Tome,  Chap.

 1    I,  IntIII|          principaux mystères de la nature. Je savais la botanique,
 2    I,  IntIII|            maître qu’on appelle la nature. J’avais surpris les secrets
 3    I,       4|       évident que cette singulière nature, mélange de bon et de mauvais,
 4    I,      10|       selon moi, n’est pas dans la nature.~ ~ ~– Ah ! s’écria Nicole,
 5    I,      10|            Gilbert ; seulement, la nature ou l’éducation ont mis en
 6    I,      10|            de cesser de l’être. La nature parlait en nous avec sa
 7    I,      11|        avec ce sens exquis dont la nature a doué les femmes, Nicole
 8    I,      11|       paysanne et je vais selon la nature, moi.~ ~ ~– Voila un singulier
 9    I,      12|           de la destruction que la nature a placés sur les ruines
10    I,      12| ressemblait à ces cavernes dont la nature embellit les abords, avec
11    I,      13|           droit, assouplissait une nature que le ciel avait créée
12    I,      18|                Toutefois, comme la nature, monotone dans la génération
13    I,      33|           ne pouvaient trouver une nature digne d’elles que pendant
14    I,      34|       superstition ; Système de la nature, ou Lois du monde physique
15   II,      40|       créés par la puissance de la nature.~ ~ ~ ~Il résulta de cette
16   II,      40|        enivrèrent d’abord Gilbert, nature sensuelle par instinct,
17   II,      42|      touffu les intervalles que la nature avait mis entre les troncs
18   II,      43|            est tout l’opposé de ma nature, et je ne crains rien tant
19   II,      46|            les magnificences de la nature.~ ~ ~– Monsieur, dit Gilbert,
20   II,      52|           troublé l’harmonie de la natureAllez, monsieur le comte
21   II,      53|           l’impulsion de sa propre nature, elle ignorait elle-même
22   II,      54|           oh ! stupide amant de la nature, je crois secourir un de
23   II,      59|             monseigneur, de quelle nature peuvent être les services
24   II,      60|    opprimés, car il aura changé la nature de l’aristocratie ; obligé
25   II,      60|           peu près le compte de la nature, cela fait, multipliez…
26   II,      60|           semblait que pour eux la nature ne dût point avoir de secrets,
27   II,      60|            était fort bien dit. La nature a un intérêt dans la mort.~ ~ «
28   II,      60|           mort que possible, et la nature a pris son intérêt sur lui.~ ~ ~ ~
29   II,      65|      ailleurs et fort gauche de sa nature.~ ~ ~– Madame, dit-il en
30   II,      65|           une des conditions de la nature. Il ne faut pas plus s’en
31   II,      68|      dit-il, place à l’homme de la nature ! Place à l’émancipateur
32   II,      69|      simple ; mais Philippe, cette nature ardente, vigoureuse, vivace ;
33   II,      70|        goût ou par nécessité de la nature, source de tout bien ! Soyez
34   II,      72|          était bien réellement une nature vicieuse, et que lui, Gilbert,
35   II,      73|            grand va-et-vient de la nature. Je me suis ruiné, c’est
36   II,      75|            d’un bas de soie à dame Nature ? répliqua M. de Jussieu
37   II,      75|            de Jussieu invoquait la nature, il était d’avis lui-même
38   II,      75|          mat du ciel ; toute cette nature puissante, gracieuse et
39   II,      76|       anglais, lesquels imitent la nature, ou, pour mieux dire, inventent
40   II,      76|          mieux dire, inventent une nature à eux, ce qui donne une
41   II,      76|    déjeunent de vrais amants de la nature…~ ~ ~– Mon cher maître,
42   II,      76|            un savant, un ami de la nature, un de vos complices, ajouta-t-il
43   II,      80|      aimez-vous, madame ?~ ~ ~– La nature.~ ~ ~– Ah ! comme les philosophes.~ ~ ~–
44   II,      80|           petite fille qui aime la nature ! dit le roi avec un air
45   II,      80|      appellerait les enfants de la nature… Faites cela, ma fille,
46  III,      89|    enivrement : c’est un défaut de nature, les meilleurs esprits ne
47  III,      91|            le mieux approprié à sa nature, de sorte que, admirable
48  III,     103|            tous les mystères de la nature et tous ceux du cœur humain
49  III,     103|          aura payé son tribut à la nature, car le progrès est boiteux,
50  III,     103|           grandes commotions de la nature se faire sans préparations ?
51  III,     103|      retarder ce grand œuvre de la nature ; abandonnez-moi, je ne
52  III,     106|           dans la confidence de la nature et de Dieu, répondit Balsamo.~ ~ ~–
53  III,     107|           a d’exquis enfin dans la nature humaine.~ ~ ~ ~Balsamo regarda
54  III,     107|       cette femme, ou plutôt cette nature singulière, qui, au reste,
55  III,     108|         très richement doté par la nature.~ ~ ~ ~Il but son lait sans
56  III,     109|         trône ? À un caprice de la nature qui l’a fait naître d’une
57  III,     115|          Non, mademoiselle, car la nature m’a fait votre égal, et
58  III,     121|            s’efforça, ou plutôt la nature s’efforça de rejeter au
59  III,     121|          phénomènes.~ ~ ~ ~Mais la nature fut vaincue, mais Andrée
60  III,     121|              Mais le tumulte de la nature, mais les bruits extérieurs,
61   IV,     127|            partie des restes de la nature vieillie. La jeunesse, pareille
62   IV,     129|         caprice inexplicable de la nature ou de la science, jetait
63   IV,     131|     tromper et mentir, pourquoi la nature si fragile, si faillible
64   IV,     132|            un bouleversement de la nature, un bouleversement de la
65   IV,     133|   mystérieuses combinaisons que la nature n’a encore révélées qu’à
66   IV,     137|      donnée en présence même de la nature ?~ ~ ~– Vous avez, voyez-vous,
67   IV,     137|       faire pousser ; car, dans la nature, dit M. Rousseau, votre
68   IV,     139|        esprit, une merveille de la nature enfin.~ ~ ~– Qui dit cela ?
69   IV,     140|       involontairement et par leur nature même au-dessus du vulgaire,
70   IV,     144|       humaine ne retentissait ; la nature était calme.~ ~ ~ ~D’un
71   IV,     150|            de ces perles est d’une nature étrange, ma sœur… elles
72   IV,     150|          monsieur.~ ~ ~– De quelle nature, s’il vous plaît ?~ ~ ~–
73   IV,     151|             vous êtes une méchante nature.~ ~ ~– Non, monsieur, répondit
74   IV,     151|      étrange qui n’est pas dans ma nature ne te dit-elle pas que j’
75   IV,     154|          mes muscles donnée par la nature et la force de ma pensée,
76   IV,     158|       jeune fille se réalisait. La nature avait accompli l’une de
77   IV,     159|          de feu dont il animait la nature, depuis le sourire de la
78   IV,     161|          esprit est capricieux, la nature humaine est sujette aux
79   IV,     161|       villageois, au sein de cette nature sublime et féconde. Je puis
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