Tome,  Chap.

 1    I,   IntII|           jusqu’à là divination la science physionomique, et dis tout
 2    I,  IntIII|           botanique, non pas cette science étroite que chaque savant
 3    I,       9|            de toute ta lucidité. O science ! continua-t-il avec le
 4    I,       9|          avec une joie sauvage, la science n’est donc pas un vain mot
 5    I,      10|           et un philosophe. Or, la science ordonne l’isolement de l’
 6    I,      14|       reine n’a salué avec plus de science. Pliant la tête une seule
 7    I,      15|       cette preuve innocente de ma science.~ ~ ~– Non pas, monsieur,
 8    I,      20|       puis-je vous demander quelle science vous étudierez de préférence,
 9    I,      37|            premières preuves de sa science.~ ~ ~– Monsieur ! s’écria-t-il
10   II,      43|        peut choisir entre la vraie science, modeste et martyre, et
11   II,      43|       signification au livre de la science. Apprenez d’abord à connaître
12   II,      53|            qu’à force de génie, de science ou d’étude, montât Gilbert,
13   II,      56|         Italie ; elle croit que la science est un crime et l’amour
14   II,      59|           je révèle à un ami de la science, ne se jette dans la matière
15   II,      59|                   Écoutez donc, la science s’est trompée tant de fois…~ ~ ~–
16   II,      59|            ceci ne regarde plus la science, c’est du ressort de la
17   II,      60|          un centaure, parce que sa science avait doué l’homme de la
18   II,      60|        potences infâmes dont votre science n’a pas encore plus garanti
19   II,      70|       désormais inutile sera notre science auprès de ce malade ; de
20  III,      84|            jamais de ce que dit la science, madame.~ ~ ~– Oh ! oh !
21  III,     103|           c’est l’espoir, c’est la science ; l’avenir, c’est Dieu qui
22  III,     103|              Ah ! dit Rousseau, la science, abîme sans fond ! Vous
23  III,     103|         sans fond ! Vous me parlez science, vous ! consolation, avenir,
24  III,     104|     meilleurs ne sont rien sans la science, l’art et la foi ; rien
25  III,     105|         peut-être, pour étudier la science de la vie, phénomène merveilleux
26  III,     106|            vraiment amoureux de la science, qui ne répudiait aucun
27  III,     106|            s’écria Marat, comme la science prouve l’omnipotence de
28  III,     106|       saints et les traditions, la science et la foi. Que vous importe
29  III,     106|                   Vous abaissez la science à un triste niveau, monsieur.
30  III,     117|           partie de mes secrets en science et en politique. Vous savez
31  III,     117|      élixir de vie : voilà pour la science. Vous savez que moi et mes
32  III,     117|          surpris relativement à la science d’Althotas ne sortira de
33  III,     117|       parfois dans l’intérêt de la science vis-à-vis de malheureux
34  III,     122|            de sa main, voyons ! la science est un mot ou est un fait ;
35  III,     122|            mot ou est un fait ; la science peut ou ne peut pas ; moi,
36   IV,     126|            un heureux hasard de la science aux éternelles ténèbres.~ ~ ~–
37   IV,     126|             Ne doutez jamais de la science, madame. Vous m’avez cru
38   IV,     127|        tout soin à cette œuvre, la science d’un siècle sera anéantie
39   IV,     127|         doute, avec le temps et la science.~ ~ ~– La science, je l’
40   IV,     127|            et la science.~ ~ ~– La science, je l’ai ; le temps, je
41   IV,     129| inexplicable de la nature ou de la science, jetait Balsamo dans une
42   IV,     129|           Balsamo doutait de cette science, reçue par tradition de
43   IV,     129|   confiance en lui-même et dans la science.~ ~ ~ ~Pourquoi, en effet,
44   IV,     129|        mais l’étude seule donne la science.~ ~ ~– L’âme sait toute
45   IV,     129|           par l’état présent de la science, et que la plupart des vérités,
46   IV,     131|         Lorenza, si l’amour, si la science, ont pu à ce point tromper
47   IV,     131|            été mensonger, comme la science aura été une erreur, comme
48   IV,     132|            un bouleversement de la science, un cataclysme de la raison,
49   IV,     133|          qu’elle est ton trésor de science, de bonheur et de fortune ;
50   IV,     133|           à ses serments ; mais sa science est immense, elle est utile
51   IV,     134|           le dépasse de si loin en science ; il a voulu hériter de
52   IV,     134|           l’esprit te donnerait ma science, l’usage enfin de tous ces
53   IV,     137|          dans cette ardeur pour la science, car la démonstration était
54   IV,     142|         ses lèvres ; mais enfin la science peut se tromper, et vous
55   IV,     143|     menaces. Bien certainement, la science s’était trompée, mais la
56   IV,     143|    soupçonnée indignement ; que la science mentait ; il s’avoua que
57   IV,     143|            honnêtes pour qui toute science est un sacerdoce et qui
58   IV,     144|   mademoiselle : vous doutez de la science, et vous espérez cacher
59   IV,     145|         reconnaissait pour dieu la science et proclamait son omnipotence.~ ~ ~ ~
60   IV,     148|          est un des mystères de la science.~ ~ ~ ~Et Balsamo, poussant
61   IV,     148|           de la lassitude.~ ~ ~– O science, murmura-t-il, que de victimes
62   IV,     149|          de tous les secours de la science. Laissez-moi donc lui trouver
63   IV,     151|     Taverney, qu’avec l’aide de la science j’ai forcée de dire la vérité ;
Best viewed with any browser at 800x600 or 768x1024 on Tablet PC
IntraText® (VA2) - Some rights reserved by EuloTech SRL - 1996-2010. Content in this page is licensed under a Creative Commons License