Tome,  Chap.

 1    I,       2|    reconnue, car rien ne se perd ! Tenez, il faudra que vous demandiez
 2    I,       2|          Vous en avez fait ?~ ~ ~– Tenez, voyez plutôt.~ ~ ~– Où ?~ ~ ~–
 3    I,       5|         pur ! Mais puisque vous la tenez, baron, cette fameuse salière,
 4    I,       7|            à Taverney. Ainsi, vous tenez à coucher ici ?~ ~ ~– Mais
 5    I,       7|            raison. Décidément vous tenez à coucher ici.~ ~ ~– J’y
 6    I,       7|         comédie qu’il me récitait, tenez, il y a juste cent ans,
 7    I,      11|         aime ou ne vous aime pas ? Tenez, en vérité, vous me fatiguez,
 8    I,      12|         une très grande dame. Ah ! tenez, quelque chose de particulier,
 9    I,      17|          me marier ici.~ ~ ~– Vous tenez donc toujours à vous marier ?
10    I,      17|            félicite, Nicole.~ ~ ~– Tenez, dit la jeune fille en faisant
11    I,      17|          Nicole fit un bond.~ ~ ~– Tenez, dit-elle, vous êtes un
12    I,      22|          est-ce pas ?~ ~ ~– Vous y tenez ?~ ~ ~– J’y tiens.~ ~ ~–
13    I,      26|      hauteur M. de Choiseul.~ ~ ~– Tenez, vous êtes tous de mauvais
14    I,      28|              avec cela que vous la tenez fermée, votre bouche ; avec
15    I,      28|                   La France. »~ ~– Tenez, Lebel, dit-il, allez porter
16    I,      29|        celui de la comtesse.~ ~ ~– Tenez, monsieur Flageot, continua
17    I,      30|           elle est devenue pauvre. Tenez, monseigneur, j’ai mes entrées
18    I,      35|          étranglée avec joie.~ ~ – Tenez, me dit-elle en me montrant
19    I,      37|           pâme d’impatience.~ ~ ~– Tenez, dit Jean, regardez, voyez,
20    I,      37|            un carrosse.~ ~ ~– Eh ! tenez, dit Chon, en voilà un qui
21    I,      38|          la comtesse ne vient pas. Tenez, maréchale, voulez vous
22    I,      38|           de paraître tranquille ; tenez, il ne peut demeurer en
23    I,      38|        voit clair, au moins.~ ~ ~– Tenez, voilà le roi qui s’approche
24    I,      38|            armes fort compliquées. Tenez, duc, vous êtes un homme
25   II,      43|      proportion.~ ~ ~– Volontiers. Tenez, par exemple, ce qui coûte
26   II,      43| lasseraient les vôtres.~ ~ ~– Mais tenez, vous me portez bonheur ;
27   II,      46|      soupir à cette mesure ; puis, tenez, voyez, vos barres de mesure
28   II,      46|            point vos bontés.~ ~ ~– Tenez, dit Thérèse en lui tendant
29   II,      51|          aurez montré combien vous tenez à obtenir cette faveur ;
30   II,      51|                  Non, non, Madame. Tenez, malgré moi, il m’attire,
31   II,      52|       contraire ? Eh ! d’ailleurs, tenez, s’il vous faut une preuve
32   II,      52|      devant Son Altesse, si vous y tenez. Mais vous n’y tiendrez
33   II,      52|          Le cardinal hésita.~ ~ ~– Tenez, mon prince, dit le comte,
34   II,      52|           plaisir d’y venir. Mais, tenez, notre conversation finit
35   II,      59|       peut-être à rester ministre… Tenez, mon prince, en fait de
36   II,      61|                 Et pour commencer, tenez, si elle prenait cette demoiselle
37   II,      62|           le voilà qui dégringole, tenez… Quand je vous le disais,
38   II,      63|     Sartine leva les glaces.~ ~ ~– Tenez, dit Jean, c’est cette maison
39   II,      64|               Oui, là, sans façon, tenez.~ ~ ~ ~Et Louis XV indiqua
40   II,      64|          entré, je suppose ?~ ~ ~– Tenez, sire, voyez la lumière
41   II,      65|   communiqué par l’ingénieur. Eh ! tenez, voyez que je ne me trompais
42   II,      68|            fait mon apprentissage. Tenez, voici un jeune homme de
43   II,      68|            près de Philippe.~ ~ ~– Tenez, monsieur, dit-il, moi,
44   II,      75|      fâchons pas, mon philosophe ; tenez, voyez le beau plantago
45   II,      77|            y a bien de quoi.~ ~ ~– Tenez, voilà ce qui me révolte
46   II,      77|          fait là une rude besogne. Tenez, comtesse, voilà, sur mon
47   II,      78|         que j’ai sur le cœur, moi. Tenez, sire, on assure que madame
48   II,      78|                  Espérons que vous tenez encore un peu à moi, comtesse.~ ~ ~–
49   II,      78|            lettre de cachet, sire. Tenez, moi, je fournis la plume
50   II,      81|        aujourd’hui n’est pas sage. Tenez, comtesse, la position est
51   II,      81|         hurlements, le misérable ! Tenez, allez-vous-en, Jean, vous
52  III,      82|      prince.~ ~ ~– Non. Et vous le tenez pour sorcier ?~ ~ ~– Plutôt
53  III,      82|         avec vous, maréchal.~ ~ ~– Tenez, comtesse, je vais être
54  III,      84|         gouttes de mon élixir… Là, tenez, à l’endroit où vous chiffonnez
55  III,      89|           que tu me flattes…~ ~ ~– Tenez, monseigneur, dit Rafté,
56  III,      95|          chère Andrée, que vous ne tenez pas à Trianon l’état que
57  III,      98|         perdre la tête à un saint… Tenez laissez-moi finir mon plan
58  III,     100|              Ainsi ferai-je, sire. Tenez un lit de justice.~ ~ ~–
59  III,     105|        Marat avec un rire amer. Et tenez, maître, vous avez en ce
60  III,     105|          comme cette tête que vous tenez par les cheveux a roulé
61  III,     106|          morte cette tête que vous tenez, rien que de la chair inerte,
62  III,     110|              Rousseau pâlit.~ ~ ~– Tenez, monsieur Rousseau, c’est
63  III,     111|        veux que vous m’expliquiez… Tenez… Je soupe seul, vous me
64  III,     115|        fois, Andrée se leva.~ ~ ~– Tenez, pardonnez-moi, dit Gilbert ;
65  III,     120|         qui lui appartienne.~ ~ ~– Tenez ; voici de ses cheveux.~ ~ ~ ~
66   IV,     124|           il dirige, eh bien, vous tenez un fil au bout duquel, selon
67   IV,     130|     vermeille comme du sang.~ ~ ~– Tenez, madame, dit-il, pour cette
68   IV,     141|               Ce n’est rien.~ ~ ~– Tenez, tenez, vos mains, qui étaient
69   IV,     141|           n’est rien.~ ~ ~– Tenez, tenez, vos mains, qui étaient
70   IV,     141|        bien, hier… Oh ! mon Dieu ! tenez, Philippe, je n’y veux plus
71   IV,     141|          sur mes pieds, Philippe ; tenez, si vous m’en croyez, nous
72   IV,     141|         mais souffrante, Philippe. Tenez, vous avez raison, mon malaise
73   IV,     142|         parlez, mais parlez donc ! Tenez, je vous le jure, j’ai du
74   IV,     142|             monsieur ; mais vous y tenez, il est de mon devoir de
75   IV,     146|           voulez-vous une preuve ? Tenez…~ ~ ~ ~Et Balsamo souleva
76   IV,     147|           sa physionomie.~ ~ ~– Et tenez, dit-il en laissant retomber
77   IV,     151|           ne possédez rien, qui ne tenez à rien, serait un événement ? »~ ~–
78   IV,     151|     Contentez-vous donc de ce peu… Tenez.~ ~ ~ ~Et, fouillant à sa
79   IV,     151|     présenter chez le baron.~ ~ ~– Tenez, mon ami. voilà, dit Balsamo.~ ~ ~ ~
80   IV,     153|            le donne à mon enfant ; tenez, voilà les trois cent mille