Tome,  Chap.

 1    I,      10|     aviez été mon frère, je vous eusse aimé, moi. Il me semble
 2    I,      15|          conte oriental.~ ~ ~– J’eusse aimé mieux, reprit Marie-Antoinette,
 3    I,      20|          mal acquise ; mais j’en eusse fait assez.~ ~ ~– Un écu
 4    I,      20|          pas perdu mon argent, j’eusse pu manger ; et si j’eusse
 5    I,      20|        eusse pu manger ; et si j’eusse mangé cette nuit, j’eusse
 6    I,      20|        eusse mangé cette nuit, j’eusse pu ce matin rattraper les
 7    I,      26|         monsieur ?~ ~ ~– Je vous eusse demandé sa tête.~ ~ ~– Mais
 8    I,      30|    faveurs ; dans ce temps là, j’eusse gagné mon procès.~ ~ ~–
 9    I,      30|       affreux négrillon que je n’eusse pas honoré d’un coup de
10    I,      30|         pied au derrière si je l’eusse rencontré dans la rue, et
11    I,      31|     présenter madame du Barry, j’eusse voulu un nom historique. »
12    I,      35|   paroles. J’étais enragé : je l’eusse étranglée avec joie.~ ~ –
13    I,      38|         fait dire cela ; je vous eusse envoyé, – mais parlons bas,
14    I,      38|          je vous prie, – je vous eusse envoyé une perle, un trésor,
15    I,      38|        faire à l’avenir, je vous eusse envoyé la robe que ma fille
16   II,      43|        les bois jusqu’à ce que j’eusse trouvé la plante en question.
17   II,      44|          mieux dormi que je ne l’eusse fait sous le toit d’un bon
18   II,      46|          prince parlait.~ ~ ~– J’eusse voulu vous emmener avec
19   II,      49| reconnaissant bien plus que si j’eusse accepté votre offre, soyez-en
20   II,      50|         me retenaient captive, j’eusse bien certainement été à
21   II,      50|        trois seuls parents que j’eusse au monde : mon père, ma
22   II,      50|        de lui tout dire, comme j’eusse dû le faire, je niai tout
23   II,      52|         comte, plus mal que je n’eusse voulu ; car je n’ai point
24   II,      62|    ration d’étrivières, et, si j’eusse mis la main sur son collet
25   II,      62|      première chose à laquelle j’eusse dû songer… Cela prouve à
26   II,      64|         en eût-il eu, que je les eusse extirpées radicalement.
27   II,      73|         Il y a trois jours, je n’eusse pas encore pu vous répondre,
28   II,      78|       passerait point sans que j’eusse l’honneur de voir Votre
29  III,      82|           s’écria le cardinal. J’eusse parié pour un nom de saint.~ ~ ~–
30  III,      84|          Eh bien ?~ ~ ~– Je vous eusse tirée d’embarras.~ ~ ~–
31  III,      90|       demandes ; seulement, je l’eusse, non pas évincé, mais chassé,
32  III,      91|         vaincu l’ennemi… Moi qui eusse dû être plus faible, puisque
33  III,      98|            Voyons.~ ~ ~– Rien… j’eusse attendu sans donner signe
34  III,     104|       notre but, cet homme, je l’eusse ménagé, je l’eusse maintenu
35  III,     104|          je l’eusse ménagé, je l’eusse maintenu au pouvoir, je
36  III,     104|        maintenu au pouvoir, je l’eusse soutenu avec toutes les
37  III,     105|        ce qu’il me faut. Je vous eusse demandé de m’y conduire
38  III,     110|          galants de la ville~ ~J’eusse écouté les discours,~ ~Ah !
39  III,     111|           sans mon égoïsme, je l’eusse fait jouer Colette ; mais,
40  III,     113|      énerve ; il eût fallu, si j’eusse écouté la comtesse, aller
41  III,     113|         la cause pour laquelle j’eusse refusé le portefeuille,
42  III,     113|     qualité radieuses, que, si j’eusse été roi de France, le choix
43  III,     115|       dire peut-être. Je ne vous eusse jamais parlé de cela ; mais
44  III,     116|       intéressée… Tiens, je ne l’eusse pas cru. Tant mieux, Satan,
45  III,     117|    discours par la demande que j’eusse dû vous faire en commençant,
46  III,     118|          beaux yeux. Jadis, je t’eusse proposé de te donner asile
47   IV,     126|         sous le souffle ; mais j’eusse perdu à cela mon coffret,
48   IV,     133|         un sourire amer. Si je l’eusse voulu, ce serait fait. Il
49   IV,     135|     nouveau ministère. Ah ! si j’eusse été ministre, le brevet
50   IV,     139|              Il y a vingt ans, j’eusse regardé la pendule en disant : «
51   IV,     139|         sois ministre », et je l’eusse été. Quelle sotte chose
52   IV,     141|    jamais comprendre que je vous eusse quittée ainsi sans vous
53   IV,     142|       tout le monde, et ce que j’eusse voulu cacher à vous-même.~ ~ ~–
54   IV,     143|      déplore, et dont je ne vous eusse pas crue capable vis-à-vis
55   IV,     144|      gravité de ma maladie, je n’eusse point pris la liberté de
56   IV,     144|       vous vous trouvez, je vous eusse sauvée de la honte, sinon
57   IV,     146|          voulais vous parler ; j’eusse, pour pénétrer jusqu’à vous,
58   IV,     146|     diable vous a donc dit que j’eusse insulté votre sœur ?~ ~ ~ ~
59   IV,     146|     avais pour le répandre, si j’eusse voulu, une occasion plus
60   IV,     147|          chez moi, plus que je n’eusse dû faire pour vous convaincre
61   IV,     149|                Monsieur, si je l’eusse vu, dix minutes avant le
62   IV,     149|      mettre le pied, et que je l’eusse tué alors, chacun eut dit
63   IV,     149|         vous en empêcher comme j’eusse empêché par tout moyen en
64   IV,     149|          ouvrant une porte, si j’eusse pu deviner qu’il était là,
65   IV,     151|          car, en admettant que j’eusse voulu vous dénoncer sans
66   IV,     151|         en admettant que je vous eusse traité en ennemi, que je
67   IV,     151|    traité en ennemi, que je vous eusse attaqué tandis que je me
68   IV,     153|          n’est point ainsi que j’eusse dû me présenter ; mais que
69   IV,     158|         cet enfant sans que je l’eusse vu… embrassé !… Philippe,