Tome,  Chap.

 1    I,       5|        père, répondit d’une voix douce et sonore à la fois une
 2    I,      13|        des yeux d’une expression douce et fière, une coupe irréprochable
 3    I,      17|         plaisirs parisiens et la douce et tranquille médiocrité
 4    I,      17|        Taverney, car, d’une voix douce, mais ferme :~ ~ ~– Nicole,
 5    I,      27|     rafraîchit le cœur, elle est douce aux forts comme aux faibles,
 6   II,      40|        homme avec une voix assez douce.~ ~ ~– Eh bien ! monsieur
 7   II,      42|         grise, d’une physionomie douce et fine, vêtu d’un habit
 8   II,      43|         de la voix pénétrante et douce du vieillard, bien que nous
 9   II,      44|     dépouillés, au lieu de cette douce brise qui agite si mollement
10   II,      50|       Belle et d’une physionomie douce et fière à la fois.~ ~ ~–
11   II,      50|     interroger la physionomie si douce et si intelligente de la
12   II,      51|          dit le comte d’une voix douce mais dans laquelle néanmoins
13   II,      56|          savais ce que c’est, ma douce Lorenza, que de lire à découvert
14   II,      56|   labeurs et de misères, toi, ma douce colombe, innocente et pure,
15   II,      57|         pendant l’une, vous êtes douce, bonne et raisonnable ;
16   II,      57|    terrible s’alliât avec une si douce voix, non, plus de promesses,
17   II,      60| contempla quelque temps dans une douce et tendre rêverie. Puis,
18   II,      65|       eût reconnu, au lieu de la douce attente de la fiancée, la
19   II,      74|     albâtre, souhaita de sa plus douce voix un gracieux bonsoir
20   II,      79|      Celle-ci, au contraire, est douce comme un agneau ; elle n’
21   II,      80|            Non pas, répliqua une douce voix de femme sortie d’un
22  III,      83|   expression, comme une compagne douce et dévouée ? Alors vous
23  III,      85|         en italien la voix, plus douce encore que pendant l’évocation ;
24  III,      87|      cœur en me la présentant si douce et si dorée.~ ~ ~ ~Pendant
25  III,      94|       des communs.~ ~ ~ ~Une âme douce et fière comme celle d’Andrée
26  III,      94|       allemands, qui sont une si douce compagnie aux gens qui lisent
27  III,     101|      yeux brillants, à la figure douce et honnête. Un lit de justice
28  III,     103| Seulement, je veux d’une liberté douce et radieuse qui échauffe
29  III,     114|         m’effraye plus que notre douce misère et notre obscurité
30  III,     114|      Paris, est devenue une bien douce habitude. Je romps cette
31  III,     117|     pensive, bien résignée, bien douce ; hier, elle était bien
32  III,     117|    soumise, une âme constante et douce ? Vous savez que voilà mon
33  III,     117|          et que cette mort était douce, et que cette mort avait
34  III,     117|               Alors, la mort, la douce mort par un philtre, par
35   IV,     129|         un mot, il changerait sa douce amante en une ennemie implacable –,
36   IV,     129|        quand il la voyait calme, douce, heureuse, l’appelant des
37   IV,     129|        pas » ; c’est toujours sa douce voix qui me dit : « Reste. »~ ~ ~
38   IV,     129|      Lorenza lui disait avec une douce mélancolie :~ ~ ~– Acharat,
39   IV,     130|        cette main si blanche, si douce, si parfumée, qui n’était
40   IV,     136|          qu’on prend vite une si douce habitude.~ ~ ~– Vous êtes
41   IV,     137|     assit, et peu à peu, sous la douce influence de cette bonté,
42   IV,     143|        sur sa poitrine ; oui, ma douce sœur, les passions de la
43   IV,     143|   solennité, si différente de la douce autorité fraternelle.~ ~ ~ ~
44   IV,     151|      arracher le philosophe à sa douce somnolence.~ ~ ~– Eh quoi !
45   IV,     152|          azur du ciel, comme une douce senteur montait des tilleuls
46   IV,     153|       combien la situation était douce, et comment son cœur avait
47   IV,     157|         deux infortunés avec une douce violence, replaça Andrée
48   IV,     161|      ensevelir à jamais dans une douce béatitude, travailler et
49   IV,     164|          la température semblait douce et l’ombre semée de clartés