Tome,  Chap.

 1   II,      64|  souvent dans la société de mon oncle le régent ! mais non, l’
 2   II,      77|     parler du cardinal-duc, mon oncle, madame ?~ ~ ~– Non ; je
 3  III,      87|     siennes.~ ~ ~– Elle goûte l’oncle, se dit-il, elle prend goût
 4  III,      87|     prit ensuite la main de son oncle qui, s’avançant vers la
 5  III,      87|          par déférence pour son oncle, de l’imiter en tout ce
 6  III,      87|       imiter en tout ce que son oncle fera d’agréable pour moi.~ ~ ~–
 7  III,      87|        en ministre plutôt qu’en oncle.~ ~ ~– Mon oncle, votre
 8  III,      87|   plutôt qu’en oncle.~ ~ ~– Mon oncle, votre bonté me pénètre
 9  III,      87|     tourna brusquement vers son oncle.~ ~ ~– Vous parlez sérieusement ?
10  III,      87|     Nous le jouerons. »~ ~– Mon oncle !~ ~ ~– Non, je ne puis
11  III,      87|   Aiguillon. Êtes-vous fou, mon oncle ?~ ~ ~– Fou ? Quoi ! tu
12  III,      87|       vois bien cela.~ ~ ~– Mon oncle, répliqua le duc avec une
13  III,      87|    proposition était nette, mon oncle, je conçois tout le parti
14  III,      87|          ce n’est pas cela, mon oncle, s’écria d’Aiguillon, comme
15  III,      87|         il va disparaître ? Mon oncle, si j’avais connu madame
16  III,      87|         présent, ni avenir. Mon oncle, il faut renoncer à cette
17  III,      87|        Oh ! pour cela, oui, mon oncle ; car, malheureusement,
18  III,      88|      tout ce que lui disait son oncle, parfaitement compris que
19  III,      88|        la conversation avec son oncle, c’est que lui, d’Aiguillon,
20  III,      88|         bien être, madame ; mon oncle vous l’a dit, je ne suis
21  III,      88|      prit le portefeuille à son oncle et mangea la part du roi.~ ~ ~ ~
22  III,      90|                Le neveu salua l’oncle d’un air de condoléance
23  III,      90|     vous.~ ~ ~ ~Et, saluant son oncle, il sortit, gardant la dignité
24  III,      90|     politesses du neveu et de l’oncle ; ce qu’il y a d’admirable
25  III,      96|  nécessaire entre le duc et son oncle le maréchal.~ ~ ~ ~Grâce
26  III,      96|        à rechercher partout son oncle pour avoir avec lui un entretien
27  III,      96| purement et simplement chez son oncle à Versailles.~ ~ ~ ~Mais
28  III,      96|     raconter à ce neveu que son oncle avait passé la nuit hors
29  III,      96|       êtes la conscience de mon oncle : répondez-moi en honnête
30  III,      97|        duc n’attendait plus son oncle et se préparait à repartir
31  III,      97|         courut au-devant de son oncle, et lui prit les mains avec
32  III,      97|         coupa la retraite à son oncle, l’enferma dans un fauteuil
33  III,      97|        pour attaque :~ ~ ~– Mon oncle, lui dit-il, est-il vrai
34  III,      97|      jugé, mon cher ?~ ~ ~– Mon oncle, vous me boudez.~ ~ ~– Moi !
35  III,      97|       on s’explique ?~ ~ ~– Mon oncle, en vérité…~ ~ ~– Tu es
36  III,      97|        par là ?~ ~ ~– Rien, mon oncle ; continuez.~ ~ ~– Si fait,
37  III,      97|         dans la cour.~ ~ ~– Mon oncle, ne vous interrompez pas,
38  III,      97|   rassuré par le sourire de son oncle.~ ~ ~– De par le roi ! articula
39  III,      97|        duc se retourna vers son oncle, comme si, à ce moment seulement,
40  III,      97|         ton.~ ~ ~– Et vous, mon oncle ? riposta d’Aiguillon.~ ~ ~–
41  III,      97|           Vous avez raison, mon oncle, répondit-il tranquillement,
42  III,      97|       de Sa Majesté. Merci, mon oncle, de votre conseil, je m’
43  III,      97|      salua respectueusement son oncle et quitta le salon, laissant
44  III,      97|     serait pas ministre. On est oncle, Rafté, ou on ne l’est pas.~ ~ ~ ~
45  III,      98|         termes :~ ~ ~« Mon cher oncle,~ ~ ~« Votre bon conseil
46  III,      98|        Je vous envoie, mon cher oncle, sachant bien tout le plaisir
47  III,      98|        tendre respect, mon cher oncle, et me continuez vos bonnes
48  III,     111|      vue aucun mouvement de son oncle.~ ~ ~ ~Rousseau, demeuré
49   IV,     139|        comtesse.~ ~ ~– Ah ! mon oncle ! fit M. d’Aiguillon.~ ~ ~–
50   IV,     139|        dit d’Aiguillon ; si mon oncle vous parle encore une fois
51   IV,     139|         supplie.~ ~ ~– Oui, mon oncle, expliquez-vous, dit d’Aiguillon,
52   IV,     139|         croyais.~ ~ ~– Moi, mon oncle ?~ ~ ~– Lui ?~ ~ ~– Sans
53   IV,     139|         voyez-vous donc là, mon oncle ? demanda d’Aiguillon, remis
54   IV,     139|     récompensé ainsi.~ ~ ~– Mon oncle, détrompez-vous, dit vivement
55   IV,     139|     mille caresses faites à son oncle et rendues par Richelieu.~ ~ ~ ~
56   IV,     161|      Rouen, disait-il, chez mon oncle, et je viens de Villers-Cotterêts :
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