Tome,  Chap.

 1    I,       6|          ce sont les sots qui ont affaire au bûcher ou à la corde.
 2    I,      10|             À qui donc aviez-vous affaire dans le pavillon ? Au sorcier ?~ ~ ~–
 3    I,      12|       hôte, j’avoue que vous avez affaire à l’incrédule le plus endurci…~ ~ ~ ~
 4    I,      14|          facilement qu’elle avait affaire à quelque chose de mieux
 5    I,      21|          passait. Pas de mauvaise affaire, mon ami ! en mission, il
 6    I,      22|          lieutenant, ceci est une affaire personnelle. Allons, monsieur
 7    I,      23|             Mais dans toute cette affaire de la présentation, dans
 8    I,      24|         les provisions, c’est mon affaire. La vôtre, sire, est de
 9    I,      24|           semble que ceci est une affaire de votre ressort.~ ~ ~–
10    I,      26|        Vous connaissez donc cette affaire, monsieur ? demanda le roi
11    I,      26|         autre moyen de se tirer d’affaire que de s’emporter.~ ~ ~–
12    I,      26|          pas possible ; je sais l’affaire : vous êtes mal renseigné,
13    I,      26|         monsieur le duc, la belle affaire dans laquelle vous m’entraînez !~ ~ ~–
14    I,      26|         est libre encore.~ ~ ~– L’affaire ainsi abandonnée à elle-même
15    I,      26|       raison à quelqu’un dans une affaire noire comme de l’encre !
16    I,      28|        déchirez-vous, c’est votre affaire ; pourvu que vous ne me
17    I,      29|         Le vieux procès était une affaire d’où dépendait toute sa
18    I,      29| certainement dirigé elle-même son affaire, assigné, plaidé, exécuté,
19    I,      29|       dispendieux.~ ~ ~– Mais mon affaire ?~ ~ ~– Je me réserve de
20    I,      29|      annonçait l’évocation de mon affaire ; c’était imminent ; je
21    I,      29|     Flageot, voilà ; c’est pour l’affaire Béarn !~ ~ ~ ~Et il lui
22    I,      29|       pour mardi, parce que notre affaire est évoquée.~ ~ ~– Évoquée !
23    I,      29|     craignez de vous charger de l’affaire.~ ~ ~– Madame, répondit
24    I,      29|   abandonné les parlements dans l’affaire de M. d’Aiguillon. L’union
25    I,      29|          louvoyé dans toute cette affaire, comme nous avons à nous
26    I,      30|   interrompait, en général, toute affaire depuis le dîner jusqu’au
27    I,      30|         très humblement une grave affaire de laquelle dépend toute
28    I,      30|              J’examine donc votre affaire en simple jurisconsulte,
29    I,      30|         ces matières.~ ~ ~– Votre affaire vient bientôt, je crois ?~ ~ ~–
30    I,      30|      monseigneur ?~ ~ ~– De votre affaire ?~ ~ ~– Oui.~ ~ ~– Je dis
31    I,      30|                 Et il raconta son affaire au chancelier, qui l’écouta
32    I,      30|              Écoutez, monsieur, l’affaire ne s’est-elle pas passée
33    I,      30|    consentez à me servir en cette affaire, très probablement les Choiseul
34    I,      31|        Oui, oui, je connais cette affaire, dit la comtesse. Sa Majesté
35    I,      31|     Majesté était au courant de l’affaire, si elle savait que c’est
36    I,      31|       jugement de Dieu eût vidé l’affaire. Quant à moi, j’ai une telle
37    I,      31|      entendait madame exposer son affaire, comme elle vient de le
38    I,      31|        préoccupée que d’une seule affaire.~ ~ ~– Celle des parlements ?
39    I,      31|          agréable. Vous entamez l’affaire du procès, vous faites valoir
40    I,      31|    Majesté comprend, recommande l’affaire, et votre procès, que vous
41    I,      31|      comtesse espérant se tirer d’affaire par ce biais, et je préférerais
42    I,      31|         je prends intérêt à cette affaire qui ne me regarde pas ;
43    I,      34|         me parlerez plus de cette affaire du vicomte Jean avec le
44    I,      34|          peu de chose auprès de l’affaire de la présentation.~ ~ ~–
45    I,      34|         débarrassé de cette sotte affaire de la présentation, qui
46    I,      34|           et à venir. Ce sera une affaire alors entre la pauvre comtesse,
47    I,      37|           dernier moment. C’est l’affaire de deux heures encore. À
48    I,      38|          aussi je suis sûr de mon affaire. Demain, j’entre dans mon
49   II,      42|       pain.~ ~ ~– Bon ! voici mon affaire, dit Gilbert en écartant
50   II,      48|          se tireraient toujours d’affaire.~ ~ ~ ~Il y avait une tante,
51   II,      58|         ils ont l’honneur d’avoir affaire à des princes, et ils se
52   II,      60|                  Parce que j’y ai affaire.~ ~ ~– Tu as affaire en
53   II,      60|           ai affaire.~ ~ ~– Tu as affaire en France ?~ ~ ~– Oui, et
54   II,      60|      lugubre éclat de rire.~ ~ ~– Affaire, dit-il, affaire en France.
55   II,      60|                  Affaire, dit-il, affaire en France. Ah ! oui, c’est
56   II,      61|           vrai. Eh bien, la belle affaire !~ ~ ~– Comment ! la belle
57   II,      61|                Comment ! la belle affaire ? Sais-tu qu’il y a à cette
58   II,      62|        Chon ; ce garçon là a vu l’affaire des chevaux de poste. S’
59   II,      63|          et que vous n’avez point affaire aux philosophes.~ ~ ~– Ah !
60   II,      63|  plates-bandes.~ ~ ~– Voilà votre affaire ; justement Jussieu est
61   II,      73|          extrême dans toute cette affaire, à ce qu’il m’a semblé du
62   II,      77|            qu’il a fait une telle affaire des parlements et des Anglais,
63   II,      77|               C’est la principale affaire.~ ~ ~– Car ce quelqu’un
64   II,      77|         qui a donné le branle à l’affaire La Chalotais. Ma foi, c’
65   II,      77|        bien, maréchal, est-ce une affaire entendue ?~ ~ ~– J’aurai
66   II,      79|          la bagarre, avait pris l’affaire à cœur ; mais M. l’avocat
67   II,      79|      Aiguillon d’avoir commencé l’affaire La Chalotais, mais je ne
68   II,      79|      trompés… Mais laissons cette affaire qui m’afflige et dont le
69   II,      81|           capable de nous tirer d’affaire ?~ ~ ~– Je le crois capable
70  III,      82|          avais à lui parler d’une affaire pressée ; je me suis mis
71  III,      82|         en supplie ; chacun à son affaire. Le roi est là-bas, sous
72  III,      82|           châtaigniers, vous avez affaire au roi, à merveille. Champagne !~ ~ ~ ~
73  III,      87|         Barry… Parbleu ! la belle affaire… une femme accomplie.~ ~ ~ ~
74  III,      90|         est mon adversaire dans l’affaire du relais, vous savez ?~ ~ ~–
75  III,      90|        votre bonheur… Adieu, j’ai affaire ; ne m’oubliez pas dans
76  III,      93|                Ma foi ! c’est ton affaire, duc ; tu me l’as demandée,
77  III,      94|           ce n’est pas une grande affaire, n’est-ce pas ?~ ~ ~– Il
78  III,      96|    monsieur de Rafté ; eh bien, l’affaire est faite !~ ~ ~– C’est
79  III,      96|           et vous abandonne cette affaire, qui doit être avantageuse
80  III,      97|   difficilement, cela te tirera d’affaire ; tandis que, si tu veux
81  III,      98|                  Mais c’est votre affaire, cela, monsieur Rafté.~ ~ ~–
82  III,      99|        Monsieur le duc, c’est une affaire remise indéfiniment.~ ~ ~–
83  III,      99|          ses mains une importante affaire de laquelle dépend la fortune
84  III,      99|     talent, il ose le dire, cette affaire marchait à bien, et le droit
85  III,      99|        qui vous aiderait en cette affaire, quelqu’un de bien puissant…
86  III,      99|       plaisir de bien étudier mon affaire ; elle arrivera au rôle
87  III,     106|      effet cette âme n’avait plus affaire à ce corps, elle qui était
88  III,     107|          ne se souciait pas d’une affaire avec le commissaire, affaire
89  III,     107|      affaire avec le commissaire, affaire qui l’eût mis entre les
90  III,     111|           vous parler de certaine affaire qui vous regarde.~ ~ ~–
91  III,     112|          diabolique, lorsque j’ai affaire à une aussi admirable vertu
92   IV,     125|       tête.~ ~ ~– Qu’est-ce que l’affaire des grains ? dit-il en affectant
93   IV,     125|           M. de Sartine. La belle affaire !~ ~ ~– Ah ! mais comprenez
94   IV,     136|             Mais ce n’est pas mon affaire, duc. Mais j’ai un ministre
95   IV,     137|           à vous entretenir d’une affaire sérieuse.~ ~ ~– Oui, mon
96   IV,     146|          le faut ; c’est pour une affaire de la plus haute importance.~ ~ ~ ~
97   IV,     149|         désir que sur toute cette affaire le secret fût gardé ?~ ~ ~ ~
98   IV,     161|         fut chez le tabellion une affaire bien promptement réglée.
99   IV,     162|          sa complicité dans cette affaire. M. de Taverney croyait