Tome,  Chap.

  1    I,   IntII|          suivantes :~ ~ « Au nom du Fils crucifié, jurez de briser
  2    I,   IntII|            Vivez au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. »~ ~ ~
  3    I,  IntIII|            moi et me dit :~ ~ – Mon fils, il y a vingt ans que votre
  4    I,  IntIII|       contribution personnelle. Les fils de notre république sont
  5    I,  IntIII|   continua-t-il, vous êtes le digne fils de votre aïeul. Recommandez-moi
  6    I,       2|            pendant au plafond à des fils, des paquets d’herbes qui
  7    I,       2|         cheveux brillants comme des fils d’argent, retirant de dessous
  8    I,       4|             chose.~ ~ ~– Je suis le fils d’un ancien métayer du baron ;
  9    I,       6|          lettre pour lettre par mon fils ?~ ~ ~– Vous avez un fils,
 10    I,       6|           fils ?~ ~ ~– Vous avez un fils, mon cher hôte ? demanda
 11    I,       6|         maréchal fait avancer votre fils ?~ ~ ~– Mon fils, lui !
 12    I,       6|      avancer votre fils ?~ ~ ~– Mon fils, lui ! il l’a en horreur.~ ~ ~–
 13    I,       6|            l’a en horreur.~ ~ ~– Le fils de son ami ?~ ~ ~– Et il
 14    I,       6|                   S’il exècre votre fils, et s’il a raison de l’exécrer
 15    I,       6|       avaient des âmes, – comme mon fils prétend que les nègres en
 16    I,       8|               lui, Gilbert, lui, le fils d’un métayer et d’une paysanne,
 17    I,      11|       Gilbert, le petit Gilbert, le fils de ma nourrice ?~ ~ ~– Lui-même,
 18    I,      11|           le paye pas.~ ~ ~– Il est fils de nos anciens métayers ;
 19    I,      12|         connais, c’est celui de mon fils.~ ~ ~– Je vous jure, monsieur
 20    I,      12|         conduite par monsieur votre fils.~ ~ ~– Par Philippe ?~ ~ ~–
 21    I,      12|            dit-il, conduite par mon fils… Vous dites que cette personne
 22    I,      12|       personne est conduite par mon fils ?~ ~ ~– Oui, baron.~ ~ ~–
 23    I,      12|             le connaissez donc, mon fils ?~ ~ ~– Pas le moins du
 24    I,      12|        moins du monde.~ ~ ~– Et mon fils est en ce moment ?…~ ~–
 25    I,      12|              Mon cher monsieur, mon fils est à Strasbourg, où il
 26    I,      12|            dans tout cela c’est mon fils qui me réjouit le plus.
 27    I,      12|           par hasard monsieur votre fils, cher baron ? demanda négligemment
 28    I,      12|          laisse avec monsieur votre fils ; il y a longtemps que vous
 29    I,      14|         cette nuit à monsieur votre fils, lequel était encore près
 30    I,      14|             Altesse et celle de mon fils.~ ~ ~– Voilà une heure ?
 31    I,      14|         était resté debout avec son fils et sa fille pour servir
 32    I,      15|         Alors, ce ne seront pas des fils ?~ ~ ~– Il y aura des fils
 33    I,      15|          fils ?~ ~ ~– Il y aura des fils parmi les enfants que vous
 34    I,      16|            Ce Français, c’est votre fils… Mais il ne sera point dit
 35    I,      16|           elle ; le père donnera au fils des conseils de loyauté,
 36    I,      26|            la parole de son auguste fils que dans la mienne.~ ~ ~–
 37    I,      27|             Votre Majesté marie son fils ! Autrefois, lorsque la
 38    I,      27|          une fille de César chez un fils de saint Louis. Le clergé
 39    I,      29|      fortune digne de son nom à son fils, jeune homme tout provincial
 40    I,      30|              ou plutôt celle de mon fils, est intéressée dans le
 41    I,      31|           mari est chambellan ; son fils passe aux gardes avec promesse
 42    I,      31|             son procès, M. de Béarn fils avait une lieutenance dans
 43    I,      31|         leur victime.~ ~ ~– J’ai un fils, dit-elle.~ ~ ~– Tant mieux !
 44    I,      31|         donc quelque chose pour mon fils, madame, vous le croyez ?~ ~ ~–
 45    I,      35|             de Béarn que jamais son fils ne sera qu’un hobereau,
 46    I,      35|       madame. Après ?~ ~ ~– J’ai un fils que j’aime tendrement, madame.
 47    I,      35|     compagnie sur-le-champ pour mon fils, avec un brevet de colonel
 48    I,      35|               Mais le brevet de mon fils ?~ ~ ~– Sa Majesté vous
 49    I,      36|             avec M. de Malesherbes, fils de l’ex-chancelier, tandis
 50   II,      40|          les romans de M. Crébillon fils.~ ~ ~ ~Mais le prince indien,
 51   II,      43|           que tout homme, fût-il le fils d’un prince, doit apprendre
 52   II,      43|             de n’avoir pas fait son fils menuisier.~ ~ ~– Et qu’en
 53   II,      43|            mais vous qui n’êtes pas fils de noble, vous savez un
 54   II,      45|             par la vibration de ses fils d’acier éveillés par le
 55   II,      50|          comme l’est la mienne a un fils et une fille, on sacrifie
 56   II,      50|        fille pour acheter l’épée du fils. Chez nous, on sacrifie
 57   II,      50|            la fille pour pousser le fils dans les ordres. Or, je
 58   II,      53|            y avoir entre elle et le fils de sa nourrice aucun point
 59   II,      53|             Le baron passa avec son fils et sa fille. Beaucoup d’
 60   II,      53|            pas, quand le baron, son fils et sa fille seraient rentrés
 61   II,      53|              Il en passait quelques fils ; à l’aide de ces fils,
 62   II,      53|     quelques fils ; à l’aide de ces fils, il attira le tout à lui :
 63   II,      54|       connaissez ?~ ~ ~– Je suis le fils de sa nourrice.~ ~ ~– Alors,
 64   II,      54|   tiendrais-je pas dans ma main les fils de la conspiration ?~ ~ ~ ~
 65   II,      54|             Assez sur ce sujet, mon fils, dit Rousseau. Si vous êtes
 66   II,      60|            se relever. Vois-tu, mon fils, le corps humain a des os
 67   II,      64|             de M. le grand dauphin, fils de Louis XIV, le roi se
 68   II,      65|           encouragement à son petit fils, lorsqu’un fracas qu’on
 69   II,      68|           que cherchez-vous ? votre fils ? demanda timidement Philippe.~ ~ ~–
 70   II,      69|        suffisamment rassuré sur son fils et sur sa fille, il dormait
 71   II,      73|           régiment qu’on donnera au fils aîné de ma race ; d’une
 72   II,      77|         quarante ans.~ ~ ~– Il a un fils ?~ ~ ~– Et une fille.~ ~ ~–
 73  III,      89|          mon grand ami.~ ~ ~– Votre fils, dit Richelieu, c’est ce
 74  III,      89|   examinerai-je les titres de votre fils, ni plus ni moins que ceux
 75  III,      89|          autres peut-être… Si votre fils, M. Philippe de Taverney,
 76  III,      90|            Jean, c’est plutôt votre fils que M. de Fronsac…~ ~ ~–
 77  III,      92|             de Votre Majesté, a son fils dans les gendarmes. Le jeune
 78  III,      93|           que le roi a donnée à ton fils… Que diable aussi, comprends
 79  III,      93|        autres idées… Revenons à ton fils, c’est un charmant garçon.~ ~ ~–
 80  III,      93|          pour ne pas déplaire à mon fils ?~ ~ ~– Si je te le disais,
 81  III,      93| commençaient par l’exclusion de ton fils, eussent abouti à des énormités
 82  III,      93|              tu rends service à mon fils un peu pour piquer les du
 83  III,      93|             est pas en défaut ; ton fils me sert de grenade, j’incendie
 84  III,      98|        comme dit M. de Crébillon le fils. Eh bien, monsieur le maréchal,
 85  III,     104|          terrible :~ ~ ~« Au nom du Fils crucifié, je jure de briser
 86  III,     104|         mais le roi Charles II, son fils, est mort sur le trône.~ ~ ~«
 87  III,     104|               ce qui est arrivé aux fils de Philippe le Bel : Louis
 88  III,     104|            qui est arrivé aux trois fils de Henri II : François II,
 89  III,     105|            Dieu le père, ni Dieu le fils, et vous n’empêcherez pas
 90  III,     111|            Trianon ?~ ~ ~– Non, mon fils ; je le disais à l’instant
 91  III,     113|            en honorant son titre de Fils aîné de l’Église, ne pousse
 92  III,     122|           rapide que fût Djérid, ce fils hennissant du désert, Djérid
 93   IV,     127|          eus pour son maître, qu’un fils dévoué aurait eus pour son
 94   IV,     132|            de ces sourires qui sont fils d’une douleur infinie et
 95   IV,     135|          lettre ?~ ~ ~– Oui, de mon fils.~ ~ ~– Ah ! le colonel.~ ~ ~–
 96   IV,     135|           mieux pour moi ; mais mon fils ne peut briser là, lui !
 97   IV,     135|                 À qui ?~ ~ ~– À mon fils. Et cette promesse…~ ~ ~–
 98   IV,     136|         moelleusement Richelieu, du fils de l’un, sire, et du frère
 99   IV,     139|             le troisième ?~ ~ ~– Le fils… Or, Sa Majesté a daigné
100   IV,     139|          une pimbêche ; et quant au fils, Sa Majesté ne l’a pas nommé
101   IV,     139|                Et vous dites que ce fils, à qui le roi avait promis
102   IV,     143|           leur croyance à son divin Fils.~ ~ ~ ~Ce fut à cette période
103   IV,     150|          Chapitre CL~ Le père et le fils~ ~Lorsque Philippe revint
104   IV,     150|                Le baron regarda son fils, obéit à son geste muet,
105   IV,     150|            ai là ! s’écria-t-il. Le fils abandonne l’espoir d’un
106   IV,     150|       implacable et menaçant de son fils.~ ~ ~– Je disais, reprit-il,
107   IV,     150|         manqué de cœur devant votre fils.~ ~ ~– Insolent !~ ~ ~–
108   IV,     150|         jaillissait des yeux de son fils.~ ~ ~– Ma fille, reprit-il
109   IV,     151|          celui-là est peut-être ton fils abandonné, que la faim a
110   IV,     151|           non pas M. de Taverney le fils, mais le baron de Taverney,
111   IV,     152|           de paille et de foin, des fils de la paillasse jonchant
112   IV,     154|           Gilbert aura son enfant ! fils noble par sa mère… Mon enfant !…
113   IV,     157|           sœur a donné le jour à un fils, dit-il.~ ~ ~ ~Philippe
114   IV,     157|           sœur a donné le jour à un fils, mais ce fils a perdu sa
115   IV,     157|             jour à un fils, mais ce fils a perdu sa mère… » Voyez,
116   IV,     159|            audit tabellion comme le fils de l’intendant d’un grand
117   IV,     159|            la nourrice de ses trois fils, laquelle, après s’être
118   IV,     159|     Madeleine Pitou, jouissait d’un fils de quatre ans, lequel présentait
119   IV,     159|         neufs, pour ressembler à un fils d’intendant de bonne maison
120   IV,     159|            premiers vagissements du fils qui lui était né.~ ~ ~ ~
121   IV,     160|              L’enfant que voici est fils d’un fermier de mon maître…
122   IV,     160|          regardant le visage de son fils, il s’aperçut qu’il ressemblait
123   IV,     162|           consacrerai uniquement au fils que Dieu m’a donné. Telle
124   IV,     162|          mon esprit. Vivre pour mon fils, vivre de privations, travailler
125   IV,     162|     réfugier près du berceau de mon fils.~ ~ ~ ~Le docteur s’approcha.~ ~ ~–
126   IV,     162|           mère d’aimer vivement son fils, je crois, docteur ?~ ~ ~–
127   IV,     162|             je ne quitterai pas mon fils.~ ~ ~– Tant qu’il aura besoin
128   IV,     162|            le Point-du-Jour, où ton fils est en nourrice.~ ~ ~– Oui…
129   IV,     163|          nouvelle de la mort de son fils eût tué Andrée peut-être.
130   IV,     163|            il doit ressembler à mon fils : gardez-le, docteur, pour
131   IV,     163|             tu retrouves jamais mon fils, dit Andrée tout bas, ne
132   IV,     163|              déjà vieux, avait deux fils avec lui. Tels étaient les
133   IV,     164|             enfant.~ ~ ~– C’est mon fils ! il est à moi ! On ne vole
134   IV,     164|             un mot… Andrée aime son fils… ton fils avec frénésie ;
135   IV,     164|           Andrée aime son fils… ton fils avec frénésie ; elle se
136  Bib         |          sous le titre suivant : Le Fils du Forçat~ ~ ~ ~176. Docteur