Tome,  Chap.

  1    I,    IntI|         les hauts pitons de cette famille de géants, on dirait alors
  2    I,  IntIII|         voix basse au foyer de la famille, que vous écrivez, l’œil
  3    I,       4|                  C’est mon nom de famille, à moi.~ ~ ~– Eh bien !
  4    I,       5|         imiter, moi, ces pères de famille qui disent à leur fille : «
  5    I,       9|         dignement le nom de notre famille.~ ~ ~– Qu’est-ce que Maison-Rouge ?~ ~ ~–
  6    I,       9|            et que les aînés de la famille portaient ce nom jusqu’à
  7    I,      13|        son bonheur et celui de sa famille, si toutefois il est au
  8    I,      13|            Personne. Le nom de la famille dort sous les ruines de
  9    I,      15| Interrogez-moi.~ ~ ~– D’abord, ma famille vivra-t-elle heureuse ?~ ~ ~–
 10    I,      15|      attend ?~ ~ ~– Oh ! ma vraie famille, ma mère Marie-Thérèse,
 11    I,      15|          vous et à votre nouvelle famille.~ ~ ~– Pouvez-vous m’éclairer
 12    I,      15|              Je le puis.~ ~ ~– La famille royale se compose de trois
 13    I,      15|         mon mari et l’appui de ma famille ?~ ~ ~– L’un et l’autre
 14    I,      23|         autre personne de la même famille.~ ~ ~ ~Dans l’appartement
 15    I,      23|        riant, un homme allié à la famille royale de France.~ ~ ~–
 16    I,      24|           moi dont on massacre la famille ?~ ~ ~ ~Le roi, malgré la
 17    I,      26|   persécution organisée contre ma famille.~ ~ ~– Ah ! sire, dit M.
 18    I,      27|          nécessaire à aucun de ma famille, puisque je vais pouvoir,
 19    I,      28|     paraîtrons les inutiles de la famille, nous…~ ~ ~– Si cela conduit
 20    I,      28|         pas se rencontrer avec sa famille, cette pauvre Louise !~ ~ ~ ~
 21    I,      28|           la conspiration dans ma famille, il me semble. C’est donc
 22    I,      28|         que je sois dominé par sa famille. Ma foi, j’ai bien le temps
 23    I,      30|   soutiens en ce moment contre la famille Saluces.~ ~ ~ ~Le vice-chancelier
 24    I,      30|         Le résultat du conseil de famille avait alors été que la comtesse,
 25    I,      30|        pied-à-terre à toute cette famille, sans cesse courant par
 26    I,      31|      biens comme déjà acquis à la famille de Saluces.~ ~ ~– Oh ! mon
 27    I,      31|          honneur de s’allier à la famille royale de Stuart, lorsqu’
 28    I,      31|       parler de cela.~ ~ ~– Bonne famille cependant, dit la comtesse,
 29    I,      32|          C’était une tradition de famille que de donner à manger aux
 30    I,      32|            une comtesse de Béarn, famille de princes qui ont régné ;
 31    I,      34|           alliance et le pacte de famille étaient bien peu de chose
 32   II,      44|  retrouvant une plante de la même famille, essayait de répéter. Deux
 33   II,      48|         au revers d’un fossé, une famille de petits bourgeois qui
 34   II,      48|          un serviteur était de la famille ; il y avait une grande
 35   II,      48|   trouvant et tirant après lui sa famille, composée presque toujours
 36   II,      48|   résolument le bras à la mère de famille.~ ~ ~– L’impertinent ! dit
 37   II,      48|       lesquels le bourgeois et sa famille avaient mis tout leur espoir.~ ~ ~ ~
 38   II,      50|         avait l’œil perçant de la famille ; cet œil fut fixé sur Lorenza
 39   II,      50|          m’a-t-on dit, lorsqu’une famille aristocratique comme l’est
 40   II,      50|      dette à l’illustration de la famille. J’aurais été mal fondée
 41   II,      53|        son entrée fût une fête de famille. Aussi, la famille usa-t-elle
 42   II,      53|        fête de famille. Aussi, la famille usa-t-elle du privilège ;
 43   II,      53|        coup dans l’intimité de sa famille.~ ~ ~ ~Gilbert ignorait
 44   II,      53|           M. de Taverney et de sa famille. Gilbert se souleva sur
 45   II,      56|  abandonner mon pays, mon nom, ma famille, tout, jusqu’à mon Dieu ?
 46   II,      61|       toucha d’abord à l’hôtel de famille, changea d’habit et s’étudia
 47   II,      64|    administrateur, un bon père de famille… À propos, monsieur le duc,
 48   II,      64|          sera-t-il un bon père de famille ?~ ~ ~– Eh ! mais, sire,
 49   II,      64|          s’il sera un bon père de famille.~ ~ ~– Sire, je l’avoue,
 50   II,      64|          qualification de père de famille et j’abandonne le patriarche.~ ~ ~–
 51   II,      64|          de belles choses dans ma famille !~ ~ ~ ~La porte se referma
 52   II,      66|      reste, que, dans une fête de famille pareille à celle qui se
 53   II,      66|           gardien ordinaire de la famille devait suffire.~ ~ ~ ~On
 54   II,      66|     bourgeois, possesseur avec sa famille d’un banc de pierre, fit
 55   II,      71|     Rousseau donc, en bon père de famille, avait fermé plus soigneusement
 56   II,      73|          et le bruit. On vivra en famille à Trianon ; seulement, de
 57   II,      73|         ces petites assemblées de famille pourraient bien finir par
 58   II,      77|        cela ne s’applique qu’à la famille.~ ~ ~– Et aux amis, comtesse ;
 59   II,      77|          Il est pourtant de votre famille.~ ~ ~– J’aurais un homme
 60   II,      77|         un homme de génie dans ma famille ? Voudriez-vous parler du
 61   II,      78|        regarde personne.~ ~ ~– En famille, madame, en famille.~ ~ ~–
 62   II,      78|            En famille, madame, en famille.~ ~ ~– Sire, je ne m’en
 63   II,      79|              Sire, et le pacte de famille ? Pourquoi avez-vous tenu
 64   II,      79|         est grand, sire ; mais ma famille est tout alarmée de la nouvelle
 65   II,      80|           Sa Majesté la maison de famille.~ ~ ~– La dauphine, dit
 66   II,      80|        Sire, c’est une maladie de famille.~ ~ ~– Vous allez faire
 67  III,      84|      temps de passer à l’hôtel de famille, son costume était celui
 68  III,      90|           est un triomphe pour ma famille.~ ~ ~– Croyez bien, monsieur
 69  III,      96|        passer avant un intérêt de famille ; si vous refusez, au contraire,
 70  III,      96|            quel désespoir pour la famille de M. le maréchal !~ ~ ~ ~
 71  III,     112|         Taverney ; nous sommes en famille. Sa Majesté, toi, moi, nous
 72  III,     114|    quelque temps, réussit à notre famille. Je le sais bien. Vous voilà
 73  III,     118|           princes allemands de sa famille, et que, pour passer quelques
 74  III,     118|           encore plus l’ami de la famille Taverney que de la famille
 75  III,     118|        famille Taverney que de la famille Legay, il est de mon devoir
 76  III,     123|    Lorenza, j’ai été enlevée à ma famille et soumise, par un mariage
 77   IV,     125|    Normandie, d’une très ancienne famille et d’une très noble maison.
 78   IV,     125|           un entretien du Père de famille à Diderot et une paraphrase
 79   IV,     136|         quelle tristesse ! Quelle famille ! doit-il être malheureux,
 80   IV,     138|   intéressé aux malheurs de notre famille, c’est vrai ; le roi a daigné
 81   IV,     138|          quelque chose pour votre famille…~ ~ ~– Mais à quel propos
 82   IV,     138|           qui est une vertu de la famille, à faire, pendant que l’
 83   IV,     138|     présente, la fortune de votre famille et la vôtre ; et, la première
 84   IV,     140|       puisque la prospérité de la famille était au comble, sentait
 85   IV,     141|          à notre père, comme à la famille ; mais tout à coup cet intérêt
 86   IV,     143|      femmes de quitter parents et famille pour suivre leur époux.~ ~ ~ ~
 87   IV,     144|  mouvement.~ ~ ~– Je suis père de famille, monsieur, continua le docteur,
 88   IV,     145|        était donc bien avéré ! La famille prenait le parti du silence ;
 89   IV,     145|           Philippe, le seul de la famille qui eût montré à Gilbert
 90   IV,     146|          ai perdu l’honneur de ma famille.~ ~ ~– Eh bien, monsieur,
 91   IV,     148|          un grand malheur pour la famille.~ ~ ~ ~Andrée traduisait
 92   IV,     150|           avec l’honneur de notre famille, une dernière faveur de
 93   IV,     150|        qui a tant fait pour notre famille, de garder l’écrin chez
 94   IV,     151|             Comme serviteur de la famille ?~ ~ ~– Non pas ; comme
 95   IV,     160|                  Chapitre CLX~ La famille Pitou~ ~Pendant la route,
 96   IV,     161|         beaucoup à un étudiant de famille retournant dans la maison
 97   IV,     Epi|   intestines de la Faculté, de la famille et des partis, la maladie
 98   IV,     Epi|    royaume. Quand un membre de la famille royale est atteint de la
 99   IV,     Epi|           porte du roi à toute la famille royale, sous prétexte de
100  Bib         |       ordre sur les papiers de sa famille, par A. Dumas.~ ~Paris,
101  Bib         |                  181. Un Cadet de famille traduit par Victor Perceval,
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