Tome,  Chap.

  1    I,       3|           une bête de prix et que j’aime beaucoup ; je voudrais m’
  2    I,       3|              Je fuis un homme que j’aime, mais avant toute chose
  3    I,       5|    débarrassera de lui. Mais Andrée aime le gibier, ce qui fait que
  4    I,       6|             Je sais seulement que j’aime ce qui est sérieux.~ ~ ~–
  5    I,       6|            le sucre ! ai-je fait. J’aime mon café fort sucré, moi,
  6    I,       6|             lire trop de livres ; j’aime mieux ne jamais douter.
  7    I,       9|             même envers vous, qu’il aime ?~ ~ ~– Oui, dans un moment
  8    I,      10|                  Qui vous dit que j’aime mademoiselle ? fit Gilbert.~ ~ ~–
  9    I,      10|                    Si fait, je vous aime toujours.~ ~ ~– Alors pourquoi
 10    I,      10|       pauvre, Nicole, personne ne m’aime, on ne sait pas que j’ai
 11    I,      10|            je saurai bien si elle l’aime, elle !~ ~ ~ ~
 12    I,      11|           après ?~ ~ ~– Eh bien ! j’aime quelqu’un.~ ~ ~– Et ce quelqu’
 13    I,      11|                Et ce quelqu’un vous aime ?~ ~ ~– Je le crois, mademoiselle.~ ~ ~ ~
 14    I,      11|            c’est lui.~ ~ ~– Et il t’aime ?~ ~ ~ ~Nicole se crut arrivée
 15    I,      11|             en vouloir si Gilbert m’aime.~ ~ ~– Qu’est-ce que cela
 16    I,      11|             à moi, que Gilbert vous aime ou ne vous aime pas ? Tenez,
 17    I,      11|        Gilbert vous aime ou ne vous aime pas ? Tenez, en vérité,
 18    I,      13|            dauphine, qui est jeune, aime sans doute les jeunes visages,
 19    I,      14|             quinze jours, moi qui n’aime que l’air, l’ombrage et
 20    I,      17|  mademoiselle me pardonne, quand on aime…~ ~ ~– Tu aimes donc sérieusement
 21    I,      19|         jambon que je désire ; je n’aime pas le poulet.~ ~ ~– Alors
 22    I,      21|           qui loge chez moi, et qui aime cette bête comme elle aimerait
 23    I,      24|            pour les indifférents, j’aime mieux l’isolement et l’obscurité
 24    I,      24|       dauphin. On dit déjà que je n’aime que mes filles.~ ~ ~– Mais
 25    I,      26|             battu contre Jean que j’aime ? Parce que je l’aime, peut-être…
 26    I,      26|             j’aime ? Parce que je l’aime, peut-être… Des jalousies
 27    I,      26|          haïsse sans cesse ce que j’aime, qu’on aime éternellement
 28    I,      26|          cesse ce que j’aime, qu’on aime éternellement ce que je
 29    I,      27|             vous tous, enfin, que j’aime avec l’énergie d’un cœur
 30    I,      28|           étonnerait, car elle ne t’aime guère.~ ~ ~– Ah ! ma foi !
 31    I,      28|           me gênait, je l’avoue : j’aime mieux introduction.~ ~ ~–
 32    I,      28|         Pauvres bêtes ! oui, je les aime, et je les aime surtout
 33    I,      28|              je les aime, et je les aime surtout parce qu’elles ont
 34    I,      28| Autrichienne sur le trône. Louise m’aime, mais bien durement, puisqu’
 35    I,      28|         cette pauvre comtesse qui m’aime. Au diable donc ceux qui
 36    I,      32|            vite, vite, vite. Zamore aime à aller vite.~ ~ ~– Allons,
 37    I,      32|             bien heureux que Zamore aime à aller vite.~ ~ ~ ~Et il
 38    I,      32|            roi, non ; décidément, j’aime mieux aller voir les carpes.
 39    I,      32|         haussa les épaules.~ ~ ~– J’aime beaucoup ce mouvement, sire ;
 40    I,      32|         marraine, comtesse.~ ~ ~– J’aime mieux cela, sire.~ ~ ~–
 41    I,      35|                  J’ai un fils que j’aime tendrement, madame. L’épée
 42   II,      41|             ni bien ni mal. Je ne l’aime ni le déteste ; il m’est
 43   II,      43|        Gilbert en souriant.~ ~ ~– J’aime peu à mentir, et je m’aperçois
 44   II,      43|            hommes !~ ~ ~– Il ne les aime ni ne les hait ; il en est
 45   II,      43|             étranger. Voilà comme j’aime l’homme. Venez avec moi
 46   II,      43|              Voilà un langage que j’aime. J’accepte votre offre et
 47   II,      45|         toute une journée ?~ ~ ~– J’aime tout cela vaguement, dit
 48   II,      46|       dit-il, vous avez un motif. J’aime mieux cela.~ ~ ~– Oui, monsieur,
 49   II,      49|                Monsieur le baron, j’aime profondément la musique,
 50   II,      50|                   À Rome, celui qui aime une religieuse est puni
 51   II,      51|   douloureuse volonté, non, je ne l’aime pas.~ ~ ~– Alors vous auriez
 52   II,      52|           te haïr ? Oh ! non ; je t’aime. Tu es bon, tu es généreux,
 53   II,      53|         résolution.~ ~ ~– Elle ne m’aime pas, pensa-t-il, c’est vrai ;
 54   II,      54|           forcez, c’est celle que j’aime plus que vous n’avez aimé
 55   II,      55|        avait qu’un œil, ou, si l’on aime mieux, qu’une fenêtre, encore
 56   II,      55|       douloureux. Joseph ! que je t’aime !~ ~ ~ ~Et la jeune femme
 57   II,      56|       parle-moi toi-même souvent… j’aime tant ta voix !~ ~ ~– Lorenza,
 58   II,      56|         bien distinctes : une qui t’aime et une qui te déteste, comme
 59   II,      56|          est pas pour cela que je l’aime.~ ~ ~– Et pourquoi l’aimes-tu ?~ ~ ~–
 60   II,      56|             sais donc bien que je t’aime ardemment, avec passion ?~ ~ ~ ~
 61   II,      56|           pays. Aime-moi comme je t’aime, moi.~ ~ ~– Oh ! ce n’est
 62   II,      56|             Aime-moi comme un époux aime sa femme, et non comme mon
 63   II,      56|           et dis encore que je ne t’aime pas.~ ~ ~– Mais alors, pourquoi
 64   II,      56|               tu m’aimes comme je t’aime, enfin !~ ~ ~ ~Balsamo essaya
 65   II,      56|          que le diamant.~ ~ ~– Je t’aime comme tu voudras, dit-elle,
 66   II,      57|            pour prison, dit-elle, j’aime mieux celle qui conduit
 67   II,      57|     étrangère contre celui qui vous aime ? Pourquoi menacez-vous
 68   II,      59|          dit vivement Balsamo, on n’aime pas les savants en France ;
 69   II,      63|            dit Jean.~ ~ ~– Merci, j’aime mieux la mienne ; la mienne
 70   II,      63|             ne désespérons pas ; il aime les jolis visages : celui
 71   II,      71|      soupire et souffre celle que j’aime avec idolâtrie, celle qui,
 72   II,      74|           qui, par bonheur, ne vous aime pas.~ ~ ~– Vraiment ?~ ~ ~–
 73   II,      76|                Allez ! allez ! je n’aime pas ceux qui soufflent le
 74   II,      77|        avait là-bas tout ce qu’elle aime.~ ~ ~– Ah ! non point, et
 75   II,      77|       dauphine, qui naturellement l’aime beaucoup. Voilà pourquoi
 76   II,      78|         fût-il roi. Du jour où je n’aime plus, je ne tiens à rien.~ ~ ~–
 77   II,      79|             savez, dit-il, que je n’aime pas à dégoûter mes serviteurs,
 78   II,      80|           alors, mais pour ce que j’aime…~ ~ ~– Qu’aimez-vous, madame ?~ ~ ~–
 79   II,      80|          voilà une petite fille qui aime la nature ! dit le roi avec
 80  III,      83|            vivre avec moi, qui vous aime au delà de toute expression,
 81  III,      83|         cœur, dans ce cœur qui vous aime au-dessus de tout chose.
 82  III,      83|    ardemment. Tu vois bien que je t’aime trop, moi, pour te nuire
 83  III,      85|      Balsamo en arabe, merci ; je t’aime ; retourne à ta chambre
 84  III,      87|       aimaient en moi tout ce qu’on aime dans un jeune homme, elle
 85  III,      89|       entendu parler ?~ ~ ~– Oh ! j’aime autant ne pas vous dire
 86  III,      89|    activement. J’ai une fille que j’aime beaucoup, et qui est un
 87  III,      90|        fille.~ ~ ~– Et puis il vous aime, dit Jean.~ ~ ~– Comme un
 88  III,      91|         être plus faible, puisque j’aime, j’ai été dix fois plus
 89  III,      92|             vierge même, car elle n’aime pas comme moi.~ ~ ~– Oh !
 90  III,      93|          cher, je vieillis, et je n’aime plus les jolies femmes que
 91  III,      93|        plaisir au roi. Sa Majesté n’aime pas la misère, et les jolis
 92  III,      97|           cher enfant. Suppose… – j’aime les apologues, moi… – suppose
 93  III,      97|          toute chose ; moi aussi, j’aime les apologues.~ ~ ~– Eh
 94  III,      97|      défendra. Grâce à Dieu, elle m’aime, elle est brave, et elle
 95  III,      99|             allez-vous faire là ? J’aime le secret pour ce qu’on
 96  III,     100|            Barry le retint.~ ~ ~– J’aime mieux que vous soyez là,
 97  III,     103|            lui-même, j’en suis sur, aime l’égalité, je le prie de
 98  III,     105|           jeune homme pauvre et qui aime la propreté, dit froidement
 99  III,     107|              Non, non ! dit-elle, j’aime mieux mourir !~ ~ ~– Eh
100  III,     108|             personnellement, mais j’aime mes aises ; je veux aller
101  III,     113|             ils brisent ; ma foi, j’aime mieux me dorloter ici.~ ~ ~–
102  III,     113|         fort belle maxime, et que j’aime à voir sortir de votre bouche ;
103  III,     114|             Andrée, dit-il, je vous aime ainsi. Soyez courageuse.
104  III,     114|        viendrait à Trianon. Il vous aime, croyez-le bien ; seulement,
105  III,     114|      croyez-le bien ; seulement, il aime à sa manière.~ ~ ~– Qu’avez-vous
106  III,     117|             elle était bien comme j’aime à la voir. Pauvre enfant !
107  III,     117|            étais, et tout homme qui aime est un insensé, je vous
108  III,     117|                  Mais, moi, je vous aime trop pour vous voir mourir.
109  III,     118|        chère enfant ; d’ailleurs, j’aime les jolies filles qui font
110  III,     118|           tant mieux.~ ~ ~– Soit. J’aime M. de Beausire, mettons
111  III,     118|             monsieur le maréchal, j’aime mieux rester ici.~ ~ ~–
112  III,     118|          est bonne et, comme elle m’aime au fond, elle parlera de
113  III,     119|            avec Beausire, qu’elle n’aime pas ?~ ~ ~« Pourquoi Nicole
114  III,     121|           du moins un homme qu’elle aime et avec lequel elle a des
115  III,     123|         procureur et plaidez ; je n’aime pas à me mêler des affaires
116   IV,     126|        connaissez le proverbe : « J’aime mieux tenir… » Et même,
117   IV,     128|       tuerai donc aussi celle qui m’aime !~ ~ ~ ~Et son cœur s’emplit
118   IV,     128|             pendant laquelle elle m’aime, celle dont elle vit en
119   IV,     128|     fermente au fond de mon cœur. J’aime cette femme, je l’aime,
120   IV,     128|            J’aime cette femme, je l’aime, et cet amour passionné
121   IV,     128|            fois ma femme ? car je t’aime ardemment, vois-tu.~ ~ ~–
122   IV,     128|        jeune, pure, vierge, et je n’aime pas Andrée ; et cependant,
123   IV,     129|     tranquille, cette Lorenza qui t’aime n’est pas, tu le sais bien,
124   IV,     130|           la main de la femme qu’il aime, l’attirant au fond de l’
125   IV,     139|              dit le maréchal, que j’aime fort mes amis ; aussi ai-je
126   IV,     140|             farouche ; oui, je vous aime, vous ; voilà pourquoi je
127   IV,     141|       Philippe, devant moi qui vous aime tant… vous, vous qui êtes
128   IV,     141|            mieux, car, si l’on vous aime ici et si l’on y pense bien
129   IV,     142|        comprenez, docteur, quand on aime les gens…~ ~ ~– Vous aimez
130   IV,     142|            plus profond que je ne l’aime.~ ~ ~– Très bien ; en ce
131   IV,     142|             Oh ! monsieur, Andrée m’aime comme elle n’aime personne
132   IV,     142|          Andrée m’aime comme elle n’aime personne au monde.~ ~ ~–
133   IV,     142|       abandonner ; et, si elle vous aime comme vous l’aimez, eh bien,
134   IV,     143|          dans votre esprit ; mais j’aime mieux, et croyez que c’est
135   IV,     143|            cruel à dire pour moi, j’aime mieux sentir que vous m’
136   IV,     143|            mit à rire.~ ~ ~– Moi, j’aime quelqu’un ? dit-elle.~ ~ ~–
137   IV,     143|           un ? dit-elle.~ ~ ~– On t’aime, alors ?~ ~ ~– Ma foi, tant
138   IV,     144|            pour moi. Moi, moi, je n’aime personne ; tu vois bien
139   IV,     144|           homme ne m’a dit : « Je t’aime », que jamais bouche ne
140   IV,     146|           il arma.~ ~ ~– Eh bien, j’aime mieux cela, s’écria Philippe,
141   IV,     150|            Ma sœur est pure, elle m’aime ! jamais elle n’a trahi
142   IV,     150|          pour un philanthrope qui n’aime pas à voir couler le sang.
143   IV,     150|           détourné la tête.~ ~ ~– J’aime mieux Taverney, répliqua
144   IV,     151|           fût sortie, car elle ne m’aime pas et aurait peut-être
145   IV,     151|         vous que je le tenterai ; j’aime trop votre maison, monsieur
146   IV,     151|            Vous êtes un homme que j’aime, mon maître ! s’écria Gilbert,
147   IV,     151|          délire ; aujourdhui, je l’aime avec fureur. Je mourrais
148   IV,     156|          Mademoiselle de Taverney n’aime cependant au monde que Votre
149   IV,     156|           venu de moi. Cependant, j’aime assez ma sœur pour que ce
150   IV,     157|       entrailles ; cet enfant, je l’aime, car il vient de toi.~ ~ ~–
151   IV,     162|               J’ai tout prévu… Je t’aime sincèrement, Philippe ;
152   IV,     164|             courez à votre fusil. J’aime bien mieux être tué d’un
153   IV,     164|       enfant… Encore un motAndrée aime son fils… ton fils avec
154   IV,     164|            et de désespoir.~ ~ ~– J’aime mieux être tué par vous.~ ~ ~–
155   IV,     Epi|           bon Français, voyez vous, aime son roi, et mon roi se porte
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