Tome,  Chap.

 1    I,    IntI|            habitants d’aujourdhui a-t-il entendu raconter autrefois
 2    I,   IntII|                Oui. Quel châtiment a-t-il encouru ?~ ~ ~– La mort.~ ~ ~ ~
 3    I,   IntII|           du genre humain.~ ~ ~– Y a-t-il un signe certain auquel
 4    I,       2|           qu’il m’enlève.~ ~ ~– Qu’a-t-il donc fait encore, ce pauvre
 5    I,       3|           ici sans secours, et n’y a-t-il aucune créature humaine
 6    I,       3|            âmes, je crois.~ ~ ~– Y a-t-il d’ici quelque route de traverse
 7    I,       4|            ami, cherchez bien, n’y a-t-il donc aux environs d’ici
 8    I,       6|        Louis XV aussi. – Monsieur, a-t-il répondu, plutôt se passer
 9    I,       6|   paganisme, s’écria le baron. N’y a-t-il pas eu un philosophe grec, –
10    I,       6|           eu de tout temps ! – n’y a-t-il pas eu un philosophe grec
11    I,       9|          quel bonheur !~ ~ ~– Qu’y a-t-il ?~ ~ ~– Cher Philippe !
12    I,       9|     paraissait comprendre, et qu’y a-t-il dans ce carrosse ?~ ~ ~–
13    I,      16|               Monsieur ?~ ~ ~– N’y a-t-il pas un bon orfèvre à Bar-le-Duc ?~ ~ ~–
14    I,      18|     Gilbert ?~ ~ ~– Sans doute ; n’a-t-il pas un fusil ?~ ~ ~– Mais
15    I,      20|        jeune femme. Postillon, n’y a-t-il pas un chemin de traverse ?~ ~ ~–
16    I,      24|         écria celle-ci.~ ~ ~– Qu’y a-t-il ? demanda le roi.~ ~ ~–
17    I,      24|         joie.~ ~ ~– Eh bien ! qu’y a-t-il ? demanda Louis XV.~ ~ ~–
18    I,      28|        plus !~ ~ ~– Eh bien ! qu’y a-t-il ? Voyons ! dit le roi s’
19    I,      30|            voulez-vous ?~ ~ ~– N’y a-t-il aucun moyen d’entrer en
20    I,      31|       Jeanne : « À la bonne heure, a-t-il dit, je suis las de toutes
21    I,      33|                Oui, des vers… Qu’y a-t-il d’étonnant à cela ?~ ~ ~–
22    I,      34| surveillerions, au moins.~ ~ ~– Qu’a-t-il fait ?~ ~ ~– Ce n’est pas
23    I,      37|                   Et pourquoi te l’a-t-il remise, à toi ?~ ~ ~– Parce
24   II,      41|          eu tort.~ ~ ~– Et en quoi a-t-il eu tort, s’il vous plaît ?~ ~ ~–
25   II,      42|        éternelle de toutes choses, a-t-il donné à celui-ci ou à celui-là
26   II,      43|           veut pas.~ ~ ~– Rousseau a-t-il donc écrit ce que vous dites
27   II,      43|          menuisier.~ ~ ~– Et qu’en a-t-il fait ? demanda l’étranger.~ ~ ~–
28   II,      46|        prêt à se prosterner.~ ~ ~– A-t-il donc fallu, dit Rousseau
29   II,      46|           en haussant les épaules, a-t-il fallu qu’il vînt ici un
30   II,      49|           drôle-là !~ ~ ~– Mais qu’a-t-il fait ? demanda Philippe
31   II,      49|    retourna vers sa sœur.~ ~ ~– Qu’a-t-il donc fait, Andrée ? Dites,
32   II,      54|       entendues la veille.~ ~ ~« Y a-t-il des arbres ? » avait demandé
33   II,      56|       faute de Dieu. Pourquoi Dieu a-t-il fait de toi cet ange au
34   II,      59|          se mit à rire.~ ~ ~– Qu’y a-t-il donc de risible dans ce
35   II,      62|                   Gilbert !… et qu’a-t-il dit ?~ ~ ~– Je le reconnais,
36   II,      62|       avancée.~ ~ ~– Eh bien, qu’y a-t-il donc ? demanda le vicomte.~ ~ ~ ~
37   II,      63|        chose est perdue à Paris, y a-t-il quelque espérance de la
38   II,      63|       maison à Paris ; peut-être y a-t-il, outre lui, quinze ou vingt
39   II,      65|         madame, demanda-t-il, qu’y a-t-il donc ?~ ~ ~– Oh ! dit-elle,
40   II,      70|      Jacques !~ ~ ~– Eh bien, qu’y a-t-il ?~ ~ ~– Quelque prince qui
41   II,      73|        riche, voilà tout. Le roi n’a-t-il plus d’argent à offrir à
42   II,      75|           son nom à faire.~ ~ ~– N’a-t-il pas le vôtre, qui est tout
43   II,      77|           il lui faut. Et avec qui a-t-il joué ?~ ~ ~– Avec M. de
44   II,      77|            qui sait ? peut-être en a-t-il encore pour un lustre à
45   II,      78|           fit Chon atterrée ; qu’y a-t-il donc, bon Dieu ?~ ~ ~– Il
46   II,      79|         marchands.~ ~ ~– Le peuple a-t-il beaucoup crié ?~ ~ ~– Oh !
47   II,      80|         dans le palais : à peine y a-t-il place pour vous deux.~ ~ ~–
48   II,      81|            un peignoir.~ ~ ~– Qu’y a-t-il ? demanda-t-elle effrayée
49   II,      81|          plus que peuple.~ ~ ~– Qu’a-t-il promis ? cria la comtesse :
50   II,      81|              oh !… Et quel miracle a-t-il opéré ? Dites-moi un peu
51  III,      82|        fait dire par lui.~ ~ ~– Et a-t-il deviné juste ?~ ~ ~– C’est-à-dire
52  III,      85|           comme pour un bal.~ ~ ~– A-t-il quelque décoration ?~ ~ ~–
53  III,      85|                 Quelle physionomie a-t-il ?~ ~ ~– Le regard vif, des
54  III,      86|       Vrillière.~ ~ ~– Et que vous a-t-il répondu, monsieur de Saint-Florentin ?
55  III,      98|          que diable maître Flageot a-t-il à faire en tout ceci, et
56  III,      99|         Dieu, maître Flageot, qu’y a-t-il donc ? s’écria la comtesse,
57  III,     100|       vient de faire ?~ ~ ~– Et qu’a-t-il donc fait ? Voyons.~ ~ ~–
58  III,     100|      moment d’audience.~ ~ ~– Qu’y a-t-il encore ?~ ~ ~– Faites entrer
59  III,     108|          philosophie, juste ciel ! A-t-il jamais paru dans le monde
60  III,     108|             Monsieur, dit-il, qu’y a-t-il pour votre service ?~ ~ ~–
61  III,     108| Confessions, celui-là, monsieur, n’a-t-il donc pas plus d’esprit pour
62  III,     113|              La comtesse, sire ! y a-t-il de ma faute ?~ ~ ~– Sans
63  III,     114|            bras gauche.~ ~ ~– Qu’y a-t-il donc, Philippe ? demanda-t-elle
64  III,     115|           avait parlé :~ ~ ~– Qu’y a-t-il, mon enfant ? demanda-t-elle.~ ~ ~–
65  III,     116|                  M. de Richelieu n’a-t-il pas dit, monsieur, que Sa
66  III,     117|    corniche du plafond.~ ~ ~– Qu’y a-t-il donc ? fit Balsamo tressaillant.
67   IV,     125|            à Balsamo. Voyons, qu’y a-t-il, cher comte ? Vous avez
68   IV,     130|       accuse d’affamer mon peuple, a-t-il dit, il n’y a qu’une seule
69   IV,     135|           Eh ! baron, dit-il, qu’y a-t-il donc de nouveau ? Tu me
70   IV,     135|         colonel !~ ~ ~– Bon ! qu’y a-t-il encore par là ?~ ~ ~– Il
71   IV,     137|        bras devant lui.~ ~ ~– Qu’y a-t-il donc ?~ ~ ~– Elle s’évanouit,
72   IV,     137|          de Sa Majesté.~ ~ ~– Qu’y a-t-il ? qu’y a-t-il ? demanda
73   IV,     137|                 Qu’y a-t-il ? qu’y a-t-il ? demanda Louis XV en s’
74   IV,     138|          comme le roi :~ ~ ~– Qu’y a-t-il ? Qu’y a-t-il ?~ ~ ~– Rien,
75   IV,     138|                 Qu’y a-t-il ? Qu’y a-t-il ?~ ~ ~– Rien, mon père,
76   IV,     142|            et demanda :~ ~ ~– Qu’y a-t-il ?~ ~ ~– Pardonnez-moi, monsieur,
77   IV,     146|          comte apparut.~ ~ ~– Qu’y a-t-il, Fritz ? demanda-t-il.~ ~ ~–
78   IV,     148|           Dieu !~ ~ ~– Quoi ? Qu’y a-t-il ?~ ~ ~– Oh ! la misérable !~ ~ ~–
79   IV,     149|            maintenant ? Le crime l’a-t-il fait sacré ?~ ~ ~– Ainsi,
80   IV,     153|   attendait quelqu’un :~ ~ ~– Qu’y a-t-il ? demanda-t-elle. Qui êtes-vous ?
81   IV,     158|            la servante.~ ~ ~– Qu’y a-t-il ?~ ~ ~– La porte de la rue
82   IV,     160|              monsieur !~ ~ ~– Qu’y a-t-il ? dit Gilbert.~ ~ ~– Son
83   IV,     162|          grand malheur.~ ~ ~– Qu’y a-t-il donc ? demanda-t-il ; est-ce
84   IV,     162|         Perdez-moi si vous voulez, a-t-il dit ; déshonorez votre père
85   IV,     162|        Dieu ! s’écria Andrée, qu’y a-t-il ? Parlez. Quelque chose
86   IV,     162|         pauvre mère, pourquoi Dieu a-t-il fait souffrir cette innocente
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