Tome,  Chap.

  1    I,    IntI|  destinés à éclairer jusqu’à son âme. Ses joues brunes avaient
  2    I,  IntIII|          jour où les yeux de mon âme s’ouvrirent à la perception
  3    I,  IntIII|      matériel en moi disparut, l’âme seule resta, conservant
  4    I,  IntIII|          je pensais au fond de l’âme, et ce que je crois de mon
  5    I,       2|      impatientant, sur ma pauvre âme ! Comment ! depuis six mois
  6    I,       3|           cet homme perdrait mon âme si je restais plus longtemps
  7    I,       7|        voyait avec les yeux de l’âme que ce n’était ni l’une
  8    I,       8|          sa lumière, sa vie, son âme ; le désespoir lui donna
  9    I,      11|        mais ce n’était point une âme sèche ; et si son amour-propre,
 10    I,      11|        quelque sorte jusqu’à son âme par le limpide miroir de
 11    I,      17|   probité, vous me déchireriez l’âme. Mais, Dieu merci ! j’ai
 12    I,      17|          le fond généreux de son âme.~ ~ ~ ~Gilbert ferma tranquillement
 13    I,      24|         a emporté sur la force d’âme de la sujette.~ ~ ~– Bonne
 14    I,      27|       avait emporté au tombeau l’âme des Turenne et des Condé,
 15    I,      27|           n’affaiblissez pas mon âme en me montrant votre tendresse.
 16    I,      33|          offrait aux yeux et à l’âme dans tout son calme et dans
 17    I,      35|   disons-nous, courait comme une âme en peine sur la route de
 18   II,      50|      pour elle, glissèrent sur l’âme de Madame Louise et vinrent
 19   II,      50|      coup d’œil cette grandeur d’âme véritable de son auguste
 20   II,      50|         ardente aspiration d’une âme dégoûtée du monde vers la
 21   II,      50|          entière : mon cœur, mon âme, ma raison, le démon possédait
 22   II,      50|      toute ma volonté, toute mon âme étaient dans mes regards,
 23   II,      50|   supplice inimaginable pour une âme restée chrétienne que l’
 24   II,      50|    forces me manquaient, que mon âme s’élançait de mon corps
 25   II,      51|        ordonne, je le fais ; mon âme n’a plus de puissance, mon
 26   II,      51|          quand déjà il avait mon âme ; car il ne doutait pas
 27   II,      51|          pas, disait-il, que mon âme ne fût montée droit au ciel.~ ~ ~«
 28   II,      52|         bien aux terreurs de son âme, tomba à genoux aux pieds
 29   II,      53|        flot bruissant, c’était l’âme ulcérée par une douleur
 30   II,      53|          en ce moment dans cette âme obscure ? sous quelle terrible
 31   II,      56|         aimant elle perdrait son âme, et elle te fuira, toujours,
 32   II,      56|         or, et qui fondaient mon âme dans les délices.~ ~ ~–
 33   II,      56|        car cette possession de l’âme me suffit pour être heureux.~ ~ ~–
 34   II,      57|            Vous ne les redirez à âme qui vive, vous les enfermerez
 35   II,      60|         quoi se réjouir, sur mon âme, si j’avais trouvé cela !~ ~ ~–
 36   II,      60|          l’endroit du corps où l’âme est logée, et cela pourrait
 37   II,      60|          mais j’empêcherai cette âme de sortir du corps par la
 38   II,      67|       essaya de faire passer son âme dans la poitrine d’Andrée,
 39   II,      68|         par l’eau de la Seine, l’âme étreinte de cette dernière
 40   II,      70|      êtes aussi bon médecin de l’âme que du corps.~ ~ ~– Tant
 41   II,      71|         qu’il n’eût au fond de l’âme une défiance solidement
 42   II,      79|     phrase aiguisée il perçait l’âme de tous ses ennemis.~ ~ ~ ~
 43   II,      79|          sais qu’un Choiseul a l’âme chevillée au corps.~ ~ ~–
 44  III,      91|     résister à un mouvement de l’âme, et laisser sans réponse
 45  III,      93|       écria Nicole, dont toute l’âme pleine de convoitise passa
 46  III,      94|          pouvait se réfugier une âme ambitieuse pour dévorer
 47  III,      94|     isolement des grandeurs, une âme humble et mélancolique.~ ~ ~ ~
 48  III,      94|   chambre des communs.~ ~ ~ ~Une âme douce et fière comme celle
 49  III,      94|         et respirer de toute son âme comme de tous ses poumons,
 50  III,      97|      grandissait, il épurait son âme.~ ~ ~ ~Richelieu crut que
 51  III,     101|        qui se passait dans cette âme.~ ~ ~ ~Comme contrepoids,
 52  III,     103|          et j’ai palpé jusqu’à l’âme… Si j’ai accepté de venir
 53  III,     103|      pour la satisfaction de son âme naïve et timide, consulté
 54  III,     104|      frères, qui a effrayé cette âme timide, ce grand écrivain,
 55  III,     105|       Chapitre CV~ Le corps et l’âme~ ~Le dernier resté près
 56  III,     105|    superbement Marat.~ ~ ~– Et l’âme, vous n’en parlez pas, monsieur.~ ~ ~–
 57  III,     105|       douleur que vous appelez l’âme ?~ ~ ~– Alors, vous n’y
 58  III,     105|               À quoi ?~ ~ ~– À l’âme.~ ~ ~– J’y crois, parce
 59  III,     105|      fort bien ; vous croyez à l’âme, c’est tout ce que je vous
 60  III,     105|        Mais oui.~ ~ ~– Une belle âme eût certes bien été à ce
 61  III,     105|     scandaleuse. Si vous appelez âme le mouvement qui faisait
 62  III,     105|        de la même essence.~ ~ ~– Âme qu’on eût  guérir, dit
 63  III,     105| indispensable, d’un médecin de l’âme.~ ~ ~– Hélas ! hélas ! mon
 64  III,     105|       vivants, vous rencontrez l’âme, j’espère ?~ ~ ~– Oui, si
 65  III,     105|          convenez avec moi que l’âme, c’est le mouvement ou la
 66  III,     105|      voilà ce que lui vaudra son âme, à ce vivant.~ ~ ~– Pourquoi
 67  III,     105|              Par la faute de son âme ?~ ~ ~– Par la faute de
 68  III,     105|              Par la faute de son âme, qui a trop de tendresse
 69  III,     105|     pourquoi ne pas opérer sur l’âme ? La tranquillité de l’une
 70  III,     105|            Vous avez préparé son âme ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Comment
 71  III,     105|          paroles. J’ai parlé à l’âme, à l’intelligence, à la
 72  III,     105|             Reste maintenant à l’âme à ne point souffrir, cela
 73  III,     105|         Quant aux questions de l’âme : mensonge ! Pourquoi aussi
 74  III,     105|          aussi cette diablesse d’âme est-elle attachée au corps ?
 75  III,     105|   sensibilité s’était éteinte, l’âme s’était envolée, comme vous
 76  III,     105|        tandis que ce corps que l’âme habite encore va pousser
 77  III,     105|  parvenue à isoler le corps de l’âme.~ ~ ~– Vous croyez qu’on
 78  III,     106|                  Chapitre CVI~ L’âme et le corps~ ~Chacun regardait
 79  III,     106|            en attendant, comme l’âme, ainsi que me le disait
 80  III,     106|         élève, M. Marat, comme l’âme a une grande influence sur
 81  III,     106|       point une abstraction de l’âme ?~ ~ ~– Ou de l’esprit,
 82  III,     106|    discuterons pas là-dessus ; l’âme me sert à nommer le mot
 83  III,     106|    uniquement l’abstraction de l’âme, le double isolement de
 84  III,     106|      retournera poussière ; de l’âme, étincelle divine enfermée
 85  III,     106|        avez tiré momentanément l’âme du corps ?~ ~ ~– Oui, monsieur,
 86  III,     106| avez-vous disposé ainsi de cette âme ?~ ~ ~– Au nom de Celui
 87  III,     106|    souffrances ; cet homme a une âme toute stoïque, il va au-devant
 88  III,     106|         le Seigneur m’a donné, l’âme de son corps qui souffre,
 89  III,     106|       insensible, devient pour l’âme un spectacle qu’elle contemple
 90  III,     106|          C’est qu’en effet cette âme n’avait plus affaire à ce
 91  III,     106|      vous ne pouvez rien sur mon âme ? »~ ~– Ah ! voilà que vous
 92  III,     106|       votre défaut. Dieu prête l’âme au corps, il est vrai ;
 93  III,     106|         que, tout le temps que l’âme possède ce corps, il y a
 94  III,     106|        le corps fût roi ou que l’âme fût reine ; mais il n’en
 95  III,     106|    Pourquoi cela ? C’est que son âme, dégagée momentanément des
 96  III,     106|    fonctions de la destinée de l’âme. Naturelles sont ces fonctions ;
 97  III,     106|          monsieur : j’isolerai l’âme du corps ; et l’âme, fille
 98  III,     106|   isolerai l’âme du corps ; et l’âme, fille pure, fille immaculée
 99  III,     107|        dame Grivette a aussi une âme, et que cette âme veille
100  III,     107|      aussi une âme, et que cette âme veille lorsqu’elle dort.~ ~ ~–
101  III,     107|          elle dort.~ ~ ~– Et une âme étrange, dit Marat, une
102  III,     107|          étrange, dit Marat, une âme qui sait lire quand le corps
103  III,     107|      sait pas.~ ~ ~– Parce que l’âme sait toute chose, parce
104  III,     107|         toute chose, parce que l’âme peut reproduire par réflexion.
105  III,     107|        le corps aura enveloppé l’âme de son ombre, et vous verrez.~ ~ ~ ~
106  III,     107|        voyez enfin la lutte de l’âme avec le corps. Voyez-vous
107  III,     107| conscience ; ne niez donc plus l’âme ; ne niez donc plus l’inconnu,
108  III,     110|          eût été prêt à rendre l’âme, et il s’enfuit par la mince
109  III,     113|       roi. Je lui livre donc mon âme tout entière, car je ne
110  III,     114|          refuseriez-vous à notre âme immortelle l’instinct du
111  III,     114|          et sœur seulement par l’âme et le sang, mais encore
112  III,     114|          sang, mais encore par l’âme et les sentiments ; aussi
113  III,     115|         tout son sang, toute son âme, et vous souleva dans ses
114  III,     115|   créature sans cœur, corps sans âme, je t’ai sauvé la vie, j’
115  III,     117|         vous en vous faisant son âme, moi en me faisant son ennemi ?
116  III,     117|      Quoique vous me croyiez une âme perdue, voulez-vous dire ?
117  III,     117|          dévouée et soumise, une âme constante et douce ? Vous
118  III,     117|          trop peur de perdre mon âme.~ ~ ~– Ce n’est point, je
119  III,     117|          que vous perdriez votre âme, dit Balsamo : c’est en
120  III,     117|         vous bénira de toute son âme, pour une amie qui baisera
121  III,     117|         la terre. Balsamo, par l’âme de votre mère, par le sang
122  III,     120|    extase divine dans laquelle l’âme s’élevait jusqu’au Seigneur
123  III,     121|          toute sa vie, toute son âme, étaient concentrées dans
124   IV,     128|      monde, dont la France est l’âme, c’est à la créature que
125   IV,     128|      celle-là, pour moi, c’est l’âme vile du médecin, et qui
126   IV,     129|          savoir si ces yeux de l’âme, si clairvoyants avant la
127   IV,     129|        donne la science.~ ~ ~– L’âme sait toute chose.~ ~ ~–
128   IV,     129|    réellement avec les yeux de l’âme que tu vois ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~–
129   IV,     129|         eût pas su lire dans son âme eût eu peine à se rendre
130   IV,     129|        vois-tu donc pas dans mon âme comme je vois dans la tienne ?~ ~ ~–
131   IV,     133|           dévouée à toi corps et âme, tendrement aimée de toi ;
132   IV,     134|  puissant eût déraciné toute son âme, Althotas se renversa sur
133   IV,     136|       bonheur de me dire, en mon âme et conscience, que mon assiduité
134   IV,     140|      rebuffades ; et, dans cette âme si délicate, la douleur
135   IV,     140|    depuis un mois ; ainsi qu’une âme en peine, il ne savait où
136   IV,     141|         semblent deux corps sans âme. Je ne comprends rien à
137   IV,     143|      vierge, où se reflétait son âme tout entière.~ ~ ~– Ma sœur,
138   IV,     143|  fouiller jusqu’au fond de cette âme pour en arracher votre secret.~ ~ ~–
139   IV,     143|      découvrir les maladies de l’âme ; il allait franchement,
140   IV,     144|       miroir resplendissant de l’âme n’était pas même terni par
141   IV,     144|         Dieu qui m’entend, par l’âme de ma mère, qui ne m’a point
142   IV,     144|          maintenant Dieu ait mon âme, tu tiens mon corps entre
143   IV,     147|          Épargnez la pureté de l’âme, puisque c’en est fait de
144   IV,     148|         dans le sommeil ?…~ ~– L’âme veillait.~ ~ ~ ~Alors il
145   IV,     152|          souffrait moins que son âme, Gilbert tourna brusquement
146   IV,     153|      persiennes. Il crut que son âme chargée de terreurs évoquait
147   IV,     153|      terreurs évoquait une autre âme, et que l’heure était venue
148   IV,     154|    affaiblir les ressorts de ton âme en songeant à tout ce qui
149   IV,     154|          une place sensible en l’âme de cette créature où mon
150   IV,     154|         j’aurai allumée dans ton âme ; ce sera une lame sans
151   IV,     154|      toute ma force, à toute mon âme, de veiller pour assurer
152   IV,     158|         toute la faiblesse d’une âme orgueilleuse, avec toute
153   IV,     159|         ce qui se passait dans l’âme et ce qui se passait dans
154   IV,     163|           qu’il surexcita dans l’âme généreuse d’Andrée tout
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