Tome,  Chap.

  1    I,       1|              frivole et railleur, une vieille médisante et curieuse, on
  2    I,      13|         dauphine en s’adressant à une vieille dame que j’ai su depuis
  3    I,      13|             votre maison est neuve ou vieille, pauvre ou riche. Soyez
  4    I,      15|          tochter3, dit en allemand la vieille dame à Marie-Antoinette.~ ~ ~–
  5    I,      15|           résistant aux efforts de sa vieille tutrice, allons, qu’il parle.
  6    I,      16|                     Andrée obéit ; la vieille dame d’honneur s’avança
  7    I,      18|          attirail de son bagage : une vieille épée qu’il portait à Fontenoy,
  8    I,      19|              son enveloppe, qui était vieille et macérée, puis la toile
  9    I,      21|         nommait Jean. Eh bien ! notre vieille comtesse de Béarn ?~ ~ ~–
 10    I,      21|              arrive là-bas !~ ~ ~– La vieille plaideuse ? Bah ! pourvu
 11    I,      29|             il cherchait, c’était une vieille plaideuse et un vieux procès.~ ~ ~ ~
 12    I,      29|             un vieux procès.~ ~ ~ ~La vieille plaideuse était la comtesse
 13    I,      29|             était bien réellement une vieille plaideuse fort semblable
 14    I,      29|             trouvait être un habit de vieille en 1770.~ ~ ~ ~Amples guipures,
 15    I,      29|               de son avocat.~ ~ ~ ~La vieille comtesse le portait – on
 16    I,      29|              qui ne déplut point à la vieille, fatiguée par la rapidité
 17    I,      29|              sur un plateau ; mais la vieille dame n’avait plus soif ;
 18    I,      29|                     Alors, s’écria la vieille dame en se levant, alors
 19    I,      29|               de l’escalier.~ ~ ~ ~La vieille comtesse, grondant et maugréant,
 20    I,      29|              cabinet, voilà ce que la vieille comtesse avait fait, avant
 21    I,      29|                  Eh bien ! s’écria la vieille dame, qu’est-ce qu’on dit
 22    I,      29|          Monsieur Flageot, s’écria la vieille dame, ne vous compromettez
 23    I,      29|              que de toi !~ ~ ~ ~Et la vieille comtesse quitta maître Flageot
 24    I,      30|            Chapitre XXX~ Le Vice~ ~La vieille comtesse tremblait de tous
 25    I,      30|               soyez béni ! s’écria la vieille comtesse.~ ~ ~– J’examine
 26    I,      30|               demanda en tremblant la vieille comtesse, qu’en pensez-vous,
 27    I,      30|             étonna de plus en plus la vieille plaideuse, tant il avait
 28    I,      30|        surtout.~ ~ ~– Je suis de trop vieille maison pour lui plaire,
 29    I,      30|                  Vous croyez ? dit la vieille comtesse déjà chancelante
 30    I,      30|    dégradation, mon Dieu ! s’écria la vieille comtesse ; mais la monarchie
 31    I,      30|             décidément, dit la pauvre vieille plaideuse, brisée par toutes
 32    I,      30|               sans donner à la pauvre vieille le temps de se remettre
 33    I,      30|           chancelier en présentant la vieille dame à M. le vicomte Jean
 34    I,      30|      Monseigneur, monseigneur, dit la vieille dame en portant les mains
 35    I,      30|       monsieur le vicomte, s’écria la vieille dame, cette offre est-elle
 36    I,      30|               reste, prenez garde, la vieille est fine.~ ~ ~ ~En ce moment
 37    I,      30|            dit le vicomte laissant la vieille dame dans un salon d’attente,
 38    I,      31|          perdu, n’est-ce pas ? fit la vieille plaideuse avec angoisse.~ ~ ~–
 39    I,      31|               le vicomte ? s’écria la vieille.~ ~ ~– Je le crois, répondit
 40    I,      31|               je le sais bien, dit la vieille, et voilà justement ce qui
 41    I,      31|         êtes-vous mon juge s’écria la vieille comtesse.~ ~ ~– Autrefois,
 42    I,      31|       présentation.~ ~ ~– Ah ! fit la vieille plaideuse.~ ~ ~– Car vous
 43    I,      31|             Oui, je comprends, dit la vieille plaideuse. Sa Majesté disait
 44    I,      31|          piqué peut-être ? demanda la vieille plaideuse avec sollicitude.~ ~ ~–
 45    I,      31|         ressources que vous.~ ~ ~ ~La vieille comtesse attendait avec
 46    I,      31|               faire fortune.~ ~ ~ ~La vieille frissonna. Cette fois l’
 47    I,      31|             Oh ! monsieur, s’écria la vieille avec un serrement de cœur
 48    I,      31| reconnaissance, monsieur ! s’écria la vieille.~ ~ ~– Oh ! bien gratuitement,
 49    I,      31|          services à madame, reprit la vieille plaideuse se décidant de
 50    I,      31|            plus grand sérieux, dit la vieille comtesse, toute pâle de
 51    I,      31|             si précieuse, répondit la vieille dame en commençant ses révérences,
 52    I,      31|              la comtesse ? demanda la vieille plaideuse.~ ~ ~– Demain
 53    I,      31|               point, monsieur, dit la vieille dame ; demeurez, je vous
 54    I,      31|           dans le vestibule.~ ~ ~ ~La vieille, sans paraître avoir rien
 55    I,      34|                     N’attendez pas la vieille scélérate ; elle prétend
 56    I,      34|             cela, Sartine.~ ~ ~– À la vieille comtesse, sire ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~–
 57    I,      35|      Saint-Germain-des-Prés.~ ~ ~– La vieille nous berne donc ? dit madame
 58    I,      35|             voulait pas s’ouvrir ; la vieille comtesse était réellement
 59    I,      35|            Quel guignon ! continua la vieille de sa voix dolente, ce sera
 60    I,      35|              une voiture n’avertît la vieille rusée, aux aguets sans doute,
 61    I,      35|                 Qui donc ? demanda la vieille plaideuse du fond de sa
 62    I,      35|               épouvantable !~ ~ ~ ~La vieille poussa un soupir.~ ~ ~–
 63    I,      35|          Barry, qui voyait combien la vieille était gourmée, je voulais
 64    I,      35|        Flageot.~ ~ ~– Ah ! s’écria la vieille plaideuse avec une aigreur
 65    I,      35|           vous me serviriez.~ ~ ~ ~La vieille femme fronça son épais sourcil
 66    I,      35|            degré de gravité.~ ~ ~ ~La vieille se récria.~ ~ ~– Oh ! non,
 67    I,      35|             sur un fauteuil.~ ~ ~ ~La vieille poussa un effroyable cri
 68    I,      35|                   Je me meurs, dit la vieille. Ah ! quelle peur vous m’
 69    I,      35|                Faites, madame, dit la vieille d’une voix éteinte.~ ~ ~ ~
 70    I,      35|              À sa grande surprise, la vieille la laissa faire.~ ~ ~– Elle
 71    I,      35|               tut et admira.~ ~ ~ ~La vieille, revenue à elle, jouissait
 72    I,      35|      conditions.~ ~ ~ ~Les yeux de la vieille étincelaient, mais ce ne
 73    I,      35|              écrire, madame.~ ~ ~ ~La vieille attira la table près de
 74    I,      35|           comtesse du Barry… »~ ~ ~La vieille allongea les lèvres et fit
 75    I,      35|          Comtesse de Béarn »~ ~ ~ ~La vieille écrivait d’une main ferme ;
 76    I,      35|             Lorsqu’elle eut signé, la vieille, tout en retenant d’une
 77    I,      35|               madame, dit la prudente vieille ; j’ai quelques affaires
 78    I,      35|               se séparèrent ainsi, la vieille toujours couchée, une jambe
 79    I,      35|            été la plus forte avec une vieille plaideuse, elle qui, à son
 80    I,      36|             principes d’honneur de la vieille noblesse de France, dit
 81    I,      38|              groupe étrange.~ ~ ~ ~La vieille dame, décolletée comme au
 82    I,      38|            revoir à ma cour.~ ~ ~ ~La vieille dame s’inclina.~ ~ ~– Allez
 83    I,      39|       entourait le dauphin ; toute la vieille noblesse était près du roi.~ ~ ~ ~
 84    I,      39|            que la royauté était moins vieille.~ ~ ~ ~Tous ceux qui entendirent
 85   II,      44|          commissionnaire ! s’écria la vieille ; il ne manquait plus que
 86   II,      44|           amène.~ ~ ~ ~Les bras de la vieille retombèrent le long de ses
 87   II,      44|             nous avons soif.~ ~ ~ ~La vieille fit entendre un murmure
 88   II,      44|             en prie, dit-il.~ ~ ~ ~La vieille, pour voir celui à qui son
 89   II,      44|               voix et l’accueil de la vieille, inspirèrent du premier
 90   II,      44|     antipathie.~ ~ ~ ~De son côté, la vieille fut loin de trouver de son
 91   II,      44|               est bien ! dit alors la vieille en grommelant, mais en cédant
 92   II,      44|                  Gilbert s’assit ; la vieille plaça devant lui une assiette
 93   II,      44|            premier, puis Gilbert ; la vieille mangea dans la soupière.~ ~ ~ ~
 94   II,      44|              mangé la soupe.~ ~ ~ ~La vieille jeta sur son assiette prématurément
 95   II,      45|         voulut pas même distraire une vieille robe pour se faire une couverture.~ ~ ~ ~
 96   II,      50|             avec eux. Mon père est de vieille noblesse ; mais, comme tous
 97   II,      54|              Allons, dit Rousseau, ma vieille tête lui a fait peur ; cette
 98   II,      61|             suivait.~ ~ ~ ~C’était la vieille propriétaire, habitant le
 99   II,      61|             bien au quatrième, dit la vieille propriétaire. Ah ! pauvre
100   II,      61|          continua de monter.~ ~ ~ ~La vieille propriétaire la suivit des
101   II,      62|           trouvé, dit Sylvie, quelque vieille dévote, sa parente, qui
102   II,      62|            mettez le linge dans cette vieille armoire, Sylvie, et vous,
103   II,      66|        attendait beaucoup mieux de la vieille popularité de Ruggieri que
104   II,      74|              remuer comme celle d’une vieille.~ ~ ~ ~Gilbert sortit tranquillement
105   II,      77|      disait-il en minaudant comme une vieille femme, vous allez vous décoiffer ;
106  III,      99|             le marchepied, trahit une vieille femme. Un visage ridé, tanné
107  III,      99|             femme était non seulement vieille, mais décrépite.~ ~ ~ ~Il
108  III,      99|          monsieur le duc, répliqua la vieille.~ ~ ~– Oh ! j’ai l’honneur
109  III,      99|           votre servante, répondit la vieille en faisant une révérence
110  III,      99|                 Une chanson !… dit la vieille piquée, quelle chanson ?~ ~ ~–
111  III,      99|             qui vit que décidément la vieille ne se jetterait pas dans
112  III,      99|         est-à-dire la corde.~ ~ ~ ~La vieille monta les premières marches.
113  III,      99|         répondez ceci :~ ~ ~ ~Je suis vieille et têtue ;~ ~Un gros procès
114  III,      99|               pied de biche.~ ~ ~ ~La vieille laissa passer en grommelant
115  III,      99|          répondit après un silence la vieille comtesse, et il est bien
116  III,     100|               dit-elle ; au cas où ma vieille quêteuse viendrait me faire
117  III,     100|                   Ah ! madame, dit la vieille plaideuse, un grand malheur !~ ~ ~–
118  III,     100|             malentendu.~ ~ ~ ~Mais la vieille comtesse était aussi fine
119  III,     100|            Sire, justice ! s’écria la vieille dame en faisant une profonde
120  III,     100|            imitant la révérence de la vieille comtesse.~ ~ ~– Sire, enfin
121  III,     105|        formait le dernier étage d’une vieille maison de la rue des Cordeliers.~ ~ ~ ~
122  III,     107|             doucereuse, d’une voix de vieille femme, car les femmes condamnées
123   IV,     127|          arbres en mai, monte sous la vieille écorce et pousse, pour ainsi
124   IV,     139|               ses contes d’amitié, de vieille fraternité d’armes. On me
125   IV,     153|                au risque de faire une vieille culotte de cette culotte
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