Tome,  Chap.

  1    I,      11|              jours. Si j’allais être malade !~ ~ ~– Oh ! mademoiselle,
  2    I,      23|        Hanovre, savoir si le duc est malade.~ ~ ~– Oui, madame la comtesse.
  3    I,      23|              Quant au roi, il en est malade d’une désopilation de la
  4    I,      30|         perdue ?~ ~ ~– Elle est bien malade, au moins, comtesse ; mais,
  5    I,      30|         moins, comtesse ; mais, d’un malade qui va mourir, vous le savez,
  6    I,      30|          faut pouvoir s’approcher du malade.~ ~ ~– Savez-vous ce qu’
  7    I,      35|        a-t-elle donc ?~ ~ – Elle est malade.~ ~ – Malade ? Impossible !
  8    I,      35|                Elle est malade.~ ~ – Malade ? Impossible ! Hier, elle
  9    I,      35|             Madame de Béarn est bien malade, et ne peut recevoir.~ ~ ~–
 10    I,      35|              ne peut recevoir.~ ~ ~– Malade ; justement, dit la comtesse,
 11    I,      35|            le coussin la jambe de la malade, et s’asseyant auprès d’
 12    I,      36|             pour demander si j’étais malade, et vous savez ce que Rafté
 13    I,      36|             Guéménée, j’ai un enfant malade, et je prends la robe de
 14    I,      38|             de Choiseul, ma sœur est malade, et m’a chargé d’offrir
 15    I,      38|               sire, la princesse est malade ; en allant la prendre chez
 16    I,      38|         homme.~ ~ ~– Vous n’êtes pas malade, vous, dit le roi assez
 17    I,      38|              ce soir, surtout ; mais malade, sire, malade…~ ~ ~– Tant
 18    I,      38|         surtout ; mais malade, sire, malade…~ ~ ~– Tant pis ! dit le
 19    I,      38|               Tant pis ! dit le roi. Malade, madame d’Egmont, la plus
 20    I,      38|                 Il faut qu’elle soit malade, sire, dit le chancelier.~ ~ ~–
 21    I,      38|              madame de Grammont soit malade, que madame de Guéménée
 22    I,      38|              madame de Guéménée soit malade, que madame d’Egmont soit
 23    I,      38|             que madame d’Egmont soit malade aussi ; mais la comtesse
 24    I,      38|             aussi ; mais la comtesse malade, cela ne se conçoit pas !~ ~ ~–
 25    I,      38|            forte émotion peut rendre malade : la joie de la comtesse
 26    I,      38|            si elle n’avait point été malade. Pauvre Septimanie !~ ~ ~ ~
 27   II,      50|              j’avais dit que j’étais malade ; j’avais résolu que je
 28   II,      51|             visions que votre esprit malade a enfantées. Les murs de
 29   II,      70|           cela qu’il avait placé son malade sur un matelas isolé et
 30   II,      70|           notre science auprès de ce malade ; de l’air, de l’exercice
 31   II,      71|             rassuré complètement son malade, et que Thérèse racontait
 32   II,      71|             Thérèse, il contrefit le malade et garda le lit jusqu’à
 33   II,      73|           pouvait se livrer la belle malade, éclairait le bas seulement
 34   II,      79|            mais le ministre est fort malade, et vient prier Votre Majesté,
 35  III,      83|           vous guérir si vous tombez malade.~ ~ ~– Oh ! s’écria Lorenza,
 36  III,      89|         beaucoup, et puis vous serez malade ; il en résultera que ce
 37  III,      90|            rude, et notre maître est malade ; soigne-le bien !~ ~ ~ ~
 38  III,     103|              créature au bonheur, le malade à la guérison.~ ~ ~– Il
 39  III,     105|            fièvre dans les veines du malade, la peste dans les eaux
 40  III,     105|            qui fut caressant pour le malade, ironique pour Balsamo.~ ~ ~ ~
 41  III,     105|              plaçant devant le jeune malade, dont il rencontra les yeux
 42  III,     105|        commençait à palper la cuisse malade et à faire observer aux
 43  III,     105|         immobile que ne le devint le malade à cette injonction.~ ~ ~–
 44  III,     105|           monsieur, dit Balsamo ; le malade est parfaitement disposé.~ ~ ~ ~
 45  III,     105|         dominé comme Marat, comme le malade, comme tout le monde, approcha
 46  III,     105|               La chair cria, mais le malade ne poussa pas un soupir,
 47  III,     105|        Breton, monsieur, répondit le malade en souriant.~ ~ ~– Et vous
 48  III,     105|            invitation de Balsamo, le malade sourit et commença de chanter
 49  III,     105|              tomba sur le lit que le malade chantait encore.~ ~ ~ ~
 50  III,     106|            de son état ? répondit le malade. Attendez, il faut que je
 51  III,     106|           sur lui.~ ~ ~– Oh ! il est malade, bien malade : on lui a
 52  III,     106|             Oh ! il est malade, bien malade : on lui a coupé la jambe.~ ~ ~–
 53  III,     106|             mais…~ ~ ~ ~La figure du malade s’assombrit.~ ~ ~– Mais ?
 54  III,     106|                    Mais, continua le malade, il y a une terrible épreuve
 55  III,     106|             Oh ! elle le rendra bien malade ; il surmontera cependant
 56  III,     106|             il saisissait la main du malade, auscultait sa poitrine
 57  III,     106|            Il craignait l’émotion du malade. Il n’était pas besoin qu’
 58  III,     106|             ce qu’a dit votre pauvre malade ?~ ~ ~– Oui, monsieur, qu’
 59  III,     106| intermédiaire de charité entre votre malade et Dieu : voici un diamant
 60  III,     106|              quand vous verrez votre malade guéri, vous le vendrez et
 61  III,     115|              si vous avez été ou non malade… d’étouffements… cela couronne
 62  III,     117|              folle, une pauvre femme malade et condamnée à mourir ;
 63  III,     119|          mademoiselle ne soit un peu malade ce soir, dit-elle ; mademoiselle
 64   IV,     125|             de police bien autrement malade que ce pauvre Enguerrand
 65   IV,     127|            le sang, vous vous rendez malade.~ ~ ~– Malade ! dérision !
 66   IV,     127|            vous rendez malade.~ ~ ~– Malade ! dérision ! ai-je été malade
 67   IV,     127|        Malade ! dérision ! ai-je été malade jamais, sinon lorsque tu
 68   IV,     127|             sale condition humaine ? Malade ! as-tu oublié que c’est
 69   IV,     130|               docteur, j’ai été bien malade, politiquement parlant,
 70   IV,     137|        Taverney, dites que vous êtes malade ; rendez-vous intéressante,
 71   IV,     137|              et je dirai que je suis malade sans mentir, car je me sens
 72   IV,     137|           nous manque plus que cela… malade !~ ~ ~ ~Puis, entre ses
 73   IV,     137|              vérité cette enfant est malade, elle perd connaissance.~ ~ ~ ~
 74   IV,     138|          dauphine.~ ~ ~– Oui, petite malade, répondit la princesse,
 75   IV,     138|            chambre, de considérer la malade d’abord, puis la localité,
 76   IV,     138|          rassurer, je suis bien plus malade alors que mademoiselle de
 77   IV,     140|     mademoiselle votre sœur est bien malade.~ ~ ~– Bien malade ! ma
 78   IV,     140|              bien malade.~ ~ ~– Bien malade ! ma sœur ! s’écria Philippe
 79   IV,     140|       Philippe avec explosion ; bien malade, ma sœur ! bien malade !
 80   IV,     140|          bien malade, ma sœur ! bien malade ! et tu ne me dis pas cela
 81   IV,     141|          avait dit que sa sœur était malade, de sorte qu’il était arrivé
 82   IV,     141|           reviens et qui vous trouve malade ! Ah ! pauvre sœur, qu’as-tu
 83   IV,     141|             de le rassurer, comme la malade l’aurait voulu.~ ~ ~– Ce
 84   IV,     141|     demandez-vous ? ai-je donc l’air malade, Philippe ?~ ~ ~– Oh ! oui,
 85   IV,     141|          allons, me croyez-vous bien malade ? Parlez.~ ~ ~ ~Mais Philippe
 86   IV,     141|        simplement que je n’étais pas malade le moins du monde, que le
 87   IV,     141|              dit que vous étiez fort malade.~ ~ ~– Et vous avez cru
 88   IV,     142|              la dauphine n’est point malade, elle.~ ~ ~– De qui me parlez-vous
 89   IV,     143|            Andrée, je suis donc bien malade ?~ ~ ~– Pourquoi ? demanda
 90   IV,     148|          Andrée, toi, ce qui te rend malade, c’est le chagrin d’avoir
 91   IV,     149|                  Comment se porte la malade ? demanda-t-il inquiet de
 92   IV,     156|  continua-t-elle, que votre sœur est malade ?~ ~ ~– Sinon malade, madame,
 93   IV,     156|             est malade ?~ ~ ~– Sinon malade, madame, se hâta de répondre
 94   IV,     157|      fauteuil.~ ~ ~ ~On vit alors la malade rougir et se renverser avec
 95   IV,     157|       Profitez donc du sommeil de la malade, et partez avec la voiture
 96   IV,     157|               j’ai, place Royale, un malade à peu près désespéré… une
 97   IV,     157|               et je me rends chez un maladeVoulez-vous mon manteau ?
 98   IV,     157|             pas ; car, sans moi, mon malade mourrait. » Et, remarquez-le
 99   IV,     157|      beaucoup d’assiduité près de la malade. Il voulait que l’enfant
100   IV,     162|            bien, l’enfant est un peu malade.~ ~ ~– Malade… ce cher enfant !
101   IV,     162|             est un peu malade.~ ~ ~– Malade… ce cher enfant ! Vite,
102   IV,     Epi|        douces caresses sur son front malade, sur ses joues enflammées.~ ~ ~ ~
103   IV,     Epi|       répondre. Elle se rapprocha du malade et, lui prenant la main
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