Tome,  Chap.

  1    I,       2|             Eh bien ! quelle heure est-il donc ?~ ~ ~– Il est tantôt
  2    I,       3|      secours ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Qu’est-il arrivé d’abord ?~ ~ ~– Il
  3    I,       3|            chevaux de derrière, où est-il ? demanda-t elle.~ ~ ~–
  4    I,       3|               Oui, madame.~ ~ ~– Y est-il toujours ?~ ~ ~– Non, madame :
  5    I,       4|               Oui ; mais où diable est-il ?~ ~ ~– Monsieur, la dame
  6    I,       4|         est pas une auberge.~ ~ ~– Est-il habité ?~ ~ ~– Sans doute.~ ~ ~–
  7    I,       9|            votre père, d’abord. Où est-il ?~ ~ ~– Dans sa chambre.~ ~ ~–
  8    I,       9|       habit d’un ouvrier.~ ~ ~– Où est-il ?~ ~ ~– Au bas de l’escalier ;
  9    I,       9|                Je veux bien.~ ~ ~– Est-il au spectacle ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~–
 10    I,       9|       spectacle ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~– Est-il au café de la Place avec
 11    I,       9|       officiers ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~– Est-il rentré chez lui dans sa
 12    I,       9|         connais, moi ; suivons-la. Est-il à Saverne ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~–
 13    I,       9|         Saverne ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~– Est-il à Sarrebruck ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~–
 14    I,       9|      Sarrebruck ?~ ~ ~– Non.~ ~ ~– Est-il à Nancy ?~ ~ ~– Attendez,
 15    I,       9|     étincelaient de joie.~ ~ ~– Où est-il ?~ ~ ~– Il traverse à cheval
 16    I,      10|            jalouse, je vous prie ? Est-il dans tout le canton une
 17    I,      11|           de ses deux mains. Que m’est-il arrivé ? Suis-je folle ?~ ~ ~ ~
 18    I,      11|   singulier mot.~ ~ ~– Comment ! n’est-il pas naturel d’aimer quelqu’
 19    I,      12|          Bon ! expliquez-moi cela. Est-il encore temps ?~ ~ ~– Oh !
 20    I,      14|     montrez nous votre sorcier. Où est-il ? dans quelle boîte l’avez-vous
 21    I,      17|            Et comment ce miracle s’est-il fait ?~ ~ ~– Mademoiselle
 22    I,      20|           chaise. Ah çà ! que vous est-il donc arrivé, pour tomber
 23    I,      24|                 Voyons, parlez, qu’est-il arrivé ?~ ~ ~– Pauvre frère !~ ~ ~–
 24    I,      24|                  Mais comment cela est-il venu ?~ ~ ~– Cela est venu
 25    I,      24|     approcha des deux sœurs.~ ~ ~– Est-il possible qu’un pareil malheur
 26    I,      24|        sourcil.~ ~ ~– Eh bien ! où est-il, M. le dauphin ? demanda
 27    I,      26|        connais cela. Et pourquoi s’est-il battu contre Jean que j’
 28    I,      28|       véritable mot.~ ~ ~– Et quel est-il, voyons ?~ ~ ~– C’est présentation.~ ~ ~–
 29    I,      29|     Maupeou.~ ~ ~– Diable ! cela y est-il ?~ ~ ~– Sans doute.~ ~ ~–
 30    I,      31|            Ce petit sot de Gilbert est-il ici ? demanda Chon aux laquais
 31    I,      33|            Votre Majesté.~ ~ ~– Où est-il ?~ ~ ~– En ronde.~ ~ ~–
 32    I,      34|          contente de moi.~ ~ ~– Qu’est-il donc arrivé ? Dites-moi
 33    I,      34|           De M. de Voltaire.~ ~ ~– Est-il rentré en France aussi,
 34    I,      35|            prêté.~ ~ ~– Mais que s’est-il donc passé ?~ ~ ~– En deux
 35    I,      36|    emploierai ce moyen.~ ~ ~– Quel est-il ? demandèrent en même temps
 36    I,      37|            Et le carrosse, comment est-il ?… présentable ? demanda
 37    I,      37|                   Mais par où donc est-il passé ? murmura madame du
 38   II,      41|          de Taverney, par exemple, est-il dans les nuances sombres
 39   II,      42|           effet, disait-il, tout n’est-il pas commun aux hommes sur
 40   II,      43|       stupéfaction ; tout au moins est-il riche ?~ ~ ~– Il se demande
 41   II,      46|   Monseigneur ? Ma foi, le monde n’est-il pas une chose bien curieuse,
 42   II,      49|            à lui.~ ~ ~– Voyons, qu’est-il donc arrivé, mon pauvre
 43   II,      50|           que je redoute.~ ~ ~– Qu’est-il donc ? fit la supérieure
 44   II,      51|           Oh ! oui.~ ~ ~– Mais qui est-il ? Voyons ! Par délicatesse,
 45   II,      55|               À la Barrière.~ ~ ~– Est-il arrêté ?~ ~ ~– Il s’arrête
 46   II,      57|          je ne puis combattre ! Où est-il cet effrayant vieillard
 47   II,      58| monseigneur, répondit Fritz.~ ~ ~– Est-il au logis ?~ ~ ~– Oui, monseigneur.~ ~ ~–
 48   II,      60|               Pardieu !~ ~ ~– Quel est-il ?~ ~ ~– Il faut ajouter
 49   II,      61|          Jeanne ? Mais de qui donc est-il amoureux ?~ ~ ~– Demande-le
 50   II,      63|        timidité étrange ; le roi n’est-il pas le roi, et vous son
 51   II,      63|         vous avez dit : « Le roi n’est-il pas le roi ? » vous croyez
 52   II,      63|         pas des fantômes ? Voyons, est-il bien sûr que M. Rousseau
 53   II,      65|           la fête qu’on me fait. N’est-il pas convenable qu’il y ait
 54   II,      69|        vous reconnais ; mais que s’est-il donc passé, mon Dieu ?~ ~ ~ ~
 55   II,      70|            lit… Ah ! mon Dieu ! où est-il ? Il s’est levé, le malheureux !~ ~ ~ ~
 56   II,      75|           donc.~ ~ ~– Quelle heure est-il ? demanda M. de Jussieu.
 57   II,      77|            comprends ; mais Zamore est-il quelqu’un ?~ ~ ~– Zamore
 58   II,      77|            de Voltaire ; peut-être est-il en route ; peut-être est-il
 59   II,      77|        est-il en route ; peut-être est-il à deux cents lieues ; peut-être
 60   II,      77|           cents lieues ; peut-être est-il à la barrière !~ ~ ~ ~Et
 61   II,      81|           apprendra rien.~ ~ ~– Où est-il ?~ ~ ~– Ah ! voilà ce que
 62  III,      84|                   M. de Choiseul n’est-il pas soupçonné de soutenir
 63  III,      84|            Enfin, M. de Choiseul n’est-il pas l’ennemi déclaré de
 64  III,      84|             Oui, moi.~ ~ ~– Comte, est-il trop tard ?~ ~ ~ ~Le comte
 65  III,      85|           de grandes bottes.~ ~ ~– Est-il à pied ou à cheval ?~ ~ ~–
 66  III,      86|              M. le duc de Choiseul est-il à Versailles ? demanda le
 67  III,      86|      heures de l’après-midi.~ ~ ~– Est-il à son hôtel ? est-il au
 68  III,      86|               Est-il à son hôtel ? est-il au château ?~ ~ ~– Il est
 69  III,      86|            remis une lettre.~ ~ ~– Est-il défendu, sire, à un frère
 70  III,      89|    bruyamment en disant :~ ~ ~– Où est-il, ce cher duc ?~ ~ ~ ~Cet
 71  III,      93|     pareille maladresse du hasard. Est-il bien agréable que ce petit
 72  III,      93|         riposter à M. de Taverney, est-il bien certain que ce petit
 73  III,      96|    monseigneur.~ ~ ~– Quelle heure est-il ?~ ~ ~– L’heure ne fait
 74  III,      97|             Mon oncle, lui dit-il, est-il vrai que vous, l’homme le
 75  III,      98|         dos, en observateur.~ ~ ~– Est-il possible ! murmura Richelieu
 76  III,     105|         les lèvres de Marat.~ ~ ~– Est-il d’habitude que l’on parle
 77  III,     106|  Assurément.~ ~ ~– Involontaire, n’est-il pas vrai ?~ ~ ~– Oui… J’
 78  III,     106|        régions libres et pures. Qu’est-il donc resté au chirurgien ?
 79  III,     110|     monsieur Rousseau, fit le roi, est-il vrai que vous vous habillez
 80  III,     114|            de sonner. Quelle heure est-il, s’il vous plaît ?~ ~ ~–
 81  III,     116|          de sa satisfaction ? Quel est-il, je vous prie ?~ ~ ~– Ah !
 82  III,     120|           la rue, elle sort.~ ~ ~– Est-il bien tard ?~ ~ ~– Il doit
 83  III,     122|              Avec Sultan.~ ~ ~– Où est-il ?~ ~ ~– Dans la cour de
 84  III,     123|            oubliez la clef !~ ~ ~– Est-il donc si difficile d’ouvrir
 85  III,     123|           puissant qu’un roi, quel est-il ?~ ~ ~– Ce qu’il est, personne
 86   IV,     129|         couleurs naturelles.~ ~ ~– Est-il vide aussi ?~ ~ ~– Non,
 87   IV,     130|        opéra, voilà tout.~ ~ ~– Qu’est-il arrivé alors ?~ ~ ~– Voilà
 88   IV,     132|     reproche et de surprise.~ ~ ~– Est-il possible, disait ce regard
 89   IV,     132|         expressif dans son atonie, est-il croyable que tant de malheurs,
 90   IV,     133|           tien, respecté, caressé, est-il entendu avec faveur à la
 91   IV,     136|                   Mais de qui donc est-il question, duc ? Achevez,
 92   IV,     137|           un peu subtile. Toujours est-il que le fleuriste doit goûter
 93   IV,     141|           il est de service.~ ~ ~– Est-il de service en ce moment ?~ ~ ~–
 94   IV,     148|        tâcherai.~ ~ ~– Eh bien, qu’est-il arrivé ? Dites.~ ~ ~– Un
 95   IV,     151|            obligations naturelles, est-il en ce monde un lien qui
 96   IV,     151|            question. Dites, dites, est-il naturel qu’un père abandonne
 97   IV,     151|      adresse de quelqu’un à Paris, est-il possible de se la procurer ?~ ~ ~–
 98   IV,     154|           Oh ! c’est d’un lâche !… Est-il une place sensible en l’
 99   IV,     155|        fais-tu donc alors ?… Que t’est-il arrivé ?~ ~ ~– Il est arrivé
100   IV,     158|      réveiller… Mais mon frère, où est-il ? Voyez dans sa chambre.~ ~ ~ ~
101   IV,     162|        prévenue.~ ~ ~– M. le baron est-il bien ?~ ~ ~– Bien, oui,
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