Tome,  Chap.

 1    I,  IntIII|       avons voué notre vie, notre fortune et notre liberté ? Que ferez-vous ?
 2    I,       9|        follement dépensé toute la fortune de ma mère, de sorte que
 3    I,      11|         vous aurez sans doute une fortune de quelque parent riche ;
 4    I,      14|           a averti de cette bonne fortune, c’est…~ ~ ~– C’est ? répéta
 5    I,      15|        vous éclairer. Insultez la fortune, elle vous le rendra, elle,
 6    I,      16|           fait le vœu de faire la fortune du premier Français que
 7    I,      16|           cependant… une si haute fortune…~ ~ ~– Elle vous est bien
 8    I,      17|          on fait presque toujours fortune.~ ~ ~ ~Il était difficile
 9    I,      17| Vingt-cinq louis ! Mais c’est une fortune cela ! s’écria Nicole ravie.~ ~ ~–
10    I,      17|      Gilbert sa part de la petite fortune d’Andrée, voulant se l’attacher
11    I,      20|          afficher une trop grande fortune, que l’on pouvait supposer
12    I,      27|      chagrins ou des mécomptes de fortune. La fille du roi de France
13    I,      29|           d’où dépendait toute sa fortune et qui relevait de M. de
14    I,      29|       être riche pour laisser une fortune digne de son nom à son fils,
15    I,      30|          laquelle dépend toute ma fortune.~ ~ ~ ~M. de Maupeou fit
16    I,      30|          vous saurez que toute ma fortune, ou plutôt celle de mon
17    I,      30|          m’empêcher de pleurer ma fortune perdue, ma maison à jamais
18    I,      30|       alternatives, décidément la fortune ne veut plus rien faire
19    I,      30|        vous êtes abandonnée de la fortune, madame ! s’écria le chancelier.
20    I,      30|           profiter d’une si bonne fortune.~ ~ ~ ~De la part du vicomte,
21    I,      31|  dédommagement. Ah ! une pareille fortune ne se rencontre pas deux
22    I,      31|        rendre service et de faire fortune.~ ~ ~ ~La vieille frissonna.
23    I,      35|           autres seront une bonne fortune à ajouter à l’honneur que
24    I,      37|         si vous réussissez, votre fortune est faite.~ ~ ~ ~Léonard
25   II,      41|             Tâchez que ce soit la fortune, mon petit ami. Ce nègre
26   II,      44|           enchanté de cette bonne fortune qui, dans ses moments désespérés,
27   II,      48|           que pour le tiers de sa fortune il aurait un déjeuner presque
28   II,      49|         Mon éducation d’abord, ma fortune ensuite.~ ~ ~– Ton éducation ?~ ~ ~–
29   II,      49|           J’en suis sûr.~ ~ ~– Ta fortune ?~ ~ ~– Je l’espère.~ ~ ~–
30   II,      49|           que je t’ai compris. La fortune un jour m’a souri ; eh bien,
31   II,      49|      Gilbert, en attendant que la fortune te sourie à ton tour.~ ~ ~–
32   II,      56|         dont dépendent ma vie, ma fortune, ma liberté, tu le dilates
33   II,      61|              C’est une fille sans fortune.~ ~ ~– Oui, mais elle est
34   II,      73|          Andrée à son père, ni la fortune qui permet d’habiter ce
35   II,      73|            si ce n’est vous ?… La fortune… Pardieu ! les fortunes
36   II,      74|     puissance de marcher comme la Fortune sur un rasoir affilé, ce
37   II,      76|         vous promet assistance et fortune, et comptez-y, M. de Jussieu
38  III,      88|          de ses dignités et de sa fortune.~ ~ ~– Dites de sa vie,
39  III,      89|           son chemin est fait, sa fortune est en bon train. L’as-tu
40  III,      91|         beauté, de son nom, de sa fortune qui grandit, insolente de
41  III,      92|          l’engagement de faire sa fortune. Que les princes sont malheureux !
42  III,      93|         qui pousserait si haut sa fortune, que l’on en parlerait encore
43  III,      93|        vous irez, et vous y ferez fortune, et sans nuire en quoi que
44  III,      93|          en quoi que ce soit à la fortune des autres. Baron, un dernier
45  III,      94|           qui fera sa ruine ou sa fortune.~ ~ ~– Sa ruine, d’abord,
46  III,      94|        ruine à craindre, mais une fortune à faire.~ ~ ~– Oh ! monseigneur,
47  III,      96|        comme s’il allait en bonne fortune.~ ~ ~ ~Il vit bien çà et
48  III,      99|             Leur état perdu, leur fortune compromise, leurs devoirs
49  III,      99|     affaire de laquelle dépend la fortune d’une des premières maisons
50  III,      99|        préféré sa conscience à sa fortune.~ ~ ~– Pardon, comtesse,
51  III,     102|         comme pour aller en bonne fortune ; il étudia un moment dans
52  III,     112|           Alors tu as douté de ta fortune et de celle de tes enfants ?~ ~ ~–
53  III,     112|           bien, tu avais tort. Ta fortune et celle de tes enfants
54  III,     112|       bien du diable ; comment la fortune de mes enfants se fait-elle
55  III,     112|        mari, car les occasions de fortune lui deviendront rares avec
56  III,     112|        Source et origine de cette fortune dont je te parlais au début
57  III,     113|       port le navire chargé de sa fortune.~ ~ ~– Voyons, est-ce que
58  III,     116|          à ses pieds ma vie et ma fortune !~ ~ ~ ~Andrée ne savait
59  III,     116|          fière de contribuer à la fortune de votre frère et à la mienne ?~ ~ ~–
60  III,     117|       dût-il m’en coûter toute ma fortune, dût-il m’en coûter la moitié
61  III,     118|           choses intéressant leur fortune et leur renommée. Sur cette
62  III,     118|          vérité, on dirait que la fortune commence à me trouver trop
63   IV,     128|          toutes mes espérances de fortune en ce pays, et, par conséquent,
64   IV,     133|         science, de bonheur et de fortune ; nous savons qu’elle est
65   IV,     135|          figures amoureuses de la Fortune.~ ~ ~ ~Taverney se perdit
66   IV,     137|          était-ce point une bonne fortune inappréciable que la leçon
67   IV,     138|        occasion s’en présente, la fortune de votre famille et la vôtre ;
68   IV,     140|           souffle cette brillante fortune, Philippe s’était dégoûté
69   IV,     150|       préférer le déshonneur à la fortune, voilà tout. Mais n’entrons
70   IV,     150|          pleins de joie, alors la fortune et la gloire de la maison
71   IV,     161|          dans la jubilation d’une fortune si rapide.~ ~ ~ ~Aux confins
72   IV,     162|          le principal moyen de sa fortune à venir.~ ~ ~ ~Ces réflexions,
73   IV,     162|    quitter tout : je n’ai plus de fortune, moi ; point d’avenir non
74   IV,     163|                Qui court après la fortune ? murmura Philippe. Ce brick