14    I,      13|            le tiens d’un sorcier, ma foi.~ ~ ~– D’un sorcier ? dit
 15    I,      14|             baron hésitait.~ ~ ~– Ma foi, c’est un enchanteur !~ ~ ~–
 16    I,      14|          demanda la princesse.~ ~ ~– Foi de gentilhomme ! répondit
 17    I,      15|            avons été élevée dans une foi éclairée, dit la dauphine,
 18    I,      15|              auxquels nous ajoutions foi sont les mystères de la
 19    I,      15|           même fermeté, à côté de la foi il y a la certitude.~ ~ ~–
 20    I,      17|        sourcilla point.~ ~ ~– Par ma foi ! dit-il, c’est une belle
 21    I,      19|         malheureux enfant ?~ ~ ~– Ma foi ! madame, dit le postillon
 22    I,      19|            jambes de ses chevaux, ma foi, ça m’en a bien l’air.~ ~ ~–
 23    I,      20|          Gilbert :~ ~ ~– Ah ! par ma foi, dit-elle, nous aussi, nous
 24    I,      22|              arabe ? dit-il. Ah ! ma foi, qu’il aille au diable !
 25    I,      22|            eau de la Côte ?~ ~ ~– Ma foi, oui, donne.~ ~ ~– Monsieur,
 26    I,      22|           Gilbert.~ ~ ~– Il avait ma foi raison ; je me sens mieux,
 27    I,      22|              de le garder ?~ ~ ~– Ma foi, oui, semblait répondre
 28    I,      23|              en un instant ? Ah ! ma foi ! je plains ceux qui me
 29    I,      23|         appartement du roi.~ ~ ~– Ma foi, madame, s’écria M. de Sartine
 30    I,      23|          grec ou le carthaginois, la foi punique, enfin.~ ~ ~– Comtesse !…~ ~–
 31    I,      24|                   Ah ! ah !~ ~ ~– Ma foi, oui, sire ; il me semble
 32    I,      24|    improviste, tressaillit.~ ~ ~– Ma foi non, sire.~ ~ ~– Eh bien !
 33    I,      24|             ses pieds.~ ~ ~– Non, ma foi, dit Louis XV.~ ~ ~– Vous
 34    I,      26|            sortie.~ ~ ~– Ah ! par ma foi ! pensa-t-il, j’avais oublié
 35    I,      26|              aura sans doute plus de foi dans la parole de son auguste
 36    I,      28|             Madame Adélaïde. Ah ! ma foi tant pis, fâche-toi ou ne
 37    I,      28|             préféré Louise.~ ~ ~– Ma foi ! tu as dit là une grande
 38    I,      28|            aime guère.~ ~ ~– Ah ! ma foi ! en tout cas, je le lui
 39    I,      28|           chrétiennes.~ ~ ~– Ah ! ma foi, non, dit Madame Victoire ;
 40    I,      28|            dominé par sa famille. Ma foi, j’ai bien le temps de la
 41    I,      28|              à Reims, et un… non, ma foi ! deux… bah ! trois jours
 42    I,      29|            maître Flageot ?~ ~ ~– Ma foi, je n’en sais rien encore,
 43    I,      32|              d’heure, dit le roi. Ma foi, ajouta-t-il, je lui donne
 44    I,      32|              Majesté dort !~ ~ ~– Ma foi, écoutez donc, comtesse,
 45    I,      32|           bien à Luciennes.~ ~ ~– Ma foi si ! Mais que diable vois-je
 46    I,      32|               et dit :~ ~ ~– Je jure foi et hommage à mon maître
 47    I,      32|          chose à me cacher.~ ~ ~– Ma foi, non.~ ~ ~– Quelque petit
 48    I,      32|              de Versailles.~ ~ ~– Ma foi, elle a tort ; le paganisme
 49    I,      33|            des découvertes.~ ~ ~– Ma foi ! oui, dit le roi, qui reprenait
 50    I,      34|            ma présentation.~ ~ ~– Ma foi, dit le roi, vous l’avez
 51    I,      34|            pauvre vicomte ?~ ~ ~– Ma foi, oui !~ ~ ~– Eh bien ! sire,
 52    I,      34|                Parole royale ?~ ~ ~– Foi de gentilhomme.~ ~ ~– Touche
 53    I,      34|             s’écria le roi. En bonne foi, est-ce que je puis me mêler
 54    I,      34|           dauphin et la dauphine. Ma foi ! faisons dériver un peu
 55    I,      35|                     Autre chose ? Ma foi, non, rien que je sache,
 56    I,      36|              être question.~ ~ ~– Ma foi, l’on ne m’a pas dit le
 57    I,      36|              la jambe.~ ~ ~– Ah ! ma foi, oui, dit Richelieu, voilà
 58    I,      36|              maréchal.~ ~ ~– Oh ! ma foi, non ! dit le maréchal,
 59    I,      38|           madame d’Egmont ?~ ~ ~– Ma foi, je crois que, dans la prévision
 60   II,      41|          rouleau de papier.~ ~ ~– Ma foi ! il a raison, dit M. Grange ;
 61   II,      46|             serait, Monseigneur ? Ma foi, le monde n’est-il pas une
 62   II,      46|            mains et revint.~ ~ ~– Ma foi, dit Rousseau, je crois
 63   II,      48|              carrosses vides, et, ma foi ! les carrosses vides, on
 64   II,      49|        personne.~ ~ ~– Voilà, sur ma foi, un plaisant maraud ! s’
 65   II,      50|             aurais repris courage et foi parmi elles ?~ ~ ~– Sans
 66   II,      51|            femme ; la signature fait foi… Votre Altesse veut elle
 67   II,      53|              qu’à attendre.~ ~ ~– Ma foi, dit le baron, cela vaudra
 68   II,      60|               belles trouvailles, ma foi, et il y aurait de quoi
 69   II,      60|              immobile.~ ~ ~– Oui, ma foi, il était bien mort, dit
 70   II,      61|           Puis, tout haut :~ ~ ~– Ma foi, dit-elle, je serais bien
 71   II,      61|              l’orage ?~ ~ ~– Oui, ma foi ! Mon chocolat, vite, mon
 72   II,      61|             gourgandinier ?~ ~ ~– Ma foi ! dit Jean, j’ai couru toute
 73   II,      62|              entendre.~ ~ ~– Ah ! ma foi, tu demandes trop. À propos,
 74   II,      62|                De beaux yeux, sur ma foi !~ ~ ~– En tout cas, dit
 75   II,      62|              elle rêve.~ ~ ~– Sur ma foi, c’est la vérité, dit Chon ;
 76   II,      63|            cette arrestation, et, ma foi, je n’ai pas été plus brave
 77   II,      63|            préférence.~ ~ ~– Ah ! ma foi, oui, l’on crierait moins.
 78   II,      63|              bonne volonté.~ ~ ~– Ma foi, autant vaut nous donner
 79   II,      63|      botaniste ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Ma foi, je crois que oui ; il vient
 80   II,      64|              Belle éducation, sur ma foi, continua Louis XV.~ ~ ~–
 81   II,      75|         votre Montmorency ?~ ~ ~– Ma foi, non, dit Rousseau charmé ;
 82   II,      75|              cherché en vain, sur la foi de Tournefort : magnifique
 83   II,      75|              madame d’Egmont, ou… ma foi, je ne sais plus… Mais le
 84   II,      77|             écria le vieux maréchal, foi de gentilhomme, vous le
 85   II,      77|             pas, duc ?~ ~ ~– Non, ma foi.~ ~ ~– Il est pourtant de
 86   II,      77|             affaire La Chalotais. Ma foi, c’est un joli garçon, oui,
 87   II,      77|               Est-ce cela ?~ ~ ~– Ma foi, comtesse, il n’y a que
 88   II,      77|           duc d’Aiguillon ?~ ~ ~– Ma foi, non ; le drôle saura bien
 89   II,      78|              oh ! comtesse…~ ~ ~– Ma foi ! tant pis, je dis tout
 90   II,      78|           sous la main… Tant pis, ma foi !~ ~ ~– Comtesse ! comtesse !~ ~ ~–
 91   II,      78|          croyez pas, sire ?~ ~ ~– Ma foi, non.~ ~ ~– C’est que vous
 92   II,      78|  réconciliation, sire ?~ ~ ~– Sur ma foi.~ ~ ~– Va-t’en, Chon.~ ~ ~–
 93   II,      81|        miracles, comtesse ?~ ~ ~– Ma foi, oui.~ ~ ~– Et vous ne m’
 94  III,      82| tranquillement la comtesse.~ ~ ~– Ma foi, oui, fit le duc de Richelieu
 95  III,      82|              peu de sensiblerie ; ma foi, oui, la calèche est en
 96  III,      82|             sous la futaie.~ ~ ~– Ma foi, oui, c’est monseigneur
 97  III,      82|            Il le faut bien.~ ~ ~– Ma foi, non ; je descendrais plutôt
 98  III,      82|            souvenir récent.~ ~ ~– Ma foi ! prince, dit la comtesse,
 99  III,      82|           nous en font un article de foi, madame, dit le cardinal
100  III,      82|           Cependant, quoi ?~ ~ ~– Ma foi ! j’ai vu des choses qui,
101  III,      82|        répliqua le cardinal. Eh ! ma foi, attendez donc… non… si…
102  III,      82|       connaître tous ?~ ~ ~– Non, ma foi ! au contraire ; je les
103  III,      82|           vous étiez mort ?~ ~ ~– Ma foi, oui, ou peut s’en fallait.
104  III,      82|       Sommes-nous décidés ?~ ~ ~– Ma foi, oui.~ ~ ~– Nous allons
105  III,      84|         avoue, monsieur le comte… Ma foi, c’est charmant d’avoir
106  III,      84|              et vous, duc ?~ ~ ~– Ma foi, comtesse, je vous avoue
107  III,      88|            vous rend populaire ?… Ma foi, non.~ ~ ~– Un homme du
108  III,      89|          baron de Taverney.~ ~ ~– Ma foi, j’approche de la fin, répliqua
109  III,      90|              De grand cœur.~ ~ ~– Ma foi, on a eu du mal ; mais le
110  III,      90|              M. de Fronsac…~ ~ ~– Ma foi, oui… ma foi, oui, vicomte.~ ~ ~ ~
111  III,      90|       Fronsac…~ ~ ~– Ma foi, oui… ma foi, oui, vicomte.~ ~ ~ ~Et
112  III,      92|              ce coup imprévu. Par ma foi ! j’ai trop de bonheur !~ ~ ~–
113  III,      92|           duc ?~ ~ ~– Moi, sire ? Ma foi, non ; je suis trop heureux
114  III,      93|            heure ? Jolie et fine, ma foi.~ ~ ~– Oui, mais…~ ~ ~–
115  III,      93|              dit Richelieu.~ ~ ~– Ma foi ! c’est ton affaire, duc ;
116  III,      97|             dans l’ordre, et, par ma foi, je ne devine pas pourquoi
117  III,      97|          obstacle au lion ?~ ~ ~– Ma foi, monseigneur, ce sera le
118  III,      98|            écria Richelieu.~ ~ ~– Ma foi, je crois que oui, monseigneur.~ ~ ~–
119  III,     102|          sont venus consulter sur la foi de mes écrits : je reculerais
120  III,     103|          avec plus ou moins de bonne foi.~ ~ ~ ~Il en résulta que
121  III,     103|              obtenu sa profession de foi.~ ~ ~ ~Rousseau se retourna
122  III,     103|             Le sentiment de sa bonne foi, un sentiment de dédain
123  III,     103|        Écoutez donc ma profession de foi, puisque vous ne l’avez
124  III,     104|                  Lui-même, qui avait foi dans la lucidité de Swedenborg,
125  III,     104|         quelconque à qui j’ai promis foi, obéissance, reconnaissance
126  III,     104| représenteront les bras ; qu’avec la foi et le dévouement des autres
127  III,     104|               messieurs, propagez la foi par la douceur et la persuasion ;
128  III,     104|              la science, l’art et la foi ; rien enfin près de ceux
129  III,     105|             vous l’ordonne.~ ~ ~– Ma foi, dit le chirurgien en chef,
130  III,     106|           Son visage s’éclaira d’une foi sublime.~ ~ ~– Non, sa femme
131  III,     106|         traditions, la science et la foi. Que vous importe l’égalité
132  III,     107|               surtout ne niez pas la foi, qui est le pouvoir suprême ;
133  III,     113|     fabriqués, mais ils brisent ; ma foi, j’aime mieux me dorloter
134  III,     113|              son humanité ?~ ~ ~– Ma foi, non, dit Louis XV ; j’avoue
135  III,     115|          incrédulité, cette mauvaise foi de la haine. Or, Andrée,
136  III,     117|            murmura Balsamo ; oh ! ma foi, tout duc et pair qu’il
137  III,     118|              exemple !~ ~ ~– Oui, ma foi, un certain drôle assez
138  III,     118|         bienheureux mortel.~ ~ ~– Ma foi, dites, monsieur le maréchal,
139  III,     118|              monsieur le duc ; mais, foi de Nicole, je n’irai pas.~ ~ ~–
140  III,     118|            Nicole ? dit-il.~ ~ ~– Ma foi, non, répondit la jeune
141   IV,     124|             homme très dangereux, ma foi, un homme qui est tout ensemble
142   IV,     125|             lui, et cela de si bonne foi, que, parole d’honneur,
143   IV,     130|              comte, je m’aperçus, ma foi, que M. de Richelieu était
144   IV,     132|             l’avenir, la force et la foi ; Lorenza, c’est-à-dire
145   IV,     136|           bien, sire, dit Richelieu, foi de gentilhomme, je m’en
146   IV,     137|           plein air, aussi bonne, ma foi, que dans les antres les
147   IV,     139|            de ce retour ; en vérité, foi de du Barry, il n’y a que
148   IV,     139|             Ah ! ah ! ah ! voila, ma foi ! un méchant jeu de mots
149   IV,     139|             le lit du roi ?~ ~ ~– Ma foi, comtesse, répondit Richelieu
150   IV,     143|             t’aime, alors ?~ ~ ~– Ma foi, tant pis ; car, comme cette
151   IV,     144|             mais à une créature sans foi, sans honneur.~ ~ ~– Des
152   IV,     146|            que vous fussiez de bonne foi ?~ ~ ~– Vous en doutez ?
153   IV,     147|                je vous ai cru sur la foi de votre honneur.~ ~ ~–
154   IV,     151|             présent que je n’ai plus foi en rien, je me laisserai
155   IV,     153|          ciel avec une étrange bonne foi.~ ~ ~ ~Andrée se pencha
156   IV,     155|           pas le moyen d’avoir de la foi.~ ~ ~ ~Balsamo fronça le
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