Tome,  Chap.

  1    I,    IntI|            sourire de doute sur les lèvres du voyageur, aujourd’hui
  2    I,    IntI|            ses joues pleines et ses lèvres ciselées à fines arêtes.~ ~ ~ ~
  3    I,   IntII|           coupe à la hauteur de ses lèvres, il la vida jusqu’à la dernière
  4    I,   IntII|            Un sourire passa sur les lèvres du récipiendaire qui tira
  5    I,   IntII|           dédain se dessina sur les lèvres de l’étranger.~ ~ ~– Vous
  6    I,  IntIII|         regard, il fait sourire ses lèvres ; tous ces mouvements musculaires
  7    I,       6|              à la crispation de ses lèvres, que la jeune fille n’était
  8    I,       8|             seulement vu remuer des lèvres et s’agiter des bras. Comment,
  9    I,       8|             approcher seulement mes lèvres de sa main. Allons ! Gilbert,
 10    I,       8|            il allait toucher de ses lèvres le bas de la robe ou le
 11    I,       8|           main d’Andrée jusqu’à ses lèvres, et y imprima un long et
 12    I,       9| expérimentateur. L’écume vint à ses lèvres, comme autrefois à celles
 13    I,      11|          ses yeux à sa bouche ; ses lèvres n’avaient point pâli et
 14    I,      12|         triomphe se dessina sur les lèvres de l’étranger.~ ~ ~ ~Le
 15    I,      13|               Le baron allongea les lèvres en homme qui doute que l’
 16    I,      15|      Marie-Antoinette se mordit les lèvres en pâlissant.~ ~ ~– Maintenant,
 17    I,      15|          sourire se dessina sur ses lèvres.~ ~ ~– C’est bien ce que
 18    I,      16|             agenouiller, et sur les lèvres duquel l’émotion fit expirer
 19    I,      16|            triste qui passa sur les lèvres d’Andrée et de Philippe,
 20    I,      18|                Nicole se mordit les lèvres. Elle avait une fenêtre
 21    I,      23|           gris et la raideur de ses lèvres minces par un sourire du
 22    I,      24|             œil gai, le sourire aux lèvres.~ ~ ~ ~On voyait sur son
 23    I,      24|           souriant et se mordit les lèvres à la fois.~ ~ ~– Oh ! vous
 24    I,      24|             Louis XV allongeant les lèvres en homme qui voit passer
 25    I,      26|                Le roi se mordit les lèvres et changea de couleur ;
 26    I,      28|         Adélaïde, en allongeant les lèvres de deux façons différentes.~ ~ ~–
 27    I,      28|       Madame Adélaïde se mordit les lèvres.~ ~ ~– Mais, ajouta-t-elle,
 28    I,      28|                 Le roi se pinça les lèvres.~ ~ ~– Ah ! vous croyez ?
 29    I,      31|            démesurément ses grosses lèvres ; bonsoir, maîtresse Chon !~ ~ ~ ~
 30    I,      33|          rose, près de laquelle ses lèvres semblaient de corail.~ ~ ~–
 31    I,      35|             La vieille allongea les lèvres et fit cracher sa plume.~ ~ ~–
 32    I,      36|           Mesdames se mordaient les lèvres avec dépit.~ ~ ~– Oh ! impossible !
 33    I,      38|           vue un seul mouvement des lèvres de la comtesse, et qui avait,
 34    I,      39|          sourire se dessina sur ses lèvres blêmissantes.~ ~ ~– Votre
 35   II,      41|                Gilbert se pinça les lèvres.~ ~ ~– Bref, ces Taverney
 36   II,      41|             qui a ri de ses grosses lèvres et de sa couleur lui fera
 37   II,      41|           armes. Elle se mordit les lèvres à son tour.~ ~ ~– Ainsi,
 38   II,      50|           dans ses bras et posa ses lèvres sur les miennes.~ ~ ~« Le
 39   II,      50|           joint devant Dieu, et des lèvres et du cœur à la fois je
 40   II,      51|          passa un miroir devant mes lèvres et, reconnaissant que mes
 41   II,      53|         terrible se dessina sur les lèvres de Gilbert, qui laissa mourir
 42   II,      53|            dauphine avait senti ses lèvres blêmir et trembler ; mais,
 43   II,      53|             à-propos tombait de ses lèvres et faisait la joie de ceux
 44   II,      54|   philosophe et l’appuya contre ses lèvres ; il n’en eût certes pas
 45   II,      55|             qui, les doigts sur les lèvres, semblait recommander le
 46   II,      55|      Balsamo sourit et approcha ses lèvres de celles de Lorenza, dont
 47   II,      56|         pâle sourire effleurait ses lèvres :~ ~ ~– Oui, je le vois,
 48   II,      56|          appuyant sur son front des lèvres ardentes qui multipliaient
 49   II,      56|            que je te brûle avec mes lèvres, que tu fuis devant mes
 50   II,      56|             par l’aimant.~ ~ ~ ~Ses lèvres allaient toucher les lèvres
 51   II,      56|         lèvres allaient toucher les lèvres de la jeune femme !~ ~ ~ ~
 52   II,      56|             ardent qui écartait les lèvres desséchées de Lorenza s’
 53   II,      57|            sur sa physionomie ; ses lèvres pâlirent, la sueur perla
 54   II,      57|            bien plus encore que des lèvres, un seul mot pour l’arrêter
 55   II,      57|             alors il déposa sur ses lèvres un long baiser, tira les
 56   II,      60|       paroles s’éteignaient sur ses lèvres, quand trois coups secs,
 57   II,      60|           quelque temps à venir aux lèvres de la plaie ; mais enfin
 58   II,      62|            mains ! quels yeux ! des lèvres à damner saint Antoine ;
 59   II,      67|           poussa un cri, appuya ses lèvres sur la robe d’abord, sur
 60   II,      67|          que la force de coller ses lèvres au bras pendant de la jeune
 61   II,      70|       trembla, le sang revint à ses lèvres et il tomba lourdement sur
 62   II,      76|             qui, le sourire sur les lèvres, faisaient signe à M. de
 63   II,      77|          imperceptible effleura les lèvres de la jeune femme ; mais
 64   II,      79|                Le duc se mordit les lèvres.~ ~ ~– Il y a un casus belli
 65  III,      82|        trois autres gouttes sur les lèvres : le sang s’arrête, la respiration
 66  III,      83|             si belle, et appuya ses lèvres sur ce beau front.~ ~ ~ ~
 67  III,      83|             si un souffle sorti des lèvres de l’Amour même avait écarté
 68  III,      87|        effleurât chaque nuit de ses lèvres la couronne de France, elle
 69  III,      87|            Richelieu se mordait les lèvres en se disant tout bas :~ ~ ~–
 70  III,      89|             avec un sourire sur les lèvres.~ ~ ~– Ah ! monsieur de
 71  III,      91|           réparation effleurait ses lèvres.~ ~ ~ ~Gilbert non plus
 72  III,      94|         dit-il avec un mouvement de lèvres des plus significatifs.~ ~ ~–
 73  III,      96|            d’Aiguillon se pinça les lèvres et fit bonne retraite.~ ~ ~ ~
 74  III,      99|                Le duc se mordit les lèvres.~ ~ ~– Vous irez à Luciennes ?
 75  III,     100|            d’Aiguillon se pinça les lèvres, salua madame du Barry et
 76  III,     101|      noblesse en eut le sourire aux lèvres et que les parlementaires
 77  III,     101|     éloquentes.~ ~ ~ ~La pâleur des lèvres pincées de la dauphine lui
 78  III,     101|             son allié se mordit les lèvres et pâlit de voir durer ce
 79  III,     102|          doigt qu’il appuya sur ses lèvres.~ ~ ~ ~Aussitôt l’homme
 80  III,     103|       Beaucoup ne remuaient pas les lèvres. À peine si trois ou quatre
 81  III,     103|          Marat laissa errer sur ses lèvres un sourire de dédain.~ ~ ~–
 82  III,     104|       flatteur s’exhala de quelques lèvres.~ ~ ~– Où sont nos ennemis ?
 83  III,     105|           avez en ce moment sur les lèvres un mot que Molière a mis
 84  III,     105|           incrédulité passa sur les lèvres de Marat.~ ~ ~– Est-il d’
 85  III,     107|                 Marat se mordit les lèvres. Il savait qu’il y avait
 86  III,     107|        prononçant, non pas avec les lèvres, mais avec ses yeux, avec
 87  III,     107|         écume rougeâtre frangea ses lèvres.~ ~ ~– Elle va tomber en
 88  III,     108|               Rousseau se pinça les lèvres.~ ~ ~– C’est beaucoup d’
 89  III,     111|             et mit un doigt sur ses lèvres.~ ~ ~ ~Taverney pâlit de
 90  III,     113|            baron avait déjà sur ses lèvres et dans son sourire.~ ~ ~–
 91  III,     113|            dît trop, se pinçait les lèvres et composait scrupuleusement
 92  III,     114|           sanglot monta jusqu’à ses lèvres et des flots de larmes obscurcirent
 93  III,     115|         robe, que j’appuyai sur mes lèvres, et il était temps, car
 94  III,     117|             deux mains, étancha ses lèvres humides d’amour, et, fouillant
 95  III,     118|           Le maréchal se mordit les lèvres.~ ~ ~– Et moi, Nicole, reprit-il,
 96  III,     118|         mordit une seconde fois les lèvres, mais plus fort cette fois
 97  III,     120|           Tout à coup, et comme ses lèvres allaient toucher la liqueur,
 98  III,     121|       flamme tremblante. Voyant ces lèvres violettes, ces yeux noyés
 99  III,     121|      sourire qui se dessina sur ses lèvres.~ ~ ~– Andrée ! Andrée !
100  III,     122|          flottante, aspirait de ses lèvres entrouvertes l’air, l’air
101  III,     123|          qui, les yeux étonnés, les lèvres immobiles, semblait morte
102   IV,     124|           un petit homme mince, aux lèvres pincées, aux sourcils froncés
103   IV,     125|            main blanche et posa ses lèvres où s’étaient tant de fois
104   IV,     125|             tant de fois posées les lèvres royales.~ ~ ~ ~Dans ce mouvement,
105   IV,     128|       parfumée à deux doigts de ses lèvres.~ ~ ~– Oh ! non, non ! s’
106   IV,     128|           dit-elle tout bas, de ses lèvres humides et brillantes comme
107   IV,     129|          dans un dernier baiser ses lèvres contre les lèvres de Balsamo,
108   IV,     129|        baiser ses lèvres contre les lèvres de Balsamo, et s’en alla
109   IV,     129|          cou, mais n’osa baiser ses lèvres.~ ~ ~ ~Deux autres coups
110   IV,     131|             sourire épanoui sur ses lèvres égayait l’expression, ses
111   IV,     131|            une fois la fiole de ses lèvres.~ ~ ~ ~Balsamo laissa tomber
112   IV,     132|        sourire mortel passa sur ses lèvres.~ ~ ~ ~En effet, il avait
113   IV,     132|             sanglante frangeant ses lèvres, une large tache de sang
114   IV,     139|             du Barry en pinçant ses lèvres avec une impatience que
115   IV,     139|             chocolat du bout de ses lèvres, c’est ce que je me demandais
116   IV,     141|          est qu’aussi…~ ~ ~ ~Et les lèvres d’Andrée blêmirent et sa
117   IV,     142|           mourait en sortant de ses lèvres ; mais enfin la science
118   IV,     143|          douleur son mouchoir à ses lèvres.~ ~ ~ ~Philippe, tout occupé
119   IV,     144|          poing, l’œil sanglant, les lèvres tremblantes.~ ~ ~– Misérable !
120   IV,     146|     tristesse mortelle effleura ses lèvres pâles.~ ~ ~– Monsieur, dit-il,
121   IV,     146|         avait déjà vu errer sur ses lèvres.~ ~ ~– Moi, monsieur, continua
122   IV,     148|            J’allais le porter à mes lèvres, mais… en ce moment…~ ~ ~–
123   IV,     150|             une main tremblante ses lèvres blanches et humides.~ ~ ~–
124   IV,     150|              le frémissement de ses lèvres ; Philippe même ne les remarqua
125   IV,     151|             même oser approcher mes lèvres du bas de sa robe.~ ~ ~–
126   IV,     153|           perron pour appliquer ses lèvres sur le bouton de cuivre
127   IV,     153|      franges de ses paupières ; ses lèvres s’amincirent, pâlissantes,
128   IV,     156|       gonflé, palpitant, y posa ses lèvres.~ ~ ~– Cette demande ! voyons,
129   IV,     157|           monter le blasphème à mes lèvres, jusque-là si pures. Philippe,
130   IV,     157|             plainte s’exhala de ses lèvres violacées.~ ~ ~– Cette douleur,
131   IV,     157|            énergiquement, colla ses lèvres sur la joue froide du jeune