Tome,  Chap.

  1    I,   IntII|          point mort ; je dis que ce sang que j’ai bu était du vin
  2    I,   IntII|     Calédonie. Salut, milord. Si le sang de votre aïeule revit en
  3    I,  IntIII|             la France, pour unir le sang de dix-sept Césars avec
  4    I,  IntIII|            arrosée des pleurs et du sang de ses adorateurs, comme
  5    I,  IntIII|             d’eau, chaque goutte de sang appartient à la révolte.
  6    I,  IntIII|             tant que nous aurons du sang, nous le verserons ; seulement
  7    I,  IntIII|    française ; ils lui vendent leur sang depuis Marignan et Pavie ;
  8    I,       4|         cabriolet était vide.~ ~ ~– Sang du Christ ! s’écria-t-il
  9    I,       6|      fébrile, qui lui fit monter le sang aux joues, commença à s’
 10    I,      10|      foulante destinée à pousser le sang aux extrémités. Lisez le
 11    I,      10|        faire à chaque goutte de son sang le tour de son corps.~ ~ ~–
 12    I,      11|            loin l’investigation. Ce sang froid, qui lui paraissait
 13    I,      14|            admirable ; on voyait le sang courir sous le tissu délicat
 14    I,      19|           recommencé de fouetter le sang du malheureux.~ ~ ~ ~Puis,
 15    I,      19|        nuage de poussière auquel le sang dont ses yeux étaient injectés
 16    I,      22|         manchette se teignit de son sang et des gouttes rapides coulèrent
 17    I,      35|             chaque chef a versé son sang pour le service des princes
 18    I,      37|        écria du Barry au désespoir. Sang bleu ! il faut que je tue
 19    I,      37|         Léonard.~ ~ ~– Qui débute ? Sang bleu ! vous êtes passé maître,
 20    I,      38|         réalité. Elle n’arrive pas, sang bleu !~ ~ ~– Et voilà le
 21   II,      44|             ou rougir une goutte de sang, si les douleurs que ces
 22   II,      53|           irritent à la vue de leur sang qui coule, et leur énergie
 23   II,      54|            faisaient bouillonner le sang par tout son corps.~ ~ ~ ~
 24   II,      54|      celui-ci d’un ton qui figea le sang dans les veines de Gilbert,
 25   II,      56|            de ma vie ta vie, de mon sang ton sang ? Entends-tu bien ?
 26   II,      56|             ta vie, de mon sang ton sang ? Entends-tu bien ? Pourquoi
 27   II,      57|  effervescence et pour refouler son sang révolté, si vous les avez
 28   II,      57|          que vous répandrez tout le sang de vos veines.~ ~ ~– Mon
 29   II,      60|          trois dernières gouttes du sang artériel d’un enfant.~ ~ ~–
 30   II,      60|            dernières gouttes de son sang artériel ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~–
 31   II,      60|            que ces trois gouttes de sang que tu me refuses. Ces trois
 32   II,      60|       refuses. Ces trois gouttes de sang absentes ont rendu Achille
 33   II,      60|           que révolte une goutte de sang versée intelligemment, mais
 34   II,      60|            homme dix-sept livres de sang, c’est à peu près le compte
 35   II,      60| soixante-huit millions de livres de sang versé pour arriver à ton
 36   II,      60|       serait rien, trois gouttes de sang, si vous étiez sûr de réussir.~ ~ ~–
 37   II,      60|                Il restait si peu de sang dans le corps du vieillard,
 38   II,      60|           corps du vieillard, et ce sang roulait si lentement, qu’
 39   II,      60|             eau presque magique, le sang s’écarta, la chair se resserra,
 40   II,      60|           coulante qu’on appelle le sang pût s’en échapper.~ ~ ~ ~
 41   II,      60|         acier. Le corps humain a du sang qui, lorsqu’il s’échappe,
 42   II,      60|           vie : j’empêcherai que le sang ne sorte du corps. La chair
 43   II,      60|             tard, et d’ailleurs, le sang de l’homme n’est pas un
 44   II,      65|           aux artères des mains, ce sang révolté de la jeunesse et
 45   II,      65|             muraille ruisselante de sang. J’eus cependant le courage
 46   II,      68|        échapper quelques gouttes de sang vermeil ; un de ses bras
 47   II,      68|            vestiges de la lutte. Ce sang sur les murailles, ces lambeaux
 48   II,      68|         coude, les bras couverts de sang, entouré de tronçons humains,
 49   II,      68|            piqua la veine.~ ~ ~ ~Le sang coula goutte à goutte d’
 50   II,      68|         après quelques secondes, ce sang pur et généreux de la jeunesse
 51   II,      69|             opérateur qui, rouge de sang, semblait bien plutôt le
 52   II,      70|           qu’il tenta fit monter le sang à sa bouche et à ses narines.
 53   II,      70|   obscurcirent, sa main trembla, le sang revint à ses lèvres et il
 54   II,      71|           avait vomi qu’une fois le sang au milieu de ses efforts,
 55   II,      72|             voix d’Andrée ; tout le sang de Gilbert reflua vers son
 56   II,      73|      spasmes ; et puis, parfois, le sang me monte aux tempes et les
 57   II,      74|          haletant, ivre, sentait le sang battre furieusement son
 58   II,      75|             boucher et vomissant un sang noir, le pommier chargé
 59  III,      82|         gouttes sur les lèvres : le sang s’arrête, la respiration
 60  III,      88|        amour embraser, régénérer le sang de son cœur.~ ~ ~– Vous
 61  III,      89|            ambitions d’un prince du sang.~ ~ ~ ~Mais toute la politesse,
 62  III,      91|            tourbillonnants avec son sang jusqu’à son cœur. En effet,
 63  III,      95|          haine, fit bouillonner son sang avec une violence inouïe.~ ~ ~ ~
 64  III,      98|         aujourdhui de princesse du sang qui vous y aille porter
 65  III,     101|             les étourdissements, le sang circule avec plus de vigueur
 66  III,     104|            et l’or, c’est-à-dire le sang, leur fera défaut.~ ~ ~«
 67  III,     104|          des rois par le mélange du sang impérial, la dauphine, mariée
 68  III,     105|         tout pointillé de taches de sang.~ ~ ~ ~Alors, d’une main
 69  III,     105|             toute la chaleur de son sang, avec tout le fluide de
 70  III,     106|            échappaient des flots de sang.~ ~ ~ ~Balsamo tira de sa
 71  III,     106|            ne laissa plus passer le sang que goutte à goutte.~ ~ ~ ~
 72  III,     106|              il vit le lit plein de sang, il vit sa jambe mutilée.~ ~ ~ ~
 73  III,     106|             vous qui avez arrêté le sang du blessé par des moyens
 74  III,     108|    excepterez les dames qui sont du sang impérial.~ ~ ~– Monsieur,
 75  III,     113|                    Oui, sire, et le sang noble est une salutaire
 76  III,     114|           seulement par l’âme et le sang, mais encore par l’âme et
 77  III,     115|         toutes ses forces, tout son sang, toute son âme, et vous
 78  III,     115|           et il était temps, car le sang afflua aussitôt à mon cœur,
 79  III,     117|           âme de votre mère, par le sang de notre Dieu, par tout
 80  III,     117|           fut aveuglé par la vue du sang.~ ~ ~ ~À son tour, il poussa
 81  III,     117|         doigts de Balsamo.~ ~ ~ ~Le sang jaillit de sa main mutilée.~ ~ ~ ~
 82  III,     117|         parut légère. Cependant, le sang s’en échappait avec abondance.~ ~ ~ ~
 83  III,     117|             d’ici là, il me faut le sang d’un enfant ou d’une vierge ?~ ~ ~ ~
 84  III,     120|           était confondue, mais son sang battait avec impétuosité
 85  III,     120|                    Elle a aperçu du sang sur l’œil du lion.~ ~ ~–
 86  III,     120|      murmura Balsamo.~ ~ ~– Oui, du sang, et cependant elle ne s’
 87  III,     120|             Oh ! c’est étrange ! ce sang n’est pas le sien, c’est
 88  III,     120|            c’est le vôtre.~ ~ ~– Ce sang est le mien ! s’écria Balsamo,
 89  III,     120|              je la vois examiner ce sang, réfléchir, puis appuyer
 90  III,     121|            étaient frémissants, son sang brûlait.~ ~ ~ ~Sa première
 91  III,     121|            se passer devant lui, le sang monta aux yeux de Gilbert
 92   IV,     125|           la dernière goutte de mon sang, au service de Sa Majesté ?
 93   IV,     127|              vous vous aigrissez le sang, vous vous rendez malade.~ ~ ~–
 94   IV,     127|            dernières gouttes de son sang artériel, et en une heure,
 95   IV,     127|          trois dernières gouttes de sang que je t’ai dit.~ ~ ~ ~Balsamo
 96   IV,     127|       économiseras trois gouttes de sang d’un animal immonde et nul
 97   IV,     130|          liqueur vermeille comme du sang.~ ~ ~– Tenez, madame, dit-il,
 98   IV,     131|                  Chapitre CXXXI~ Le sang~ ~Madame du Barry n’avait
 99   IV,     131|         importun de ce battement du sang contre le crâne, bruit fatal,
100   IV,     131|         parquet comme une vapeur de sang.~ ~ ~– De sang ! Ah ! tu
101   IV,     131|            vapeur de sang.~ ~ ~– De sang ! Ah ! tu trouves !… De
102   IV,     131|               Ah ! tu trouves !… De sang ! s’écria Althotas en éclatant
103   IV,     131|     vieillard, maître, vous avez du sang sur vos mains ; maître,
104   IV,     131|           mains ; maître, il y a du sang sur cette table ; maître,
105   IV,     131|           table ; maître, il y a du sang partout, jusque dans vos
106   IV,     131|           étouffe, c’est l’odeur du sang.~ ~ ~– Eh bien, après ?
107   IV,     131|            toi même ?~ ~ ~– Mais du sang humain ! dit Balsamo passant
108   IV,     131|             l’on pût reconnaître le sang de l’homme du sang d’un
109   IV,     131|   reconnaître le sang de l’homme du sang d’un animal quelconque.~ ~ ~–
110   IV,     131|         animal quelconque.~ ~ ~– Le sang de l’homme ! murmura Balsamo.~ ~ ~ ~
111   IV,     131|      couleur pourpre et laqueuse du sang fraîchement répandu.~ ~ ~ ~
112   IV,     131|            épouvanté.~ ~ ~– Oh ! ce sang ! s’écria-t-il ; d’où vient
113   IV,     131|          écria-t-il ; d’où vient ce sang ?~ ~ ~ ~Althotas ne répondait
114   IV,     131|             effleuré par un flot de sang, car des gouttes rouges
115   IV,     131|            Tu le vois bien, dans le sang.~ ~ ~– Dans quel sang ?~ ~ ~–
116   IV,     131|            le sang.~ ~ ~– Dans quel sang ?~ ~ ~– Eh ! parbleu ! dans
117   IV,     131|              Eh ! parbleu ! dans le sang qu’il me fallait pour mon
118   IV,     131|            pour mon élixir, dans le sang que tu me refusais et que
119   IV,     131|          pas, pour votre élixir, le sang d’un enfant ? s’écria Balsamo.
120   IV,     131|        échapper une seule goutte de sang.~ ~ ~ ~Les mains étaient
121   IV,     131|            violettes.~ ~ ~– Oui, du sang, du sang de vierge, les
122   IV,     131|                    Oui, du sang, du sang de vierge, les trois dernières
123   IV,     131|          trois dernières gouttes du sang artériel d’une vierge ;
124   IV,     132|            dans cette chambre où le sang refroidissait après avoir
125   IV,     132|        éclat dans les yeux, plus de sang sous la peau, une expression
126   IV,     132|          lèvres, une large tache de sang sur la batiste si blanche
127   IV,     132|            de dentelles la tache de sang, sans chercher à réparer
128   IV,     134|           arrêter la circulation du sang. Acharat. Reviens donc,
129   IV,     134|      infernales seulement ; plus de sang sous sa peau, plus de geste,
130   IV,     136|             vous m’avez mis tout le sang à l’envers.~ ~ ~– Oh ! sire.~ ~ ~–
131   IV,     141|             dans cette situation le sang eût  y descendre, ses
132   IV,     141|            sensation de joie, et le sang s’est porté au cœur, voilà
133   IV,     141|            regard s’adoucissant, le sang remontant à ses joues, elle
134   IV,     143|             la chaleur précoce d’un sang corrompu, abdiquaient la
135   IV,     144|          vue de quelques gouttes de sang qui tachèrent la mousseline
136   IV,     144|            l’honneur qui demande du sang. Je n’exige plus rien de
137   IV,     145|             celui-ci bondissait, le sang montait à ses paupières
138   IV,     146|           Alors, j’aurai de vous le sang que vous avez dans les veines,
139   IV,     146|                  Comment ?~ ~ ~– Le sang que j’ai, je le garde, et
140   IV,     146|           qu’apparente. J’ai peu de sang au visage, c’est vrai ;
141   IV,     149|             vous le ferez, homme de sang ; reconnaissez partout la
142   IV,     150|           aime pas à voir couler le sang. Mais, enfin, les officiers
143   IV,     150|      honneur ; mais ce n’est pas le sang versé qui rachète…~ ~ ~–
144   IV,     150|             pour répandre un peu de sang ? La chose en vaut-elle
145   IV,     157|           innocente alluma dans mon sang une fièvre de colère et
146   IV,     157|          enfant, c’est ta vie et le sang de tes entrailles ; cet
147   IV,     159|            fixe avait la couleur du sang, la lumière du feu.~ ~ ~ ~
148   IV,     164|        imprégner sous son pied d’un sang tiède ; il perdit tout à
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