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Tome, Chap.
1 II, 68| je me nomme Jean-Paul Marat.~ ~ ~– Merci, monsieur Marat, 2 II, 68| Marat.~ ~ ~– Merci, monsieur Marat, dit Rousseau ; mais, tout 3 II, 68| des représailles.~ ~ ~ ~Marat sourit d’un sourire affreux.~ ~ ~– 4 III, 101| chirurgien, mon compatriote, M. Marat ?~ ~ ~– Oui, monsieur, pour 5 III, 103| ajouta-t-il en se tournant vers Marat, ce frère aura payé son 6 III, 103| Vos livres ! s’écria Marat, ils sont sublimes, d’accord ; 7 III, 103| concorde, le dévouement.~ ~ ~ ~Marat laissa errer sur ses lèvres 8 III, 103| prêter le serment ? dit Marat avec une certaine émotion.~ ~ ~– 9 III, 103| formule, frère vénérable, dit Marat.~ ~ ~ ~Le frère vénérable 10 III, 104| autre que le chirurgien Marat, promu malgré sa jeunesse 11 III, 104| derniers grades, s’écria Marat avec chaleur, l’enverra-t-il 12 III, 104| veillez ! »~ ~– Alors, dit Marat saisissant dans le discours 13 III, 104| Oui, oui, à l’œuvre ! cria Marat.~ ~ ~– Jeune homme, je ne 14 III, 104| Parlez, frère, dit-il à Marat, qui s’agitait par dessus 15 III, 104| Je serai bref, dit Marat ; les essais endorment les 16 III, 104| nos ennemis ? poursuivit Marat ; au-dessus de nous : ils 17 III, 104| continua-t-il en s’adressant à Marat, vous avez pris ces phrases, 18 III, 104| dans votre mansarde.~ ~ ~ ~Marat rougit.~ ~ ~– Savez-vous 19 III, 105| resté près du maître fut Marat, le chirurgien.~ ~ ~ ~Il 20 III, 105| Oh ! maître, dit Marat, vous avez de moi une bien 21 III, 105| En une heure ? dit Marat.~ ~ ~– Oui. Voulez-vous 22 III, 105| mansarde, vous entendez, dit Marat avec une affectation de 23 III, 105| heure. Je dors peu, dit Marat.~ ~ ~– Et moi, je ne dors 24 III, 105| disparut rapidement.~ ~ ~ ~Marat l’imita en tirant à droite 25 III, 105| rue des Cordeliers.~ ~ ~ ~Marat, on le voyait bien, avait 26 III, 105| meubles vermoulus.~ ~ ~ ~Marat lui-même prêtait une aide 27 III, 105| sans frapper, il surprit Marat dans cette occupation.~ ~ ~ ~ 28 III, 105| cette occupation.~ ~ ~ ~Marat, à la vue du maître, rougit 29 III, 105| Mon chapeau, ma canne, dit Marat.~ ~ ~– Allongez la main, 30 III, 105| monsieur, allons.~ ~ ~ ~Marat n’osa point insister et 31 III, 105| l’amphithéâtre, monsieur Marat.~ ~ ~– D’autant plus que 32 III, 105| Holà ! prenez-y garde, dit Marat en souriant ; je pourrai 33 III, 105| Que dites-vous ? demanda Marat.~ ~ ~– Je dis que nous allons 34 III, 105| Balsamo. Entrons.~ ~ ~ ~Marat s’engagea le premier dans 35 III, 105| enveloppes mortelles.~ ~ ~ ~Marat leva et jeta de côté, d’ 36 III, 105| répugne-t-elle pas ? dit Marat avec sa fanfaronnade ordinaire.~ ~ ~– 37 III, 105| Défaut d’habitude, dit Marat. Moi qui vois ce spectacle 38 III, 105| monsieur.~ ~ ~– Et puis, ajouta Marat, pourquoi m’attristerais-je 39 III, 105| mouvement, dit superbement Marat.~ ~ ~– Et l’âme, vous n’ 40 III, 105| surtout n’exagérons pas, dit Marat avec son sourire de vipère. 41 III, 105| que pour les corps, dit Marat avec un rire amer. Et tenez, 42 III, 105| Et insensibles, dit Marat en soulevant la tête de 43 III, 105| donc ! dit Balsamo.~ ~ ~ ~Marat ouvrit sa trousse, en tira 44 III, 105| et de la table à terre. Marat fut obligé de la ressaisir 45 III, 105| triomphateur.~ ~ ~– Un jour, dit Marat, qui croyait prendre le 46 III, 105| utopie toujours ! dit Marat.~ ~ ~– Cette fois, vous 47 III, 105| Maintenant, dit en sortant Marat, je suis sûr au moins que 48 III, 105| hospice. Bientôt, guidé par Marat, qui n’avait pas quitté 49 III, 105| soyez tranquille, répondit Marat avec un sourire faux qui 50 III, 105| ironique pour Balsamo.~ ~ ~ ~Marat vit que Balsamo l’avait 51 III, 105| je viens de faire…, dit Marat tandis que l’on continuait 52 III, 105| isolement ?~ ~ ~– Essayez, dit Marat, l’occasion est belle.~ ~ ~– 53 III, 105| êtes un illustre chef, dit Marat, mais vous n’êtes ni Dieu 54 III, 105| Balsamo jeta sur Marat un inexprimable regard de 55 III, 105| Il se trouve mal, dit Marat.~ ~ ~– Non, monsieur.~ ~ ~– 56 III, 105| passa sur les lèvres de Marat.~ ~ ~– Est-il d’habitude 57 III, 105| Eh ! jeune homme ! cria Marat.~ ~ ~– Oh ! vous n’avez 58 III, 105| chirurgien, dominé comme Marat, comme le malade, comme 59 III, 106| deux étaient fous.~ ~ ~ ~Marat traduisit cette opinion 60 III, 106| sa convalescence.~ ~ ~ ~Marat fut près de partager l’opinion 61 III, 106| demeurait rêveur.~ ~ ~ ~Marat rêvait et réfléchissait.~ ~ ~ ~ 62 III, 106| appelle Havard, répondit Marat.~ ~ ~ ~Balsamo se retourna 63 III, 106| en combien de jours, dit Marat.~ ~ ~– En combien de jours ?~ ~ ~– 64 III, 106| Oui.~ ~ ~– Mais, dit Marat, incapable de travailler 65 III, 106| pourvoira-t-il ? demanda Marat. Pendant que je suis en 66 III, 106| dit froidement Balsamo à Marat, et vous verrez s’il répond.~ ~ ~ ~ 67 III, 106| judicieusement votre élève, M. Marat, comme l’âme a une grande 68 III, 106| chambre voisine, tandis que Marat, anéanti, confondu, mais 69 III, 106| reçu et sortit suivi de Marat.~ ~ ~– Vous oubliez votre 70 III, 106| méritait le nom de loge, Marat, qui n’avait pas oublié 71 III, 106| Non, mon petit ami, dit Marat, tu lui diras qu’elle me 72 III, 106| Bien, monsieur.~ ~ ~ ~Marat et Balsamo avaient continué 73 III, 106| leur chemin.~ ~ ~– Ah ! dit Marat en indiquant une chaise 74 III, 106| Balsamo.~ ~ ~– Oh ! s’écria Marat, comme la science prouve 75 III, 106| fier de vous, maître, dit Marat.~ ~ ~– Et cependant, répliqua 76 III, 106| Ou de l’esprit, dit Marat.~ ~ ~– Nous ne discuterons 77 III, 106| de Dieu.~ ~ ~– Alors, dit Marat, vous niez le libre arbitre ?~ ~ ~– 78 III, 106| homme n’est plus rien, dit Marat, et je ne puis plus dire 79 III, 106| dérobe notre opacité.~ ~ ~ ~Marat tournait et retournait sur 80 III, 106| Ah ! dit ironiquement Marat, vous en arriverez peut-être 81 III, 106| était la femme de ménage de Marat qui était rentrée et qui, 82 III, 107| Chapitre CVII~ La portière de Marat~ ~La porte s’ouvrit et donna 83 III, 107| Ainsi la portière de Marat eût été une belle femme, 84 III, 107| trente ans :~ ~ ~– Monsieur Marat, dit-elle, voici la lettre 85 III, 107| que je voulais voir, dit Marat.~ ~ ~– Eh bien, votre servante, 86 III, 107| votre servante, monsieur Marat, me voici.~ ~ ~ ~Dame Grivette 87 III, 107| nouvelles de ma montre, dit Marat ; vous vous en doutez bien.~ ~ ~– 88 III, 107| cheminée, celui sous lequel Marat avait caché sa montre.~ ~ ~– 89 III, 107| aviez pas mise là, monsieur Marat ?~ ~ ~– Mais, lorsque je 90 III, 107| Oh ! j’ai cherché, dit Marat avec un regard courroucé.~ ~ ~– 91 III, 107| Prétexte ! prétexte ! s’écria Marat s’emportant de plus en plus ; 92 III, 107| dirai une chose, monsieur Marat, à mon tour.~ ~ ~– Laquelle ?~ ~ ~– 93 III, 107| pas sur parole, monsieur Marat ; c’est que vous n’êtes 94 III, 107| plus que nous, monsieur Marat.~ ~ ~ ~Balsamo, calme comme 95 III, 107| quoique la conviction de Marat n’eût point changé, il baissait 96 III, 107| encore tout à l’heure.~ ~ ~ ~Marat se mordit les lèvres. Il 97 III, 107| chez sa femme.~ ~ ~ ~Or, Marat, ayant des fréquentations 98 III, 107| fréquentations mystérieuses ; Marat, jeune homme assez peu rangé ; 99 III, 107| homme assez peu rangé ; Marat, un peu caché ; Marat, un 100 III, 107| Marat, un peu caché ; Marat, un peu suspect aux gens 101 III, 107| papiers des jeunes gens comme Marat, et à envoyer les auteurs 102 III, 107| Charenton et Bicêtre.~ ~ ~ ~Marat baissa donc le ton ; mais, 103 III, 107| tout entière, un mot que Marat ne put entendre.~ ~ ~ ~Aussitôt, 104 III, 107| fièvre.~ ~ ~– Oh ! oh ! dit Marat, comme le blessé de l’hôpital !~ ~ ~– 105 III, 107| Puis, s’adressant à Marat :~ ~ ~– Monsieur, dit-il, 106 III, 107| lorsqu’elle est tombée.~ ~ ~ ~Marat obéit.~ ~ ~– Eh bien ? demanda-t-il.~ ~ ~– 107 III, 107| prenant la lettre des mains de Marat :~ ~ ~– Savez-vous de qui 108 III, 107| Lisez-la pour M. Marat, qui désire savoir ce qu’ 109 III, 107| Elle ne sait pas, dit Marat.~ ~ ~– Oui ; mais vous savez 110 III, 107| dans votre esprit.~ ~ ~ ~Marat se mit à décacheter la lettre 111 III, 107| au fur et à mesure que Marat les lisait lui-même, les 112 III, 107| ce qui était écrit.~ ~ ~ ~Marat laissa tomber le papier.~ ~ ~– 113 III, 107| Et une âme étrange, dit Marat, une âme qui sait lire quand 114 III, 107| ombre, et vous verrez.~ ~ ~ ~Marat restait sans parole ; toute 115 III, 107| qui a pris la montre de M. Marat ?~ ~ ~ ~La somnambule fit 116 III, 107| Qui a pris la montre de M. Marat ? Dites.~ ~ ~– Dame Grivette 117 III, 107| pas volé la montre de M. Marat. Pourquoi M. Marat croit-il 118 III, 107| de M. Marat. Pourquoi M. Marat croit-il que c’est dame 119 III, 107| ignore.~ ~ ~– Vous voyez, dit Marat, la conscience est un refuge 120 III, 107| Allons, allons, dit Marat, n’exigez pas l’impossible.~ ~ ~– 121 III, 107| tomber en épilepsie, dit Marat.~ ~ ~– Ne craignez rien, 122 III, 107| Son amant.~ ~ ~ ~Marat poussa un cri d’étonnement.~ ~ ~– 123 III, 107| Balsamo jeta un regard sur Marat, qui, la bouche béante, 124 III, 107| ambition, étudiez, monsieur Marat ; parlez peu, pensez beaucoup, 125 III, 107| rougeur de la honte.~ ~ ~ ~Marat ne songea même point à prendre 126 III, 107| lui parut épouvantable. Marat eût préféré avoir un cadavre 127 III, 107| Venez avec moi, monsieur Marat.~ ~ ~– Où cela ?~ ~ ~– Rue 128 III, 107| de vous y conduire.~ ~ ~ ~Marat, qui était tombé sur une 129 III, 107| peine les marches.~ ~ ~ ~Marat la suivit, craignant qu’ 130 III, 107| Elle heurta à la porte ; Marat sentait son cœur battre 131 III, 107| ouvrit : dans cet homme Marat reconnut un ouvrier de vingt-cinq 132 III, 107| dame Grivette suivie de Marat, il recula.~ ~ ~ ~Mais la 133 III, 107| montre, qu’elle remit à Marat, tandis que le cordonnier 134 III, 107| eut-elle touché la main de Marat en lui remettant la montre, 135 III, 107| se trouvant en face de Marat, la main dans sa main, et 136 III, 107| existerait-elle réellement ? se dit Marat en sortant de la chambre, 137 III, 108| ses œuvres~ ~Tandis que Marat passait des heures si bien 138 IV, Epi| vieillard. Adieu, monsieur Marat…~ ~ ~ ~FIN.~ ~