Tome,  Chap.

  1    I,       1|         chevaux s’emportèrent de douleur, et l’équipage vola comme
  2    I,       9|        avec un geste d’indicible douleur.~ ~ ~– Qu’avez-vous ? demanda
  3    I,       9|          sous l’impression d’une douleur visiblement moins vive que
  4    I,      11|       avait cruellement senti la douleur de cette punition ; mais
  5    I,      11|         une sombre expression de douleur.~ ~ ~ ~Ses draps, roulés
  6    I,      11|       échappait comme un râle de douleur, et elle poussait un gémissement
  7    I,      11|      grande et en même temps une douleur si aiguë, qu’elle retomba
  8    I,      15|     aurez.~ ~ ~– J’aurai donc la douleur de les voir mourir ?~ ~ ~–
  9    I,      19|         obscurité sa honte et sa douleur.~ ~ ~ ~Le contrevent se
 10    I,      24|      pardonnera, dit-elle, si la douleur de la sœur l’a emporté sur
 11    I,      27|        aller à Marly, et trop de douleur à Versailles eût nécessairement
 12    I,      35|          boudoir de Luciennes sa douleur et son inquiétude, maudissant
 13    I,      37|      avait failli succomber à la douleur.~ ~ ~– Qui t’a remis cela,
 14   II,      50|          croisant les mains avec douleur ; pauvres parents ! les
 15   II,      50|     nouvelle, qui ne me causa ni douleur ni joie. On eût dit que
 16   II,      53|      était l’âme ulcérée par une douleur que le bon accueil de Philippe
 17   II,      53|     point de contact, ni pour la douleur ni pour la joie. Elle passait
 18   II,      53|   roulait ainsi, terrassé par sa douleur, savait-il s’il aimait ou
 19   II,      54|         et se croyant sublime de douleur, quand malheureusement il
 20   II,      54|    écrasé de fatigue et brisé de douleur. c’est celle que j’ai été
 21   II,      56|      tour, écrasé sous l’immense douleur de cette femme au cœur brisé.~ ~ ~–
 22   II,      65|          fronça le sourcil : une douleur qu’il n’avait point ressentie
 23   II,      67| décuplées déjà par là peur et la douleur, se centuplaient par l’adjonction
 24   II,      68|          instant, emporté par la douleur, on l’entendit crier d’une
 25   II,      68|       passé devant une si grande douleur sans avoir essayé d’y apporter
 26   II,      68|        pardonnez-moi de mêler ma douleur à la vôtre, mais ceux qui
 27   II,      68|         femmes pour supporter la douleur.~ ~ ~– Une simple saignée,
 28   II,      69|        était cependant un cri de douleur.~ ~ ~– Ma fille ! dit-il ;
 29   II,      73|         toujours avec une légère douleur.~ ~ ~– Et les forces ?~ ~ ~–
 30   II,      76|      écria Gilbert abîmé dans sa douleur, parce qu’il voyait à jamais
 31   II,      79|         qui témoignaient de leur douleur et de leur surprise.~ ~ ~ ~
 32  III,      98|      message sur-le-champ. »~ ~– Douleur ! tu ne me feras pas dire
 33  III,     105|          Si fait, j’ai trouvé la douleur : est-ce la douleur que
 34  III,     105|    trouvé la douleur : est-ce la douleur que vous appelez l’âme ?~ ~ ~–
 35  III,     105|         serait instantanée et la douleur rapide ?~ ~ ~– La mort serait
 36  III,     105|         donnent le mouvement. La douleur serait rapide, puisque le
 37  III,     105|        le membre engourdi par la douleur n’avait pas suffi ; le mal
 38  III,     105|          bientôt lui arracher la douleur.~ ~ ~ ~Cependant, quand
 39  III,     105|           non du mal, mais de la douleur : voilà ce que lui vaudra
 40  III,     105|      dire au philosophe grec : « Douleur, tu n’es pas un mal ! »
 41  III,     106|      gouffre de souffrance où la douleur la retenait, pour la faire
 42  III,     111|   recevait le coup avec honte et douleur. Il n’y avait pas d’indifférents,
 43  III,     113|        je vois avec une profonde douleur que je m’étais trompé.~ ~ ~–
 44  III,     114|  surprise que motivait l’extrême douleur d’Andrée.~ ~ ~ ~En effet,
 45  III,     115|      violemment ému.~ ~ ~ ~Cette douleur, qui avait fait frissonner
 46  III,     117|        souffert que de ma propre douleur et non de la douleur d’autrui.
 47  III,     117|      propre douleur et non de la douleur d’autrui. Cette épreuve
 48  III,     117|       maigrir, pâlir, expirer de douleur comme moi ; que j’entendrai
 49  III,     117|      Tue-moi sans secousse, sans douleur, sans agonie ; accorde-moi
 50  III,     120|   devenir orphelins.~ ~ ~ ~Cette douleur intime était née à Andrée
 51  III,     120|       son frère ; et pourtant la douleur n’était pas sans mélange :
 52  III,     120|          blessure cicatrisée. La douleur continue s’est éteinte,
 53  III,     123|     opprime et me fait mourir de douleur.~ ~ ~ ~M. de Sartine regarda
 54   IV,     129|      ciel, sans secousse et sans douleur.~ ~ ~ ~
 55   IV,     132|        Parfois aussi, lorsque la douleur de cette désillusion était
 56   IV,     132|            à travers son immense douleur, il prenait ce qui lui arrivait
 57   IV,     132|     sourires qui sont fils d’une douleur infinie et inguérissable,
 58   IV,     134|       fut réveillé au fond de sa douleur ; il reprit dans ses bras
 59   IV,     134|        sensation, écoutant toute douleur, comme une dernière voix
 60   IV,     140|        cette âme si délicate, la douleur avait pris tous les caractères
 61   IV,     142|          s’écria Philippe fou de douleur et entrecoupant chacune
 62   IV,     143|         chancelait, portant avec douleur son mouchoir à ses lèvres.~ ~ ~ ~
 63   IV,     144|         docteur, qu’en voyant la douleur et qu’en pressentant la
 64   IV,     144|        caractère d’une véritable douleur, si je ne consultais votre
 65   IV,     144|        voulez-vous m’épargner la douleur de vous faire rougir ?~ ~ ~–
 66   IV,     144|         homme, qui se tordait de douleur et qui, au moment où se
 67   IV,     144|          porte, tombait abîmé de douleur sur un fauteuil, à deux
 68   IV,     144|        sans chercher à éviter la douleur de la piqûre.~ ~ ~ ~Et elle
 69   IV,     144|       élança en avant, pleine de douleur et de démence, et son élan
 70   IV,     144| résignerai, je garderai toute ma douleur pour moi, j’étoufferai cette
 71   IV,     145|    tristesse. Il ne vit pas sans douleur se flétrir la beauté, la
 72   IV,     145|                 Gilbert, ivre de douleur et d’impatience, battait
 73   IV,     145|          naître et grandir cette douleur : sa terrible scène avec
 74   IV,     148|         exprima la plus profonde douleur.~ ~ ~– Dites quel est cet
 75   IV,     148|         tous les symptômes de la douleur et de la lassitude.~ ~ ~–
 76   IV,     150|       émotion ; c’est une grande douleur dans mon malheur.~ ~ ~–
 77   IV,     151|             Oh ! dit-il avec une douleur poignante, ce n’est ni d’
 78   IV,     151|         depuis huit jours est la douleur de la faim, dans les muscles
 79   IV,     151|          de vie pour absorber la douleur que je n’en eus jamais dans
 80   IV,     151|      avec fureur. Je mourrais de douleur si elle me recevait avec
 81   IV,     152|         aller à une extravagante douleur ; il se heurta la tête contre
 82   IV,     152|         peu à peu, soulagé de sa douleur par l’explosion de sa douleur,
 83   IV,     152|    douleur par l’explosion de sa douleur, Gilbert se souleva, respira
 84   IV,     154|          il put, sans expirer de douleur et de rage, supporter les
 85   IV,     154|     disait cela en se roulant de douleur sur son matelas, en se rappelant
 86   IV,     154|          pousseras pas un cri de douleur, que je ne te promette une
 87   IV,     154|        que je ne te promette une douleur plus aiguë ; tu n’ébaucheras
 88   IV,     155|        ne contenait cependant ni douleur ni joie ; maître Gilbert,
 89   IV,     156|         puis, voyant toute cette douleur que sans doute elle comprit,
 90   IV,     157|    enfant sans père~ ~Le jour de douleur, le jour de honte approchait.
 91   IV,     157|          c’est-à-dire hors de la douleur qui la tuait.~ ~ ~ ~Un soir
 92   IV,     157|    lèvres violacées.~ ~ ~– Cette douleur, cette chute, cette colère
 93   IV,     157|           se soulevant malgré la douleur, suspendit ses deux bras
 94   IV,     158|      frappa le cerveau comme une douleur d’abord, puis comme une
 95   IV,     158|         de ses préparations ; la douleur physique, cette puissante
 96   IV,     158|      malheur nouveau, ni à cette douleur immense. Il rassembla toute
 97   IV,     159|          pauvre enfant, à qui la douleur arracha les cris entendus
 98   IV,     160|          pauvre père est mort de douleur.~ ~ ~ ~Les deux bonnes femmes
 99   IV,     163|          murmura Andrée, dont la douleur éclata en sanglots.~ ~ ~–
100   IV,     Epi|   ouvrant ses yeux fermés par la douleur et la fièvre.~ ~ ~– Votre