Tome,  Chap.

  1    I,   IntII|          attachent encore à père, mère, frères, sœurs, femme, parents,
  2    I,  IntIII|           y a vingt ans que votre mère expira en vous donnant le
  3    I,       1|     motiver cette invocation à la Mère de Dieu. La voiture, toujours
  4    I,       4|      ancien métayer du baron ; ma mère a nourri mademoiselle Andrée.~ ~ ~–
  5    I,       5|       service, qui me vient de ma mère.~ ~ ~ ~Cela dit, elle trancha
  6    I,       9|    dépensé toute la fortune de ma mère, de sorte que le pauvre
  7    I,      10|       souvenir des conseils de ma mère, je ne sais quelle monotone
  8    I,      14|       répondit la dauphine, et ma mère, l’impératrice Marie-Thérèse,
  9    I,      15|        natal, près de son auguste mère.~ ~ ~– Vous avez vu ma mère ?~ ~ ~–
 10    I,      15|       mère.~ ~ ~– Vous avez vu ma mère ?~ ~ ~– J’ai eu cet honneur ;
 11    I,      15|    monsieur, et à l’endroit de ma mère ! dit la dauphine avec dédain.~ ~ ~–
 12    I,      15|           au moins, votre auguste mère avait pu être accusée.~ ~ ~–
 13    I,      15|         Oh ! ma vraie famille, ma mère Marie-Thérèse, mon frère
 14    I,      16|           Leczinska a donnée à ma mère.~ ~ ~– Oui, mon enfant,
 15    I,      17|            et cette maison que ma mère aimait tant, vous nous la
 16    I,      17|        habits, joins-y ceux de ma mère, que je vénère, tu le sais,
 17    I,      18|           elle était née et où sa mère était morte.~ ~ ~ ~La voiture
 18    I,      18|          que lui avait apprise sa mère pour éloigner d’elle le
 19    I,      33|       Déesse des plaisirs, tendre mère des Grâces,~ ~Pourquoi veux-tu
 20    I,      39|       comme celle-ci : c’était la mère de Monseigneur le dauphin ;
 21   II,      43|           lire, écrire ?~ ~ ~– Ma mère, avant de mourir, avait
 22   II,      43|          apprendre à lire, pauvre mère ! car, me voyant frêle de
 23   II,      43|           à peine lire lorsque ma mère mourut.~ ~ ~– Et qui vous
 24   II,      48|       timide.~ ~ ~ ~Il y avait la mère, grosse, petite et rieuse
 25   II,      48|      jeune homme soigneux, dit la mère.~ ~ ~ ~La jeune fille rougit.~ ~ ~ ~
 26   II,      48|      homme soigneux, avait dit la mère.~ ~ ~ ~En effet, chez la
 27   II,      48|                  Monsieur, dit la mère s’adressant à Gilbert avec
 28   II,      48|          jeune homme poli, dit la mère.~ ~ ~ ~La jeune fille devint
 29   II,      48|         des carmélites, reprit la mère ; il nous a promis de nous
 30   II,      48|        seront pas là, continua la mère, comme si elle eût deviné
 31   II,      48|       Antée, pour retrouver cette mère commune qu’on appelle la
 32   II,      48|           résolument le bras à la mère de famille.~ ~ ~– L’impertinent !
 33   II,      48|         bourgeois le remercia. La mère essaya de le retenir : la
 34   II,      49|           enfant ? Ton père et ta mère étaient de bons serviteurs
 35   II,      50|           pauvre. J’ai de plus ma mère et un frère aîné. En France,
 36   II,      50|         comme disait naïvement ma mère, afin de devenir cardinal.~ ~ ~–
 37   II,      50|           habitudes générales. Ma mère me caressa un peu plus seulement,
 38   II,      50|           s’arrêta, j’entendis ma mère pousser un cri, mon père
 39   II,      50|           je vis les larmes de ma mère pour les supplier, je compris
 40   II,      50|        mes cris, des larmes de ma mère, des efforts de mon père,
 41   II,      50|             m’écriai-je.~ ~ ~« Ma mère se roulait sur la terre,
 42   II,      50|         autant à mon père et à ma mère.~ ~ ~« Alors, comme l’argent
 43   II,      50|         bras de mon père et de ma mère.~ ~ – Maintenant, allez…,
 44   II,      50|       libre.~ ~ ~« Mon père et ma mère remercièrent l’étranger
 45   II,      50|          entretenir, mon père, ma mère et moi, de ce singulier
 46   II,      50|         avertie ; elle prévint ma mère. Trois jours avant celui
 47   II,      50|           au monde : mon père, ma mère, mon frère.~ ~ ~« Ils venaient
 48   II,      50|         restée seule avec moi, ma mère m’interrogea. Dans cette
 49   II,      50|           habitude ; mon père, ma mère, mon frère, cette voisine
 50   II,      51|        mon lit. Jusqu’au soir, ma mère resta près de moi, et, comme
 51   II,      51|      Continuez, Lorenza.~ ~ ~– Ma mère se désespérait et ne voulait
 52   II,      51|     chaque fois il avait dit à ma mère que c’était se révolter
 53   II,      51|           droit au ciel.~ ~ ~« Ma mère insista tant qu’elle obtint
 54   II,      51|           insensibilité.~ ~ ~« Ma mère se retira vaincue. Les religieuses
 55   II,      51|        jour et une nuit.~ ~ ~« Ma mère une fois sortie, les ensevelisseuses
 56   II,      53|  instructions de l’impératrice sa mère, elle avait appelé toutes
 57   II,      53|          un petit pavillon que sa mère et sa sœur ont habité l’
 58   II,      56|          comme celle de sa sainte Mère, veut bien y laisser descendre,
 59   II,      57|      comme le manteau d’une bonne mère enveloppe l’enfant volontaire
 60   II,      65|           des larmes, des cris de mère, des soupirs d’agonie semblaient
 61   II,      65|          est gros de malheurs, ma mère me l’a dit, comme ce ciel
 62  III,     103|           la vie aux flancs de sa mère ? Ah ! vous voulez que je
 63  III,     104|           qui m’attachent à père, mère, frères, sœurs, épouse,
 64  III,     104|            si la dauphine devient mère, alors que tous se réjouiront
 65  III,     105|             À la tombedort ma mère,~ ~Sous les genêts parfumés ;~ ~ ~ ~
 66  III,     109|    connais comme si j’étais votre mère… Vous allez tout à l’heure
 67  III,     114|           Philippe, j’ai perdu ma mère en naissant ; c’est affreux
 68  III,     114|        respiré, où était morte ma mère, me devait la protection
 69  III,     117|       Balsamo, par l’âme de votre mère, par le sang de notre Dieu,
 70   IV,     127|     chrétien qui tétait encore sa mère ; je le saignai selon le
 71   IV,     127|        est chaste comme la sainte Mère de Dieu ; je vous jure qu’
 72   IV,     144|           entend, par l’âme de ma mère, qui ne m’a point assez
 73   IV,     146|    Déshonorée ?~ ~ ~– Ma sœur est mère !~ ~ ~ ~Balsamo poussa un
 74   IV,     150|           toilette de notre bonne mère, il y a quinze ans… La montre,
 75   IV,     150|             trop insensible de ma mère, qui, si elle vivait, eût
 76   IV,     150|    dépensé jusqu’au bien de notre mère, ce dont je ne vous fais
 77   IV,     151|       homme sortant du sein de sa mère ? Écoute cependant combien
 78   IV,     151|         croire ; moi, j’ai vu une mère sans entrailles, de moitié
 79   IV,     151|              Dieu a permis que la mère oublie, c’est donc qu’elle
 80   IV,     153|           lorsqu’elle est devenue mère, dût considérer autre chose
 81   IV,     153|           de celui dont vous êtes mère. N’avez-vous pas avoué devant
 82   IV,     153|   possédée par un crime ; je suis mère, c’est vrai ; mais mon enfant
 83   IV,     153|        mais mon enfant n’a qu’une mère, entendez-vous ? Vous m’
 84   IV,     154|  cruellement… Je sais bien que la mère sans entrailles serait une
 85   IV,     154|        enfant ! fils noble par sa mère… Mon enfant !… mon enfant !…~ ~ ~
 86   IV,     157|        vous me promettez. Je suis mère, Philippe ; mais Dieu a
 87   IV,     157|         les ressources même ?… La mère qui souffre les douleurs
 88   IV,     157|    Philippe, je suis une mauvaise mère ! Philippe, je suis maudite !~ ~ ~–
 89   IV,     157|           mais ce fils a perdu sa mère… » Voyez, d’ailleurs.~ ~ ~ ~
 90   IV,     157|       enfant fût placé près de la mère, Philippe le supplia de
 91   IV,     158|           de souder le cœur de la mère au moindre mouvement de
 92   IV,     158|         Oh ! celle-là est donc la mère, qui prend soin de l’enfant ?…
 93   IV,     158|           entrailles trouvera une mère ; et, plus tard, passant
 94   IV,     158|     regardera pas, et dira : « Ma mère ! » à une mercenaire plus
 95   IV,     158|         enfant ! s’écria la jeune mère avec une explosion qui dut
 96   IV,     158|          rendre…, ajouta la jeune mère.~ ~ ~– Mais, monsieur, dit
 97   IV,     158|         enfant !~ ~ ~– Sauvons la mère, se dit Philippe. Ma sœur,
 98   IV,     159| continuait le métier de madame sa mère.~ ~ ~ ~Cette brave femme
 99   IV,     159|         Soustraire l’enfant à une mère cruelle, c’est-à-dire semer
100   IV,     159|     cherchant l’enfant près de la mère, il ne le vit point.~ ~ ~ ~
101   IV,     160|            Ange, tais-toi, dit la mère ; tu interromps monsieur.~ ~ ~–
102   IV,     160|       sucre et l’entretien.~ ~ ~– Mère Madeleine, dit Gilbert avec
103   IV,     160|           qui serions ses père et mère ?~ ~ ~ ~Gilbert pâlit.~ ~ ~–
104   IV,     160|           expression.~ ~ ~– Et la mère ? demanda Angélique.~ ~ ~–
105   IV,     160|          Angélique.~ ~ ~– Oh ! la mère… la mère, répliqua Gilbert
106   IV,     160|                  Oh ! la mère… la mère, répliqua Gilbert en respirant
107   IV,     162|             Et vous croyez que la mère consentira, soit à vous
108   IV,     162|           rentrons chez la pauvre mère, dit le docteur.~ ~ ~ ~Et
109   IV,     162|           que voulez-vous !… Être mère, c’est un état de démence !
110   IV,     162|          Dieu ne défend pas à une mère d’aimer vivement son fils,
111   IV,     162|     matérielle. Dieu défend à une mère d’aimer excessivement son
112   IV,     162|         enfin…, soupira la pauvre mère, pourquoi Dieu a-t-il fait
113   IV,     162|       jamais ne vous appellera sa mère !~ ~ ~ ~Gilbert. »~ ~ ~Philippe
114   IV,     163|     renferme mon portrait, que ma mère fit faire quand j’avais
115   IV,     163|         avez mis au jour et de la mère que vous avez sauvée par
116   IV,     164|           as voulu assassiner une mère !~ ~ ~ ~Gilbert ne répondit
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