Tome,  Chap.

 1    I,      25|          de Pompadour l’arrêt du parlement qui exilait les jésuites
 2    I,      29|       coup d’État à l’endroit du parlement. Mais pourrais-je vous offrir
 3    I,      29|         parce qu’on travaille le parlement, parce que M. de Maupeou
 4    I,      29|       nous, membres opposants du parlement de Paris, de ne plus avoir
 5    I,      29|        chance avec lui devant le parlement que je n’en avais là-bas
 6    I,      30|         avec les trois quarts du parlement, eux !~ ~ ~ ~La comtesse
 7    I,      30|          simple avocat du roi au parlement, vous prononciez ces belles
 8    I,      31|          si je pouvais devant le parlement plaider moi-même, je démontrerais
 9   II,      42|       comme Sirven, par arrêt du Parlement, il aperçut la Seine, le
10   II,      48|      époque mille équipages : le Parlement, les finances, le gros commerce,
11   II,      59|       hasard il prenait envie au Parlement de me faire rôtir en place
12   II,      60|         les philosophes, puis le Parlement. Les philosophes crieront,
13   II,      60|         philosophes crieront, le Parlement criera, le ministère persécutera
14   II,      60|        philosophes et cassera le Parlement. Alors, dans l’intelligence
15   II,      79| destituer ce M. Bignon.~ ~ ~– Le parlement, dont un des membres a failli
16   II,      79|         soutien, et la colère du parlement tombera.~ ~ ~– Mais j’aurai
17   II,      80|       heures. J’ai un conseil de parlement à deux heures et demie.
18  III,      84|        il soutient la révolte du parlement contre l’autorité royale.~ ~ ~–
19  III,      84|         soutenir la rébellion du parlement ?~ ~ ~– C’est convenu ;
20  III,      85|     succès décisif. Bien pour le parlement de Rouen, bien pour milord
21  III,      86|          noblesse, du clergé, du parlement, et ce bruit, ajouté à ses
22  III,      87|        le demandent messieurs du parlement.~ ~ ~– Vous avez des soutiens
23  III,      88|           non.~ ~ ~– Un homme du parlement, ma chère… Un premier président
24  III,      88|          Un premier président du parlement de Besançon.~ ~ ~– M. de
25  III,      88|        faut bien, vous me parlez parlement toute la journée. Ah çà !
26  III,      88|        suis Louis XV, et j’ai un parlement qui me donne le fouet, au
27  III,      88|        moi qui donne le fouet au parlement. Voilà.~ ~ ~– C’est égal,
28  III,      88|      coup de pied au derrière du parlement.~ ~ ~– Et vous n’en voulez
29  III,      88|          autre, bien entendu. Le parlement voulait garder Choiseul ;
30  III,      96|               Or, le roi, que le parlement de Bretagne et ceux de la
31  III,      96|       conseillers tenant cour de parlement.~ ~ ~ ~Comment ce soufflet
32  III,      96|        soleil.~ ~ ~ ~Les gens du parlement sont d’habiles gens et,
33  III,      96|          reçu :~ ~ ~« La cour du parlement délibérera sur la conduite
34  III,      96|        la lettre.~ ~ ~ ~Alors le parlement, résolu de faire sa besogne
35  III,      96|    pareil arrêt rendu en cour de parlement, devant les intéressés,
36  III,      96|      fallait élever cet arrêt du parlement à la puissance de la chanson.~ ~ ~ ~
37  III,      96|        pour la cour, peu pour le parlement, ce Paris, en ébullition
38  III,      96|        bien et dûment rendu ; le parlement nomma des commissaires pour
39  III,      96|        lettre d’un conseiller au parlement ; cette lettre contenait
40  III,      96|         avons dit, le jour où le parlement venait de rendre son arrêt.~ ~ ~ ~
41  III,      96|  Aiguillon avec le tout-puissant parlement de Paris, merci de vos bons
42  III,      97|          MM. les commissaires du parlement, dit-il avec inquiétude.~ ~ ~–
43  III,      97|              Des commissaires du parlement ici ?… Que me veut-on ?
44  III,      97|        offrait le commissaire du parlement.~ ~ ~ ~Ce fut le maréchal
45  III,      97|        on aille se douter que le parlement frappera si vertement sur
46  III,      97|    poignard dans la plaie, si le parlement te dégrade de la pairie
47  III,      98|          où le terrible arrêt du parlement avait empli de bruit Paris
48  III,      98|     violences que me font MM. du parlement, à moi qui me suis employé
49  III,      98|       Majesté a cassé l’arrêt du parlement et m’a enjoint de continuer
50  III,      98|               Le fait est que le parlement est battu.~ ~ ~– Et moi
51  III,      98|         quelque sorte l’arrêt du parlement et compter les tressaillements
52  III,      98|          démangeait d’opposer le parlement à la du Barry, du moment
53  III,      98|       bien, poursuivit Rafté, le parlement était assez soufflé par
54  III,      98|        prendra le joint entre le parlement et madame du Barry ; ce
55  III,      98|   conseil. Vous attendrez que le parlement se soit assemblé là-dessus
56  III,      99|       quelque temps réitérées au parlement, et les avocats plaidaient
57  III,      99|          courant des affaires du parlement.~ ~ ~ ~Mais, malgré sa dignité
58  III,      99|        brûlerez les vaisseaux du parlement ? Voilà ce qui n’est pas
59  III,      99|      clair, et j’ignorais que le parlement eût des vaisseaux.~ ~ ~–
60  III,      99|      brisera pas l’opposition du parlement.~ ~ ~– Je lui dirai que
61  III,      99|     causent ces têtes carrées du parlement ; vous ajouteriez que c’
62  III,     100|     Contre qui ?~ ~ ~– Contre le parlement.~ ~ ~– Ah ! bon ! fit le
63  III,     100|     attende le premier méfait du parlement, dit Louis XV ; alors je
64  III,     100|         ne plus tenir la cour du parlement jusqu’à ce que Votre Majesté
65  III,     100|         acte de rébellion et mon parlement n’osera pas se révolter,
66  III,     100|      inclinant le chancelier, le parlement vous gênait : vous n’avez
67  III,     100|     gênait : vous n’avez plus de parlement.~ ~ ~– Et comment cela ?
68  III,     101|     avait assez. Il ordonnait au parlement de se réconcilier avec M.
69  III,     101|         ne raccommodèrent pas le parlement avec M. de Maupeou, pas
70  III,     104|         coups se dirigeaient. Le parlement et le peuple, pleins de
71  III,     104|  essentiel est mortelle ; or, le parlement est au corps social ce que
72  III,     106|       grand-peur du fagot, et le parlement de Paris se déciderait peut-être