Tome,  Chap.

 1    I,    IntI|            derrière une ceinture d’arbres verts, comme derrière un
 2    I,    IntI|           une fois arrivé sous ces arbres touffus comme les chênes
 3    I,    IntI|            pénétrant à travers les arbres guida sa marche ; mais bientôt
 4    I,       4|           lumière apparut sous les arbres, éclairant une charmante
 5    I,      12|            les dernières rangées d’arbres, et il courait encore, qu’
 6    I,      12|      disparurent avec lui sous les arbres de l’avenue.~ ~
 7    I,      14|            le beau site, les beaux arbres, la gentille maisonnette !
 8    I,      14|        dans ce bon air et sous ces arbres qui vous cachent si bien !~ ~ ~ ~
 9    I,      14|            apporter sous ces beaux arbres une tasse de lait, n’est-ce
10    I,      18|         vigoureux chevaux ; et les arbres de l’avenue, de cette avenue
11    I,      33|        vagues agitées, la cime des arbres du bois de Chatou, et arrachait
12    I,      38|           que ses grandes allées d’arbres taillés s’en aillent échevelées
13   II,      40|          et froid, avec ses grands arbres, dont la plupart commençaient
14   II,      40|          et par delà les cimes des arbres, frémissantes comme les
15   II,      41|          étaient bordées de grands arbres dont les feuillages venaient
16   II,      41|            de faire, il courut aux arbres, se cramponna aux branches,
17   II,      42|             qui dorait la cime des arbres lointains, tandis que les
18   II,      44|          le vent sifflera dans les arbres dépouillés, au lieu de cette
19   II,      44|           nous avons traversé, des arbres sous lesquels il y a des
20   II,      46|       lucarne, et vit en effet les arbres d’un beau jardin ; au delà
21   II,      46|            jardin ; au delà de ces arbres s’élevait l’hôtel auquel
22   II,      46|             tout entouré de jeunes arbres et de fleurs, s’élevait
23   II,      46|          éveillés. Mais, comme les arbres naissants avaient collé
24   II,      48| éparpillaient sur les branches des arbres qui, de Saint-Denis à la
25   II,      50|          disais tout bas adieu aux arbres, aux buissons, aux pierres,
26   II,      50|       pierres, des buissons et des arbres !~ ~ ~« Tout à coup, au
27   II,      50|            Je vis des rochers, des arbres, des nuages ; puis, au milieu
28   II,      53|     mélancolie.~ ~ ~– Aurai-je des arbres ? demanda Andrée.~ ~ ~–
29   II,      54|           peine le faîte des hauts arbres, le rassura ; au lieu de
30   II,      54|         veille.~ ~ ~« Y a-t-il des arbres ? » avait demandé Andrée
31   II,      54|       était ombragée par de grands arbres, de tous côtés elle était
32   II,      55|          ombragée à droite par les arbres du couvent, était bordée
33   II,      58|            alla se cacher sous les arbres, à vingt pas.~ ~ ~ ~Alors
34   II,      59|    boulevard et s’arrêter sous les arbres, à cinquante pas de ma maison ?~ ~ ~–
35   II,      65|         les branches arrachées aux arbres, les statues arrachées à
36   II,      65|       tirer, les cimes sombres des arbres du parc agitées et tordues,
37   II,      65|           bu ce déluge d’eau ; les arbres avaient absorbé ce déluge
38   II,      65|         partout de la fange et des arbres brisés, tordus, calcinés
39   II,      66|         Les enfants trouvèrent des arbres, les hommes graves des bornes,
40   II,      75|       monte sous l’ombre des vieux arbres jusqu’à dessiner une vive
41   II,      80|            roi. Je croyais que des arbres et des fleurs, voire même
42   II,      80|           il n’a pas pensé que les arbres, en grandissant, éborgneraient
43  III,      85|         une grande route plantée d’arbres.~ ~ ~– Mais sur quelle route ?~ ~ ~–
44  III,      91|            Au détour d’une allée d’arbres verts, qui, taillés en charmille
45  III,      91|             elle passa si près des arbres, que Gilbert eût pu, en
46  III,      91|         presqu’en face du massif d’arbres verts où Gilbert se tenait
47  III,     101|  délibératif ou judiciaire, où les arbres étaient chargés de sacs
48  III,     119|        nuit en plein air, sous les arbres humides, pour attendre le
49  III,     121|            l’espace et tordait les arbres désolés emporta bruit et
50  III,     122|  fantastiques, disparaissaient les arbres et les maisons. À peine
51   IV,     127|          pareille à cette sève des arbres en mai, monte sous la vieille
52   IV,     145|            la terre, ou hacher les arbres avec une sorte de rage,
53   IV,     150|         pas en plein air, sous ces arbres… ?~ ~– Parce qu’il est de
54   IV,     152|      voyant blanchir au milieu des arbres le pavillon du jardin où
55   IV,     153|         désir lui prit de voir les arbres, la maison, les allées que
56   IV,     156|            rouillées à la cime des arbres ; la plus grande partie
57   IV,     156|          loin un voyageur dans les arbres, comme Énée un de ses vaisseaux
58   IV,     156|          détachait sur les haies d’arbres verts. Quelquefois le son
59   IV,     160|          plaintes du vent dans les arbres desséchés lui semblaient
60   IV,     160|         feuilles et attristés, les arbres de la forêt, par les branchages
61   IV,     160|           au milieu des bouquets d’arbres, le clocher du hameau et
62   IV,     Epi|           angle de la rue bordée d’arbres qui fait face au palais,