Tome,  Chap.

 1    I,      20|           vous ferez un excellent médecin, et il me semble que vous
 2    I,      20|           trop laid pour un futur médecin.~ ~ ~ ~Et elle avait souri
 3    I,      20|        rougeur des joues du futur médecin contraster avec ses yeux
 4    I,      22|       relais, nous demanderons un médecin pendant que cet enfant déjeunera,
 5    I,      22|                Mais c’est donc un médecin que ton philosophe ? demanda
 6    I,      22|          monsieur, je ne suis pas médecin ; je le serai un jour, s’
 7    I,      25|  battement d’un cœur qu’un habile médecin rend à la vie.~ ~ ~ ~Le
 8    I,      35|         écorchure. Je ne suis pas médecin ; mais tout le monde s’est
 9   II,      41|                  Chapitre XLI~ Le médecin malgré lui~ ~Gilbert se
10   II,      41|                  Voyons, mon cher médecin, où en êtes-vous avec Zamore ?
11   II,      41|       souviens bien, était d’être médecin ?~ ~ ~– Je regarde la mission
12   II,      41|           cela ?~ ~ ~– Vous serez médecin, et médecin du roi, même.~ ~ ~–
13   II,      41|            Vous serez médecin, et médecin du roi, même.~ ~ ~– Moi !
14   II,      41|         bien accepter le poste de médecin du roi, quand M. le duc
15   II,      41|       doute ; le gouverneur et le médecin du roi peuvent bien manger
16   II,      41|     Gilbert le costume complet du médecin malgré lui : bonnet pointu,
17   II,      41|       encrier à la ceinture de ce médecin modèle.~ ~ ~– Merci, dit
18   II,      43|            j’ai l’ambition d’être médecin.~ ~ ~– Belle et noble carrière,
19   II,      43|      vérité, jeune homme, devenez médecin ; si vous aimez l’éclat,
20   II,      43|        aimez l’éclat, faites-vous médecin.~ ~ ~– Mais il faut beaucoup
21   II,      68|           cette recommandation du médecin entendue, comme nous l’avons
22   II,      68|         votre hôtel, vous…, votre médecin ; retournez chez vous, puisque
23   II,      68|         elle ait son hôtel et son médecin, répondez-moi, par pitié :
24   II,      68|   Jean-Jacques Rousseau.~ ~ ~ ~Le médecin poussa un cri de surprise,
25   II,      68|       monsieur ? demanda le jeune médecin.~ ~ ~– Non, mais à ce pauvre
26   II,      68|            vous aussi, s’écria le médecin, vous aussi, comme moi,
27   II,      68| enthousiaste de son métier, qu’un médecin accomplissant sa triste
28   II,      69|           lui, Philippe trouva un médecin que le prévoyant La Brie
29   II,      69|        pour sa sœur, conduisit le médecin près du lit d’Andrée.~ ~ ~ ~
30   II,      70|          avait été prévenu par le médecin de la place Louis XV, il
31   II,      70|          voyons ce pouls, je suis médecin aussi, moi.~ ~ ~– Et meilleur
32   II,      70|           car vous êtes aussi bon médecin de l’âme que du corps.~ ~ ~–
33   II,      70|       monsieur, car il sera votre médecin malgré vous. Croyez-vous,
34   II,      71|           prescriptions du savant médecin, M. de Jussieu, Gilbert
35  III,      96|         jugé indispensable par le médecin de M. le maréchal, qu’il
36  III,     104|        approché de Paris comme le médecin s’approche du cœur : j’ai
37  III,     105|          est perdue faute du seul médecin qui soit indispensable,
38  III,     105|          soit indispensable, d’un médecin de l’âme.~ ~ ~– Hélas !
39  III,     105|          se tourna vers l’étrange médecin, que l’on prit pour un fou.~ ~ ~ ~
40  III,     106|       patient avec étonnement, le médecin avec admiration.~ ~ ~ ~Il
41  III,     106|           était.~ ~ ~– Je suis un médecin allemand de l’école de Gœttingue,
42  III,     106|      homme !~ ~ ~– C’est vrai, et médecin, devriez-vous ajouter.~ ~ ~–
43  III,     106|           je ne suis qu’un pauvre médecin des âmes.~ ~ ~– Oh ! ne
44  III,     113|        puisque je n’ai ici ni mon médecin ni mon confesseur.~ ~ ~–
45   IV,     126|          heure de plus, assura le médecin, il eût succombé à une attaque
46   IV,     128|          moi, c’est l’âme vile du médecin, et qui peut servir aux
47   IV,     138|         nom du Ciel, consultez un médecin.~ ~ ~– Oh ! ce n’est rien,
48   IV,     138|        amène la consolation et le médecin. Venez, docteur. Ah ! monsieur
49   IV,     138|      docteur, dit la princesse au médecin, quid ? comme disent les
50   IV,     138|  souffrance qu’un mal dont rit le médecin. Dormez donc, mon enfant ;
51   IV,     140|           à l’heure qu’il est, le médecin de madame la dauphine l’
52   IV,     141|       dorlotée, amené son premier médecin, et, quand ce grave personnage,
53   IV,     142|          que l’on ne dit pas à un médecin ; alors peut-être consentira-t-elle
54   IV,     143|          la porte s’ouvrit, et le médecin, attendu avec tant d’anxiété
55   IV,     143|           qui viennent cajoler le médecin, afin d’obtenir des compliments
56   IV,     143|      cette prise de possession du médecin et de l’observateur, s’attacha
57   IV,     143|    maintenant les commentaires du médecin. »~ ~– Eh bien, monsieur ?
58   IV,     144|     importance que Philippe et le médecin donnaient à cette maladie.~ ~ ~ ~
59   IV,     144|     divers.~ ~ ~ ~Tout à coup, le médecin, qui n’avait cessé de la
60   IV,     144|        non plus le pouls comme un médecin.~ ~ ~ ~Ce geste inattendu
61   IV,     144|          suis, croyez-le bien, le médecin des âmes autant que celui
62   IV,     144|       deux pas d’Andrée.~ ~ ~ ~Le médecin parti, Philippe se leva,
63   IV,     145|       encore lorsqu’il aperçut le médecin de la dauphine se dirigeant
64   IV,     145|       douté de la clairvoyance du médecin. L’arrivée du docteur Louis
65   IV,     145|      angoisses du jeune homme. Le médecin, à l’œil de lynx, avait
66   IV,     147|         aller à Paris chercher un médecin, et d’amener ce médecin
67   IV,     147|           médecin, et d’amener ce médecin ici dès le lever du soleil ?~ ~ ~ ~
68   IV,     152|      santé, et, par ordonnance du médecin, elle a quitté Trianon.~ ~ ~ ~
69   IV,     157|           dit-il avec ce calme du médecin qui impose toujours, aux
70   IV,     157|           qui allait se passer du médecin à la femme, de Dieu à tous
71   IV,     157|              N’entrez pas, dit le médecin, elle dort.~ ~ ~– Elle dort…
72   IV,     157|         Philippe en embrassant le médecin.~ ~ ~– Maintenant, vous
73   IV,     157|      répondu : « Mon ami, je suis médecin, et je me rends chez un
74   IV,     Epi|          ou l’espérance.~ ~ ~ ~Le médecin Bordeu avait signalé chez
75   IV,     Epi|          des plus malignes, et le médecin La Martinière, qui la reconnaissait
76  Bib         |                 87. Mémoires d’un médecin.~ ~Paris, Fellens et Dufour (
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