Tome,  Chap.

 1    I,      36|          malade, et vous savez ce que Rafté a répondu : que je me portais
 2  III,      89|               fallait… Voyons, où est Rafté ?~ ~ ~– M. Rafté dort, dit
 3  III,      89|               où est Rafté ?~ ~ ~– M. Rafté dort, dit le valet de chambre.~ ~ ~–
 4  III,      89|             parut sur le seuil, voilà Rafté ; que lui veut-on ?~ ~ ~ ~
 5  III,      89|           peine.~ ~ ~– Mais, mon cher Rafté, tu vois que, moi, je ne
 6  III,      89|             Oh ! comme tu as vieilli, Rafté.~ ~ ~– J’ai juste quatre
 7  III,      89|                     Ah ! par exemple, Rafté, dit le vieux maréchal en
 8  III,      89|               Tenez, monseigneur, dit Rafté, pourquoi diable vous êtes-vous
 9  III,      89|       chocolat, par curiosité ?~ ~ ~– Rafté, tu n’es qu’un paresseux ;
10  III,      89|              sommes à la Guerre ? fit Rafté.~ ~ ~– Mon Dieu oui, il
11  III,      89|                Ah çà ! mais, continua Rafté, je n’ai pas vu la nomination
12  III,      89|             tu es devenu désagréable, Rafté, en vieillissant ! tu es
13  III,      89|               la ville.~ ~ ~– Ah ! M. Rafté s’égaie à mes dépens ?~ ~ ~–
14  III,      89|               y suis peut-être.~ ~ ~ ~Rafté en avait assez fait pour
15  III,      89|           toute son agilité d’esprit. Rafté, voyant son maître si bien
16  III,      89|          allais être populaire, hein, Rafté ?~ ~ ~– Nous sommes au temps
17  III,      89|               le brevet officiel dont Rafté suspectait l’envoi ou déplorait
18  III,      89|             Eh ! de votre qualité, M. Rafté, mon secrétaire, en a mille
19  III,      89|      bibliothèque, mon cher monsieur, Rafté vous le fera lire.~ ~ ~ ~
20  III,      90|             adieu.~ ~ ~ ~Jean partit. Rafté rentra. Il avait tout entendu
21  III,      90|      secrétaire lui fit avaler.~ ~ ~ ~Rafté ferma les rideaux et sortit.
22  III,      90|          empressés, déjà aux écoutes. Rafté prit le premier valet de
23  III,      90|                soigne-le bien !~ ~ ~ ~Rafté, après ces quelques mots
24  III,      93|         disparaîtra sous les mains de Rafté en un quart d’heure. Je
25  III,      94|              étage, où l’attendait M. Rafté, écrivant force lettres
26  III,      94|         jouant le plus grand rôle, le Rafté, en théorie du moins, était
27  III,      94| fortifications et les manœuvres comme Rafté en écrivait chaque semaine.~ ~ ~ ~
28  III,      94|              chaque semaine.~ ~ ~ ~M. Rafté était donc occupé à rédiger
29  III,      94|             et lui dit :~ ~ ~– Tiens, Rafté, regarde-moi cette enfant.~ ~ ~ ~
30  III,      94|       regarde-moi cette enfant.~ ~ ~ ~Rafté regarda.~ ~ ~– Très aimable,
31  III,      94|               mais sa ressemblance ?… Rafté, c’est de sa ressemblance
32  III,      94|             blonds, comme vous voyez, Rafté ; mais ce n’est pas une
33  III,      94|          noirs, monseigneur, répliqua Rafté, qui avait pris l’habitude
34  III,      94|             effet, dix minutes après, Rafté, à l’aide d’une composition
35  III,      94|           ruelles de sa connaissance, Rafté teignit d’un noir de jais
36  III,      94|          enfant, dit-il, à côté de M. Rafté. Ouvrez vos oreilles bien
37  III,      94|               et écoutez-moi… Oh ! M. Rafté ne nous gêne pas, n’ayez
38  III,      94|               de M. de Richelieu avec Rafté et Nicole dura une grande
39  III,      94|             chambre de l’hôtel.~ ~ ~ ~Rafté se remit à son mémoire militaire,
40  III,      95|          devait à la générosité de M. Rafté.~ ~ ~– Mon père a besoin
41  III,      96|               maréchal.~ ~ ~ ~Grâce à Rafté, tout Versailles avait su
42  III,      96|              à Versailles.~ ~ ~ ~Mais Rafté, en faction à sa petite
43  III,      96|             du maréchal ; il y trouva Rafté, lequel, avec un sourire
44  III,      96|           pour plusieurs jours.~ ~ ~ ~Rafté, qu’il consulta sur ce point,
45  III,      96|                     C’est sûr ?~ ~ ~ ~Rafté tira de sa poche une lettre
46  III,      96|             part jusqu’à jeudi.~ ~ ~ ~Rafté suivit ponctuellement ces
47  III,      96|          Richelieu. Il n’y trouva que Rafté.~ ~ ~ ~M. le maréchal, répondit
48  III,      96|             quelque mauvaise humeur à Rafté, car il prenait l’excuse
49  III,      96|               Ce fut bien pis lorsque Rafté lui répondit que le maréchal
50  III,      96|               passant.~ ~ ~– Écoutez, Rafté, dit d’Aiguillon, qui s’
51  III,      96|                 Ne m’interrompez pas, Rafté ; vous avez été pour moi
52  III,      96|      comprends… et j’ai votre parole, Rafté.~ ~ ~ ~À ces mots, le duc
53  III,      96|               Il ne se doute de rien, Rafté ? dit-il.~ ~ ~– De rien,
54  III,      96|               chez l’imprimeur.~ ~ ~ ~Rafté n’avait point achevé quand
55  III,      96|            violente antipathie.~ ~ ~ ~Rafté poussa le maréchal dans
56  III,      96|          Votre serviteur, monsieur de Rafté ; eh bien, l’affaire est
57  III,      96|        ensuite que fait-on ? continua Rafté.~ ~ ~– La forme, cher monsieur
58  III,      96|               forme, cher monsieur de Rafté. MM. les commissaires, sûrs
59  III,      96|       est-à-dire le malheur, monsieur Rafté, se trouve en son hôtel
60  III,      96|           parler à sa personne.~ ~ ~ ~Rafté fit un brusque mouvement
61  III,      97|            empêcher de soupirer quand Rafté lui demanda compte de sa
62  III,      97|         secrétaire.~ ~ ~– Oui et non, Rafté ; mais la blessure n’est
63  III,      97|             avons couru deux lièvres, Rafté… C’est une grande folie…~ ~ ~–
64  III,      97|               prend le bon ? répliqua Rafté.~ ~ ~– Eh ! mon cher, le
65  III,      97|              celui qu’on tient.~ ~ ~ ~Rafté haussa les épaules, et cependant
66  III,      97|          entends rien à la politique, Rafté.~ ~ ~– Monseigneur, ce n’
67  III,      97|              mal.~ ~ ~– Nous verrons, Rafté, les moyens de maître Flageot.~ ~ ~–
68  III,      97|               ministre. On est oncle, Rafté, ou on ne l’est pas.~ ~ ~ ~
69  III,      97|           être ministre, lui répliqua Rafté.~ ~ ~ ~
70  III,      98|        régulière, vit entrer chez lui Rafté, tenant une lettre à la
71  III,      98|                     Qu’est-ce encore, Rafté ? demanda le maréchal.~ ~ ~–
72  III,      98|            vous préviens, interrompit Rafté, que l’huissier, en me remettant
73  III,      98|           vous faites la grimace, dit Rafté les mains derrière le dos,
74  III,      98|                Lis et commente.~ ~ ~ ~Rafté lut à son tour ce billet ;
75  III,      98|               jetterait pas, monsieur Rafté, j’ai dit qu’il s’en tirerait…
76  III,      98|               me semble.~ ~ ~– Maître Rafté, vous êtes un niais. Je
77  III,      98|            répliqua philosophiquement Rafté.~ ~ ~– Vous m’y avez poussé,
78  III,      98|             me semble.~ ~ ~– Monsieur Rafté, vous êtes un impertinent !~ ~ ~–
79  III,      98|           voilà qui me rassure.~ ~ ~– Rafté, si c’est comme cela que
80  III,      98|              Expliquez-vous, monsieur Rafté, et, si j’ai tort, je l’
81  III,      98|                   Eh bien, poursuivit Rafté, le parlement était assez
82  III,      98|              les humeurs noires de M. Rafté ; il savait qu’une fois
83  III,      98|           enverrez à M. d’Aligre, dit Rafté d’un ton bourru, la lettre
84  III,      98|               affaire, cela, monsieur Rafté.~ ~ ~– Non pas, non pas…
85  III,      99|              attira l’attention de M. Rafté, lequel avait besoin de
86  III,      99|          amène.~ ~ ~– Les sacs que M. Rafté m’a remis l’autre jour.~ ~ ~–
87  III,      99|          comtesse à sa voiture.~ ~ ~– Rafté avait raison, dit-il, les
88  III,      99|              Décidément, ce diable de Rafté est de mon école et j’en
89  III,     113|      avez-vous quelqu’un ?~ ~ ~– J’ai Rafté.~ ~ ~– Bon !~ ~ ~– Que doit-il
90  III,     113|               convenu, sire, j’envoie Rafté à la découverte ?~ ~ ~–
91  III,     113|            chut ! Donnez vos ordres à Rafté et venez me rejoindre dans
92  III,     118|           avoue que, sans l’eau de M. Rafté, qui a fait de toi une charmante
93   IV,     135|           vanille, en compagnie de M. Rafté, lequel lui demandait ses
94   IV,     135|            voulait dire que, tant que Rafté serait là, on n’aurait pas
95   IV,     135|       explication de ce soupir.~ ~ ~ ~Rafté comprit sans avoir la peine