Tome,  Chap.

 1    I,       1|       autre résultat que de faire croire à quelque invention nouvelle
 2    I,       5|            comme je commence à le croire…~ ~ ~– Oh ! ce n’est pas
 3    I,       6|         dit. Aujourd’hui, pour ne croire ni à l’un ni à l’autre,
 4    I,       6|         point.~ ~ ~– Mais comment croire sérieusement, voyons !…
 5    I,      10|        cou, quoique je commence à croire que ce serait un grand bonheur
 6    I,      11|   comprendre, mais qui ne pouvait croire encore.~ ~ ~– Je dis que
 7    I,      12|        est diablement difficile à croire, répétait le baron, et à
 8    I,      14|        princes… de l’Église, pour croire aux colères célestes à propos
 9    I,      18| sentiments, qu’elle était loin de croire trouver chez l’étourdie
10    I,      19|        perdues.~ ~ ~ ~On pourrait croire que Gilbert ne voulut point,
11    I,      23|           Allons, je veux bien le croire.~ ~ ~– Croyez-le.~ ~ ~–
12    I,      25|  Strasbourg. Comment donc peux-tu croire qu’avec toutes ces ressources
13    I,      27|        pas, sire. Ne laissons pas croire que cette séparation soit
14    I,      29|          vos terres et de ne plus croire désormais ceux qui se présenteront
15    I,      30|         vous avez aussi raison de croire qu’en prenant les sceaux
16    I,      30|     chancelier, il ne faut jamais croire que la moitié de ce que
17    I,      34|      Majesté me fera l’honneur de croire, dit la comtesse en souriant,
18    I,      34|            Sire, je suis tenté de croire qu’elle s’est lassée de
19    I,      35|       daignez le permettre. J’ose croire, sire, que Votre Majesté
20    I,      36|           le duc, je vous prie de croire que j’aurais quelque droit
21    I,      38|          De même, duc, je pouvais croire aller à Versailles, mais
22   II,      43|      recherche qui pourrait faire croire à une meilleure éducation
23   II,      45|         rien ne vous empêchera de croire demain matin que vous avez
24   II,      46|          Gilbert, je vous prie de croire que j’ai compris tout ce
25   II,      49|           il n’avait pas voulu en croire d’abord les yeux de sa fille,
26   II,      49|          les peines du monde à en croire ses propres yeux.~ ~ ~ ~
27   II,      49|          comme s’il ne pouvait en croire ni ses yeux ni ses oreilles ;
28   II,      50|    croyais pas, je ne pouvais pas croire que cet homme fût un bandit.~ ~ ~«
29   II,      51|       bien certainement on devait croire que j’avais agi de complicité
30   II,      51|          cherchez plus à me faire croire aux surnaturelles visions
31   II,      51|   désespérait et ne voulait point croire à ma mort ; elle déclara
32   II,      52|         princesse.~ ~ ~– Pourquoi croire cela, Madame, quand loin
33   II,      52|    Lorenza »~ ~ ~– C’est à ne pas croire, dit la princesse, et je
34   II,      57|          en arriverai peut-être à croire que vous aviez avec ces
35   II,      59|       impossible que vous ayez pu croire un instant à mon intention
36   II,      59|    trahirait, il ne voulut pas me croire, et le chevalier de Préault
37   II,      60|         cet homme, qui forçait de croire aux choses impossibles,
38   II,      63|       moment.~ ~ ~– Je commence à croire que oui, dit-il, et sans
39   II,      64|     rester, M. de la Vauguyon put croire que Sa Majesté comprenait
40   II,      64|         je continuerai même de le croire, à moins toutefois que Votre
41   II,      66|           monde, et, s’il faut en croire les chants modernes de nos
42   II,      69|          serait chose difficile à croire, si nous n’avions pas dessiné
43   II,      71|          lucarne de façon à faire croire à la curieuse Chon qu’il
44   II,      71|     arrive, comme tout me le fait croire, je file sous la lucarne
45   II,      74|         en chantonnant pour faire croire à la tranquillité de son
46   II,      77|          comtesse ! je commence à croire, non pas que vous êtes folle,
47  III,      82|                   Mais on va vous croire enlevée, perdue.~ ~ ~– D’
48  III,      84|        comme le duc, j’ai peine à croire, pardonnez-moi, monsieur
49  III,      84|         Je ne vous prie pas de me croire, monsieur le duc, et ce
50  III,      85|             Cela ne s’appelle pas croire, cela s’appelle voir.~ ~ ~–
51  III,      92|          pouvait lui permettre de croire qu’aucune visite ne lui
52  III,      93|         la porte, sans pouvoir en croire son oreille.~ ~ ~ ~Mais,
53  III,      95|         leurs paroles, et il faut croire qu’il fut heureux du résultat,
54  III,      97|          ayez jugé assez mal pour croire que je ne ferais pas de
55  III,      98|          au monde.~ ~ ~« Veuillez croire à mon tendre respect, mon
56  III,      98|            Vous ne vouliez pas le croire hier.~ ~ ~– Je n’ai pas
57  III,     102|          j’aurai fait la folie de croire qu’il peut venir de bonnes
58  III,     102|           beau, j’ai été dupe d’y croire… Je ne veux pas de craintes,
59  III,     103|      rigueur et violence : lequel croire ? Il en sera donc de l’assemblée
60  III,     104|          du peuple en lui faisant croire, voir même quelquefois qu’
61  III,     106|         générale, c’est-à-dire de croire Balsamo aussi fou que le
62  III,     109|           en clignant vous faites croire qu’ils sont grands comme
63  III,     110|     vérité, personne ne le voudra croire.~ ~ ~– Rousseau ? murmurèrent
64  III,     112|         Taverney, et l’aidèrent à croire qu’il devait être convaincu.~ ~ ~ ~
65  III,     113|      Taverney devait continuer de croire ce que Richelieu lui avait
66  III,     113|        maréchal, sire, si j’osais croire que c’est aussi l’avis de
67  III,     113|            mon cher duc, signifie croire ; or, rien ne me fera croire
68  III,     113|      croire ; or, rien ne me fera croire certaines choses.~ ~ ~–
69  III,     114|          C’est vous. Qui m’a fait croire que les créatures de Dieu
70  III,     118|    monseigneur, car je commence à croire, comme vous, que l’on courra
71  III,     118|    incrédule, et il ne voudra pas croire à ce que je lui dirai, si
72   IV,     126|          M. de Sartine commence à croire que Balsamo est sorcier~ ~
73   IV,     127|           à ce point qu’on eût pu croire qu’il allait mourir.~ ~ ~–
74   IV,     127|      multitude ; tu veux me faire croire à la créature immaculée
75   IV,     127|           tu es assez sot pour me croire à ta merci ? Oui ou non,
76   IV,     130|       alors, on ne me fera jamais croire que ces petits chiffres
77   IV,     133|     paradoxes qui nous ont laissé croire que tu jouais un rôle en
78   IV,     135|     desquels Hoffmann nous a fait croire depuis. Il entendit le craquement
79   IV,     135|      seulement, tu ne veux pas la croire, voilà tout.~ ~ ~– Comment,
80   IV,     135|                En vérité, c’est à croire que le roi s’amuse de tes
81   IV,     136|            comment pourrais-je le croire ?… Quoi ! sire, contrefaite
82   IV,     139|       cœur, moi ; et puis comment croire que cet Aristide de province
83   IV,     140|    isolement, qu’il ne voulut pas croire qu’Andrée, cette moitié
84   IV,     142|           dire !… vous me laissez croire des choses !… Oh ! ce n’
85   IV,     142|         mais, songez-y donc, vous croire, c’est renoncer à la religion
86   IV,     143|       Andrée ; lui qui pouvait la croire pareille à toutes ces filles
87   IV,     148|           mal à toi, Philippe, de croire qu’Andrée t’a trompé.~ ~ ~–
88   IV,     151|       Avez-vous l’amour-propre de croire que c’est à vous que je
89   IV,     151|          autant qu’on pourrait le croire ; moi, j’ai vu une mère
90   IV,     152|    Gilbert, stupéfait, ne pouvait croire à ce qu’il entendait. Il
91   IV,     153|          voyait et entendait sans croire ; mais, la persienne s’ouvrant
92   IV,     155|     pareille heure.~ ~ ~ ~Il faut croire que l’ordre avait été donné
93   IV,     162|         du Barry. Le baron devait croire également que tôt ou tard
94   IV,     164|          dit-il, si je pouvais le croire, tu serais moins scélérat