Tome,  Chap.

 1   II,      55|     intérieures, correspondait avec Fritz.~ ~ ~ ~Puis, revenant à
 2   II,      58|           de Fœnix.~ ~ ~ ~Le pas de Fritz retentit dans la cour, la
 3   II,      58|          Oui, monseigneur, répondit Fritz.~ ~ ~– Est-il au logis ?~ ~ ~–
 4   II,      58|        double louis dans la main de Fritz.~ ~ ~– Alors, dit Fritz,
 5   II,      58|             Fritz.~ ~ ~– Alors, dit Fritz, que Votre Éminence prenne
 6   II,      58|           qu’il y consentait.~ ~ ~ ~Fritz marcha d’un pas empressé
 7   II,      58|             de Strasbourg ? demanda Fritz.~ ~ ~– Oui, mon ami.~ ~ ~–
 8   II,      58|            deux autres candélabres, Fritz s’inclina et sortit.~ ~ ~ ~
 9   II,      59|      sonnette, au bruit de laquelle Fritz apparut.~ ~ ~ ~Le comte
10   II,      59|             mots en allemand.~ ~ ~ ~Fritz se baissa, et, comme un
11   II,      59|            votre valet, le seigneur Fritz, je ne le vois pas, dit
12   II,      59|                Balsamo attendit que Fritz fût rentré, et remonta chez
13  III,      83|         sonnette d’appel agitée par Fritz retentit à l’oreille de
14  III,      83|          derrière les fleurs.~ ~ ~ ~Fritz l’attendait au salon avec
15  III,      83|                    J’attends.~ ~ ~– Fritz !~ ~ ~ ~L’Allemand parut.~ ~ ~–
16  III,      83|             sait tout, lui répliqua Fritz en l’entraînant. Balsamo
17  III,      83|         tintement de la sonnette de Fritz résonna deux fois.~ ~ ~–
18  III,      83|             phrase télégraphique de Fritz.~ ~ ~ ~Et, se dégageant
19  III,      83|            les mains du roi !~ ~ ~ ~Fritz apparut alors devant lui.~ ~ ~–
20  III,      92|            petit salon où se tenait Fritz, l’introducteur aux silencieuses
21  III,     117| Saint-Claude, à lire une lettre que Fritz venait de lui remettre.
22  III,     117|          rentré, que la sonnette de Fritz retentit.~ ~ ~– M. de Richelieu,
23  III,     122|            à lui.~ ~ ~– Est-ce toi, Fritz ? demanda Balsamo.~ ~ ~–
24  III,     122|         bien, tiens-toi prêt.~ ~ ~ ~Fritz alla détacher Sultan. C’
25  III,     122|         talon de leur maître.~ ~ ~ ~Fritz revint vers Balsamo.~ ~ ~ ~
26  III,     122|        faite.~ ~ ~– C’est bien, dit Fritz ; elle le sera.~ ~ ~ ~Et
27   IV,     126|             Saint-Claude, regardant Fritz.~ ~ ~– Eh bien ? demanda-t-il
28   IV,     129|              Deux coups frappés par Fritz le firent bondir ; deux
29   IV,     129|             dame s’impatientait, ou Fritz craignait que son maître
30   IV,     130|        honneur de vous adresser par Fritz ce petit billet qui vous
31   IV,     131|        bondit à cette idée et sonna Fritz.~ ~ ~ ~Puis, comme, au gré
32   IV,     131|           au gré de son impatience, Fritz tardait, il s’élança au-devant
33   IV,     131|           Eh bien, maître ? demanda Fritz comprenant, à l’agitation
34   IV,     131|       Sortie ! répéta-t-il. En vain Fritz prétend-il ne l’avoir pas
35   IV,     131|            Lorenza.~ ~ ~« Corrompu, Fritz ?~ ~ ~« Pourquoi non ? En
36   IV,     131|            je saurai la trahison de Fritz ; par Andrée, la trahison
37   IV,     131|           ne rien laisser deviner à Fritz et de courir à Trianon. »~ ~ ~
38   IV,     132|             fois.~ ~ ~ ~Sans doute, Fritz savait que son maître était
39   IV,     132|         important que nul, pas même Fritz, ne le vînt relancer où
40   IV,     132|            les plus hautes marches, Fritz, tout pâle, tout haletant,
41   IV,     132|           tout pâle, tout haletant, Fritz tenant un flambeau d’une
42   IV,     132|            d’agiter convulsivement, Fritz l’attendait.~ ~ ~ ~À la
43   IV,     132|         muette interrogation.~ ~ ~ ~Fritz ne dit rien ; mais il se
44   IV,     132|        avait compris l’épouvante de Fritz.~ ~ ~ ~Balsamo avait vieilli
45   IV,     132|     reflétait le miroir.~ ~ ~– Oui, Fritz, oui, dit-il, tu as raison.~ ~ ~ ~
46   IV,     132|                 Excellence, murmura Fritz en approchant sa bouche
47   IV,     132|      escalier après avoir demandé à Fritz si ses hôtes étaient installés
48   IV,     132|         salon, Excellence, répondit Fritz en suivant son maître.~ ~ ~ ~
49   IV,     132|          dit-il.~ ~ ~– Aucun ordre, Fritz.~ ~ ~– Votre Excellence…,
50   IV,     132|         Votre Excellence…, continua Fritz en balbutiant.~ ~ ~– Et
51   IV,     132|     pourquoi prendrais-je mon épée, Fritz ?~ ~ ~– Mais je ne sais,
52   IV,     132|             est bien, retirez-vous, Fritz.~ ~ ~ ~Fritz fit quelques
53   IV,     132|          retirez-vous, Fritz.~ ~ ~ ~Fritz fit quelques pas pour obéir
54   IV,     133|     Chapitre CXXXIII~ Le jugement~ ~Fritz avait bien raison, les hôtes
55   IV,     133|      nocturne de gens terribles que Fritz avait reconnus, cette prise
56   IV,     133|          présageaient rien de bon à Fritz : voilà pourquoi il avait
57   IV,     133|            entra dans le salon, que Fritz, pour faire honneur comme
58   IV,     146|            pas fait quatre pas, que Fritz sortant du vestibule et
59   IV,     146|        fronçant le sourcil comme si Fritz n’eût pas accompli un simple
60   IV,     146|             est point chez lui, dit Fritz en laissant cependant passer
61   IV,     146|             haute importance.~ ~ ~ ~Fritz s’inclina sans répondre.~ ~ ~–
62   IV,     146|          répliqua imperturbablement Fritz, que monsieur n’est pas
63   IV,     146|             répondit maladroitement Fritz.~ ~ ~– Alors, puisqu’il
64   IV,     146|              après ? dit à son tour Fritz, que tant d’insistance commençait
65   IV,     146|             ce qu’on lui dit.~ ~ ~ ~Fritz commençait à s’irriter.~ ~ ~–
66   IV,     146|          vais être contraint…~ ~ ~ ~Fritz s’arrêta.~ ~ ~– À quoi ?
67   IV,     146|             répondit tranquillement Fritz.~ ~ ~– Toi ? s’écria Philippe,
68   IV,     146|     étincelant.~ ~ ~– Moi, répliqua Fritz reprenant, avec le caractère
69   IV,     146|             l’épée à la main.~ ~ ~ ~Fritz, sans s’émouvoir à la vue
70   IV,     146|           ailleurs était-il seul –, Fritz saisit à une panoplie une
71   IV,     146|         apparut.~ ~ ~– Qu’y a-t-il, Fritz ? demanda-t-il.~ ~ ~– Rien,
72   IV,     146|          votre noble maison ?~ ~ ~ ~Fritz abaissa son épieu et, sur
73   IV,     146|        Voilà un mot qui excuse bien Fritz, monsieur ; car, moi, je
74   IV,     146|           doigt, Philippe désignait Fritz, qui venait de soulever
75   IV,     146|       plutôt des sourcils, congédia Fritz, et les deux hommes s’assirent
76   IV,     146|             à la tête, j’appellerai Fritz ; Fritz viendra, et, sur
77   IV,     146|          tête, j’appellerai Fritz ; Fritz viendra, et, sur un signe
78   IV,     146|                Balsamo sonna.~ ~ ~– Fritz, un carrosse ! dit-il en
79   IV,     146|           montaient en carrosse, et Fritz, au grand galop de deux
80   IV,     155|            n’éprouva, de la part de Fritz, aucune difficulté pour
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