Tome,  Chap.

  1    I,  IntIII|           qu’à cette période de sa pensée résumant toute sa croyance,
  2    I,  IntIII|       mystérieux mandataires de la pensée européenne.~ ~ ~ ~Le grand
  3    I,  IntIII|          fantômes absorbés dans la pensée austère qui devait ébranler
  4    I,       4|            il avait un but dans sa pensée ; mais ce but, c’était sans
  5    I,       7|         besoin de demeurer avec sa pensée.~ ~ ~ ~Le baron souhaita
  6    I,       7|       clavecin les souvenirs de sa pensée ou les rêves de son imagination.
  7    I,       7|            suite. Or, avant que sa pensée eût rien précisé à cet égard,
  8    I,       7|          prirent de la netteté, sa pensée se solidifia pour ainsi
  9    I,       8|   foudroyer de son regard. À cette pensée, tous ces nuages d’enivrement
 10    I,       8|          avec cette mobilité de la pensée qui fait chanceler vingt
 11    I,       8|        jeune homme s’égara à cette pensée qu’il quitterait Taverney,
 12    I,       9|            ah ! vous répondez à ma pensée ?~ ~ ~– Je la vois.~ ~ ~–
 13    I,      11| mademoiselle, je le dis.~ ~ ~ ~Une pensée qu’elle avait longtemps
 14    I,      18|       monde.~ ~ ~ ~Chacun avait sa pensée.~ ~ ~ ~Le baron calculait
 15    I,      27|        voir.~ ~ ~ ~La parole et la pensée du roi s’élevaient à mesure
 16    I,      29|      rempart contre toute mauvaise pensée, elle ne venait pas exprès
 17    I,      30|          paroles, du moins dans la pensée du vice-chancelier, et que
 18    I,      34|            épargnait un travail de pensée ou d’action.~ ~ ~– La tranquillité,
 19    I,      36|            intelligence d’une même pensée.~ ~ ~ ~À onze heures, tous
 20    I,      38|            y répondre, même par la pensée, qu’un grand bruit de carrosses
 21   II,      40|           il oublia toute mauvaise pensée pour se laisser aller à
 22   II,      45|   parfaitement en harmonie avec sa pensée et surtout avec son caractère,
 23   II,      45|    impossible de mieux exprimer sa pensée, de mieux définir ses instincts,
 24   II,      48|        comme si elle eût deviné la pensée de Gilbert et qu’elle y
 25   II,      50|          eût pas donné la mauvaise pensée qui me vint.~ ~ ~– Dites
 26   II,      50|               Dites cette mauvaise pensée, mon enfant.~ ~ ~– J’aurais
 27   II,      50|   regrettés amants.~ ~ ~– Mauvaise pensée, en effet, dit Madame Louise ;
 28   II,      50|            lire ni prier. Toute ma pensée, toute ma volonté, toute
 29   II,      50|           enfin, je courus avec la pensée au-devant de lui. Et souvent,
 30   II,      50|   chrétienne que l’obsession d’une pensée, d’une forme toujours présente
 31   II,      51|           moi.~ ~ ~« Cependant une pensée terrible m’agitait pendant
 32   II,      53|        veilles, déjà creusé par la pensée ? qui le dira ?~ ~ ~ ~Est-ce
 33   II,      53|           Mais presque aussitôt la pensée lui vint qu’il était monté
 34   II,      54|        coïncidence étrange avec sa pensée, un bruit et un mouvement
 35   II,      57|             qui semblait suivre sa pensée plutôt que répondre à celle
 36   II,      59|            Vous ne dites pas votre pensée tout entière, mon prince,
 37   II,      65|         puis chasser cette odieuse pensée. J’y fais ce que je puis
 38   II,      73|           sombre mépris pour cette pensée de la jeune fille ; oh !
 39   II,      75|         vie était dans cette seule pensée :~ ~ ~– Andrée quitte le
 40   II,      77|           réussite, j’achève votre pensée.~ ~ ~– Vous êtes adorable !~ ~ ~–
 41  III,      83|         chercher dans l’infini une pensée qui lui échappait éternellement,
 42  III,      85|         femme.~ ~ ~– Lisez dans ma pensée le nom de l’homme.~ ~ ~–
 43  III,      85|        terre, comme il découvre la pensée dans le cœur des hommes ?~ ~ ~–
 44  III,      87|           plaire, avec cette amère pensée, je m’enfuirais tout au
 45  III,      94|           habitude de compléter la pensée de son maître, et souvent
 46  III,      95|        bien avait-il éloigné cette pensée par la terreur qu’elle lui
 47  III,      97|            eût repris la vie et la pensée.~ ~ ~– Tu ne t’y attendais
 48  III,     102|            cette aigre musique, sa pensée à lui, qui certes valait
 49  III,     102|       après, Rousseau changeait de pensée.~ ~ ~– Eh bien, se disait-il,
 50  III,     103|      rebelle et trahit toujours ma pensée lorsque je lui demande une
 51  III,     103|           Maintenant, vous avez ma pensée tout entière ; je ne dirai
 52  III,     107|        mais avec ses yeux, avec sa pensée, avec sa volonté tout entière,
 53  III,     108|         temps en temps, lorsque la pensée l’exigeait, il se courbait
 54  III,     113|           se conformer à sa triste pensée.~ ~ ~ ~Jean avait vu sa
 55  III,     114|         tête, et je lis dans votre pensée. Vous vous dites que je
 56  III,     117|  voulez-vous dire ? J’achève votre pensée Lorenza.~ ~ ~– Ne vous arrêtez
 57  III,     120|    ressaisit deux ou trois fois sa pensée fugitive qui lui échappa
 58  III,     120|          voulez me conduire par la pensée.~ ~ ~– Venez.~ ~ ~– Ah !
 59  III,     121|            pour Gilbert ; toute sa pensée, toute sa vie, toute son
 60  III,     121|        maîtresse.~ ~ ~ ~Mais, à la pensée de ce qu’était venu faire
 61  III,     121|           dans cette chambre, à la pensée de ce qui allait se passer
 62  III,     122|                   Tout à coup, une pensée traversa l’esprit de Balsamo.~ ~ ~ ~
 63  III,     122|        tendit quelques instants sa pensée vers ce but, l’imprimant
 64   IV,     127|            absorbé dans une autre. pensée que celle qui torturait
 65   IV,     128|          qui semblait lire dans la pensée de Balsamo comme dans un
 66   IV,     128|           instant enseveli dans sa pensée.~ ~ ~– D’ailleurs, ai-je
 67   IV,     129|     toujours à côté de moi dans ta pensée.~ ~ ~ ~Alors Balsamo regardait
 68   IV,     129|         bien ; mais tu partages ta pensée entre nous deux, comme au
 69   IV,     129|     coquille nacrée, et grandir la pensée de l’homme sous les couches
 70   IV,     129|          crâne de son amant chaque pensée qui agitait les fibres de
 71   IV,     129|          cela. Oui, tu lis dans ma pensée ; oui, une dernière crainte
 72   IV,     129|            Balsamo sortant, par la pensée, de la rue Saint-Claude,
 73   IV,     129|          Saint-Claude, entraîna la pensée de Lorenza avec lui.~ ~ ~–
 74   IV,     129|          Tu peux donc lire dans sa pensée ?~ ~ ~– Oui ; car, je le
 75   IV,     130|          coquetterie achevèrent sa pensée et rassurèrent complètement
 76   IV,     131|            entrée.~ ~ ~ ~Alors une pensée douloureuse, une pensée
 77   IV,     131|            pensée douloureuse, une pensée qui, on s’en souvient, l’
 78   IV,     131|     obstiné silence, répondit à sa pensée extravagante et à son appel
 79   IV,     132|            presque sans vie, nulle pensée humaine ne s’était encore
 80   IV,     139|           achevez admirablement ma pensée.~ ~ ~– De sorte que vous
 81   IV,     140|      trouver, hélas ! même dans sa pensée, de consolation probable
 82   IV,     140|           suivre l’exécution de sa pensée, il était occupé à choisir
 83   IV,     142|            voyez que je suis votre pensée dans le chemin sombre et
 84   IV,     144|          es si noble de cœur et de pensée, que tu dois avoir bien
 85   IV,     144|           pour toi, que jamais une pensée d’amour n’a distrait ma
 86   IV,     146|        continua Balsamo suivant sa pensée bien plutôt qu’il ne répondait
 87   IV,     147|               Mais, en ramenant ma pensée sur des circonstances plus
 88   IV,     147|           soudain d’attitude et de pensée :~ ~ ~– Avec cet homme,
 89   IV,     148|         Andrée traduisait ainsi la pensée qu’elle lisait dans l’esprit
 90   IV,     149|        vous, moi qui, sans arrière pensée, vous ai confié mon secret
 91   IV,     150|      sourire, vous savez à fond ma pensée, vous connaissez l’état
 92   IV,     151|         maisons voisines.~ ~ ~ ~Sa pensée, jeune et rapide, n’eut
 93   IV,     151|             dans les organes de ma pensée. J’ai engendré un enfant,
 94   IV,     152|             fort de cette nouvelle pensée, rentra à Paris vers sept
 95   IV,     153|           pour empêcher de fuir sa pensée révoltée.~ ~ ~ ~Gilbert
 96   IV,     154|           de colère, vint noyer sa pensée ; il se rappela tout ce
 97   IV,     154|           nature et la force de ma pensée, je réduirai à néant les
 98   IV,     156|     consoler ou de l’arracher à la pensée qui le dominait en ce moment.~ ~ ~ ~
 99   IV,     158|           un peu cruelle.~ ~ ~ ~La pensée du mal qu’on souhaite à
100   IV,     161|         complète de toute mauvaise pensée.~ ~ ~ ~Huit jours se passèrent
101   IV,     162|           avais eu un moment cette pensée ; mais le malheureux n’a
102   IV,     162|            hommes, confondant leur pensée dans un éloquent regard,
103   IV,     Epi|       encore une flamme et dont la pensée flamboyait plus ardente
104   IV,     Epi|          ce rire à quelque secrète pensée.~ ~ ~ ~À trois pas du banc,
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