Tome,  Chap.

 1    I,  IntIII|          révèle à l’œil qui sait y lire leurs vices et leurs vertus.
 2    I,       4|          vous avez continué de les lire, néanmoins ?~ ~ ~– J’ai
 3    I,       4|        chimie ?~ ~ ~– Non. Je sais lire et écrire, voilà tout ;
 4    I,       5|          qui n’est bon à rien qu’à lire et rêvasser, et qui, dans
 5    I,       6|        apprendre trop de choses et lire trop de livres ; j’aime
 6    I,       7|           pas, je m’amuserai à les lire.~ ~ ~ ~La Brie s’inclina
 7    I,       9|          il veut toujours me faire lire.~ ~ ~– Et que vous ne lisez
 8    I,      11|        mais il était impossible de lire autre chose que l’étonnement
 9    I,      13|     sourire dans lequel on pouvait lire à la fois et la fatuité
10    I,      15|            ne pourriez vous pas le lire pour moi dans une carafe ?~ ~ ~–
11    I,      30|        caquetant.~ ~ ~ ~On pouvait lire sept heures et demie au
12    I,      34|          pas à reculer, il fallait lire.~ ~ ~– Qu’est-ce là, grande
13    I,      36|       expression qu’elle avait cru lire dans les yeux du roi ; mais
14   II,      43|            fixés sur lui, semblait lire jusqu’au fond de son cœur.~ ~ ~–
15   II,      43|          la tête.~ ~ ~– Vous savez lire, écrire ?~ ~ ~– Ma mère,
16   II,      43|          le temps de m’apprendre à lire, pauvre mère ! car, me voyant
17   II,      43|           me disait : « Apprends à lire, Gilbert, et tu ne fendras
18   II,      43| Malheureusement, je savais à peine lire lorsque ma mère mourut.~ ~ ~–
19   II,      43|       revint le facteur, je me fis lire l’adresse ; elle était conçue
20   II,      45|      passer ainsi toute une nuit à lire, et le plaisir s’augmentait
21   II,      45|            soupçonneux.~ ~ ~– Pour lire.~ ~ ~ ~Le regard de Jacques
22   II,      45|         sol.~ ~ ~– Mais vous savez lire la musique, alors ?~ ~ ~–
23   II,      49|         force de travail, appris à lire dans cette méthode.~ ~ ~–
24   II,      49|       touchais pas ; j’essayais de lire, voilà tout : mes yeux ne
25   II,      50|         office, je ne pouvais plus lire ni prier. Toute ma pensée,
26   II,      51|            Votre Altesse veut elle lire l’acte et interroger la
27   II,      52|      billet que Votre Altesse peut lire.~ ~ ~ ~Le comte tira une
28   II,      53|            voisine, et Gilbert put lire :~ ~ ~ ~Hôtel d’Armenonville.~ ~ ~ ~
29   II,      53|   lointaine d’un réverbère, il put lire alors sur un fond de pierre
30   II,      56|           ma douce Lorenza, que de lire à découvert dans le cœur
31   II,      65|            étrange, si l’on eût pu lire sur son front, à travers
32   II,      81|      maréchal.~ ~ ~– Mais… je sais lire, duc, répondit madame du
33   II,      81|        voulez-vous me permettre de lire aussi ?~ ~ ~– Oh ! certainement ;
34  III,      83|       lettre.~ ~ ~– Pouvez-vous la lire ?~ ~ ~– Je le puis.~ ~ ~–
35  III,      89|       monsieur, Rafté vous le fera lire.~ ~ ~ ~Et, comme il éconduisait
36  III,     102|       vente, lisait ou feignait de lire une gazette.~ ~ ~ ~Au bruit
37  III,     103|          tout prêt.~ ~ ~– Veuillez lire la formule, frère vénérable,
38  III,     104|            origine, vous pouvez la lire sur son front, dans un geste,
39  III,     106|           en arriverez peut-être à lire dans les cœurs ?~ ~ ~– Pourquoi
40  III,     107|      Sartine, lequel aimait fort à lire les papiers des jeunes gens
41  III,     107|              Oui ; mais vous savez lire, vous ?~ ~ ~– Sans doute.~ ~ ~–
42  III,     107|       décacheter la lettre et à la lire, tandis que dame Grivette,
43  III,     107|            Marat, une âme qui sait lire quand le corps ne le sait
44  III,     107|    réflexion. Essayez de lui faire lire cette lettre quand elle
45  III,     108|        jeunes filles n’oseront pas lire – ou bien des profanations
46  III,     108|          encore, je vous entendais lire un passage de je ne sais
47  III,     114|         pressant sur son cœur pour lire dans ses yeux.~ ~ ~– Moi ?
48  III,     115|            m’avez pas forcée de le lire et je vous en sais gré ;
49  III,     117|          de la rue Saint-Claude, à lire une lettre que Fritz venait
50  III,     118|     naturellement dans ce qu’on va lire.~ ~ ~ ~M. de Taverney avait
51  III,     123|           de son vivant ne pouvait lire, car le meuble s’ouvrait
52  III,     123|       disaient que, si on avait pu lire à travers les panneaux de
53   IV,     124|            que je n’ai pas bien pu lire, mais vous m’aiderez, n’
54   IV,     126|            qui avait l’habitude de lire dans son regard.~ ~ ~– Elle
55   IV,     128|      moment, Lorenza, qui semblait lire dans la pensée de Balsamo
56   IV,     128|            écrite, il me semble la lire en caractères de feu : mort !
57   IV,     129|        spectateur qui n’eût pas su lire dans son âme eût eu peine
58   IV,     129|            Oui.~ ~ ~– Tu peux donc lire dans sa pensée ?~ ~ ~– Oui ;
59   IV,     130|  prouveront que vos commis sachent lire. »~ ~– Et qu’a dit le roi,
60   IV,     134|         quand bien même tu saurais lire les manuscrits que mes yeux
61   IV,     137|            abbé parlait au lieu de lire et racontait à la dauphine
62   IV,     137|          mademoiselle, pouvez-vous lire, maintenant ? demanda la
63   IV,     142|            qu’il devait éprouver à lire, le digne docteur feuilletait
64   IV,     155|           il tenait ouvert sans le lire.~ ~ ~– Oh ! oh ! dit-il,
65   IV,     162|        yeux, déplia le papier pour lire ; mais à peine eut-elle