Tome,  Chap.

 1    I,    IntI|             admirablement pris, qu’on sentait circuler tout à la fois
 2    I,       7|              l’épouvanta, car elle se sentait entièrement à la discrétion
 3    I,       8|          fille était le centre, il se sentait lié, garrotté, vaincu ;
 4    I,       8|             qu’Andrée voyait, qu’elle sentait, qu’elle avait deviné son
 5    I,      10|             pour moi.~ ~ ~ ~Nicole se sentait la plus forte ; en conséquence
 6    I,      10|        Maîtresse d’elle-même, elle se sentait forte. Gilbert, au contraire,
 7    I,      10|          reprendre son sang-froid, et sentait la colère monter en lui
 8    I,      10|           sous la voûte.~ ~ ~ ~Nicole sentait qu’elle perdait de plus
 9    I,      11|            doué les femmes, Nicole se sentait inférieure en esprit seulement
10    I,      11|              yeux.~ ~ ~ ~Et Andrée se sentait toute prête à pardonner
11    I,      19|               fouet.~ ~ ~ ~Mais il ne sentait plus rien, et il demeura
12    I,      29|           femme d’un grand sens, elle sentait bien que, s’il lui fallait
13    I,      32|              dit madame du Barry, qui sentait le froid lui monter jusqu’
14    I,      38|         madame de Mirepoix, qui ne se sentait pas d’aise.~ ~ ~– Voilà
15   II,      40|               habitait Versailles, se sentait joyeuse de quitter le grand
16   II,      41|               malgré lui~ ~Gilbert se sentait désagréablement affecté
17   II,      42|               l’air libre et pur ; il sentait que, cette fois encore,
18   II,      49|           pour calmer son père ; elle sentait que l’exagération excluait
19   II,      60|             qui se préparait et qu’il sentait venir.~ ~ ~– Et où en sont
20   II,      65|               battait violemment ; il sentait affluer à la poitrine, aux
21   II,      65|             de l’amour.~ ~ ~ ~Mais il sentait son grand-père derrière
22   II,      65|       quelques secondes ; l’ingénieur sentait qu’il lui fallait se presser,
23   II,      67|            par un dernier effort ; il sentait que là était le salut, car
24   II,      71|         Gilbert, la fièvre aidant, se sentait aussi fort qu’il avait jamais
25   II,      74|               genoux, haletant, ivre, sentait le sang battre furieusement
26   II,      74|        gouttière. Au contraire, il se sentait la puissance de marcher
27   II,      75|               deux protecteurs, et se sentait bien appuyé ; il regarda
28   II,      77|           femme ; mais Zamore, qui se sentait coupable, baissa la tête
29  III,      88|               et, d’ailleurs, elle se sentait brave à remuer une des quatre
30  III,      91|            Madame de Noailles, qui se sentait faite pour conserver, hurlait
31  III,      94|          Métamorphoses~ ~Nicole ne se sentait plus d’aise ; quitter Taverney
32  III,      94|             ce coin obscur où elle se sentait bien à sa place, la jeune
33  III,      95|            pauvreté que seule elle ne sentait pas être un défaut, lorsque
34  III,      95| essentiellement désagréable.~ ~ ~ ~Il sentait bien que la guerre se déclarerait
35  III,      95|             qui tournait à l’aigre et sentait son hostilité d’une lieue…
36  III,     107|             heurta à la porte ; Marat sentait son cœur battre si violemment,
37  III,     109|               il voyait le piège ; il sentait qu’aussitôt après avoir
38  III,     110|              fond de tout cela, il se sentait assez humilié d’être réduit
39  III,     111|            était allé trouver le roi, sentait son cœur transi et brûlé
40  III,     113|            bras de M. d’Aiguillon. On sentait sa colère, ou du moins son
41  III,     115|         mélancoliquement Gilbert, qui sentait l’ironie cachée sous cette
42  III,     115|             son visage.~ ~ ~ ~Gilbert sentait monter l’orage ; il résolut
43  III,     115|           balbutia Gilbert, car il se sentait mentir.~ ~ ~– Le hasard !
44   IV,     140|              famille était au comble, sentait pourtant monter à son cerveau
45   IV,     141|               la soutenant, car il la sentait fléchir entre ses bras,
46   IV,     143|               maintien, Philippe, qui sentait battre d’un mouvement égal
47   IV,     144|           était déserte.~ ~ ~ ~Andrée sentait bien au fond de son cœur
48   IV,     145|         commisération à l’égoïsme. Il sentait que les évanouissements
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