Tome,  Chap.

 1    I,      13|           moi…~ ~ ~– Beau-frère du ministre, de M. de Choiseul.~ ~ ~–
 2    I,      16|            passer le beau-frère du ministre tout-puissant qui gouvernait
 3    I,      23|            de Choiseul est premier ministre ; il donne des ordres, et
 4    I,      23|           vers, vous, un homme, un ministre ?~ ~ ~– Ah ! si je n’avais
 5    I,      24|            je quitte un pays où le ministre fait peur au roi.~ ~ ~–
 6    I,      26|             répondit froidement le ministre, et je m’habillais pour
 7    I,      26|          possible, d’intimider son ministre.~ ~ ~ ~Malheureusement pour
 8    I,      26|           la reconnaissance que le ministre avait le droit d’en attendre ;
 9    I,      26|      remise en mouvement.~ ~ ~ ~Le ministre fronça le sourcil et sortit
10    I,      30|          elle ne croyait pas qu’un ministre si occupé eût le courage
11    I,      34|           cette malédiction que le ministre et le portefeuille entraient
12    I,      34|            Elle-même, sire, dit le ministre.~ ~ ~– Mais elle n’attend
13   II,      59|           jours peut-être à rester ministreTenez, mon prince, en fait
14   II,      60|   philosophes !~ ~ ~– C’est que le ministre est un philosophe lui-même.~ ~ ~–
15   II,      60|  gouvernent dans la personne de ce ministre. Je me trompe alors, ce
16   II,      61|            M. de Choiseul un vieux ministre ; qu’en conséquence il n’
17   II,      77|          est un grand génie que ce ministre.~ ~ ~– Bon ! voilà que vous
18   II,      78|          la lettre qui congédie le ministre.~ ~ ~– Il y a un milieu,
19   II,      79|            XV travaillait avec son ministre~ ~Le lendemain, la rumeur
20   II,      79|            eux et ne pas saluer le ministre.~ ~ ~ ~Le duc ne fit pas
21   II,      79|    Choiseul se porte bien, mais le ministre est fort malade, et vient
22   II,      79|                 Mais, sire, dit le ministre surpris, vous avez signé…~ ~ ~–
23   II,      79|           Le roi tendit la main au ministre, qui s’inclina dessus sans
24   II,      79|           le roi. Vis-à-vis de son ministre, c’est bien ; mais vis-à-vis
25   II,      79|         Praslin, mon cousin, votre ministre de la marine, vous dira
26   II,      79|         France, aujourdhui un bon ministre est plus nécessaire à Votre
27   II,      79|         dans mon cœur, répliqua le ministre, sachant bien qu’avec cette
28   II,      79|           mains maigres la main du ministre, en lui disant :~ ~ ~– Il
29   II,      79|           part du roi, répliqua le ministre en lançant cette phrase
30   II,      80|         charmant à habiter ; et le ministre ajoutait que c’était pour
31   II,      81|           qui, ne trouvant plus le ministre sous leur main, pour s’accrocher
32   II,      81|     prédire que je mourrai premier ministre.~ ~ ~– N’est-ce pas ?~ ~ ~–
33  III,      83|                   À qui ?~ ~ ~– Au ministre.~ ~ ~– Donne.~ ~ ~ ~Le courrier
34  III,      84|       élixir.~ ~ ~– Non, mais d’un ministre que l’on renverse avec trois
35  III,      84|           M. de Choiseul resterait ministre ?~ ~ ~– Assurément non !
36  III,      86|       ridicule.~ ~ ~– Sire, dit le ministre avec hauteur, je croyais
37  III,      86|         effet, par la tolérance du ministre, proclamèrent que l’État
38  III,      86| gouvernement échapper aux mains du ministre qui encensait Voltaire,
39  III,      86|          général, était un mauvais ministre et un mauvais citoyen ;
40  III,      86|    Aiguillon salua profondément le ministre déchu, dont il venait briguer
41  III,      87|            derrière le carrosse du ministre exilé ; de plus, on y vit
42  III,      87|    prononcé… Ce serait un terrible ministre de la police que M. le comte
43  III,      87|   Aiguillon, et que je te parle en ministre plutôt qu’en oncle.~ ~ ~–
44  III,      88|            ne vois pas un seul bon ministre, moi.~ ~ ~– Soit ; dites-moi
45  III,      89|    Versailles après la disgrâce du ministre, on savait son audience
46  III,      89|         est autre chose, vous êtes ministre, vous… Comment dormiriez-vous ?~ ~ ~–
47  III,      89|       chère comtesse, qui m’a fait ministre, va voir si j’en manque
48  III,      89|            n’étais rien ; me voici ministre, vous arrivez.~ ~ ~– Monsieur
49  III,      89|           était avouer qu’il était ministre de la façon d’une favorite,
50  III,      89|            retire. Je laisse M. le ministre en parfaite compagnie.~ ~ ~ ~
51  III,      90|          qu’il ne sera pas reconnu ministre tout de suite ; oui, oui…
52  III,      90|         dans vos faveurs, mon cher ministre.~ ~ ~ ~D’Aiguillon répondit
53  III,      90|          Aiguillon, enfin, du vrai ministre ajourné.~ ~ ~– Qui l’est
54  III,      93|            de mon devoir d’ami… Le ministre refusait. Richelieu sollicite
55  III,      93|            pourquoi je ne suis pas ministre.~ ~ ~– Bon !~ ~ ~– Sans
56  III,      97|            a pas voulu vous nommer ministre, et, comme j’ai accepté,
57  III,      97|      commandant les chevau-légers, ministre dans six semaines, tu dois
58  III,      97|          le jour où tu seras nommé ministre. Ces gens-là t’exècrent,
59  III,      97|            France et ne serait pas ministre. On est oncle, Rafté, ou
60  III,      97|            ce qu’il faut pour être ministre, lui répliqua Rafté.~ ~ ~ ~
61  III,      98|            Il nomme M. d’Aiguillon ministre ?~ ~ ~– Mieux que cela.~ ~ ~–
62  III,      98|        Barry ; ce jour-là, il sera ministre, et vous, exilé… ou à la
63  III,      99|        cabinet le jour où je serai ministre.~ ~ ~ ~
64  III,     104|          de nos frères obscurs, le ministre, avec un million ou l’espoir
65  III,     113|           puissances auxquelles un ministre devrait obéir : la première,
66  III,     113|       appelle votre confiance ; un ministre doit aimer, pour lui obéir,
67  III,     114|        lui-même apporté l’ordre du ministre. M. de Taverney n’est pas
68   IV,     124|            Ah ! vous êtes un grand ministre, dit Balsamo, je l’avoue.~ ~ ~–
69   IV,     135|     ministère. Ah ! si j’eusse été ministre, le brevet serait parti !~ ~ ~–
70   IV,     135|                   Si tu eusses été ministre, tu eusses envoyé Philippe
71   IV,     136|         affaire, duc. Mais j’ai un ministre de la Guerre. Je ne donne
72   IV,     139|         heure, il faut que je sois ministre », et je l’eusse été. Quelle
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